Le Manoir Du Péché (6)
Comme il mavait été dit quelques semaines plus tôt de la bouche de mon patron, Annabelle fut au rendez-vous en cette fin de mois de Décembre, une période où tout le personnel était en congé. Il était vingt trois heures passé quon je lui ai ouvert la grille. Lui donnant ainsi accès au domaine. Je suis sorti de ma loge pour aller à sa rencontre. Les deux garçons nont pas attendu mon arrivée pour sauter hors du véhicule et courir jusquau perron du manoir où ils furent avalé par lentrée. Me voyant dans le reflet du rétro, Annabelle a ouvert sa portière. Faisant sortir de lhabitacle une jambe galbée, gainée de nylon sombre. Gardant lautre pour linstant à lintérieur du véhicule. Elle a retiré les clefs du contact, puis sest penchée pour se saisir de son sac à main posé sur le plancher côté passager. Moffrant par cette mobilité la vue de son entrecuisse, ainsi quun morceau de sa culotte blanche. Mais ce nest rien, le plus beau resté à venir. À sa sortie de véhicule, jai droit à une vue imprenable sur la bande de renfort de sa culotte enfonçait entre les lèvres sexuelles.
Sitôt les pieds à terre, elle ma salué gracieusement, sans oublié de mettre de lordre dans sa tenue. Comme si elle se rendait à une réception Je me suis empressé du côté du coffre. Pour y trouver à lintérieur trois valises et un sac. Jai pris dans chacune de mes mains les deux plus petites valises que je savais appartenant aux deux garçons. Et jai talonné Annabelle que se dirigée elle aussi vers la porte dentrée. Admirant sa démarche chaloupé dû aux talons aiguilles quelle portait aux pieds.
Sitôt à lintérieur du manoir, elle sest empressée de tout allumé. Arrosant le lieu de lumière artificiel. Alors quelle sest dirigée du côté des toilettes, moi pour ma part jai foncé sur les escaliers. Gravissant les deux niveaux dans un temps record. Les deux garçons sy trouvaient déjà. Ils étaient installés devant lécran de télévision.
À ma descente jai croisé Annabelle sur le palier du premier niveau.
Sans perdre de temps, je me suis saisi de la dernière valise ainsi que du sac et après avoir fermer le coffre, jai gravi pour la seconde fois les escaliers. À mon arrivée, Annabelle se trouvait appuyée sur le chambranle de la porte de la chambre des garçons, en train de converser avec eux.
- Bon je vous autorise encore un quart dheure de télé, et après au lit. Et surtout les garçons, pas question de venir dans mon lit. Fit-elle tout en soutenant mon regard. Je veux être seule cette nuit
vous avez bien entendu ?
- Oui maman. Dirent en cur les deux garçons.
Je ne sais pas pour vous, lecteurs ? Mais moi jai pris cela pour une invitation. Comme un appel de venir la rejoindre dans son lit. Je nétais pas plus étonner que cela. Je la soupçonnais être comment dire : ouverte, oui ouverte. Prête en quête dune relation sans suite. Sachant que cette nuit pourrait être le bon moment pour elle. Un caprice que seul peu sautoriser cette catégorie sociale
Jen avais le souffle coupé. Comme pour donner plus de poids à ses paroles elle alla jusquà ouvrir la porte de sa chambre.
- Je pose votre valise sur la chaise, madame ?
- Oui ! Sil vous plaît, Alain. Ah ! Vous avez monté le sac.
- Oui madame, pourquoi il ne fallait pas ?
- Non, Alain. Jai oublié de vous dire de le déposer dans la buanderie. Cest mon linge sale.
- Ce nest pas grave madame. Je vais le déposer en descendant.
- Heu
oui
oui, merci Alain.
- Si madame à besoin de quelque chose, madame à le numéro de mon téléphone.
- Oui
bien sûr
parce que
- Parce que quoi, madame ?
- Rien Alain
rien
bonsoir Alain
- Bonsoir Annabelle
Arrivé chez moi javais la verge en feu.
Je pense quà cet instant, mon honnêteté a raisonné mon excitation. Au point de me faire aller jusquà ma chambre. De me saisir de mon masturbateur, et daller linstant daprès au salon pour métendre sur divan devant la télé. Je fis descendre mon pantalon, et mon slip à mi-cuisses. Après avoir enduit ma queue bandée de lubrifiant je lai fourré dans lengin que je mis en fonction. Il sest tout de suite mis en branle. La sensation fut si délicieuse que jen eu la chair de poule. Il ne ma pas fallu longtemps pour dégorgé mon plaisir au fond de lappareil.
