L'Algérie (4)
Karim
Et les autres
« Suis content dêtre un peu seul avec toi, Marc, ça nous permettra de parler et de mieux faire connaissance tous les deux »
« Moi aussi, Karim, ça me fait très plaisir » En le sentant se rapprocher encore de moi avec sa main assez haut sur ma cuisse.
« Tu apprécies ton séjour à Oran et chez nous ? »
« Oh oui Karim
. Rachid soccupe tellement bien de moi
!!! »
« Tant mieux
Cest son rôle de te faire connaitre notre ville, ses amis, et tous les plaisirs de lAlgérie »
« Pour ça, je te rassure Karim, il le fait très bien »
« Et tu apprécies ? »
« Complètement et à fond
!!! »
« Oui, cest ça
Bien au fond
Cest ce que jai pu entendre en passant près de votre chambre, et surtout hier soir »
« Je suis
désolé, Karim
Tu vas le dire à Lucie et me mettre dehors ? »
« Mais non Marc, ne tinquiète pas. Cest souvent que les jeunes samusent entre eux en Algérie, je lai pas mal fait dans ma jeunesse aussi »
« Tu es trop gentil Karim. Je ne te fais pas honte ? » En lui faisant un gros bisou sur sa joue piquante et bleue de barbe.
« Daprès toi, cest de la honte ça ? » et il a plaqué ma main sur son membre qui prenait des proportions gigantesques, me soulevant comme une plume pour me poser sur ses genoux en ayant enlevé son marcel avant.
Rachid était poilu, mais son père, cétait une véritable foret de poils, partant de la lisière de son short, couvrant tout son torse jusquau épaules et continuant sur son dos. Je crois quil fallait compter les centimètres carrés de sa peau qui avaient pu rester glabre. Je navais jamais vu ça, à part les reproductions de « lHomme de Cro-Magnon » dans mes bouquins de sciences.
Je ne pouvais pas mempêcher de passer mes mains, ma bouche, partout sur cette toison, me délectant de sa douceur, de son odeur débordante de testostérone. Il a eu vite fait de me débarrasser de mon short et de mon petit slip, enlevant le sien par la même occasion, laissant son membre surgir, qui dépassait allègrement son nombril.
Jamais je naurais pensé, après celui de Rachid, quun sexe dhomme puisse être aussi gros, même sil mavait prévenu au préalable. Je me suis un peu penché, pour que ma chatte frotte sur son gland, suintant de lhumidité de son pré cum en me disant, au fond de moi, que jétais en train de devenir fou.
Au vu de lengin, je commençais à comprendre pourquoi Samira pleurait assez souvent. Javais lu quelque part, quun vagin avait des limites à la pénétration, et que même conçu pour ça, il nétait pas extensible.
Voyant mon état de quasi-transe, il ma porté jusquà la chambre de Rachid, me sentant comme une poupée désarticulée dans ses bras puissants. Il ma allongé sur le lit, couvrant mon corps de baisers, et je voyais son sexe sallonger encore, me demandant comment cela été encore possible. Les hommes algériens devaient avoir davantage de sang dans leur corps que les nôtres pour pouvoir maintenir un tel pieu dans un état de raideur totale, et aussi dur.
« Tu en as envie
. Avoue
!!! »
Jétais incapable de répondre
« Rachid ma dit comment il te baisait, comment il ta dépucelé, et comment tu tes donné à lui et à ses amis et ton accord pour te laisser défoncer un max »
« Jaime trop ça Karim
Tout ce que javais refoulé en moi en France, Rachid la balayé, a compris mon besoin de sexe, de me donner aux hommes comme une putain, sans retenue. »
« Je vais te défoncer Marc, sans arrêt jusquà ce soir. Trop besoin de vider mes couilles depuis 3 mois que Samira se refuse à moi
Elle a mal à la chatte quand je la prends, soi-disant, et elle me refuse son cul »
« Jai peur quand même Karim
. Cest tellement gros
!!! »
« Pour te rassurer, je vais utiliser de la vaseline au début, comme la fait Rachid, mais après, avec tout ce que je vais te mettre, je suis sûr que tu vas bien tout encaisser »
Le tube magique sorti « miraculeusement » du tiroir de la table de nuit, une bonne dose appliquée sur son sexe, sur et dans ma chatte, jai senti la poussée de son gland sur ma fente, la forçant à souvrir pour laccueillir dans moi.
