Des Cousins Invitent Patrick, L'Étalon.
Des cousins invitent Patrick.
Le temps des études.
Vous vous souvenez de Patrick ? Et aussi quil suivait des études pour devenir ostéopathe ?
Pendant le temps de ses études, il a du abandonner « son cheptel ». Mais si vous vous rappelez sa fringale de sexe, il a du trouver un dérivatif pour assouvir ses besoins. Comme il grattait pas trop mal de la guitare, il jouait de temps en temps en amateur dans un cabaret et en profitait pour draguer en commençant par la brochette de filles dont les robes décolletées ou moulées racontaient la profession dentraîneuses payées au bouchon. Sa réputation fut vite faite et chacune delles passa à la casserole et en redemandait. La plus mordue étant la patronne, Martha.
Elles se tenaient assises le long dun bar dacajou derrière lequel un garçon à la trogne de boxeur en rupture de ring évoluait. A la caisse, par contre, Martha, une très jolie femme eut un large sourire en voyant débarquer Patrick, sourire qui se transforma en grimace en découvrant la présence dune belle inconnue. La maîtresse, parmi tant dautres du musicien se rembrunit
Les filles dévisagèrent aussi la nouvelle venue avec des yeux froids de spécialistes qui jaugeaient la marchandise et celle-ci détourna son regard, gênée. Elle regrettait déjà davoir mis les pieds dans cet endroit. Un vrai bouge
Mais Patrick fit mine de ne rien remarquer. Il pilota la jeune fille à une table dangle où il lui fit servir, sur son compte, un gin-tonic puis il labandonna pour rejoindre les coulisses.
Pour ce début de soirée, il nétait quun musicien parmi les autres. Mais il savait déjà comment se terminerait cette nuit. Conscient de ses capacités amoureuses et de son physique, il avait un rendez-vous à honorer après le cabaret et cest pour ça quil avait dragué Ida il y a quelques jours. Déjà folle de lui, il avait réussi à la persuader de sencanailler chez un riche couple et dapporter le concours de sa jeunesse ardente.
-Eh bien Patrick, tu nous as fait faux bon hier
Je me doute que ta très jolie excuse soit assise dans la salle, tous mes compliments, mais je ne tolère pas de telles fantaisies dans le travail
-Excuse-moi, Martha, jai oublié de te prévenir
Et noublie-pas que je joue pour mon plaisir.
-Bon, OK pour cette fois! Voici le nom et ladresse des gens chez qui tu dois te rendre. Ils seront prêts à partir de deux heures du matin
Qui comptes-tu emmener, Karin ?
-Non, la fille qui maccompagne, Ida
Elle est belle, suédoise, et folle de moi
-Elle sait ce qui lattend ?
-En gros, oui. Et je pense quelle ne me décevra pas!
-Tu penses ! Il nest pas question de penser mais dêtre sûr. Jespère que cette petite perruche, en dépit de ses belles couleurs, sait chanter en musique
-Dis, Martha, Lâche-moi le coude cinq minutes, tu veux ! Je suis déjà bien gentil de marcher dans tes combines et tu sais que tu peux me faire confiance !
-Tu parles de confiance mais moi, jattends que tu manifestes plus dempressement à mon égard, tu ne mas même pas embrassée
Patrick connaissant Martha, savait quil allait devoir sexécuter pour avoir la paix. Dailleurs, la somptueuse blonde sinterposait déjà entre le lavabo et lui, appuyant ses reins sur lémail et nouant ses bras autour du coup du musicien. Il nétait pas amoureux delle mais éprouvait pour elle une formidable attirance physique. Son parfum capiteux le mettait dans tous ses états. Dès quil eut sa bouche contre la sienne, que leurs langues se trouvèrent, que leurs salives séchangèrent, il redevint le cerf en rut, létalon sauvage que recherche chaque femelle. Quand Martha sentit la bite bien connue lui presser le ventre, elle dégagea sa bouche et roucoula :
-Ah ! Jaime mieux ça !
