Initiation D'Une Sainte Nitouche 2
Dans les histoires de ce genre , lhéroïne découvre lextase dans la soumission et devient lesclave du maître dur mais juste.
Mais là manque de chance, on est dans la vraie vie et de ma soumise plus de nouvelles.
Personne au rendez vous du lendemain et pas de coup de fil.
Ce sera un souvenir de plus, agréable souvenir dailleurs.
Je reprend ma petite vie , mon train-train quotidien au bureau .Depuis quelque temps je flashe sur une jolie directrice financière qui sappelle Marie Camille , va falloir que je me fasse des copains dans son service mais ils ont lair tous un peu limite surtout un vieux mec qui sappelle Léon (tu parles dun prénom ! ! !).
La semaine sécoule mollement et je me prépare à passer mon week-end pluvieux entre la TV et les Chats BDSM (un jour je vous ferais un compte rendu de ce que lon y trouve vous verrez cest pas triste
.).
Pour linstant je dors et dans mon sommeil un bruit de sonnette me taquine les oreilles , je met loreiller sur ma tête mais le bruit continue, ce nest pas un rêve. Qui ose me déranger à laube (il nest que 11h).
Bon je sors de mon coma , récupère une robe de chambre offerte par ma maman (un truc de vieux en pilou , bleu sombre , à chier quoi ! ! !) et me dirige vers la porte en me grattant le crane ( en fait ce nest pas le crane mais pour linstant je passe sur les détails scabreux).
Jouvre les 42 verrous (avant moi cétait une petite mamie qui habitait là, elle regardait trop BFM) et là sous mes yeux ébahis je reconnais ma petite femme de banquier.
Je resserre la ceinture de ma robe de chambre de retraité et sans un mot la fait entrer.
Elle a lair gênée , pas tant que moi parce que dans ma tenue, et encore je vous ai épargné les chaussons à leffigie des Bidochons (cadeau de ma fille , on ne se méfie jamais assez de sa famille) limage du Maître en prend un sérieux coup.
Je la fais asseoir dans le salon et en profite pour enlever un cendrier plein et une bouteille vide.
Je lui propose un café et en profite pour enfiler une tenue plus décente (descente de lit hé hé
.).
Quand je reviens ma femme de banquier est assise très droite les jambes serrées, je détaille la tenue de la dame et comprend vite quil y a un léger malaise (Pull col roulé , pantalon Karting plus chaussures plates et chignon).
Nous buvons en silence le café trop fort (enfin silence cest vite dit , je ne sais pas si ça vous arrive mais moi de temps en temps jai limpression que quand je bois un truc ça fait de drôles de bruits) .
On va quand même pas y passer la matinée alors je rompt le silence .
- Que me vaut lhonneur de votre visite ? (visiblement cest pas le moment demployer un vocabulaire plus imagé).
Elle continue à boire son café (ça aussi ça mépates , il y a des gens qui arrivent à faire durer une éternité de toutes petites tasses) elle repose le récipient sur la table basse (ce qui réveille en moi un curieux souvenir (voir épisode précédent)) et enfin se décide à parler.
- Je suis un peu gênée par ce qui sest passé et je voudrai que lon en reparle.
Cest bien ce que je craignais je suis tombé sur une cérébrale qui va me tenir un discours que dans ma gueule de bois je nai pas envie mais alors pas du tout envie de subir.
Mais je suis un garçon poli et finalement jai un bon fond.
- Allez y je vous écoutes.
Cétait pas le truc à dire parce que là jai limpression davoir mis un euro dans la machine et ça démarre.
Jai droit au laïus habituel que je vais vous épargner , en gros si je résume : elle veut dire quelle sest conduite comme une pute mais quelle nen est pas une et quil faudrait pas que je me méprenne et que si on pouvait oublier tout ça et redevenir des amis comme avant, cest son vux le plus cher etcetera, etcetera .
Je prend un air concerné (en un seul mot mais en fait la situation mériterait que je lécrive en deux mots)
Puis je coupe le flot de paroles et rétorque que je ne la prend pas pour une pute mais simplement pour une femme qui avait envie de prendre du plaisir et que si dans laction je me laisse un peu aller cela ne signifie pas que je pense ce que je dis (bel effort de locution pour un mec qui a fumé léquivalent dun wagon de tabac et but un tonneau de whisky
).