Il sest arrêté un instant dans moi, tout au fond, et ses hanches ont commencé un mouvement lent, mais ample, transformant peu à peu cette souffrance en plaisir, ma chatte sest enfin adaptée à son calibre. Mes reins allaient à la recherche de ce pal, qui me brulait mais qui me donnait tant de bonheur, appuyant sur ses fesses velues pour quil senfonce encore davantage, ne voulant rien perdre, ne serait-ce quun millimètre.
Complètement écartelé, ma tête bougeant dans tous les sens sous les assauts de cet accouplement quasi bestial, jai senti contre mes muqueuses collée à ce tronc, une boule se former, et une autre, et une autre, de la base jusquà son extrémité libérant en plusieurs jet, cette merveilleuse liqueur que la nature a donnée aux hommes. Karim jouissait, encore et encore, le flot me semblait ne jamais se tarir
.
Il sest affalé sur moi, puant la satisfaction de lhomme qui a engrossé sa femelle, son sexe ayant à peine débandé, et comme son fils, après quelques minutes, il a recommencé à me posséder, cherchant à se libérer du trop-plein accumulé dans ses couilles depuis plusieurs semaines.
Je nai pu mempêcher, une fois quil soit enfin sorti de mon antre, de le lécher sur toute sa longueur, dégustant le nectar qui le couvrait, lui montrant par ce geste, à la fois le plaisir quil mavait donné, mais aussi, ma soumission totale.
« Putain Marc, jai bien fait de demander à Rachid de te préparer pour moi
Tu es trop génial mec
»
« Ne me dis pas que tu avais convenu ça avec lui ? »
« Mais bien sur
Il a le sang chaud autant que moi, on est super complices tous les deux, et je lui avais avoué que javais trop envie de te baiser
Ça te choque ? »
« Ma foi
Plus vraiment, plus rien ne me choque ici maintenant, surtout avec le plaisir que jy prends à chaque fois »
« Super
Tu vas pouvoir faire les délices de mon frère aussi, alors
!!! »
« Ton frère ? Mais pourquoi ? »
« Ben
On est pas frères pour rien, poils, sexe, quoique le sien soit bien plus gros que le mien, et même appétit sexuel.
« Mais où je suis tombé ? Dans quelle famille ? »
« Tu veux le savoir ? »
« Oui
Je suis tellement
. Stupéfait
!!! » Alors, il a commencé à me raconter lhistoire de sa famille.
Ses grands-parents étaient des Touaregs, les fameux nomades au « sang bleu » de lextrême Sud de lAlgérie. Ils regagnaient quand même assez souvent Tamanrasset, la capitale de la région pour sapprovisionner et regagner ensuite le désert, leur cadre de vie. Ils ont eu 4 s, du moins vivants, dont le père de Karim qui a épousé une fille touareg aussi.
A laprès-guerre, sentant le vent tourner, ils ont rejoint la capitale avec leurs 3 s, tout juste nés, Karim, son frère jumeau Farid, et Imane, leur sur, qui na pas survécu à ce long périple. (Je comprenais maintenant pourquoi il avait donné le prénom dImane à sa fille).
A force de volonté, Brahim, leur père sest imposé dans ce monde citadin, bien loin de sa vie passée et de sa culture. Avec beaucoup defforts, il a appris le français, et a inscrit ses deux fils dans une école bilingue. Pour un simple nomade du désert, il avait une intelligence très intuitive, très pragmatique et il savait, au fond de lui, que lindépendance viendrait un jour, voulant y préparer ses fils. Même si, pour lui, cela ne se ferait quau prix de beaucoup de sang versé, dans son intime conviction, la France resterait toujours la France, la Sur de lAlgérie, une fois que ce sang serait absorbé par leur terre.
Et il avait eu raison. Il avait réussi à donner une brillante situation à chacun de ses deux fils, tous partis à Oran, et il sest éteint le 2 juillet 1962, 3 jours avant ce quil avait prévu, et heureusement aussi, sans en connaitre les violences du 5.
Je pleurais en écoutant le récit de Karim et je vouais, à cette famille, à cet homme défunt que je pourrais jamais rencontrer, un profond respect. Je crois que je commençais à connaitre lAlgérie sous beaucoup plus daspects que les membres de lAssociation.
