Le Tableau Noir.
Ma prof de français sappelait Francine. Jeune femme, que je soupçonnais être célibataire. Pas moins élégante. Grande et élancée, la trentaine, cheveux châtain clair. Je me plaisais pendant les heures passées en sa compagnie, de reluquer ses rondes formes sous les vêtements ambles quelle portait. Cétait le seul cours où je mautorisais à masseoir dans les premières places.
Elle a attendu que toute la classe se soit assise pour ce lever de derrière son bureau, et de se diriger dun pas lent jusquà la porte dentrée quelle a fermé. Je nai pas pu mempêcher pendant ce laps de temps daimanté mon regard sur les escarpins quelle portait aux pieds. Puis tout de suite après sur ses mollets gainés de nylon couleur pêche.
Il ne men fallut pas plus pour déraisonner. À me poser plein de question. À savoir quelle sorte de culotte quelle portait sous son vêtement. De quelle couleur elle pouvait être. Sans doute jaune. Assortie à sa robe. Dy deviner les effluves qui devaient se dégager de son entrecuisse. Avec de telles pensées, il ne men fallu pas plus à ma verge de se trouver un peu à létroit dans mon slip.
Pour le plus grand plaisir de mes yeux, Francine simmobilisa devant le tableau noir. À seulement quelques mètres de la place où je me trouvais. À laide de ses doigts manucurés, elle sest saisie dune craie blanche et avec agilité, elle a inscrit :
« Narrer un passage marquant lors de votre dernier mercredi » puis elle sest retournée pour nous dire :
- Vous avez pour ça toute la durée du court. Soit deux heures. Pas de question ?
Il y a bien eu comme souvent en pareille circonstance, deux, voir trois questions ridicules. Quelle jugea sans importance. Au point de ne pas donner une réponse.
- Bon maintenant. Lança-t-elle. Je ne veux plus entendre.
Il y eu bien encore quelques blagues sortis par-ci, par-là avant que le silence se fasse dans la salle. Ma première réflexion, fus de me demander ce que javais bien fais la veille qui vaille être mentionné sur un exposé ?
Francine La prof a attendu que nous nous mettions au travail pour prendre place derrière son bureau.
Navait-elle pas appréciait jusqualors mon écriture. Au point den garder deux de mes précédents exposées. Quelle avait trouvé tant attrayante, (ses dires). Quelle sétait même permis sous mon aval bien sûr de le lire à lassemblée. Ce qui mavait valu de la moquerie de leur part dès la sortie de la cour.
Je me promis que pour Francine, jallais me surpasser. Et je men devoir à noircir la feuille posée devant moi sur le pupitre :
Il se trouvait que je partageais ma chambre avec ma grand-mère de passage chez moi. Elle était déjà coucher quand je fis éruption dans la pièce en ce mercredi soir. Pour ne pas la réveiller je métais muni dune lampe électrique. Après mêtre déshabillé sous les renflements de ma mamie, je me suis couché dans le petit lit adoption laissant mon grand lit à la disposition de ma grand-mère.
À regret je me suis levé pour les remettre à leur place. Ma grand-mère ronflait de plus belle. Un après lautre je les ai remis à cheval sur le dossier de chaise jusquà ce que je tombe sur le collant couleur pêche. Que jai examiné avec une infinie tendresse.
Difficile de croire que ce morceau de nylon qui semble si neutre, et portée par de millions de femmes dans le monde, puisse avoir un tel effet sur des personnes comme moi.
Jai tâtonné les mille et un détails entre mes doigts. Jusquà senti que lentrejambe était souillé. Quil se dégageait de ce dernier une odeur forte, enivrante. Qui était le résultat de pas mal dheure de marinage. Mortellement excité, je nai pas trouvé mieux que de le porter à mes narines. Putain ! Que cétait du tout bon pour mes narines.
Ma grand-mère ronflait de plus belle. Laddition des deux actes a fait que jai perdu les pétales. À prendre le risque de diriger le faisceau de lumière en direction de lendroit où dormait mamie. Et de constater quelle avait les yeux fermés, la bouche ouverte. La voir ainsi abandonnée déclencha en moi un certain émoi qui se traduisit bientôt par un méfait de ma part.
