Magali 5/6 Béatrice Nous Rejoint Dans Le Lit

Un mois avant l’accouchement, j’ai eu la joie et le plaisir de voir ma femme faire l’amour à Béatrice.
Nous avions passé la soirée à la maison pour un repas. Béatrice et moi avions un peu bu de l’excellent Saint Emilion. Magali avait juste trempé les lèvres dans mon verre. L’ambiance était joyeuse et je voyais quelques regards entre les deux femmes. Elles étaient assises côte à côte sur le canapé. Leurs mains parfois se touchaient “par inadvertance”.
J’ai débarrassé la table pour aller chercher le dessert. Volontairement je me suis attardé dans la cuisine. Je suis revenu silencieusement à la porte et j’ai retrouvé les deux femmes qui s’embrassaient. Pendant un moment je les ai observées, puis je suis entré.
“Vous êtes magnifiques toutes les deux j’adore vous voir comme ça !”
Surprises et Magali gênée, elles se sont séparées. Magali tente de se justifier :
“Je… Ce n’est pas ce…
Arrête un peu ! Je sais bien que vous faites l’amour ensemble toutes les deux, alors continuez. Ne vous gênez pas pour moi. Au contraire, j’aimerais tant vous regarder faire l’amour devant moi. Ne t’inquiète pas Béatrice, je ne te toucherai pas. Mais voir ma femme nue dans tes bras, ne va pas manquer de m’exciter !
Tu…
Ne dites rien ! Vou devriez aller dans la chambre. Je vous laisse seules un moment, je viendrai un peu plus tard quand vous serez occupées. Allez ! Embrassez-vous et toi mon amour, va me faire cocu avec ta chérie !”
Mon amour ! Je t’aime tu sais ! N’attends pas trop longtemps avant de nous rejoindre !”
Les deux femmes vont dans la chambre et referment la porte. J’ai décidé de les laisser entre elles un quart d’heure, mais au bout de dix minutes, je ne tiens plus. J’ai besoin de les voir.
Lorsque je pénètre dans la chambre, elles sont nues,enlacées sur le lit, tête bêche. Ma chérie a sa tête enfouie entre les cuisses de Béatrice. C’est la première fois que je la vois active. Sous elle, j’aperçois la silhouette de l’esthéticienne.

Elle est très bronzée, ce qui ajoute au charme du tableau.Elle aussi gougnotte sa compagne. Une main dans la chatte, un doigt de l’autre titille l’anus qu est déjà ouvert. Les deux femmes m’ignorent, toutes à leur léchage.
Je profite de ce moment pour me déshabiller et nu sur le fauteuil, je me branle doucement. Le spectacle est magnifique, rehaussé par les gémissement des deux tribades qui emplissent la chambre.
Les caresses de Béatrice sont efficaces et Magali jouit une première fois sous la langue et les doigts de sa maîtresse. Je me lève alors et me positionne derrière le cul somptueux de ma chérie. Je sais qu’elle aime la sodomie, aussi je pointe mon vit sur sa corolle. Béatrice saisi ma pine et la guide sur le petit trou de mon amour.Son gros ventre pose sur les seins de sa maîtresse.
Quand je pénètre son anus bien dilaté, Magali lâche un Ouiii ! en relevant sa tête d’entre les cuisses de Béa. Celle-ci, d’une main la lui replaque sur son ventre.
Je sodomise Magali qui vraiment du mal maintenant à gouiner sa compagne, aussi, je ressort de son cul. La gourmande esthéticienne, pourtant résolument homosexuelle, en profite pour avaler mon chibre, sur lequel elle retrouve l’odeur et le goût de l’anus de sa chérie. Plusieurs fois, je ressors ainsi, permettant à chaque fois à Magali de se reprendre. Mais elle en veut plus.
“Salaud ! fini-moi ! Je veux jouir avec ta queue en moi.Encule-moi fort mon amour !
Tu va faire jouir cette salope de Béa avant que je ne t’achève. Elle a droit elle aussi à son plaisir. Alors bouffe-la bien ma chérie. Je te promets que tu auras ensuite ta récompense.”
