Istanbul, L'Initiation Chapitre 1.

Agé de 36ans, hetero stéréotype, casé et heureux en menage, je n’ai jamais put penser que ce voyage a Istanbul aller bouleverser ma vie, ma sexualité, mes certitudes. Bien sur, avec mon visage jovial et mes formes généreuses, belle fesses bien rondes, j’ai deja eu dans le passé quelques propositions, je dois avouer flatteuses, de quelques bels hommes afin de “s’occuper de mon beau cul et ma belle bouche”, comme l’a bien suggérer Ahmed, un taxieur quinquagénaire que bien sur, j’ai decliner l’offre, y a de cela une année a peu prêt. Quelques fantasmes homosexuels par ci et par la ne m’ont vraiment pas convaincu a franchir le pas…jusqu’au ledit voyage a Istanbul.
Je m’appelle Nacim, cadre dans une entreprise a Alger, marié et comblé, enfin je le croyais!
Huit mois auparavant, mon entreprise devait signer un contrat de partenariat avec une grande société Turque, et on me chargea d’aller a leur siege a Istanbul afin d’effec les démarches initiales et nécessaires pour le lancement du processus. C’était ma premiere visite a cette citée a milles merveilles. On me fit installer dans un superb hotel, loin des brouhahas des zones touristiques. Le directeur adjoint de l’entreprise, Burhan, était un très bel homme, la quarantaine entamée et la carrure d’un gentleman sportif et ambitieux. Il me fait découvrir quelques lieux historiques les 2 premiers jours, et les soirees il m’invita en compagnie de 2 collègues a d’excellents boites de nuits, ou les belles filles et la belle musique nous enivraient plus que l’alcool.
Le week end, j’ai pris la decision d’essayer les hammams turques, célèbres pour leur masseurs-chiropracteurs. On me suggéra a l’hotel, une adresse pas très éloignée de Maslak, le quartier ou j’étais installé. Je m’y suis rendu la fin d’âpres-midi, heureux de me faire rafistoler. En arrivant, le réceptionniste qui parler très mal l’anglais, me suggéra un bain suivi d’une seance de massage privée dans un carré privé que j’ai accepter.

L’eau chaude était magnifique, le bassin que je partageait avec 2 autres clients était très grand. On me fit apporter du the rouge et quelques loukoum, je me sentait deja très décontracté et a l’aise dans ce décor. Après une demi heure on me suggéra de passer au massage, j’entrai dans une petite salle tout en mosaïque et une table en marbre au milieu. Un turque, la cinquante, entra et me fit signe de m’allonger, en balbutiant quelques mots turques que je n’ai nullement compris. Il était gros, la bedaine bien prononcée et trop poilu a mon gout. Bref, j‘apprehender deja la seance. Mais dés qu’il a commencer a me pétrir le dos avec ses brosses mains, wow, j’étais aux anges. Je sentais mes muscles, ma peau et mes articulations qui se détendaient a chaque passage de ses mains et doigts expérimentés. Je commencerait meme a émettre des petits sons de satisfaction, que le turque n’a pas manqué. J’étais satisfait comme tout, surtout au moment ou il passa en revu mes jambes et me cuisses avec une telle doigtée. Il remonta légèrement ma serviette, et visita le haut de mes cuisses tout en marmonnant quelques mots. J’ai fermé les yeux, et me suis abandonné entre ses mains qui devenaient de plus en plus baladeuses, car en malaxant mes lombaires, une de ses mains caressa carrément une de mes fesses, et au lieu de me revolter, j’ai trouvé cela extrêmement agréable. Et en voyant ma reaction passive, le gros turque tout moche, se mis face en moi, serviette autour de la taille, et tout en me massant le dos, descendit vigoureusement jusqu’a mes fesses et les malaxa doucement, tout en sentant son paquet de bite et couilles tout prêt de mon visage, sous sa serviette humides. Je ne sais s’il bandait, mais moi oui, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, pourquoi je me laissait faire ainsi. Je ne suis pas un pédé, et voila que je suis entrain de me faire culbuter par un étranger, et j’aime ça.
D’un coup, il dégagea ma serviette, et ses massages se sont transformés en douces caresses, et la je commence a gémir comme un petit minet, qui va se faire dépuceler.
Le gros se présenta devant mes fesses, en marmonnant toujours des phrases, surement obscènes, m’écarta doucement mes jambes, et me caressa mon cul, mon trou de balle avec un gros doigts, qu’il a humidifier avec sa salive, et commenca a me fourrer son doigt, a m’ouvrir doucement, voyant que mon trou était serré, il se baissa et le lécha, je passais des petits cris comme une chienne, j’étais tellement excité que je lui disait “ nikni, dirli zebek fi termti, ana kokch kelba diyalek” (baise moi, défoncé moi le cul avec ton zob, je suis ta fiote ta chienne), il ria, et me claqua une fesse tout en bien écartant mes fesses et crachant dans mon anus. Il enfonce son doigt bien profond, je senti qu’il le remuer a l’intérieur de mes boyaux, j’étais aux anges. Qu’elle sensation de se faire limer, posséder par un homme viril, quel que soit son physique. Il me dominait et il me le faisait savoir, il me tira les fesses vers le haut, et il les dévorait, embrassait léchait et mordait en me claquant comme une sale put qu’on maltraite. Et la, il se présenta devant mon visage, ouvrit sa serviette, et une grosse bite large, me fit fasse. Il saisit ma tete d’une main, et m’obligea a ouvrir la bouche, me fourra sa queue et me baisa carrément le visage, en va et vient et me donnant une belle gifle pour que j’active. Je le suçai et pompai savourent, elle avait un gout salée, et ses couilles que je léchais me rendaient fou de désir car la jetais entrain de devenir la chose, d’un autre homme, et cela m’enivrait, ah quel bonheur.
Instinctivement je lui caressait ses galoches en suçant ma friandise, il me remercia en me crachant sur le visage, et j’aimai ça. Il se dirigea vers mes jambes, me tira vers le bord de la table, cambré, il se pointa derriere moi, m’écarta les 2 lobes et pénétra doucement son gland dans mon cul, je pousse un cri de douleur, vite estomper par le plaisir de ce gros zeb entrain de me labourer. Il me défonçait le cul si bien qu’a chaque coup de rein je senti mon coeur exploser, le son de ses hanches contre mes tendres fesses et ses gémissements m’excitaient encore plus.
D’une main il me tira la tete vers l’arrière par le coup, et comme un baroud final, il jouit dans mon ventre, sentant son liquide chaud a l’interieur de mes boyaux, je me senti définitivement comme une femelle. Possédé, ce sentiment jamais ressenti me fit découvrir le plaisir le plus intense que je n’aurais jamais cru découvrir.
Apres avoir pris une douche et sur le chemin de l’hotel, au lieu de ressentir quelconque regret ou honte, je me suis senti tout heureux et entrain de …sourir!

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