Le lendemain, que fus ma surprise en arrivant dans le manoir de trouver Annabelle dans la buanderie, en train de fourrer les draps dans le tambour de la machine à laver. Jai tout de suite remarqué que le chemisier quelle portait, était marqué de sueur sous les aisselles. Elle navait pas de trace de maquillage sur le visage. Ses cheveux mi-longs, blonds-roux, était rejeté en arrière. Une coiffure sans grande recherche. Je me disais quen vacance cette femme navait pas grand-chose à faire du jugement dautrui.
- Jai trouvé que ces draps ne sentaient pas très bon. Se justifia-t-elle, en pesant fort sur le hublot pour le verrouiller.
- Vous avez besoin de mes services ce matin Annabelle ? Lui fis-je, alors quelle mit en fonction la machine.
- Peut-être ! Lança-t-elle en parcourant la courte distance qui la séparer du sèche linge. Une question à vous posez, à vrai dire.
Elle en a sorti le contenu quelle sest empressée de déposer sur le plan de travail, tout proche. Elle a jeté un regard dans ma direction, comme pour savoir si jétais toujours dans la pièce.
- Il serait possible de me mettre un éclairage au-dessus de cette foutu table de travail. Fit-elle en pliant avec ses doigts pulpeux, une après lautre les nombreuses petites culottes qui étaient étalées devant elle.
- Vous la voulez où exactement cet éclairage ? Répondis-je comme pour évacuer mes mauvaises pensées.
- Mais voyons approchez plus près Alain. Venez voir de vous-même.
Une fois que je fus à ses côté, elle lança :
- Vous voyez la lampe est trop loin. Il la faudrait au-dessus, Là ! Me désignant du doigt lemplacement, au-dessus de sa tête.
- Oui ! Cest enregistré.
Je savais que tout cela nétait que du baratin. Quelle se foutait de cet éclairage autant que de lan mille. Une femme qui agit de la sorte est tout à fait consciente de ce quelle faisait. Après linvitation de la veille, voilà quelle exhibait sa petite lingerie. Je suis un peu près sûr que cette scène elle se la même à mainte fois imaginé dans sa tête lors de ses séances de plaisirs solitaires. Je limaginais très bien en train se chatouiller le bouton en faisant dérouler le film pervers dont elle en était la seule à connaître le scénario.
Elle jouait la sainte ni touche quand elle était parmi sa famille, et se conduisait comme la plus vénales une fois seule.
Comme jétais dhumeur ludique ce matin là. Et désirai savoir jusquà où je pouvais la mener dans sa perfidie. Jai joué au réalisateur. Avec la conviction de pouvoir prendre à mon propre compte la suite du déroulement de son scénario. Pas sûre que ce soit le même que le sien. Mais une chose était certaine il allait nous mener sur le même chemin.
Jai pris pour cela la culotte en dentelle noire et blanche qui se trouvait encore en boule sur le tas.
- Jolie ! Fis-je.
- Merci ! Répliqua-t-elle. Jai le soutien-gorge assorti
- Mais dîtes moi Annabelle, vous ne porter jamais de string ?
- Non, comment vous savez ça vous ?
- Parce que je nen vois pas
- Vous êtes perspicace, mon cher !
- Et cela serait indiscret de savoir pourquoi ?
Cela la fit rire.
- A cause de la ficelle qui rentre entre les fesses.
Ses lèvres rouges se pincèrent, son regard se voila légèrement.
- Dommage ! Fis-je.
- Il ne faut pas que cela vous désole, Alain ?
- Cest que jai toujours pensé que vous étiez du genre à en porté.
- Parce que il faut un genre pour porter ce genre de vêtement ?
- Ce nest pas ce que jai dit. Je pensais tout bonnement quune femme aussi élégante, raffiné comme vous lêtes, portait ce genre de sous-vêtements, cest tout. Comme en porte votre sur.
- Tiens ! Vous savez ça vous ?
- Un dimanche matin javais été appelé par votre sur pour changer un flexible de douche. Et quand je suis entré dans le lieu, jai trouvé un string posée sur le lavabo. Vous nallez peut-être pas me croire, mais je me suis empressé de verrouiller la porte et de porter la petite lingerie à mes narines.
- Non je vous crois pas, vous me dîtes là que vous êtes un renifleur de culotte ?
- Je lavoue, oui ! Et que je suis fier de vous dire que jaime cela. Et même que je les collectionne.
- Non !
- Parfaitement comme je vous le dis. Jen possède une bonne centaine.
- Waouh ! Cela pour direz den possédé une des miennes ?
- Pas du tout.
- Pourquoi, elles ne sont pas à votre goût. Vous nallez pas me dire que vous collectionner que des strings.
- Je vous rassure, je possède plus de culotte que de string.
- Alors pourquoi ne voulez vous pas des miennes.
- Parce quelles ne sont pas libeller.
- Libeller ! Jai peur de ne pas vous suivre la, Alain.
- Un timbre il faut quil soit tamponné pour quil est de la valeur.