Je ne suis pas certain, quelle ma entendu ,toute occupée quelle est, à se justifier de sa conduite (en fait plus pour elle même que pour moi).
Je laisse le torrent de paroles sécouler et mattarde sur le physique de la jolie dame essayant de me rappeler les formes quelle a dissimulé sous ses fringues de nonnes, ce qui à pour effet de me tendre les nerfs (en fait surtout un .).
La seule question que je me pose maintenant cest comment vais je amener ma petite copine à ne pas regretter sa visite.
Comment faire pour quelle arrête de me saouler (ça je le fait très bien tout seul) et quon samuse un peu.
Des fois je mépate mais là vous allez voir que je vais faire fort.
- Ca suffit maintenant ! ! ! arrête avec ton discours , si tu es revenue cest que tu as aimé ça point barre, alors on stoppe les chichis (ça sécrit comme ça ?) et on va passer aux choses sérieuses.
Dire quelle me regarde dun air interloqué est un euphémisme , on dirait un lapin pris dans les phares dune voiture.
Jen profite et jembraye (notez la propos avec limage de la voiture
quel style ! !).
- Pour commencer tu vas menlever ces fringues ridicules ! ! ! !
Cest ce qui sappelle jouer son va-tout, logiquement elle devrait se lever et se casser et moi comme ça jirai me recoucher.
Elle se lève donc
.
Et là cest elle qui mépate , elle retire son pull , enlève son pantalon et je maperçois quelle avait du préparer son coup parce que je ne peux que remarquer labsence de sous-vêtements (remarque cest peut être moi qui me fait un film , elle a pas eu le temps cest tout).
Je la contemple un instant et tout à coup une idée géniale jaillie dans mon cerveau malade.
- Puisque tu culpabilises , tu vas avoir ce que tu mérites, une bonne punition pour ta conduite.
Où va t il chercher tout ça ?
Je la prend par le bras , la tire vers moi et bientôt la petite bourgeoise se retrouve allongée sur mes genoux moffrant deux petites fesses à croquer.
Je commence par caresser les deux globes puis je claque . (pour me motiver si besoin est, je pense à tous les banquiers qui mont refusé des prêts ou qui memmerdent avec mes découverts).
Elle pousse un cri (vous feriez quoi dautre à sa place ?) mais reste en position et ne prend même pas la peine de protéger ses fesses.
Je me lâche un peu et bientôt le cul de la dame sillumine de jolies marques rouges , elle se trémousse et cela ne fait quaccen mon excitation et je continue de plus belle.
- Tu vois tu es venue pour ça salope , sous tes airs de Sainte Nitouche (Priez pour nous pauvres pécheurs), tu nes quune petite chienne.
Un oui, plus murmuré que prononcé mannonce que je suis sur la bonne voix.
Jarrête de taper le cul de la dame (commence à avoir mal aux mains et je ne suis pas maso) et lui écarte les fesses.
Je glisse un doigt, puis deux, puis trois dans la chatte et commence à branler la pénitente qui bientôt m encourage de la voix.
Elle remue son cul en rythme ce qui mencourage, alors je lui glisse un doigt dans le cul et reprend mon va et vient.
Là on ne larrête plus , elle crie quelle en veut encore ,quelle nest quune pute, une chienne enfin la routine quoi !
Bon cest pas tout mais moi aussi jaimerai bien quon s occupe de moi .
- A genoux salope montre moi que tu es une bonne pute.
La petite dame ne se fait pas prier et commence a lécher mon pantalon puis très vite passe aux choses sérieuses, décidément elle est douée.
Je lui maintient la tête et la force , elle pousse de petits cris étouffés et bientôt arrive au résultat final/
- Navales pas garde mon jus.
Je me retire magenouille face à elle et lui fais lever la tête.
-Maintenant tu vas laisser le sperme couler sur tes seins.
Elle entrouvres la bouche et de longs filaments de salive et de sperme coulent sur son menton et sa poitrine.
- Etales bien sur ton corps.