Au point de mapprocher du pied du lit. Comme si javais été téléguidé. Où je me suis agenouillé. Prenant la décision folle, décarter les draps, mais aussi de pointer le faisceau sous le tunnel détoffe pour apercevoir les jambes de lendormie. Confiant, et encouragé par ses ronflements, jai plongé ma tête la première, sous les draps. Quelle imprudence folle ! Me diriez-vous. Mais à cet instant je pense que mon cerveau se trouver à la hauteur de ma verge.
Jétais dans la place, dirigeant le faisceau sur la fourche. Illuminant une toison abondante grisonnante comme pouvait lêtre celle dune femme de soixante et treize ans. Comme elle samusait de le dire à tue-tête à qui voulait lentendre.
Jai aperçus les nymphes ourlées dun rose virant au marron près du clitoris. Centimètre après centimètre, jai avancé le visage. Offert par la proximité, jai retrouvé avec joie la puissante essence délivrée par son intimité. Subjugué par tant dappas jai amené dans un premier temps mon nez au-dessus de la vulve. Cétait extraordinaire jusquà linstant quelle choisit pour bouger. Je fus tout de suite submergé par un vent de panique. Au point de me redresser, et de me planquer sous le lit. Faisant travailler mes méninges pour savoir ce que je pourrai bien lui dire sur le fait de ma présence près delle.
Des idées désordonnées traversèrent mon esprit. Au stade où jen étais, jai décidé de profiter à fond de ce qui métait donnée. Laudace de la situation me fit oublier toute prudence. Au point dy retourné. De ramper de nouveau jusquà sa fourche.
Jai libéré ma langue pour quelle aille goûter la saveur des poils. Cétait salé, mais cétait bon. Mais jen voulais encore plus. Alors, jai niché ma langue dans la béance humide et gluante. Labsence de réaction de la part de ma grand-mère me conforta dans mon idée. À me croire tout permis, et ce fut sans la moindre précaution, que jai léché et sucé le con de ma mamie qui produisis un jus abondant, qui vint enrober ma langue vicieuse.
Comment dans un sommeil si profond, on puisse continuer à sécouler ainsi ? Je préféré laisser la résolution de cette énigme pour plus tard. À tête reposée
Après le goût et lodeur, il restait lexploration tactile. Fidèle à ma malice, jai persisté dans mes mauvaises idées. Enfonçant mon index ainsi que le médius à lintérieur de sa fente, entre ses poils rêches. Jétais à cet instant incapable de me maîtriser.
Préférant me saisir à pleines mains les deux fesses et leur fit subir un pelotage en règle. Les malaxant, les écartant à loisir pour mieux les examiner. Faisant par ce geste, faire apparaître son anus serré et mauve. Jai enfoui mon visage dans son cul. Humant à plein poumons les odeurs fortes qui sen dégager. Saoulé par les vapeurs, jai plaqué ma bouche sur son anus. Mefforçant tant bien que mal, dy introduire ma langue. Son trou était étroit. Mais après avoir bien uvré, jai réussi à lamollir et jai pu le violer partiellement.
Enfonçant la pointe de ma langue dans son rectum. Y découvrant un goût amer. Comme celui du pur cacao. Jai poussé, pour la lécher plus profondément. Soudain, son cul sest ouvert et ma langue sy est enfoncée presque entièrement.
Je me devais de marrêter là. Avant que la chance tourne et me fasse surprendre dans une situation pas très adéquate.
Jai bordé le pied du lit avant daller rejoindre ma couche. Où jai libéré ma verge, ainsi que mes testicules bien gonflés. Que jai dans la seconde suivant dans ma main droite. Sur un rythme lent et tout en humant mes doigts, je me mis à me masturber. Et cela jusquà sentir venir léjaculation.
Elle vint, brutale et violente. Un long jet chaud gicla de mon sexe, immédiatement suivi par dautres, qui tous vinrent maculer mon torse, mon ventre. Javais pleinement savouré cette décharge.
