Collection Zone Rouge. Mes Origines Allemandes. Saison I (3/5)
Un soir de Pâques de ma chambre, jai entendu ma grand-mère dorigine allemande commencer à expliquer à mes parents ce quavait été sa jeunesse dans son pays au début et pendant la guerre.
Ils avaient un peu picolé et lalcool aidant cette femme sur la fin de sa vie sentait le besoin dexpliquer à ses descendants le calvaire quavait été sa vie au moment dentrer dans sa vie dadulte.
Je suis toujours derrière ma porte que je repousse quand jentends leurs chaises bouger.
Un après lautre, je les entends aller aux toilettes, mon père passe le dernier au bruit de cascade que font les hommes quand ils urinent.
Si je ne connais pas grand-chose au sexe, je sais que les hommes pissent debout avec leurs verges, et contrairement à ma grand-mère à mon âge, je sais quils en ont une.
Tout le monde est en place, jentrebâille la porte pour écouter la suite du mélodrame que mamy Marlène a vécu.
- Dans la chambre, jai fait connaissance de Brigida fille dun diplomate originaire de Francfort.
Jolie blonde aux seins comme des ufs sur le plat quelle montre, comme je montre les miens qui sortent de ma guêpière.
Il y a Greta qui semble être en couple avec Brigida qui la garde dans ses bras.
Blonde comme sa copine avec de vrais obus et une chatte assez fournie la dévoilant sans pudeur.
Je vous parle de couple de femmes !
Aujourdhui je sais que des femmes peuvent se donner du plaisir et quelles sont appelées des lesbiennes ou plus grossièrement des gougnottes.
Pour vous dire comme jétais niaise.
- Tu tes bien rattrapée par la suite.
Quand mamy lui disait tout à lheure quelle lavait toujours ouverte, la baffe quelle prend en retour, je la prends en pleine figure moi aussi.
- Tu peux toujours parler, si Serge navait pas accepté de tépouser avec tes deux bâtards de deux pères différents, que ferais-tu, toi aussi, peut-être la pute pour les élever.
- Vous allez loin mamy, même si vous savez que je lai sortie dune boîte louche où une semaine après des maquereaux ont été arrêtés dont lun la faisait déjà danser.
- Oui, mais je naurai jamais accepté de faire des passes pour de largent.
- Nhésite pas, dit le, faire la pute est un mot qui te gêne, car tu te crois plus forte que les autres.
Ils tauraient enlevé tes s jusquà ce que tu tapines en te forçant tous les jours.
Tu aurais fait comme toutes ces femmes qui se prostituent dans le monde et qui écartent leurs cuisses pour que des hommes se remplissent les poches.
Mouché la mater, mais en une nuit mon frère nest que mon demi-frère et mon père nest pas mon père.
Il faut que jaie un caractère fort pour ne pas me tirer une balle avec le revolver que je nai pas.
Je suis tellement subjuguée que ma main ne reprend pas sa place sur ma petite chatte.
- La dernière fille couchée sur le lit à côté de celui qui ma été assigné était petite et ressemblait à une poupée, un vrai bonbon.
Comme je lai dit, je ne connaissais pas les amours entre femmes.
Pour la première fois, jai senti mon cur taper lourdement sous mon sein et ma chatte encore meurtrie se liquéfier.
Elle sest présentée et sappelait Hildegarde, mais Brigida qui semble diriger la chambre me prévient quelles disent Hilde.
Je fais le tour de la chambre et je leur fais la bise.
Ce geste me donne une bonne impression auprès des filles, car comme Hilde me le dira plus tard, je leur ai fait voir que malgré mes origines de fille de bonne famille, elles sentaient que je restais une fille simple.
Je pourrais dire simplette si elles savaient ce que jai découvert en si peu de temps.
Et moi que devrais-je dire, mon papa nest pas le mien.
Maintenant que je sais tout en détail sur les rapports sexuels entre les hommes et les femmes, grâce à mamy qui a tout subi en une seule journée, mes copains au lycée qui souhaitent sisoler avec moi depuis plusieurs semaines, je les rembarrerai.