- Oui Monsieur (je constate avec plaisir quelle reprend les bonnes habitudes.
Je me relève, la fais mettre à quatre pattes et en la guidant par les cheveux je la met à genoux face au mur.
- Met tes mains dans le dos et reste comme ça je nen ai pas encore terminé avec toi.
Et je me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche bien méritée.
« Quel temps de merde ! ! » se dit il en se grattant les couilles devant la fenêtre. (avouez que ça commence fort, même si ce genre de phrase na rien à voir avec la suite, je lai en tête depuis quelques jours et il fallait que je la place).
Les considérations météorologiques à part , je minterroge, jai fini ma douche (gel au gingembre paraît que ça redonne du tonus
.il y en a qui sont assez cons pour le croire) je me suis habillé. Je retourne donc dans la salle ,et constate avec plaisir que ma petite soumise est toujours là
(cest ça qui est bien avec les petites bourgeoises élevées chez les surs on les pose à un endroit et ça ne bouge pas).
Je marrête pour jouir du spectacle (qui a dit quà mon age il ne me restait plus que ça ?).
Cest vrai que la vision est plutôt alléchante et je sens un regain de forme me gagner (où alors cest le gel de douche au gingembre).
Jouvre un placard et sort un collier et une laisse oublié là par une ex (rien de SM la dedans la demoiselle avait un chien cest tout
) et je mapproche de ma future victime.
- Met ta tête en arrière que je te pose ton collier de chienne.
La jolie brune obtempère (trop contente de bouger, doit avoir des crampes la petite
..)
Et la voilà parée dun magnifique collier rouge et dune laisse du même métal.
- A quatre pattes et avance ! (pendant que je vais la promener ça va me permettre de réfléchir
)
Et nous voici partis pour quelques tours dans lappartement (ça va pas durer longtemps vu que ça ne fait que 60 m2).
Elle y met du cur et avance tant bien que mal.
Bon je vous épargne le détail de la balade mais je vous laisse imaginer une belle petite dame toute nue avançant à 4 pattes tenue en laisse.
On arrive dans la chambre , là je massois sur le lit.
- Met toi à genoux face à moi et met tes mains dans le dos.
Toujours sans un mot , elle se met en position.
Je prend son visage entre mes mains tire sa tête en arrière par les cheveux.
- Tu es là pour servir mes plaisirs et faire ce que je veux. (je sais ça fait un peu prétentieux mais je suis le Maître ou non ?)
- Oui Monsieur , je ferais tout ce que vous voudrez (ah les résultats de la bonne vieille éducation à lancienne).
Je passe ma main sur les seins de la dame et commence à jouer avec les mamelons (La mamelon viens nous servir à boire
) je les tord , les pince, ce qui arrache une grimage à ma compagne mais elle ne fais aucun geste pour séchapper.
- Tu es bien docile dis moi , tu aimes être traitée comme ça ?
- Oui Monsieur jaime ce que vous me faites.
Dire quil y a quelques semaines elle mavouait que sexe ne lintéressait pas plus que ça. (il ne faut jamais croire ce genre daffirmation).
Je pointe un de mes doigts vers ses lèvres et lui ordonne douvrir la bouche en tirant la langue.(cest elle qui tire la langue pas moi , pourquoi je ferais des grimaces)
Mon doigt pénètre profondément dans la bouche de la soumise.
Elle suce en sappliquant ce qui mincite à en mettre un autre puis un autre puis un autre (on en est à quatre
.essayez de suivre quand même).
Là elle a une réaction ou devrais je dire plutôt un haut le cur mais je suis sans pitié et commence à faire aller et venir ma main dans sa bouche.
Elle garde ses mains sagement dans le dos (preuve que pour linstant elle apprécie).
De la salive coule sur son menton et ses seins.
- Regarde toi , tu es vraiment dégouttante (je sais ça sappelle de la mauvaise foi).
Je retire ma main et m essuie sur son visage.
- Allonges toi sur le lit.
Elle se relève péniblement et se retrouve bientôt allongée sur le dos , les membres écartés et liés aux montants du lit par de jolis foulards (on peut être dominant et avoir du goût ).
