Les 1001 Perversions De Nathalie (16) - En Mal De Mâle (Fin)

- C'est mes potes, Karim et Farid...
Nathalie, les joues encore en feu, à peine remise de son orgasme, essaie de garder un semblant de contenance. Les deux hommes qui sont entrés dans le bureau, armés de leur matériel de nettoyage, la dévisagent.
Karim est un gros homme, genre un peu brute, Farid un petit avec un regard vicieux qui promet un tas de choses bien sales.
Saïd arrache Nathalie à sa chaise et la met debout. Avant qu'elle aie pu réagir, il la débarrasse de son chemisier, fait glisser sa robe et elle se retrouve nue devant les deux hommes...
- Ils veulent ton cul… Tu n'as rien contre, j'espère...
Il se colle derrière elle, pose ses mains sur ses fesses. Il les pétrit et Nathalie sent la bite à nouveau raide, dressée dans son sillon fessier. Il donne des petits coups de queue pour faire coulisser son gland dans l’ouverture du con. Nathalie se cambre et ne peut retenir un petit gémissement...
C'est le signal. Déjà, les deux mâles sont contre elle, elle sent sous leur pantalon leurs pines appuyer contre ses cuisses. Alors, ses mains descendent pour effleurer les protubérances durcies. Elle n’a pas envie de les retirer, mais au contraire, les flatte, les saisit à travers le tissu.
- C’est ça, cochonne, continue comme ça, tu es sur la bonne voie...
- Tu sens, comme ma bite te veut ?
- Chienne comme tu es, tu en veux plus...
- Oui… je veux les voir… montrez-les moi...
Ni d'une, ni de deux, les pantalons et les slips tombent. Elle a sous les yeux deux sexes turgescents, raides à souhait.
- Tu peux toucher, ne te gêne pas, tout est pour toi !
Elle n'hésite pas une seconde, prend un pieu dans chaque main. Situation de rêve : deux queues à tenir, à caresser en même temps, sans parler de la troisième, la grosse bite de Saïd, qui pousse entre ses fesses, qui lui remplit la chatte. Des queues chaudes, dressées, bien dures.
Saïd se retire de son con et s'installe dans un fauteuil, la bite à la main.


- Servez-vous, les gars… Faites-là crier… J'adore voir une chienne en chaleur se faire tringler.
Deux bouches s’emparent des mamelons, les sucent, les mordent, tandis qu'elle commence à imprimer aux deux pieux un mouvement de va-et-vient, les mains coincées entre leurs corps. Dans la fébrilité du moment, elle serre les deux bites encore plus fort, ce qui ne laisse pas les mâles indifférents :
- Elles te plaisent ?
- Oui, beaucoup, oui…
- Tu pourrais les embrasser. On sait que tu en as envie… Allez, à genoux !
Elle se laisse fléchir, genoux au sol. Les deux queues sont à hauteur de sa bouche. Elle pose les lèvres sur la hampe de Farid qui en tressaille d’aise. Puis sur celle de Karim, qui l'encourage :
- T’as même le droit de goûter.
D’une main, il la saisit derrière la tête, de l’autre, il guide son gland vers ses lèvres. Sa bouche s’ouvre et il y enfonce lentement son dard, d’une grosseur de bon aloi. Sa langue entre en action, tourne autour du gland. Il l’enfonce encore plus.
Elle le prend en main et commence à pomper de la tête, tandis qu’avec l’autre main, elle accélère le mouvement sur la bite de Farid. Le paradis ! Deux pines bien bandantes, bien dures, rien que pour elle. Elle se met à pomper et branler frénétiquement. Farid est au bord de l’apoplexie. Il caresse sa joue et dit :
- Je vais te faire une minette. Tu aimes les minettes ?
Avec la bite de Karim en bouche, elle opine de la tête, les yeux mi-clos. Ils la font alors rouler sur le côté, puis la couchent sur le dos. Elle reprend en bouche la bite de Karim. Celui-ci regarde faire son copain de bonne fortune, qui se pourlèche comme un chien devant sa pâtée : 
- Oh, nom de Dieu la belle chatte, bien juteuse et poilue !
