L'Algérie (3)
Les jours suivants
Cest avec une certaine gêne que je suis rentré, mal à laise de mêtre autant fait prendre et avec la peur que cela se remarque trop.
Mais cest avec un grand sourire que Samira ma pris dans ses bras en arrivant, deux baisers sonores sur les joues et autant de la part de Karim.
« Alors, cette journée de plage, Marc ? tu as lair épuisé
!!! »
« Ma foi, entre la mer, les jeux, le repas et tout le reste, javoue que je nen peux plus »
« Tu tes régalé au moins ? »
« Rachid ma fait un merveilleux cadeau, ses amis sont adorables et jai vraiment trop apprécié le barbecue, les desserts quils mont offerts et toute leur attention envers moi »
« Je le savais, et ils étaient tellement contents de partager cette journée avec toi aussi
!!! Tu as apprécié au moins ? » Tu métonnes
« A fond, Samira
» Cétait vraiment le cas de le dire, javais un peu de mal à massoir tellement mon cul restait encore douloureux.
« Allez, jai préparé une chorba, une salade et des fruits
ça vous ira les garçons ? »
On a dégusté ce repas léger, en leur racontant notre journée, sans les détails, disons, particuliers, et eux la leur. Ils avaient la télé, mais à lépoque, il ny avait quune ou deux chaines Algériennes, en arabe, et ils ne voulaient pas lallumer, par respect.
Enfin tous au lit, je commençais à comater un peu, et surtout, besoin dune douche salvatrice. Quand jai rejoint Rachid dans sa chambre, il était allongé, en caleçon, avec une bosse que je voyais au repos, pour une fois, et je ne me lassais pas de le contempler.
Je me suis approché de mes affaires et jai sorti 5 billets de 100 Dinars de mon portefeuille pour les lui donner. Il ma regardé, ahuri, en me disant :
« Mais tu fais quoi là ????? »
« Cest pour tes amis et toi, pour participer à cette journée
»
« Mais tu rigoles ou quoi ? tu veux nous humilier ? » Cest la première fois que je le voyais en colère, me repoussant même loin de lui.
« Ecoute mon chéri
Tu sais très bien que telle nest pas mon intention. Cest un peu ma culture aussi
Chez nous, quand on sort entre amis, chacun participe. »
« Cétait pas le cas
Tu étais Notre invité
!!! »
« Alors, tu vas leur dire que pour la prochaine fois, cest moi qui les invite, pour les remercier, ça te va ? »
« Bof
!!! » Pas très convaincu
« Tu veux mapprendre les usages algériens ? »
« oui, que tu te sentes à laise avec nous. »
« Alors il faut que tu acceptes les usages français aussi, tu es avec un français maintenant »
« Cest vrai, tu as raison »
« Alors chez nous, quand on est invité, on doit toujours rendre linvitation, par respect, par politesse et par amitié aussi
Chez vous aussi je pense
»
« oui, cest normal et naturel »
« Alors, cest ce que je fais
Voilà pourquoi je te donne ces 500 Dinars
Pour que toi et moi, on leur rende linvitation »
« Je comprends Marc Chéri
Désolé de mêtre mis en colère
»
« Et comme tu es mon homme et Oranais, cest à toi de toccuper de ça pour quon puisse leur rendre la politesse... »
« Je vais voir ça
Et pardon encore
»
« Rachid, juste une chose
Mes parents sont comme les tiens, ni riches ni pauvres, mais ils ne veulent pas que je manque de quoique ce soit quand je suis en voyage. Alors ils mont donné 300 Francs dargent de poche, cest 6.000 Dinars je crois, en demandant à Lucie de voir si jen avais assez »
« Marc
6.000 Dinars
. Cest beaucoup ici
!!! »
« Peut-être, mais nous on ne le sait pas en France
On sait ce que représentent 300 Francs en France, pas beaucoup, mais aucune idée de ce que représentent 6.000 Dinars en Algérie »
« Beaucoup
»
« Donc, cest pour ça que je te donne 500 Dinars, 25 Francs, pour inviter nos amis
»
« Je comprends, Marc
»
« Donc
Jamais plus question dargent entre nous
. Tu sais ce que jai, cest pour toi et moi, et je suis heureux de ce partage entre nous
Et je veux aussi inviter ta famille au restaurant, si cest possible »
Sans rien dire, il ma serré contre lui, collant son corps au mien et je me suis endormi, sereinement dans ses bras entendant juste un murmure à mes oreilles :
« Je taime »
Et il est resté bien sage.