Je sors une boite de sous mon lit et commence à poser quelques pinces à linges sur les seins de la donzelle (je sais, personne ne va croire que je stocke les pinces à linges sous le lit , surtout que jai un sèche linge, mais en gros je crois que vous vous en foutez de lendroit où je range mes affaires).
Elle métonne parce qu elle n a aucune réaction , à croire quelle, elle stocke les pinces sur ses seins.
(remarquez cest pratique
.).
Moi je continue à poser mes instruments de , en descendant vers le nombril (tiens elle grimace ! !)
Et puis dessous le nombril , pour finir sur les lèvres du sexe (Là elle se mord les lèvres ,celles du haut cest pas une contorsionniste).
- Tu es très jolie comme ça, tu sais ? (pas très original le dialogue mais je voudrais vous y voir) .
- Merci Monsieur .
En plus elle est polie, une perle je vous dis.
Je commence à jouer avec les pinces, les effleurant dabord de la paume les écartant un peu . (un vrai gosse je vous jure)
Ma copine (le premier qui dit de cheval je lui pose les pinces) soupire et son petit ventre se soulève de plus en plus rapidement.
Je prend une ceinture (dans la boite sous le lit
.il y a une logique dans tout ça).
Et par petits coups , jentreprend de faire sauter les pinces.
Là elle commence vraiment à crier et à se tortiller (merde j ai oublié de lui préciser le mot darrêt si elle en a assez).
Je minterrompt « tu en veux encore ? »
Et là tel le candidat gagnant de « questions pour un champion » elle lâche un oui plaintif.(bravo nous rejouerons donc avec Monique demain , bonsoir chers téléspectateurs) , si elle avait dit non jaurais été bien embêté parce que je navais pas la collection complète des éditions Larousse à lui offrir.
Donc, en garçon dévoué je reprend mes activités darracheur de pinces provoquant chez la petite dame des soubresauts de plus en plus forts. (elle va finir par casser les lattes du sommier)
Les pinces font maintenant place à quelques marques rosâtres parcheminant ce joli corps tendu .
Pas chien , je lui masse délicatement les endroits douloureux mattardant (on ne se refait pas) aux endroits que vous pouvez deviner.
Elle se détend et ferme les yeux (avis aux Maîtres où se disant tels, il faut toujours savoir alterner les instants dintenses douleurs et les moments de douceurs , sans ça vous nêtes que des tortionnaires).
Si vous aviez vos doigts où jai les miens vous vous rendriez compte que la jolie ligotée ressent plutôt bien la situation , je commence à branler dabord très doucement puis de plus en plus vite et en me laissant aller à quelques commentaires audacieux sur les murs des femmes de banquiers en général et sur elle en particulier.
Elle aussi, a du vocabulaire et dire quelle mencourage de la voix serait un doux euphémisme.
Bientôt elle se lâche complètement et a comme qui dirait un orgasme fulgurant (elle va me casser les doigts cette conne
.)
Mon regain de forme est de plus en plus difficile à cacher et profitant de létat second de ma partenaire je mintroduis dans son intimité (ça sappelle une litote).
Je passe sur la scène (jen ai marre décrire des scènes de cul vous êtes assez grands pour faire le film tous seuls).
Mais mon dieu que cest bon et je ne peux me retenir très longtemps (bon nexagérons pas quand même, ce na rien à voir avec léjaculation précoce même si ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers comme dirait Desproges).
Je reprend mon souffle ( faut vraiment ralentir la clope mon gars) , et me retire de la dame qui gît devant moi.
Je m approche et m accroupie sur son ventre laissant mon sexe entre ses seins et là (suis je malade quand même) je retire le préservatif (que jai pris dans la boite sous le lit) car je met toujours des capotes suis pas suicidaire et le vide sur le cou et la poitrine de ma tendre victime (en vieillissant je deviens fleur bleue).
Jétale le sperme sur le corps de la dame et lembrasse plutôt tendrement ( Ouais carrément fleur bleue).
Nous restons ainsi un petit moment puis comme j ai un bon fond je la détache et lenvoie prendre une douche (je suis un maniaque de la propreté).
Toute la question maintenant est de savoir si le gel au Gingembre a le m^me effet sur le sexe dit faible.
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