Il lui écarte les jambes et vient s’installer entre ses cuisses. De ses doigts, il joue d’abord avec les lèvres et la fente dégoulinante.
- Grosse cochonne, tu vas avoir besoin d’une queue, ton con est trempé.
Mais je veux d’abord te bouffer le cul.
Il approche sa tête de la fente et sa langue vient s’ajouter à l’action de ses doigts. Il lèche son con de bas en haut, en poussant de temps en temps la langue vers l’intérieur. Puis ses doigts écartent les lèvres et sa langue prend possession du clitoris.
Puis descend encore, et lorsqu'elle atteint le trou du cul, Nathalie rue sous la caresse. Son bassin s’agite, son ventre est saisi de contractions, mais la langue poursuit impitoyablement son travail. Nathalie semble prise de frénésie et suce en alternance les deux queues. La langue de Farid lui arrache des plaintes, Karim lui susurre des obscénités à l’oreille :
- Tu aimes te faire lécher le cul, mais attends, quand on y mettra la bite, tu vas être à la fête. Tu sais que tu es faite pour la bite ? T’as un con et un cul de baiseuse !
Les contractions de son ventre et les mouvements du bassin s’accélèrent encore. Elle abandonne les deux bites et commence à gémir :
- Oh, c’est bon, c’est bon… je vais jouir, je… vais… je jouis !
Farid lui bouffe le cul de manière royale. Elle s'arc-boute et pousse un grand cri lorsque l’orgasme la saisit, puis elle s'agite en tous sens. Mais ils la tiennent fermement.
Farid relève la tête et approche son bassin du con offert. Il se couche sur Nathalie. Sa queue vient toucher sa chatte et s’y enfonce d’une seule poussée régulière, jusqu’aux couilles. Il commence ensuite des mouvements de va-et-vient, lentement d’abord, puis de plus en plus vite. Cuisses largement écartées, elle subit l’assaut en gémissant, ses mains serrant les bites de plus en plus fort.
- Tu aimes ?
- Oui… oh oui !…
Saïd encourage Farid :
- Elle aime ça, la chienne… Défonce-là, éclate-lui le cul !
- Tu la veux dans le cul ? Plus vite et plus fort ? 
- Oui… oui… Dans le cul ! Encore plus fort… c’est bon !
Il ne se fait pas prier. Son bassin martèle à toute vitesse et en force son cul en feu.
- Et le sperme, tu aimes, grosse salope ?
- Oui, oui… oui… le sperme… le jus !
Ils doivent la tenir à deux lorsque il lui lâche ses giclées dans le cul.
Une femelle folle. Nathalie perd le contrôle d'elle-même. La queue reste dans son cul et il lui fourre deux doigts dans la chatte :
- Ma vieille adore ça quand elle a pris une giclée, tu vas aimer aussi.
Il se met à agiter rapidement sa main d’avant en arrière, dans un bruit de clapotis. Nathalie se contracte à nouveau, mais Karim et Saïd la tiennent encore, chacun un bras avec une main, malaxant ses nichons de l’autre. Elle halète :
- C’est bon,… c’est trop bon… encore ! Plus vite… salauds… plus vite ! Oui ! Je vais jouir… encore… encore… !
À nouveau, il faut la maintenir pendant son orgasme. Elle a la figure tordue, les traits défigurés par le plaisir. Farid se tourne vers son pote :
- À toi, mon vieux, je crois qu’elle veut ta grosse queue. Tu veux qu'il te la mette, sa grosse bite ?
- Oui… oui, j’aimerais bien.
- Dis-le-lui.
Karim s’installe à genoux entre ses cuisses ouvertes et caresse sa fente, de haut en bas, avec son pieu dressé.
- Dis-lui de te la mettre. Tu vas adorer, regardes comme elle est grosse.
- Oui… qu’il me la mette sa grosse queue..! Au fond !