Le lendemain matin, le samedi est un peu comme le lundi chez nous, Karim est parti au travail, Samira à une réunion pédagogique au Lycée pour la journée, et Imane, chez une copine.
A peine la porte refermée, Rachid était sur moi, ses poils sur mon torse, sa barbe drue qui me piquait et sa barre énorme incrustée sur mon ventre. Il ne lui a pas fallu longtemps pour poser mes jambes sur ses épaules et posséder lobjet de ses délices en un savant coup de reins, senfonçant en moi en totalité.
Ma chatte avait fait lobjet de tellement de visite la veille quelle a absorbé sa taille avec seulement un peu de salive
La vache
!!! Que cétait bon
!!!
Bien besogné, à plusieurs reprises comme à son habitude, il sest levé ensuite pour se rendre à la salle de bains, exhibant son corps de mâle, ferme et velu, son entrejambe encore gros et pendant. Javais compris, au fond de moi, que même si les filles ne mavaient pas vraiment intéressé jusque-là, cétait vraiment mort. Seuls les hommes allaient pouvoir me satisfaire maintenant, et surtout, ce genre de spécimen masculin, les arabes
Mais ça nallait pas être évident à gérer, ça
!!!
Il est revenu, étalant sa monstrueuse virilité devant mes yeux gourmands.
« Alors Marc, on prend son pied ? On devient bien accro aux arabes ? »
« Trop bon
Jen honte, mais pas vraiment non plus
Même si je me comporte comme une putain, je me sens respectée, surtout par toi »
« Tu sais combien de fois tu tes fait baiser hier, en comptant moi et les autres ? »
« Aucune idée
»
« 15 fois, sans compter les pipes
Et à chaque fois, tu en redemandais
»
« A ce point ? Mais cest
» Interloqué
« Merveilleux
!!! » Ma-t-il répondu en me coupant la parole
« Je men suis pas rendu compte tellement jy ai pris du plaisir »
« Alors, je te propose un choix
Sois tu couches avec moi principalement et de temps en temps avec mes amis
»
« Ou bien ? »
« Ou bien, mes amis et moi, on va te faire réaliser tes pulsions, tes plus gros fantasmes, et te faire prendre par le maximum de mecs possible, comme la putain que tu es au fond de toi
»
« Je sais pas Rachid, je suis honnête, ça me branche à fond
voir tous ces mâles arabes, ça me rend fou
mais tu vas me prendre pour quoi ? Une putain de bordel ? »
« Ma foi
tu les un peu quand même, non ? Mais voilà, je taime et je te respecte
Je peux faire de toi une vraie putain, à une condition
»
« Laquelle ? »
« Ton mec, cest moi et uniquement moi.