Jai compris quavoir des rapports peut avoir de graves conséquences, mais après avoir bu un coup mamy reprend son histoire.
- De temps en temps une matrone ouvrait la porte et demandait à une fille de la suivre.
Hilde me dit que ce sont des clients qui viennent régulièrement, quils connaissent les filles et qui les réclament dans la journée pour être sûr quils baiseront avec elles.
Je nai strictement rien compris à ce quelle ma expliqué nayant pas saisi que jallais devoir satisfaire tous les hommes qui auront envie de moi.
Nous sommes descendus après avoir mangé légèrement pour ne pas être ballonnées.
Il fallait que nous soyons efficaces quand ces messieurs nous choisirons.
Nous avons été conduites dans une grande salle, où de nombreux canapés et une grande table trônent dans une grande partie de la pièce.
Moi, qui aime les belles choses, je constate quelle a dû être fabriquée sur place vu sa longueur et les couloirs pour y arriver, dessus mon violon est posé. Pourquoi lont-ils amené là, à ce moment, je me suis posé la question ?
Mes interrogations sont de courte durée, la porte opposée souvrant et plusieurs hauts gradés entrant, se dirigeant directement vers nous.
Deux officiers habillés de noir avec le signe de la SS sur le revers sont venus directement vers moi.
Lun se plante devant moi et fait le salut nazi en claquant des talons en inclinant son buste.
Je ne bouge pas tétanisée, que me veut-il ?
Dans le même temps, lautre effectue, la même manuvre devant Hilde qui se lève pour le suivre.
Voyant que je ne réponds pas à sa sollicitation, la soubrette qui ma nourri sans parler pendant six jours et qui ma apporté la tenue que je porte montrant à ses hommes toute mon intimité prend mon violon et fait mine de le faire tomber au sol.
Hilde passe devant moi et me prend la main, mobligeant à la suivre vers une autre porte où plusieurs filles se sont rendues avec leurs officiers.
De lautre côté, une femme se tient derrière un comptoir.
Ces messieurs sapprochent, semblant faire une transaction avec elle, nous attendons avec ma copine main dans la main.
Un étage et ils nous font entrer dans une des pièces qui vont devenir pendant de longues années le lieu où dès que lon entre, ils viennent se servir de nos corps comme de vulgaires pompes à sperme.
Dès la première fois, je suis passée dans les mains de ces soudards qui lun ma prise par la chatte en se servant de mon sexe sans aucun égard pour la femme que je suis.
Pendant que lautre se servait de sa ceinture pour fesser Hilde avant de la sodomiser.
Ils ont tous fait sur nous au bout dun moment, je ne pouvais dire combien de fois et par où javais été pénétrée.
Mon sexe voire tout mon bas-ventre aspirait au repos que nous avons obtenu lorsque ces messieurs se sont rhabillés, reprenant dès quils ont été en tenue impeccable, des postures dhommes respectueux.
Nous étions vautrées sur le lit lorsquils sont venus devant nous ont claqué des talons le bras tendu avant de quitter la pièce.
Hilde ma expliqué lorsquils faisaient cela devant nous, cest quils étaient persuadés quils rendaient hommage aux deux petites chiennes pensant que nous adorons servir ces hommes de race pure.
Hélas, ces hommes étaient tellement endoctrinés depuis des années quils étaient persuadés que nous étions consentantes et que nous aimions cela.
Dès quils étaient petits leurs mères les avaient élevés dans le culte du fils et de lhomme tout-puissant.
Jai appris à mes dépens quelles avaient réussi à ce quils haïssent les femmes.
Pour une première, revenue dans la chambre avec ma copine et être passée dans la baignoire.
Japprends que ces officiers ont payé une bouchée de pain pour se servir de nos corps pour la soirée.
Ils fêtaient la croix de guerre quils avaient obtenue au combat et qui en prime leur donnaient droit à de petites chiennes, toutes de bonne famille comme nous.
Japprenais par là même que le « Fureur » aurait donné lautorisation particulièrement à ceux habillés en noires de la SS que si une fille décédait une autre viendrait la remplacer et quils pouvaient repartir en toute impunité.