-Jai envie de baiser ton corps de chienne ! répondit-il durement.
-Oui, saute ta chienne ! Je ne veux être pour toi quune femelle qui savilit ! Vas-y ! Mets-la moi comme jaime
Elle se retourna, se pencha en avant, repliant ses coudes en appui sur le lavabo. Il troussa lentement la longue robe verte jusquà dénuder la croupe de sa maîtresse. Elle avait une paire de fesses sublimes, grosses et fermes à la fois et la culotte qui les ceignait paraissait ridicule, incapable de contenir la touffe de poils noir, et la boursouflure charnue du vagin.
-Je vais tarracher ta culotte, putain !
-Oui, fous-moi à poil et mets-moi ton braquemard dans
dans tout ce que tu voudras.
Dun geste brutal, Patrick arracha la culotte qui se déchira sous la traction. A peine le cul splendide fut-il totalement dénudé quelle plia légèrement les genoux pour lui offrir son anus en cible. Dun geste dune crudité folle, Patrick lui enfonça deux doigts dans le rectum, tandis que le tranchant de sa main épousait la raie et que son pouce senfonçait dans le vagin déjà ruisselant.
-Ah, salaud, tu me forces !
-Et ce nest quun début! Ton cul et ta moule vont résonner en cur, fais-moi confiance !
Il masturba les deux trous avec vigueur puis il sagenouilla pour planter entre les fesses sa langue dans le con. Il y trouva une ondée généreuse dont il se délecta. Il avait totalement oublié Ida et nexistait plus que par ce muscle labial qui vidangeait maintenant le cul mouvant. Excitée par la caresse, Martha se plia pour passer une main par en-dessous, mais elle prit alors une grande claque sur les fesses tandis que Patrick grognait :
-Je tinterdis de te toucher, morue ! Cest moi et moi seul qui dirige !
-Alors branle-moi ou baise-moi ! Je nen peux plus ! Deux jours que je nai pas baisé, jai le con en feu ! Rafraichis-moi de ton foutre
Tout en lui faisant une « feuille-de-rose », Patrick se déshabilla. Quand il fut la teub à lair, légèrement cambrée vers le haut, il se redressa. Sa première pénétration fut pour la vulve bombée.
Mais Patrick ne sattarda pas en cet endroit et lui défonça aussitôt lanus, sans prévenir. Il pénétra de toute la longueur de sa longue bite, tandis que la femme hurlait de joie :
-Ah lhorrible, le dégueulasse qui mencule ! Et moi, jaime ça, jadore ça ! Bordel de merde, jen prends plein le cul ! Un vrai morceau dacier qui me rabote le trou. Que tu es gros ! Ah que cest bon de se faire enculer par un manche pareil! Je suis une salope ! Oui, je suis ta salope, mais cest pour ton plaisir, mon chéri, et le mien ! Non, ne ten vas pas ! Reste dans mon cul ! Ah, tu es un foutu dégueulasse qui change déjà de trou ! Mon cul est en chou-fleur et ma pauvre chatte est toute écartelée par lénormité de ta trique ! Je laime ta verge, ta pine, ta bite, ta poutre... Oh, tu me bourres comme une vache !
-Mais tu nes que cela, quune grosse vache qui attend le taureau. Ah ma garce, tu voulais que je ten mette une bien grosse dans le buffet ? Quest ce que tu dis de cela, hein ? Réponds, saleté !
-Oh oui, mets-moi tout ce que tu veux où tu veux !
Pendant quil lenfilait, elle lui asséna un torrent dobscénités quen dépit de la fonction nettement masturbatrice de cette histoire, il mest impossible de retranscrire ici. Il y a des limites à ne pas franchir et un lecteur qui se rend malade à trop sastiquer la pine est un lecteur moins attentif à la suite, ayant déjà vidé ses burnes.