Alors qu’une nouvelle fois je me retire de son cul, Béatrice récupère ma bite et la pompe délicieusement. Magali, libérée, a enfoncé ses doigts dans la moule brûlante et ses lèvres aspirent le bourgeon érectile. Béatrice lâche ma bite, ne pouvant plus respirer. Elle ouvre grand sa bouche et crie à son tour sa jouissance. Alors que plonge à nouveau ma queue dans l’étroit boyau de ma chérie et la sodomise à fond.
Je sens tout d’un coup ses muscles culiers se contracter sous l’effet de son orgasme et je me vide à mon tour en elle.
Quand je sors enfin de son cul, Béatrice se précipite sur l’anus béant, y plonge sa langue et récupère mon sperme qui s’écoule. Pour une gouine, elle ne dédaigne pas de goûter au jus d’homme, sûrement prise encore dans sa jouissance.
Après ce moment intense, nous avons besoin de récupérer. Magali délivre sa compagne de son poids et se couche entre elle et moi. Nous sommes tous les trois en sueur. L’odeur est forte et prégnante, mais c’est l’odeur de l’amour.
Alors que nous nous remettons de nos orgasmes, Magali a une main posée sur la vulve de béatrice et une autre sur ma verge.
“Mon amour dit-elle alors. J’aimerais que tu lèches ma copine. Bien sûr, elle n’aime pas les hommes, mais tu es un lécheur génial, aussi, je voudrais que tu lui montres tes talents.
Tu ne seras pas jalouse ?
Oh non ! Vous êtes mes deux amours. Bien sûr, elle n’aimera pas ta queue, même si elle ne crache pas sur mes godes, mais ta langue sur sa chatte lui prouvera que tu es un homme délicat.
Tu pourrais au moins lui demander son avis.
Ma chérie, tu devrais laisser mon homme s’occuper de ta chatounette. Rassure-toi, il ne se servira pas de sa queue.
Elle y a pourtant déjà goûté. Dis-je.
Comment ça ? Vous avez…
Non, mais quand je sortais de ton cul, elle l’avalait.
Oh ma chérie ! Tu es une sacrée salope ! Tu veux me piquer mon homme ?
Oh non, mais elle sentait ton cul et tu sais que j’adore ça !
Je te pardonne. Je rigolais. Mais un jour, tu y goûteras avec ta chatte. Je serais si heureuse de voir voir tous les deux !
Je suis d’accord. A condition que je sois dessus et que ce soit moi qui dirige la manoeuvre !
J’adore ! Oui ! Quand tu veux ! Je suis sûr que mon chéri va être vite opérationnel quand il aura goûté à ton jus.
C’est vrai ? Tu ne seras pas jalouse ?
Bien sûr que si ! Mais vous êtes mes deux amours et mon chéri m’a toujours dit qu’il voulait que je me libère et que je sois une cochonne !
Dites-donc les filles, vous pourriez me demander mon avis !
Oh toi, mon amour, tu m’a bien dis que tu es un vicieux ? Cela m’étonnerais que tu refuses une telle occasion ! Elle n’est pas belle ma chérie peut-être ?
Oui.
Très jolie. Même si aujourd'hui je préfère tes rondeurs, je dois dire qu’elle est aussi très bandante.
Salaud ! Tu va me cocufier !
C’est toi qui le veux !
Bien sûr mon amour ! Allez ! montre à ma chérie comment tu te sers bien de ta langue !”
Je dois dire que ce dialogue m’a déjà redonné de la vigueur. Et c’est la trique bien raide que je me couche au pied du lit, la tête dans la fourche des jambes de Béatrice.
Son odeur de femelle repue est déjà très agréable. Je trouve entre ses lèvres une douce moiteur et l’odeur de sa jouissance me monte au nez. Je me concentre sur mon “travail” Je veux montrer à cette gouine, qu’un homme délicat peut aussi lui donner du plaisir.
Je suis aidé par Magali qui s’est penché sur son amante. Elle l’embrasse à bouche que veux tu, tout en lui caressant les seins. Nos effort conjugués portent rapidement leurs fruits et Béatrice coule dans ma bouche qui se délecte de son suc onctueux..
