Antony Suite

Antony continua à me fouiller lentement, son majeur glissa lentement dans ma chatte de mec, il faut dire que je mouillais grave, c’était trop bon, des frissons parcouraient tout mon bassin. Lentement il se leva pour aller fouiller dans la poche de son jean et en extraire un préso, je l’observais à la dérobée sa bite était tendue au maxi et bien décalottée.
Il déchira l’enveloppe entre ses dents blanches et avec une grande dextérité sans doute force de l’habitude, il glissa d’un seul coup son sexe à l’intérieur, il me regarda dans les yeux en prenant dans sa main ses couilles et son sexe comme pour m’exciter.
« Bon Stef comme c’est ta première fois on va se la faire classique, mets-toi à quatre pattes, oui comme çà creuse bien les reins, présente-moi ta croupe, écarte un peu les jambes, je vais mettre un peu de gel ça passera mieux »
Antony se plaça juste derrière moi il attrapa sa bite entre ses doigts et frotta son gland à l’entrée de mon trou et lentement il poussa, puis ressorti, puis recommença, soudain son gland disparu comme gobé et lentement il se glissa en moi. La sensation était bizarre entre douleur et plaisir, il savait-y faire il faisait çà tout en délicatesse soudain je sentis qu’il était au fond car son bassin était appuyé contre mes fesses, il me prit pat les hanches et entama un lent va et viens. A chaque assaut de sa part mon corps entier jouissait c’était un plaisir jamais rencontré jusqu’alors je ne put m’empêcher de râler de laisser échapper des petits gémissements de plaisir.
Après m’avoir limé un grand moment, il me demanda de me mettre sur le dos, je m’exécutais sans discuter. Il me prit par les chevilles et passa mes jambes de chaque côté de sa tête, il fit venir mon bassin à porté de tir si je puis dire et il s’introduisit de nouveau dans ma chatte de mec. Il m’avoua plus tard que c’était sa position favorite pour prendre un mec car il pouvait guetter les réactions du gars et le voir prendre son pied l’excitait à lui tout autant.

Ce petit diable me limait de plus en pus fort et de plus en plus vite, des gouttes perlaient de son front, son cou et le haut de son corps étaient cramoisi, il tenait une cadence effrénée, par contre moi je ne bandais plus, sans doute la conséquence de jouir du cul. Soudain je sentis Antony prés de l’extase il se retira vivement sorti le préso et gicla sur mon ventre entre 4 ou 5 jets bien épais et abondants.
Antony se jeta de tout son long et s’allongea sur le dos à côté de moi, il était en sueur cette longue baise l’avait épuisé. J’en profitais pour le détailler, allongé dans cette pose lascive les bras derrière sa tête le rendaient encore plus irrésistible. Il poussait la coquetterie dans le moindre détail, sa coupe de cheveux dénotait une certaine recherche, un peu long sur le dessus avec une mini crête maintenue par du gel, de très beaux yeux verts tirant sur le gris, des lèvres épaisses et charnues, et pour couronner le tout une fine barbe de trois ou quatre jours, l’un de ses sourcils était rasé de moitié, un piercing sur un lobe d’oreille, un brillant sur l’autre et l’un autre très discret sur le téton gauche. Sa bite décalottée encore demi-molle reposait sur sa cuisse le gland encore humide, un triangle de poils finement taillé ornait son bas ventre plat et musclé, ses couilles étaient lisses et régulières ainsi que sa raie entre les fesses bien rasée et parfaitement lisse. Il portait à la cheville une fine cordelette orange clair, ainsi qu’un anneau d’argent au pouce, les cuisses rasées aussi contrastaient avec ses mollets finement poilus, il était à croquer et il aimait jouer de sa plastique de bogoss.
Je sortais du lit pour aller me nettoyer de ses ébats plus que torrides, je me savonnais du bas en haut avant de me rincer sous la douche. Je n’arrivais pas à débander, mon sexe se dressait fièrement au-dessus de mes couilles pleines. Je revenais vers le lit, Antony me fixait ou plus tôt fixait au-dessous de la ceinture il me dit en souriant
« Tu as l’air plutôt en forme »
« Tu as envie de quoi ?
» « Je n’ose pas te le demander »
« Si, si je suis là pour ça non ? »
» « J’aimerais te prendre »
« Pas de souci attends »
Antony fouilla dans la poche de son jeans et en sorti un préso, il déchira l’enveloppe comme il avait fait pour lui et s’approcha de moi
« Ça va être facile, bander comme tu bandes »
Dit-il avec un léger sourire au coin des lèvres, en un tour de main qui dénotait une grande habitude il habilla ma bite de la fine protection. Le fait de placer le préservatif au ras de mes couilles juste à la base de ma tige accentua la dureté qui d’ailleurs n’avait pas besoin de ça.
« Tu veux quoi pour commencer comme position »
« J’aimerais sur une chaise et que tu viennes m’enfourcher »
« Ok assieds-toi alors, attends un peu je vais lubrifier le tout »
Il prit le flacon de gel sur la table de nuit
(Hé oui j’avais tout prévu)
Il enduit sa main d’une bonne dose, puis il en enduisit mon chibre avant de passer sa main entre ses cuisses pour graisser sa chatte de mec.
Lestement il m’enjamba carrément, debout devant moi il commença à fléchir les jambes et de sa main il guida ma pine vers sa minette et lentement il se laissa descendre sur mon pieu, le plissement des ses paupières et le pincement de ses narines traduisaient à elles deux si ce n’était pas encore une jouissance c’était sans doute du plaisir. Antony en fléchissant ses jambes montait et descendais sur mon chibre et à peu près toutes les dix allées et venues il se posait calé au fond ses fesses posées sur mes boules et les siennes posées sur mon bas ventre et la son bassin ondulait pour pouvoir profiter de la raideur de ma bite au fond de lui, en définitive c’est lui qui me baisait.
Je n’en pouvais plus je sentais ma bite enfler démesurément et je sentais mon jus monter et tout d’un coup j’explosais dans un râle de jouissance rarement atteint. Antony décula et se laissa tomber juste à côté de moi.
« Hé bien Stef pour une première fois avec un mec ça promet, tu es un bon coup, tu m’as fais jouir au top. J’ai besoin d’un peu de repos je peux ici ? »
« Ouais bien sur fait comme chez toi Antony ».
Nous avions tous les deux besoins d’un moment de détente et nous nous sommes endormis l’un à côté de l’autre.