Un Bel Été 5

Un bel été 5
Du sperme plein la bouche

Quel bonheur, mais alors…quel bonheur…..

Pour démarrer ma vie sexuelle entre hommes, le hasard m'a super bien servi. Je dirais même maintenant qu'il a grandement influencé ma vie.
Ces deux hommes adultes ont su m'apporter l'extase, la plénitude, qu'ils m'ont apporté sans demie mesure.

David m'a ramené chez moi, comme promis. Le dimanche après midi a été calme, il faut bien que le corps se repose. Je suis resté dans mon petit appart, tranquille, un peu lessivé, ébahi de tant de plaisir pris si rapidement.
Je n'ai qu'un souhait: revivre de si bons moments.
Maintenant que j'ai rencontré ces deux bons étalons, au-delà de mes espérances, je n'ai même plus envie d'aller draguer sur la plage des nudistes.

Au travail, ma journée du lundi, je l'ai trouvée longue, interminable.
Je passe vite fait chez moi pour prendre une douche et préparer mon petit trou. Roland est monté large….sans préparation, je vais la sentir passer.
Le temps aujourd'hui est " instable " mais je pars quand même en vélo chez Roland. Pas de chance, il y a une voiture chez lui…sans doute de la famille, des amis, un autre mec venu se faire baiser…va savoir.
Comment faire? Je ne suis pas habitué à ce genre de situation, ni à draguer. De plus, vu le temps, il n'y aura personne à la plage des nudistes.

Roland sort de chez lui. Il savait que je serais venu, puisqu'il m'avait invité. Il vient me saluer discrètement dans la rue, en s'écartant des gens qui l'accompagnent.

" Laurent, je suis désolé. J'ai des amis qui sont là, c'était pas prévu. Pour aujourd'hui, c'est pas possible. Demain, je serai là pour toi, c'est promis.
" Excuse moi, Roland, je voulais pas te gêner. Je reviendrai demain.
" Merci pour ta compréhension, Laurent.

Nous faisons dans la discrétion. Ceux qui sont avec lui se sont rapprochés et Roland leur parle sans que je comprenne ce qu'il dit.

Je les salue et continue mon chemin, pour éviter les questions.

Je pense que beaucoup de lecteurs comprendront. Il y a des jours comme ça, ou rien ne va, même pas la météo.
Je repars, sans vraiment savoir quoi faire, sauf rentrer chez moi.
Je ne suis même pas énervé ni déçu. Vendredi dernier, le hasard m'a été favorable lorsque Roland m'a abordé. J'ai trop d'estime pour lui et un désir intact.

Le lendemain, c'est avec une petite appréhension que je me présente chez Roland.

Il me reçoit, ferme sa porte. Dans son entrée, nos corps se retrouvent, nos bouches se soudent pour un grand moment de bien-être, de désirs en attente. Je sens son sexe dur contre moi. Le contretemps d'hier, n'en parlons plus, il nous reste un grand moment à vivre, un grand moment de jouissance à venir.
Il m'entraine vers son canapé, là ou il m'a si bien sodomisé samedi dernier. Nous n'avons pas besoin de parler, chacun a son bonheur à prendre. Il s'assoie et m'installe entre ses cuisses, me livrant son corps massif et poilu en pâture pour mes yeux, mes mains, ma bouche, mes lèvres.

Son corps est toujours aussi beau, tel que j'aime les hommes mûrs: épais, poilu de partout, même dans le dos. J'aime bien ce genre d'homme, viril, très mâle…et son sexe, quelle beauté, my god….

Un gourdin pas trop long mais d'une superbe épaisseur assorti à une paire de couilles splendides, que mes mains ont massé l'autre jour avec plaisir.
Sa poitrine est toujours aussi puissante, couverte d'une toison dense, des poils noirs et blancs en broussaille au dessus d'un ventre avec un peu d'embonpoint. Il me dirige vers ses tétons qui n'attendaient que sussions de ma bouche. Ses tétons sont une véritable friandise que je sucerais pendant des heures si je ne savais pas qu'une autre gourmandise m'attend entre ses jambes. Il m'oblige cependant à sucer abondement ses deux tétons cachés dans sa forêt de poils, en me dirigeant la tête suivant son envie.
Son corps chaud, agréable et son odeur de propre m'enivrent.

Lorsqu'il estime que j'ai assez titillé, sucé et pincé, caressé sa poitrine velue, il me laisse descendre vers le meilleur de son anatomie, sa queue épaisse, énorme, tendue, décalottée. Une grosse fleur qui attend qu'on vienne en prendre le pollen, en aspirer le nectar crémeux qui sortira sous l'effet de la douceur de mes lèvres. Qui, après avoir été butinée généreusement, fécondera ma bouche par des jets de sperme nacré.

" Roland, ta queue est trop belle.
" Elle est pour toi, mon petit chéri. Fais la cracher avec ta bouche.