Pour eux, limportant cétait les s et leur race pure.
Jai à ce moment-là repensé ce que le dictionnaire voulait dire « fille à soldat », plusieurs fois par semaine, je passais dans la chambre avec un de ces hommes ne sachant pas si jen ressortirais vivante.
Dès ce soir-là, je me suis mise en couple avec Hilde.
La façon dont elle ma léchée la fente.
Soccupant de mon clitoris, elle ma permis de ne pas renier mon bas-ventre lorsque pour la première fois de ma vie une boule est montée du fond de mon corps.
Jai eu ce quelle ma expliqué un magnifique orgasme.
Pendant un an tout a tourné autour de ces chambres, celle où lon dormait Hilde et moi et celle où ces soudards pénétraient et remplissaient nos corps.
Javais recommencé à mettre mes doigts dans mon vagin et moi aussi jai trouvé une petite boule en haut de ma chatte qui en même temps que ma grand-mère évoquait sa jouissance a déclenché dans mon corps une petite onde bienveillante.
Cétait sympa, mais pas la boule dévastatrice quelle appelait un orgasme.
- Ce premier soir, les filles avaient vu le geste de la soubrette envers le violon, je leur confirmais que cétait celui que javais apporté.
Je leur ai parlé de celle qui ne parlait jamais, elle sappelait Ingrid.
Jai ainsi appris quelle avait fait partie dun réseau d'espionnage allemand ayant travaillé en France avant leur invasion en contournant la ligne Maginot en passant par la Belgique.
Vers Lyon, les Français sont venus larrêter.
Avant douvrir la porte de sa chambre, sachant pourquoi ces hommes étaient là, elle sest coupé la langue dun coup de couteau pour ne pas parler.
Amenée à lhôpital qui avait un système de surveillance moins sophistiqué que les prisons, elle a réussi à leur échapper et passant par la Suisse, elle a rejoint lAllemagne.
Elle a reçu la croix de guerre des mains même du chef suprême.
Il se dit que le Fureur aurait couché avec elle et en remerciement, il la fait amenée ici pour encadrer les filles comme nous.
Japprends quil faut que je men méfie, car elle donnerait père et mère pour ne pas se retrouver à recevoir les clients comme nous le faisons malgré son handicape lempêchant de sucer.
Le lendemain pendant une heure avant de recevoir mon premier client alors que les autres filles tapinaient déjà.
Brigida avait parlé avec une personne influente qui la faisait venir dans son bureau et que nous ne voyons jamais et a obtenu que je joue de mon violon mévitant les premières parties de jambes en lair et limitant mon nombre de pénétration pour la soirée.
Cest ainsi que pendant une année, jai évité toutes les tenues noires qui se sentaient prioritaires sur tous les autres.
Le 1er septembre 1940 jour de mon anniversaire, jétais opérationnelle auprès de ces messieurs depuis une année.
La moitié du temps, nous recevions dans nos corps dix à quinze queues car la plupart venaient au bordel pendant leur permission, payaient, baisaient et retournaient au front.
À Cologne, les trois premières années, nous les voyons régulièrement car après larmistice signé avec Pétain, nos hommes étaient des forces doccupation alors que les filles qui étaient sur le front de lEst dès 1941 morflaient déjà plus que nous.
De temps en temps, les filles méritantes chez eux venaient se reposer chez nous mais à la fin à lEst ou à lOuest, cétait le même lot de bites que nos chattes recevaient.
Cest à la fin de la deuxième année, le lendemain de mes 18 ans que dans la chambre voisine de celle où un simple soldat remercié lui aussi pour bravoure au combat me prenait en levrette quun coup de feu, sest fait entendre.
Les derniers clients partis, cest dans notre chambre que le malheur venait de frapper.
Greta avait refusé quun de ces salauds en noir lui face une chose dont nous navons jamais su ce quil en était et quil lavait tiré à bout portant.
Des suppositions ont circulé mais cest trop horrible pour que jen parle, Serge sert moi à boire
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