A peine descendue de son orgasme, elle demande que je me couche sur le dos et viens elle-même se positionner au dessus de moi. Magali a saisi ma queue et la guide face à la grotte gluante. Béatrice se laisse descendre sur ma bite.Je ne fais aucun mouvement. J’admire sa silhouette gracile et musclée de ma nouvelle maîtresse. Sa peau cuivrée luit dans la lumière. Son visage est tout à coup grâve, quand mon gland touche ses lèvres.
Petit à petit, elle se laisse descendre. Je sens les parois de son sexe qui s’ouvrent à la pénétration. Enfin ses cuisses ses posent sur les miennes. Elle se cambre,exposant son buste à nos regards.Je me garde bien de saisir ses seins, la laissant maîtresse de ses gestes. Je m’attend à ce qu’elle monte et descende sur moi, mais ce sont ses muscles internes qui agissent. Elle me masse littéralement avec son vagin. C’est divin !
“Ne jouis pas en elle mon amour. Demande Magali. Cela suffit avec une seule femme enceinte ici.
Il ne… risque rien… Halète Béatrice. Je suis stérile !
je vous rassure les filles, Avec ce que j’ai déjà donné,je ne suis pas prêt de jouir encore !
Dis-moi que je ne suis pas capable de faire jouir un homme ! Lance Béatrice.

Ce n’est pas ça, mais je ne suis pas à répétition à mon âge !
A ton âge, tu es un formidable amant ! Ajoute Magali.Alors si tu jouis en elle, elle viendra me rende mon sperme dans la bouche en venant sur mon visage.
Vous êtes deux belles salopes !
Plains-toi mon chéri !Il y a beaucoup d’hommes qui aimeraient être à ta place !
Sûrement ! Mais laissons un peu notre maîtresse commune tranquille. Qu’elle profite bien de cette queue et qu’elle jouisse.
Vous… êtes.. Deux salauds ! J’aime. C’est ma première queue depuis…. si longtemps ! Et la première qui me donne du plaisir. Je viens mes chéris ! Je vais jouir ! Ouiii !” Béatrice, à bout de force se couche sur moi.Magali caresse son corps transpirant et nous embrasse tous les deux.
Décidément, pour une gouine, tu aimes aussi les hommes ! Tu as bien profité de ma queue !
C’est la première fois tu sais, depuis très longtemps !
Ah tu n’étais pas vierge ?
Non. C’est que… c’est un peu spécial…
D’accord. garde-le pour toi je comprendrais que tu ne veuilles rien dire.
Non. A vous, je veux le dire. Tu as été si tendre avec moi.. et puis j’ai confiance et j’aime Magali… A huit ans… mon père m’a…
Non ! C’est pas possible ! S’écrie Mag.
Malheureusement cela arrive. Dis-je. Et cela cause des traumatismes à vie.
Oui. Ajoute Béa. Depuis, je ne supporte pas les hommes et … si tu n’avais pas été là, mon amour, je n’aurais jamais fait… C’est votre faute aussi.Vous m’avez tellement excitée !
Nous en sommes très heureux ! Dit Mag. Mais tu me laisseras mon homme tout de même ?
Bien sûr ! De toute façon, il est plus excité par tes formes que par les miennes… Mais… tu me le prêteras de temps en temps… Quand tu seras là bien sûr !
Justement je suis grosse maintenant…
Tu sais bien dis-je, que j’adore que tu sois grosse. J’adore ton gros ventre, tes gros seins et tes hanches qui s’élargissent !
Et si je reste comme ça ?
Ne t’inquiète pas. Pour moi tu es la plus belle !
D’accord, mais je vais bientôt accoucher et tu ne pourras plus me faire l’amour.
Pourquoi dis-tu ça ? D’accord, si tu as mal…
Ce n’est pas ça, je ne suis plus très souple et je suis fatiguée.
Tu n’auras qu’à te laisser faire. Nous sommes deux pour te lécher et te câliner.
Vous voulez me ?
Au contraire. Il paraît qu’une femme qui fait l’amour jusqu’au bout de sa grossesse, accouche plus facilement.
Surtout avec le traitement de Béa !
Comment ça ?
Sa main est… terrible… dans ma chatte !
Elle te fiste toujours ?
Souvent !
Et… tu as mal ?
Non bien sûr ! Elle est si délicate et je jouis comme une folle. J’ai l’impression qu’elle va me faire accoucher.
Je ferai attention ma chérie !”

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