- Oui, et alors quest-ce que ça avoir une culotte avec un
Timbre ?
- Il faut quelle soit elle aussi tamponné.
- Alors là Alain, je ne vous suis vraiment pas.
- Il faut quelle soit portée pour avoir de la valeur chez moi.
- Donc ! Si jai bien compris si vous devez en prendre une ce serait celle que je porte.
Jai décelé chez elle comme une pointe dhumour. Puis Son sourcil droit sest levé après une courte réflexion. Puis je lai entendu murmurer des paroles incompréhensibles, puis elle me dit :
- A vrai dire après réflexion, je ne serais contre.
Elle fit disparaître ses mains sous sa jupe. Levant vers moi des yeux crépitant de désir. Jai failli à cette instant en crier de bonheur. Puis soudain elle a retiré ses mains et dit :
- Non
non ! Je ne peux pas faire ça. Prenez la vous-même, si cela vous enchante !
- Oh ! Mais sachez Annabelle, que ce nest pas une obligation. Répondis-je un peu déçus tout de même. Puis-je disposer ?
- Vous pouvez
Répondit-elle, dune voix agressive.
Cela ma fait sourire. Après le déjeuner, jai eu droit à un coup de téléphone dAnnabelle. Minvitant de mapprocher delle.
À peine la porte franchis, que déjà elle minterpella.
- Vous savez masser Alain ?
- Je ne suis pas un expert mais je me défends. Oui, pourquoi ?
- Jai des courbatures dans le dos. Le surmenage sans doute. Cela vous ennuis de me frictionner ? Toute seule je ny arrive pas
- Cest que comme je vous lai dit je ne suis pas un pro.
- Ne vous inquiétez pas, cela fera laffaire. Croyez-moi ! Mais avant jaimerais que vous accompagnez mes garçons jusquau club équestre si cela ne vous ennuie pas ?
- Je les conduis sur le champ.
- Surtout vous leurs dîtes bien que vous viendrez vous-même les récupérer. Quils ne les lâchent pas comme ça dans la nature sans surveillance. Vous mentendez, Alain ? Que cela soit bien compris.
- Oui Annabelle.
- Tenez je vous donne largent. Pendant ce temps je vais monter la table de massage dans ma chambre. Je vous y attendrais, Alain !
À mon retour je lai trouvé comme convenu dans sa chambre. Elle était appuyée contre la table de massage, attendant mon retour. Jai éprouvé un début dexcitation. Je me doutais quelle avait une idée derrière la tête. Me demandant décarter les s.
- Je vous attendez. Vous vous lancez ?
- Oui
- Bon ! Allons-y
Elle sest séparée de son peignoir. Elle portait dessous un maillot de bain deux pièces. Jai pu admirer avec convoitise les fesses blanches et potelées qui souvrirent un fugitif instant quand elle a grimpé sur la table. Elle sest sallongée sur le ventre.
- Jaurai du mettre une serviette, le skaï est glacé
Je me suis saisi du flacon dhuile parfumée et jen ai versé un jet copieux sur le dos dAnnabelle. Et jai posé ma main. Cétait un délice de douceur. Lhuile était douce, la peau encore plus. Je lai étalé consciencieusement, concentrant mon travail sur les épaules, le dos, et les reins. Mes gestes étaient lents, doux, appuyés. Annabelle a émit un ronronnement de satisfaction. Jai ressentis comme un sentiment de puissance.
- Vous avez Alain, des mains de fée. Nhésitez surtout pas daller plus bas.
Jai poursuivis ma caresse dorsale, un il sur ses ravissantes fesses bien fermes.
- Vous mavez entendu Alain ? Vous pouvez aller plus bas. Insistait-elle.
- Je dois pour cela vous retirez votre slip
lélastique de votre maillot me gêne.
- Et bien, faites-le
Sous une telle insistance je me devais que de mexécuter. Et cest ce que jai fait, faisant glisser le nylon le long des jambes. Puis jai repris mon massage à hauteur de ses cuisses. Quelle a légèrement écarté. Jai pus à loisir reluquer le sexe charnu. Il ma parus luisant mais pas à cause de lhuile. Jai répandu lhuile sur une cuisse, puis sur lautre avec beaucoup de douceur, sachant que cette douceur lui plaisait. Alors pourquoi sen priver.
- Noubliez pas les fesses, mon cher ami
Son désir ma provoqué une érection totale. Jai posé de nouveau de lhuile sur une cuisse, et mes mains sont montées jusquaux fessier. Il ma semblé avoir senti une légère contraction des muscles fessiers. Jai passé mes doigts huileux à lintérieur de ses cuisses. Mon érection était à son apothéose.