« Ça, cest déjà fait depuis notre premier regard mon Amour
Jadore baiser avec nimporte qui, mais je ne fais lamour quavec toi
»
« Bien
Première règle
. Tu couches avec nimporte qui et nimporte où mais toujours là où je te le dirais
. Deuxième règle
Tu nembrasses personne sur la bouche sauf moi, ça te va ? »
« Ce sont les règles dun Mac pour sa putain ça, non ? »
« Tu peux voir ça comme ça
A toi de choisir
!!! »
« Mon choix est fait
. Tu ten doutes
»
« Bien
. Demain je temmène dans un hammam bien chaud
Ça te va ? »
« Je connais pas, donc
Volontiers
!!! »
« Tu vas connaitre bien dautres endroits
Au fait Marc, mon père veut coucher avec toi, il me la bien fait comprendre. »
« Karim ? Ton père ? »
« Ben
Il a bien vu comment tu le matais quand il sest changé, et il nous a entendu baiser
Il est pas con
»
« Mais
. Cest ton père
!!!! »
« Et alors
Il est pas beau ? Il te plait pas ? »
« Oh que si
. Il est superbe
»
« Et encore plus poilu que moi, avec un sexe bien plus gros
!!! Ma mère a souvent du mal à le supporter
Je lai entendue pleurer »
« Mais jai honte de coucher avec lui
. Il va me prendre pour qui ? »
« Pour un mec qui aime ça, qui a envie de baiser avec lui et quil a envie de baiser
Cest simple non ? »
« Oui
Effectivement
!!! »
Alors, demain après-midi, tu seras seul avec lui, on ira voir ma grand-mère avec maman et Imane
. Tu toccupes de lui ? »
« Oui
. Il me plait trop »
« En plus, il est hyper en manque, Maman se refuse à lui depuis pas mal de temps
Tu vas prendre mon Chéri » Avec un clin dil et son regard narquois.
Ballade avec lui dans la journée dans Oran où on a retrouvé certains de ses amis dans un café, en étant tous très sympas et conviviaux, sans geste déplacé, juste des clins dil sur moi ou des mains se baladant sur mes cuisses.
On est pas rentrés trop tard, Samira nous avait préparé un repas de fête, sachant que le samedi soir ou le dimanche pour nous était souvent repas de famille. Elle voulait vraiment allier nos deux cultures et javais vraiment honte de coucher avec son fils, sachant dautant plus que son mari me voulait aussi.
Salades, Bricks diverses et une splendide tajine dagneau aux fruits secs, mélange sucré-salé que je navais jamais encore gouté (à part la divine liqueur de mon Rachid) aux arômes si suaves, épicés sans être piquants, repas terminé par ces fameux gâteaux orientaux que jaimais tant.
Une fois au salon pour le thé, Samira sest tournée vers moi dun air un peu contrit :
« Marc, ne nous en veux pas, mais demain, on doit aller voir ma mère au Sud dOran, avec Imane et Rachid. Il a son permis et il peut prendre notre voiture. On rentrera assez tard. Mais Karim finit assez tôt, vers 14h
Tu ne seras pas seul
ça ne te gêne pas ? »
« Bien sur que non Samira et je pense que Karim va bien soccuper de moi, ne tinquiète pas
!!! » Avec mes yeux dardés sur lui, il avait compris
Cette nuit-là, Rachid ma complètement défoncé, avec une puissance que je connaissais, mais pas à ce point
A sa énième jouissance, il ma juste dit :
« Je te prépare la chatte pour mon père demain
. Tu vas en avoir besoin. »
Le matin, je me suis levé tard, petit déjeuner préparé dans la cuisine que jai dévoré dun appétit certain. Rachid mavait laissé ses clefs et je suis rentré vers 14h30 à lappartement, où Karim mattendait déjà, en tenue très légère, marcel et petit short
Il sentait très fort lhomme et je voyais déjà un bon bout de son sexe, pourtant au repos, dépasser sur ses cuisses. Il a avancé un paquet vers moi, un sandwich algérien bien copieux et encore bien chaud en me disant quil pensait que je devais avoir faim.
Je métais changé aussi entre temps, mini short et petit tee shirt. Ses jambes velues frottaient les miennes et son bout sortait de plus en plus jusquà atteindre pratiquement ses mi-cuisses, tout en étant pas en érection maximale
Rachid ne mavait pas menti, son père était monté comme un âne
!!!
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