Et il m'appuie sur la tête pour me faire comprendre qu'il faut y aller.
Un moment d'un plaisir incomparable. Ouvrir grand la bouche, la prendre délicatement et goûter ce suc translucide qui s'en échappe…hummm. Une queue moins épaisse m'arrangerait mais je ne vais pas refuser ce cadeau.

Roland me laisse saliver son gland gorgé, que ma langue caresse et inspecte dans tous les sens. Il ne l'entends pas ainsi et m'appuie sur la tête pour que ma bouche poursuive sa mission et que mes lèvres prennent possession de son bambou. J'ouvre grand ma bouche et descends pour prendre cette colonne de chair dure, veineuse jusqu'à sentir son gland au fond de ma gorge. Je le salive, caresse ses superbes couilles et effectue des va et vient avec gourmandise.

" Tu suces très bien, mon chéri. Goûte la en entier.

Il m'encourage en même temps qu'il me donne le rythme. Sa main ferme me force à bien déguster son phallus épais. Je le sens plus autoritaire que l'autre jour, plus directif. Comme si je n'avais pas compris, il m'envoie son gourdin au maximum dans la bouche et me maintient la tête fermement. Je suffoque, manque de vomir mais il ne s'apitoie pas, recommence la manœuvre dès ma respiration reprise.
Je bave, crache ma salive qui coule sur ses couilles. Il n'en a cure. Il me regarde endurer son désir, résister, baver.
J'ai confiance en Roland et je sais qu'il veut me faire sucer son gourdin…aux limites de mes possibilités.
Les larmes aux yeux, la bave aux lèvres, je continue à enfourner dans ma bouche son énorme bite raide. J'ai gagné plusieurs centimètres par rapport à la dernière fois mais mes lèvres n'iront pas jusqu'aux couilles. C'est pourtant pas l'envie qui me manque….
Il cesse soudain de me forcer. En confiance, de ma propre initiative, je me lance, son gland calé au fond de ma gorge. Il en profite pour m'appuyer sur la tête, me bloque et m'envoie son phallus en bouche sans complaisance. Je suffoque tellement il me l'a rentrée en bouche. Je ne pensais pas en prendre autant.

Lorsqu'il me libère, les yeux mouillés, la bave et les glaires aux lèvres, je le regarde. Il essuie de sa main mes larmes et sourit:

" Vas y, Laurent, prends ta récompense.

Et il me ré appuie sur la tête. Je sais qu'il va maintenant juter dans ma bouche, me donner ce que j'espère depuis que je l'ai rencontré. Lui qui n'avait qu'un désir, me jouir dans le cul.
Je donne alors le meilleur de moi-même pour honorer son sexe, lécher la bave qui a coulé sur ses couilles et sur sa tige. Il me laisse faire, ronronne de satisfaction.

Sa bite est grosse, épaisse, mais, en tant que débutant, je dois le faire cracher, extraire la sève de ce beau bambou de cinquantenaire. Je suis ravi de le sucer.
Ces quelques jours en compagnie de Roland et David m'ont libéré de toute pudeur dans l'intimité de leur domicile.

Je me lance corps et âme pour le satisfaire. Il prend un malin plaisir à résister, à me faire sucer sa queue et lécher ses grosses couilles le plus longtemps possible, à m'entraîner comme à une course de Marathon. Ma mâchoire commence à me faire mal mais je continue, trop heureux d'avoir un si beau sexe à ma disposition. J'aime sucer le sexe de Roland. Je viens de passer un petit moment ou il m'a mais c'était sans la moindre violence.
Je l'ai accepté.

Roland n'est pas un salaud et n' pas. Lorsqu'il reprend ses caresses dans mes cheveux, je sais qu'il a fini de jouer et qu'il change le curseur de son mode plaisir. Ses jambes s'écartent un peu plus, son bassin se cambre vers moi. Il me laisse libre et soupire sous mes coups de langue, à chaque passage de mes lèvres sur son gland.
La magie opère et un doux plaisir s'installe allant crescendo jusqu'à ce que je sente ses mains bloquer ma tête pour m'empêcher de reculer. J'ai bien l'intention d'avaler sa semence, tout comme il doit l'espérer. Il ne dit rien mais ses soupirs sont maintenant différents, accompagnés d'un léger tortillement. La tête en arrière, il sent l'explosion arriver, irréversible.

Une saveur particulière envahie soudain ma bouche, iodée, salée, d'un goût exquis, d'une consistance crémeuse et gluante. Roland jouit. Une deuxième vague arrive, plus fournie, aussi onctueuse, suivie par une autre tout aussi conséquente.
Je suis fou de joie de recevoir pour ma première fois du sperme dans ma bouche. Je ne perds rien et me réjouis d'une quatrième rasade comme la réplique d'un tsunami.

" Oh, mon chéri, ta bouche est trop bonne. Avales tout, si tu aimes.

