Collection Vengeance. Elle Se Mange Froide (3/3)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Coralie :
Il y a quelques heures que je suis nue dans ce quil semble être une cave aménagée par Jean mon beau-père à qui jai fait faire 3 ans 6 jours et 10 heures de prison pensant protéger maman de ses maltraitances.
Je me suis peut-être trompée, au tribunal maman est venue le défendre disant au juge que ce nétait que des jeux érotiques.
Ma mise en scène a été si efficace quil a balayé ses arguments prenant en compte que les faits que je lui avais rapportés.
Cinq ans, cest la peine qui lui est assignée.
Je lavais oublié quand il se rappel à mon bon souvenir en me séquestrant dans cette cave.
Il y a quelques jours quil me prostitue à ce qui semble être des hommes de tout genre et de tout âge sorti des geôles françaises.
Enfermé 3 ans 6 jours 10 heures, il me promet le même temps enfermée dans ce trou dune grande propreté pour autant.
Pour en sortir, jai essayé la grève de la faim, je nai pas tenu deux jours.
Il faut dire que le plateau-repas est succulent.
Jai tenté le suicide projetant la carafe deau que javais demandé contre le mur, là encore sans succès, la porte sétant ouverte presque immédiatement et javais ramassé les deux baffes qui semblent mêtre destiné.
Ultime tentative, le client !
Je dis bien le client, jeune homme que je reçois seule mes tortionnaires nhésitant pas à me livrer à cinq hommes à la fois.
Je sens que si cest un ex-tolar, cest un jeune homme qui a dû se faire embarquer contre son gré et que cest un garçon ayant de léducation.
Je lui propose de prévenir la police et que je serais à lui le temps qui le voudra.
Le temps passe, la porte souvre, je suis persuadée que cest la police.
Et je me ramasse deux nouvelles baffes dans la gueule me faisant valser au sol.
Mon Dieu quil cogne fort, pourtant le même jour, je découvre son côté féminin dans ce corps de brute.
La porte souvre et ils sont là tous les deux, joli couple dhomosexuelles car la chatte à lair ne semble pas être leur centre dintérêt.
Lhomme à claques toujours cagoulé a des gants de ménagère.
Ils me mettent accroupie dans lun des coins de ma cellule car même si je nai aucun barreau autour de moi, jai bien conscience que je suis dans une prison pour le même temps que celui passé par mon beau-père dans la sienne.
Une vraie fée du logis, toujours sans un mot, il entre et il sort au gré du nettoyage quil fait.
Sa tantouse reste à la porte, mais je ne vois pas ce quil y a derrière.
La serpillière passée, je pense quil en a terminé, mais cest mal connaître doigts de fée, du moins cest ainsi quà partir de ce jour je le surnomme.
Il arrive avec tout le nécessaire dune coiffeuse à domicile et se met à me refaire la tête.
Lautre vient à moi mempoigne par les cheveux sans ménagement.
Sils sont en couple, qui est lhomme qui est la femme, je cherche encore car doigts de fée est musculeux alors que celui sans surnom est plus efféminé mais semble plus pervers.
- Pas si cour, jaime que les cheveux retombent sur mes épaules.
Je lui dis cela me regardant dans la glace quil a posé sur la table.
Encore une, pourtant je la vois partir mais il est plus rapide que moi et je tombe de ma chaise.
Jai une nouvelle fois compris, je ferme ma gueule à partir de ce moment-là.
Il me fait signe de mallonger sur mon lit, cest ma chatte quil rectifie.
Jai limpression dune mariée se préparent pour ses noces.
Dès le soir, plateau et trois clients me rappellent à ma réalité, je suis là outre pour assouvir ces hommes, surtout pour assouvir la vengeance de Jean, celui que jai fait enfermer.
Dans les jours qui ont suivi, je constate une chose bizarre.
Jai limpression davoir encore lestomac plein quand mon plateau arrive.
Certes le sperme que lon me fait ingurgiter doit y être pour beaucoup surtout certains soirs les clients étant légion.
Mon bourreau veut-il me punir très sévèrement et me faire plusieurs séances de passes dans la même journée.
La liste dattente pour venir me baiser sallonge-t-elle au point de me faire faire des heures supplémentaires !