Cette splendeur de virilité était allongée à mes côtés, des larmes perlant quand même au coin de ses paupières. Je me suis mis sur lui, chacune des pores de ma peau épousant la sienne, mes lèvres parcourant son cou jusquà son oreille, lui murmurant :
« Merci pour cette confiance, de mavoir confié ton histoire, celle de ta famille. Merci aussi pour le plaisir que Rachid, et toi maintenant me donnez »
« Cétait juste, au début, pour texpliquer une chose Marc, excuse moi encore davoir un peu dérivé »
« Non Karim
Je suis tellement fier davoir appris ce que sans doute, peu de français connaissent. »
« Cétait surtout pour te dire la particularité des Touaregs »
« Laquelle ? » en men doutant un peu daprès de que javais pu constater
« Monstres de virilité, mélange darabes et de noirs du désert, peau mate, hyper velus ou très peu, mais avec tous, un sexe et des couilles énormes qui se développent sans contrainte de slip ou de caleçon. Tu as pu le constater, non ? »
« Ça, cest sûr
. Mais Rachid et toi portez des sous-vêtements, non ? »
« Pas très souvent
. On en met parce que tu es là
Et puis, on ne peut rien faire contre lhérédité » Avec un grand clignement de lil
.
« Tu sais Karim
Jai pas tout compris
. Tu peux me montrer encore cette puissance de lhérédité ? »
« Gourmand
!!! »
Repus tous les deux, assis dans le salon avec notre verre de thé, le téléphone a sonné. Karim, en tant que membre haut placé du ministère y avait droit. Assez longue conversation en arabe et il a posé sa main sur le combiné :
« Rachid me dit quil a laissé Imane et Samira chez sa grand-mère et quil veut rentrer, en récupérant mon frère Farid au passage pour passer une soirée tous les quatre »
« Cétait convenu davance ? » Avec un grand sourire
« On va dire Oui
Si tu es daccord, bien évidemment »
« Alors, dis-lui que jai hâte de le revoir et de connaitre ton frère aussi
»
« Marc est trop content, on vous attend » en français
« Farid sest occupé de tout, il amène le repas
Un vrai repas touareg
»
« Pourquoi, il le savait lui aussi ? »
« Plus ou moins
On peut être très sages et te laisser seul avec Rachid après la repas
»
« Tu rigoles
. Je vais certainement pas laisser passer loccasion davoir 3 hommes au sang bleu pour moi tout seul
!!! » Je le sentais quelque peu embarrassé
« Marc
comment te dire
Farid
Cest encore plus, beaucoup plus que moi
Pour ça quil na jamais pu se marier
!!! »
« Eh bien, je vais faire sa connaissance, on verra bien ensuite
Je suis plus à ça près, ce qui compte, cest de passer une bonne soirée tous ensemble »
« Merci de le prendre comme ça, et en plus, je travaille pas demain. »
« Farid est aussi velu que toi ? »
« Bien sûr, on est pas jumeaux pour rien
. Sauf sa bite nest pas la même
!!!! »
Jai filé ensuite sous la douche, me lavant le plus profondément possible avec la poire qui était là, comme dans nos salles de bains de lépoque, et quand leau est sortie bien claire, je me suis séché, revêtu de la gandoura que Karim mavait donnée, je lai rejoint au salon. Il avait toujours son short et son marcel, exhibant ses poils qui me plaisaient tant, empestant le mâle et le foutre, je me suis lové contre lui, attendant les autres, ma main sur son sexe.
(Je voudrais juste ajouter une parenthèse. Pour ceux qui ont lu mes récits, ou qui vont le faire, je lespère, ou qui vont le faire, vous avez peut-être constaté que jy apporte le plus grand soin possible, tant sur la forme que sur le fond. Même si jadore décrire des scènes très hard, jaime aussi les enrichir dune certaine culture, étant féru dhistoire, que ce soit pour celle-ci, allemande pour les « De Wintzt » ou encore médicale pour « Anomalie ». Cest mon style, je ne sais sil vous plait ou non, mais jai limpression que ces références à lHistoire les rendent plus vivants, comme réellement vécus, en partie le cas pour certains. Ça me demande souvent des recherches sur le Net, soit pour éviter répétitions et redondances dans la forme, soit pour vérifier que les évènements historiques que javance, réels ou non, restent en tous cas, plausibles.
Pour finir, je me relis plusieurs fois avant de vous proposer une histoire, afin quelle soit la plus « propre » possible, la perfection en tant que telle nexiste pas.
Si certains connaissent des tuyaux pour me permettre de publier des recueils, ils sont les bienvenus, ainsi que tous vos commentaires, laudatifs ou péjoratifs.
Merci encore à vous, cest vous, quelle que soit votre sexualité, qui mencouragez à persévérer
!!!
Fin de la parenthèse)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!