Bien sûr que j'aime. Ce sperme qui me rempli la bouche, quel délice, une sensation incomparable, un plaisir irréel. Je comprends maintenant tout le plaisir des mecs qui prennent le sperme en bouche: sentir les giclées se déverser et envahir tout le palais…
Mes papilles savourent ce goût iodé que j'apprécie. Lorsque je pense qu'il m'a tout donné, la bouche pleine, je me recule et, sans attendre, je déguste et avale toute ma récolte.
Voyant une dernière goutte apparaître sur son gland, je m'empresse de la cueillir avec ma langue pendant que son beau sexe ramolli. J'ai réussi ma première fellation.

Satisfait, ravi, il m'attire à lui et nous basculons dans son canapé pendant qu'il me roule une pelle d'une intensité, d'une virilité démesurée. Il est heureux, fou de bonheur.

" On va s'allonger dans mon lit, Laurent. On sera mieux.
Nous ne perdons pas de temps.

" Tu m'as rappelé la première pipe que j'ai faite un jour à un homme, mon Laurent. Viens contre moi….

Roland est particulièrement chaud. Après un câlin, il bascule sur le ventre et me dit :

" Laurent, prends moi.

Il sait que je n'ai pas jouis et me propose son corps.
Bien sûr, je n'ai pas le même physique que lui mais cette situation, cette proposition de sa part me fait plaisir. Son dos large et poilu, ses fesses charnues tout autant fournies en poils m'excitent.
Lorsque ma main s'aventure vers son trou, il s'offre et écarte un peu plus les jambes. Je constate qu'il s'est préparé, qu'il a déjà lubrifié sa rosette. Mon doigt rentre sans problème.

"Vas y, Laurent, baises moi.

Je m'allonge sur lui, lui caresse le dos et lèche les poils qui partent de son cou. Il est beau, magnifique, confortable, chaud, et se donne à moi. Roland est le plus bel homme mûr que j'ai rencontré, beau devant, beau derrière…normal, c'est le premier homme sénior que je touche.

Je bande et il doit sentir mon sexe qui s'approche et s'apprête à le pénétrer. Il se prête alors pour bien me recevoir et faciliter l'accouplement. Devant tant d'envie, je positionne mon sexe et je l'enfile direct, jusqu'aux couilles.
Ma bite est rentrée facilement, comme attendue, espérée. L'instant est inoubliable, magique.

" Ohhhh, mon petit chéri, elle est trop bonne. Jutes moi dans le cul, je suis à toi.

Je baise mon premier mec et je sens que je vais pas tenir longtemps. La chaleur de son fourreau qui enserre ma queue est délicieuse et le plaisir de sentir mes couilles contre lui l'est encore plus. Je le coulisse pendant quelques minutes avant de décharger tout mon foutre dans ses entrailles. J'ai jouis mais je n'ai pas envie de me retirer tellement c'est bon.

" Prends ton temps, Laurent, profites de mon cul.

Je comprends le plaisir qu'il a pu prendre à chaque fois qu'il m'a baisé. Je suis surpris d'éprouver autant de plaisir à l'honorer à mon tour. Je me découvre actif, et j'aime ça.

Je me retire et bascule à côté de lui, sur le dos. Nos regards se croisent et se comprennent. Sans pudeur, nos corps viennent de s'exprimer. En silence, le premier désir assouvi, nous émettons un grand soupir de satisfaction:

" Hummmmmmm

Après quelques minutes de repos bien mérité, Roland vient prendre ma tige dans sa bouche, comme un remerciement à ce que je viens d'accomplir. Ses lèvres se referment sur mon sexe.
L'instant est super agréable. Nous avons inversé les rôles, sans paroles, comme une évidence.
Je me sens super bien avec lui, heureux, libéré, sans tabou, sans question.
Mes mains viennent caresser son crâne dégarni et ses joues mal rasées qui piquent un peu.

Je le laisse faire et profite de la chaleur de sa bouche. D'une douceur extrême, sa langue lèche mes couilles et vient masser ma tige qui commence à se redresser.
Roland se délecte, me suçote les tétons puis repart lubrifier de sa salive mon sexe qui a repris des forces et levé le mât devant tant de douceurs.
Je trouve mon sexe de plus en plus beau, épanoui, en pleine forme. Mes complexes ont disparu. Finalement, je suis pas si mal monté que ça.
Les lèvres en contact avec mes couilles, mon sexe entier dans sa bouche, il me fait une démonstration de tout son savoir faire. Une maitrise parfaite qui porte ses fruits: je ne vais pas lui résister longtemps…

Le goût de son sperme encore en bouche, quelques gémissements en signe de plénitude, je me laisse porter par son désir de me faire jouir dans sa bouche. L'instant arrive, irréversible, espéré…
Je me libère de plusieurs jets de sperme qu'il récolte avec amour, avec gourmandise.

Il revient vers moi, la bouche pleine de mon sperme, et dans un grand élan d'amour, nos lèvres s'unissent, nos langues se marient, enrobées de ma semence….




Caramel
* Comme d'hab…Protégez vous.

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