Le lendemain, je retrouvai mamie au petit déjeuner. Jétais extrêmement gêné et je me demandais comment je pouvais encore lui faire face avec ce qui était arrivée cette nuit
Et ce fut sur ce dernier mot que je rendu ma copie. Pas une seule minute je nai regretté ce que je venais dinscrire. Tout au contraire, jétais impatient que Francine nous rende les copies les semaines suivantes.
Quand vint enfin le jour, où elle a distribué les copies corrigées, elle navait pas manqué comme à son habitude dallouer les honneurs aux exposés quelle jugea les plus méritants. Je ne fis pas parti de celle là. Je décernais même chez elle une mimique ironique en sapprochant de ma table, et posant ma copie. Que je mempressais de men saisir.
10/20. Brillant mais superficiel
Lappréciation aurait pu sappliquer à lensemble de ma vie. Je me suis demandé sy je devais, oui ou non men préoccuper. Je me suis senti rougir dune rougeur envahissante qui me brûlait le visage et me faisait suffoqué. Un instant, jeus envi de menfuir en courant. Une panique de quelques secondes, qui sévanouit peu à peu.
Sinstallant derrière son bureau, son regard revint vers moi. Elle semblait chercher une phrase. Mais aucun son nest sorti de sa bouche. Jai accroché son regard. Elle ne mintimidait pas. Comme aucune femme ne mintimidait.
Heureusement les jours passaient, et les vacances approchées. Francine mavait comme oublier. Ce qui nétait pas pour me déranger. Elle restait égale à elle-même. Je me demandais si elle avait lu mon exposé jusquau dernier mot.
Suite à notre dernier cour, Francine ma demandé de rester quelques instants en sa compagnie, quelle avait quelque chose à voir avec moi. Mon cur battait la chamade, quallait-elle me dire ? Javais subitement bien chaud. Elle était restée assise derrière son bureau, alors que je me tenais debout à côté delle. Attendant le verdict. Ses yeux brillaient, ses joues rosirent lorsquelle prit la parole.
- Nous sommes à la fin de notre dernier cour. Je ne reviendrais pas exercé dans ce bahut lannée prochaine. Donc après réflexion il me fallait à tout pris que je te dise quelque chose. Je pense que tu dois savoir de quoi il sagit ?
- Enfin
Oui, je pense.
- Javoue que ton texte ma émue pour être correct avec toi. Je dois avouer que tu as une jolie imagination ! Les images érotiques que tu décris sont dun réalisme très fort. Jai impression que tu as une bonne expérience sur le sujet. Je me trompe ?
Jétais affreusement mal à laise. Confus, je balbutiai :
- Je
je mexcuse
madame. Je naurai jamais
dû
- Tu es un mignon garçon doué dune imagination débordante. Javoue avoir passé du bon temps à te lire. Je garderai précieusement ton exposé.
- Mais vous me lavez rendu, madame
- Oui mais jen es fait une copie
- Je pourrais vous demandez quelque chose.
- Je técoute.
- Vous portez des bas ou des collants ?
- En voilà une drôle de question. Mais tu vois je ne suis pas étonné que cela vienne de toi. Et pourquoi veux-tu savoir cela ?
- Une curiosité.
- Un collant. Je ne porte jamais de bas.
- Cela vous ennuie de me loffrir ?
- Là Alain tu vois, tu vas trop loin.
- Je suis daccord avec vous. Je pense que je vais men aller, en vous souhaitant de bonne vacance.
- Et je peux savoir pourquoi ce collant ?
- Vous avez lui mon exposé ?
- Oui ! Fit-elle.
- Alors vous avez la réponse. Et plus est, jai comme un besoin davoir un souvenir de vous. Vous êtes Ok ?
- Pas du tout !
- Madame !
- Il ny a pas de madame qui tienne. Je dordonne maintenant de quitter ce lieu.
- Madame soyez sympa.
- Jai dit NON. Cest clair. Dehors maintenant
Et je quittais le lieu déçu. Très déçu même. Jusquau jour où ma mère me donnait une enveloppe. Que fus ma surprise en louvrant dy trouvé un collant. Et celui de Mademoiselle Francine
avec ses quelques mots « Bonne récréation
». Elle fit le plaisir de quelques plaisirs solitaires.
Encore aujourdhui, elle fait parti de ma collection personnel
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