La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1315)
esclave 976-038-93 au Château
Je me présente 20 ans, blond, yeux bleus, sportif pratiquant la natation. Cela fait un an déjà, que je me nomme 976-038-93. Jai rencontré Maître Pierre sur internet il y a deux ans, je venais davoir mes 18 ans. Maître, selon mon souhait, et après mavoir demandé de confirmer à plusieurs reprises, ma accepté comme esclave mâle. Il ma enregistré au registre des esclaves sous ce numéro dimmatriculation, mexigeant de ne jamais écrire esclave avec une majuscule car je ne la méritais pas. Je vis depuis, en permanence, chez lui, je lui appartiens totalement jobéis, je subis, je sers et je souffre, selon et pour son bon plaisir, qui est aussi le mien car jai un profond besoin de son plaisir pour être épanoui.
Hier soir, Maître ma fait coucher de bonheur en exigeant de le réveiller à 7heures. Heure inhabituelle pour Lui. Cest donc à 6h30 que je me suis levé pour préparer son petit déjeuner ainsi que le repas quotidien de son esclave, donc moi en loccurrence. La table était prête : Jus de fruit, croissants, miel, confiture, beurre, lait froid. Le café finissait de couler quand je partis réveiller Maître Pierre. Comme il me lavait appris, cest par une fellation quil aime se réveiller. Comme il le fait maintenant depuis plusieurs jours, il ne se termine pas dans ma bouche, affirmant quil se réserve pour un autre jour
En revanche, une fois levé, il présente sa Verge devant ma bouche et déverse son urine nocturne. Elle est âcre, mais cela fait partie de ma servitude. Sa Verge bien égouttée dans mes cheveux, je laide à enfiler un slip mettant bien en valeur sa virilité, puis il se rend à la cuisine pour son petit déjeuner, je le suis derrière lui, à quatre pattes. Sur un claquement de doigts, je me relève une fois quil sest confortablement installé et lui verse son café tout chaud dans son bol. Comme tous les jours, je remplis ma gamelle métallique de la bouillie de gruau.
Position de présentation
jambes écartées, salope.
Jobtempère rapidement, je me lève, baisse la tête, écarte mes jambes, les mains derrière ma nuque
Je ne comprends pas
je nai rien à comprendre
Le Maître est nu devant moi, Il est superbe
il me retire mes anneaux aux tétons, aux oreilles
puis dévisse les deux ball-stretchers de 9 cm quil avait réussi à me poser après de nombreux étirements de mes couilles. Après ce retrait, mes couilles remontent un peu mais pendent toujours au moins de 10 cms
Pardon, Maître de cette remontée des couilles de votre esclave.
Une paire de gifles fuse. Mes joues rougies, je comprends combien jai fauté
Qui ta autorisé à parler, espèce de chien. Tu seras puni, quand je le déciderai, pour cette faute inacceptable.
Aucun commentaire, confus je me tais platement. Je sais que quand jaurai une autorisation de parler, je devrai lui implorer une sanction exemplaire, lexécuter avec reconnaissance et surtout implorer son pardon
Il retire la cage de chasteté que je porte depuis trois semaines environ
ma queue à lair libre se met au « garde à vous »
sans sarrêter à cette exubérance, il fait tourner le « Prince Albert » et me le retire
Je me sens nu comme un ver de terre
même si je porte toujours mon collier dimmatriculation
impression surprenante compte tenu que je le suis en permanence chez le Maître
Puis il commence à me laver méticuleusement avec un gant de crin
Wahoo ça chauffe
ma peau rougit sur tout mon corps.
Sèche-toi, esclave et vite, ne perd pas de temps
Je prends la serpillère qui mest réservée et me sèche rapidement pour ne pas faire attendre le Maître qui est resté présent et me fixe dun regard sévère.