Rapidement je lignore car le temps enfermé sans jamais sortir na pas la même valeur que lorsque ma vie se déroulait de façon normal.
Une autre fois et les choses se sont renouvelées on ma remis la cagoule sur ma tête.
Toute la soirée, pardons, jignore l'heure réelle, tout le temps où lhomme a été là jai été baiser sans savoir qui il était.
Jai de gros doute que ce ne soit pas Jean qui vienne se servir de la bête trompant par la même occasion ma mère.
Ma bouche est libre et je reçois du sperme à grande giclée.
Un jour on me met une cagoule et je suis tirée vers lextérieur de ma cellule, vais-je prendre lair ou mon calvaire va sarrêter ?
On me sort, la brise que je sens sur mes seins et ma chatte.
Hier doigts de fée est venus me faire désirable.
Je me suis vue dans sa glace, je deviens plus pulpeuse, plus plantureuse.
Le temps que je me regarde, je prends les deux traditionnelles baffes me faisant tomber sur mon cul, par chance sur la chaise.
On roule, roule et roule encore.
On ma attaché une main en lair par une menotte, certainement à la poignée au-dessus des portes des voitures.
On sarrête, on me détache et la voiture repart.
Jattends transie.
Je finis par enlever ma cagoule.
« Bar » en lettre lumineuse.
Javance vers la porte où un Juda permet de voir qui a sonné.
- Quest-ce que vous cherchez ?
- Laissez-moi entrer, jai été enlevé.
La porte souvre, une femme ayant environ lâge de ma mère se tient devant moi.
- Ça, ce nest pas banal, des putes jen ai vu dans ma chienne de vie.
Jen ai trois en haut qui attendent le client.
Mais une qui vient directement nue, je nen ai jamais eu.
Elle me fait entrer, dans le bar trois filles sans client.
Jexplique mon histoire, la patronne téléphone à la police.
Elle me prête des fringues sorties de son armoire et quand la police arrive je suis décente.
Rebelote avec les flics, après être revenue du commissariat, je reste chez la tenancière du bar à pute.
Je nai ni argent, ni endroit où aller après avoir appris que je suis en Belgique là où ce genre de bar est autorisé.
Je suis convoquée dans les jours suivants.
- Coralie, ça ne va pas recommencer, pourquoi maccuses-tu de tavoir prostitué ?
- Ne rigole pas Jean tu te souviens 3 ans, 6 mois, 10 heures.
Tout ce temps, jai été enfermé dans une cave à ta merci.
- Mademoiselle, où et quand, vous pouvez nous aider pour vérifier vos dires ?
Je ne peux pas, bien sûr et mon beau-père est libéré.
Tous les jours pendant quatre ans, il a profité de largent gagné et de maman en faisant le tour de lEurope en camping-car.
De nombreux amis connus au moment de sa détention ont reçu des cartes postales signées de sa main, le cachet de la poste faisant foi.
Les policiers nétant pas cons, du moins le croyais-je, ont appelé leurs homologues qui ont pu vérifier les détails quil leur a donnés.
On a montré sa photo et de nombreuses personnes ont reconnu lhomme qui était venu acheter ou poster ces cartes.
Seuls trous dans son emploi du temps nen faisant pas un suspect pour autant peuvent corresponde aux jours où lon me passait une cagoule et quun homme venait me baiser.
Il est donc libéré et je fais chou blanc.
Dans le couloir, il me dit « ça se mange froid ».
Je sais quil parle de sa vengeance.
En sortant du commissariat, il monte dans une grosse BMV où jai le temps de voir maman à ses côtés.
Cest à ce jour la dernière fois que je les vois.
- Vous êtes libre mademoiselle !
Jai commencé à baiser avec mon beau-père à 18 ans, jai vécu quelque temps avec Gorges me laissant entretenir !
3 ans 6 mois dans ma cave à tapiner, jai 26 ans demain.
À part faire la pute que sais-je faire ?
Ce client est celui que je vais monter dans le bar à pute là où jai été libéré, la patronne cherchant une fille connaissant très bien le métier.
Ne suis-je pas la candidate la plus expérimentée !!
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