Ralenti par laprès-midi quil avait passé dans les moiteurs dIda, Patrick fourra Martha jusquà ce que celle-ci pleure une grosse larme de jouissance extrême et un torrent de cyprine. Puis il se retira, prit son élan et se planta dun trait jusquau fond du cul où il éjacula son sperme poisseux. Il inonda les entrailles de la patronne, le sperme sortit en bouillonnant, sa semence déborda sur les cuisses, trempa les poils du pubis et glissa le long des jambes du couple.
Martha put enfin se relever. Elle avait les yeux cernés et brillants de remerciements, elle regardait Patrick avec un air de reconnaissance insolente. Il haussa les épaules :
-Tu en as pris plein le cul, cest bien ce que tu voulais, non ?
-Exactement !
Elle rabattit sa robe sur son corps et sétira longuement, chatte satisfaite. Il sétonna :
-Tu ne remets pas ta culotte ?
Elle le toisa, candide :
-Pourquoi-faire ?... Tu sais bien quil faut toujours être prêt, avec une salope dans mon genre
La soirée est loin dêtre finie.
-Je ne te le fais pas dire
Mais il est temps que je monte sur scène. Jespère quaucun client ne soit allé importuner ma petite suédoise, la prenant pour une des filles de ton cheptel !
-Et alors, tout le plaisir serait pour elle, non ?
Patrick se rhabilla hâtivement, se passa de leau sur la figure, se fit un sourire sans joie et, empoignant sa guitare, passa dans la salle où il prit place sur lestrade, au côté du pianiste et du bassiste qui le saluèrent. Il fallut un certain temps au jeune homme pour que son regard, ébloui par les spots découvre Ida. Un homme se tenait à sa table. Cétait un type dune cinquantaine dannées, lourd, le visage fatigué, sa puissante main aux ongles ras, au dos couvert dune toison noire, posée sur la menotte dIda :
-Alors, ma petite, on a lair de sennuyer ? Tu es nouvelle dans cette boite ? Cest la première fois que je te vois
Et tu ne ressembles pas aux autres salopes du bar ! Eh bien, as-tu perdu ta langue ? Tu ne réponds pas ? Bon, nous allons causer franchement ! Il faut toujours parler franchement au vieux Paul
Le vieux Paul, cest moi, cest combien pour coucher ?
Ida dégagea sa main et rétorqua :
-Laissez-moi tranquille, monsieur ! Je suis une cliente et, de plus, je suis avec le guitariste
-Patrick ? Un sacré tringleur, celui-là ! Tous les soirs une grognasse différente ! Il doit vous faire jouir drôlement bien pour que vous soyez toutes à cavaler après sa queue !
-Je vous en prie
Vous êtes vulgaire.
-Ce ne serait pas la première fois que Patrick et moi plongerions notre biscuit dans le même verre ! Si cest ce qui tinquiète, je vais lui parler
-Ça métonnerait quil accepte !
-Tu sais, jai des arguments
Lhomme venait de sortir son portefeuille, bourré de gros billets, souriant presque méchamment :
-Un ou deux billes de cinq cents et je ferai ce que je veux de ton cul
Même, il me dira merci ! Il est beau, gentil, capable, excellent musicien, ton ami Patrick, mais moi, jai du fric. Viens danser
Ida se leva, mal à laise, et suivit limportun sur la piste. Depuis leur arrivée, la salle sétait remplie et les filles carburaient au champagne tout en excitant les clients sur la piste. Le vieux Paul écrasa Ida contre lui et tout de suite, elle sentit la boule dure du désir mâle qui se frottait sur son ventre. Elle tenta de le repousser, mais lhomme était fort et, coincée dans ses bras, elle ne pouvait se dégager. Tout en dansant, il lui palpa les fesses. Elle lentendit grogner :
-Cest bien ce que je pensais
Tu as un cul fort confortable !
Puis tranquillement, il ajouta :
-Jy carrerais ma pine avec plaisir !
A suivre
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