Cette paire de fesses nétait plus seulement pour moi une peau à masser. Mais une peau à me procurer du désir. Jai mis de lhuile dans les paumes de mes mains, et le cur battant je les ai posés sur ses fesses blanches. Que jai malaxé vigoureusement. Très vite je me suis enhardi en écartant les fesses blanches. Dévoilant par ce geste son orifice plissé. Jai projeté une longue rasade dhuile entre les fesses puis du plat de la main je me suis permis de masser la raie et lanus.
Javais comme une envie de faire glisser mes doigts plus bas, le long du sexe. Mais je me devais de rester prudent. Cétant jamais avec ce genre de femme. Même si mes caresses étaient de plus en plus précises. Ce qui eut pour effet de faire vibrer son corps comme une corde de violon. Je lai entendu ronronner. Elle a légèrement soulevé son fessier, comme si elle voulait venir au-devant de mes caresses. Son petit orifice sest mit à saillir. Jen ai profité pour le frotter du bout des doigts. Arrachant des soupirs daise à sa propriétaire. Lanus sest petit à petit retroussé. Bâillant même par instant. Une envie folle dy plonger mon pouce ma submergé. Mais je savais me tenir.
- Je me sens de mieux en mieux. Je dois reconnaître que vous nêtes pas innocent à ce renouveau
Alain !
Rassuré par de telles belles paroles, je me suis autorisé de la masser avec plus damples mouvements.
Mes doigts ont effleuré les poils de son sexe. Sy attardant un peu. Ce ne sais pourquoi, je mattendais de sa part une réflexion, mais heureusement pour moi, elle ne vint pas. Seul un soupir sortit de sa bouche. Plus aucune équivoque sur ce quelle souhaitait de ma part. Comme pour le démontrer elle a tendu ses fesses vers mes doigts. Qui ont glissé jusquà lanus. À laide de mon index, jai accentué la pression sur son petit trou, jusquà lenfoncer en partie. Aidé sans aucun doute par lhuile qui le rendait abordable. Cétait lextase. Ses fesses sont allées à lencontre de mon doigt violeur. Je me suis dit que la coquine aimait donc se faire titiller le trou du cul. Jétais comme abasourdi par sa docilité. À ne plus savoir où donner de la tête. Provisoirement, jai abandonné cet orifice pour faufiler le même doigt entre ses lèvres vaginales. Jy étais. Je nen revenais pas. Ma respiration était comme coupée. Je concevais que si la vie devait me quitter maintenant au moins, je mourais heureux.
Bientôt ma main pataugea dans une bonne mouille bien gluante. Annabelle se mit à délirer. À balbutier des mots incohérents. Jai continué de plus belle. Massant la vulve et le clitoris. Elle a défaillit. Soulevant son bassin, même. Soffrant à mes attouchements.
- Oh Alain, je défaille
Jai fait rouler entre mes doigts le clitoris gorgé de sang. Elle a râlé, les jambes prises de violents soubresauts. Jai engagé un autre doigt dans son vagin. Cétait incroyable ce quelle était trempée, brûlante. Encore plus vicieuse que je ne le pensais. Jaurai vraiment tort de la ménager, me disais-je pour moi même. Surtout que ses effluves enivrants ont envahi mes narines. Je lai branlé. Encouragé par sa passivité jai introduis un troisième doigt. Le plaisir est monté en elle. Au point de souvrir encore plus à ma caresse. Se donnant à mon branlage. Au moment où Annabelle sest ouverte encore plus jai plongé un quatrième doigt. Oui, vous avez bien lu, un quatrième. Annabelle a hurlé de plaisir. Jai senti mes doigts soudains très à leurs aises dans le sexe détrempé.
Je nai pas résisté à la renverser sur la table de massage. Et de pencher ma tête, jusquà ce que mon visage senfouisse dans la toison pubienne frisée et touffue. À laide de deux doigts, jai dégagé le clitoris dardé rose et pointu de son repli gluant, puis jai entrepris de le titiller du bout des lèvres avant que ma langue prenne le relais pour le sucer avec gourmandise. Les yeux fermés, perdue au plus profond de son désir, elle écarquilla la chatte et se mit à soupirer de plaisir.
- Alain, vous me tuez ! Vous êtes vraiment un démon, vous savez ?
Cest alors que jentendis la porte de lentrée claquée, et sen est suivis des mamans ! Maman ! Où es-tu ? Où es-tu ?
Je fus pris dune panique. À ne plus savoir quoi faire. Il nétait pas question pour moi de me faire surprendre par les s dans une telle circonstance. Reprenant un peu mon esprit, jai vite détalé de la pièce. Me réfugiant dans la chambre dà côté. Allant jusquà me planquer dans larmoire de peur dêtre repéré.
Jai attendu de reprendre mon souffle, et de ne plus entendre aucun bruit pour enfin quitter mon refuge, et rentrer chez moi
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!