Position de présentation
jambes écartées
Maître Pierre prend la pince à épiler, mexamine à la loupe
cest assez humiliant
mais cest comme cela
dès quil trouve le moindre poil, il lextirpe de ma peau
épilée en permanence mais il y a toujours des poils récalcitrants qui repoussent
Maître Pierre aime bien rendre beau ce qui lui appartient, en voyant ce dernier grimacer quand un poil ne veut pas venir
Un temps important sest écoulé pendant cette « mise aux normes ». Voilà lesclave « tout beau » pas un poil sur le corps excepté la figure où il a conservé les cils et sourcils ainsi que son crâne rasé à la tondeuse sabot 1 à lexception de la partie haute où les cheveux sont gardés mi- longs afin davoir une bonne prise. Toujours en position de présentation, où ton mon corps est entièrement à sa disposition, Maître prend le flacon dhuile damende douce et men passe sur tout mon corps de la figure aux pieds en passant par ma queue, mes couilles et mon anus
Ne bouge pas pendant que cela sèche. Jai une ou deux choses à prendre et nous partons
Je suis nu
je vais partir ainsi ?, me dis-je en ma tête. Le Maître sait alors je nai rien à craindre.
Mets ton costume de sortie, sans le blazer.
Une chemisette blanche sans col, constituée de deux parties : Une pour le devant et une pour larrière.
Allez ! On part en voiture.
Je vois le Maître, le propriétaire de lesclave que je suis devenu, habillé du même costume que moi
Je ne comprends vraiment pas pourquoi et je minterroge mais fait silence car je nai pas à savoir
Je suis bien un esclave. Il porte également une sacoche.
Dans le garage, la voiture du Maître, Il ouvre le coffre, je my dispose en chien de fusil et mattache les mains à la carrosserie et me donne une bouteille deau avec un tuyau relié à un jerricane pour que je puisse boire sans utiliser mes mains entravées. Le moteur démarre, et au bout dun long moment, je mendors tranquille, je nai à me soucier de rien, le Maître na pas besoin de moi
Je me réveille, certainement après quelques heures de route, nous ne devons plus être sur lautoroute car je suis bringuebalé de tous côté, un coup à droite un coup à gauche alors je devine que nous sommes sur un chemin de campagne. Puis la voiture sarrête, le coffre souvre, mes mains sont détachées, je dois sortir, la lumière du jour méblouit un peu. Un peu ankylosé, je métire un peu. Mes vêtements sont un peu fripés, Maître, sen occupe et remet la queue de son esclave à lintérieur de mon short
elle avait pris delle-même cette décision de se mettre à lair libre
Cette action de Maître Pierre, me conforte dans mon état desclave, à qui on retire même la façon de se présenter. La Verge du Maître, pointe son nez en dehors de son short également
il la repositionne correctement mais cela me laisse à penser quil est excité aussi, très certainement par le lieu où nous sommes arrivés.
Alors je regarde autour de moi, jadmire le paysage, vallonné, verdoyant, de nombreux et majestueux hauts arbres et surtout ce que je remarque avec un air impressionné, cest ce magnifique Château, qui me parait immense et imposant, là tout au bout de cette immense allée de petits cailloux rouge ratissée et bordée de superbes pelouses verdoyantes et impeccablement entretenues, mais fermées par cette immense grille dun tout aussi imposant portail lequel nous sommes stationnés devant. Sur le haut de la corniche métallique richement forgée de ce portail, je vois écrit dans un excellent travail de ferronnerie pour chaque lettre stylée : CHATEAU DES EVANS 1665 et sur une plaque, telle celle dun médecin, en de très belles lettres jaunes finement travaillées, plaque apposée sur le côté gauche contre le poteau de soutien du portail : PROPRIETE PRIVEE - DEFENSE DENTRER
Maître tire sur une chaîne qui ébranle une lourde cloche. En position dattente, Maître me fixe de suite un magnifique harnais en cuir rouge flanquée dune muselière et y attache une laisse-chaîne à mon collier. Me voila au bout de cette laisse, muselé comme un chien, moi le simple esclave. Puis, Maître me passe en plus une cagoule sur la tête qui obstrue ma vision. Jentends le crissement des cailloux des pas du Maître. Je dois évoluer à quatre pattes et jai mal aux genoux, même sil me fait évoluer au bord de la pelouse, dans lherbe fraiche, quand jentends.
On se tait, le chien (même si muselé, je ne puis dire un mot)
Toi, esclave, je ne veux pas tentendre, tu as déjà fauté tout à lheure alors ne recommence pas. Tu répondras simplement si tu es interrogé une fois que j taurai retiré ta muselière.
Le crissement augmente
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!