Se couchant sur elle, Karim introduit sa trique, puis commence un léger mouvement de hanches, sans aller jusqu’au fond. La pénétration est lente et progressive. Lorsqu’il parvient au bout, il se retire presque entièrement puis, brusquement, avec force, s'enfonce à nouveau à fond.
Il réitère cette procédure plusieurs fois. Nathalie referme les jambes autour de lui, comme pour l’empêcher de sortir de son con. À chaque coup de boutoir, elle gémit et roule la tête de gauche à droite. Farid la tient et la force à ouvrir la bouche, y enfourne son dard.
- Suce, pendant qu’il te lime, suce, tu suces bien.
L'autre lui susurre à l'oreille :
- C’est bon, hein, une grosse queue ?
- Mmhhhmm…
- Tu aimerais que ton mec te voie, pendant que tu te fais tringler ?
Elle libère sa bouche une seconde :
- Oh oui… oh oui j’aimerais.

- Et qu’est-ce que tu lui ferais ?
- Je… je le sucerais.
- Mais tu aimes aussi me sucer moi, hein, tu aimes ?
- Mmmhhmm… oui…
- Fais-lui honneur, à ton mec, montre-nous que tu es une vraie salope, qu’il aie envie de se branler en te voyant jouir avec toutes ces queues.
Ces mots crus ont le don de faire monter d'un cran sa libido. Nathalie se démène comme une furie, mais reste neutralisée par la force des trois hommes qui l'entreprennent, réduite à leur bon vouloir. Cette soumission décuple son plaisir.
Karim, quant à lui, quitte son con, la met à quatre pattes et l'encule. Bien emmanché, il accélère encore le mouvement.
- Ouvre, donne bien ton cul de chienne, que je te bourre !
Il la défonce littéralement, femelle obscène et offerte, à grands coups de bassin. Elle beugle et s'agrippe aux épaules du gros salaud. Le plaisir lui remonte des entrailles et explose sur son visage. Et il continue à la pilonner jusqu’à l’éjaculation, elle le sent juter dans son cul, elle devient carrément folle en jouissant encore.... Puis elle s'affaisse comme une poupée de chiffons.
Pour sa part, Saïd, jusque-là spectateur, n’y tient plus. Il a une trique d'enfer. Les jambes relevées, Nathalie le regarde s'approcher, en se tripotant le bout des nichons. Sa queue coule de désir, obscène et bandée, il s'agenouille, la lui colle contre la bouche. Il promène le gland cramoisi et turgescent sur ses lèvres. Elle glisse sa main entre ses cuisses, s'empare de son sac, lui malaxe les couilles.
Contact de ses lèvres sur la bite. Elle s’applique à l’enfoncer très lentement dans sa bouche, en formant un « O » parfait pour lui laisser voir ses lèvres se déformer. Elle l’enfonce jusqu’au fond, en gardant une main sous ses couilles.
Il tape contre sa gorge. Elle tire la langue pour lécher. Puis, elle ressort la bite. Toujours très lentement. Il gémit. Elle l’accompagne de ses cris étouffés. Son nez vient buter contre son ventre. Elle accélère, avec gourmandise.
Lorsqu'il lui met trois doigts dans la chatte, les mouvements de sa bouche se font plus violents. Elle le suce avec rage, il la masturbe violemment.
Et gémit de plus en plus fort. Elle va jouir. Elle jouit avec sa bouche pour sa queue et avec son con pour ses doigts qui la branlent.
Il rugit et éjacule, sa bite enfoncée au fond de sa gorge. Elle est incapable de tout avaler, du sperme coule sur son menton, son cou. De la main, il étale la semence chaude sur ses nichons. Elle aime, sa langue lèche quelques gouttes autour de sa bouche.
Quelques minutes passent. Les esprits se remettent en place. Et Karim d’ajouter :
- Grosse pute, il te faudra encore quelques séances... On propose demain soir… Une chienne aussi douée ne se néglige pas.

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