Esclave À Temps Partiel (3)
Et la voilà en train dattaquer les boutons de chemise de Manu et de lui caresser le torse, tout en lembrassant
Sa main déjà experte sinsinue dans son pantalon duniforme jusquà atteindre lendroit stratégique, puis entame un lent mouvement de va-et-vient à lintérieur, tout cela devant mes yeux dépités. Surtout que Manu fait plutôt dans le zèle, dans le professionnalisme aveugle : pas le moindre regard, pas la plus petite expression (même discrète) de regret vis-à-vis de moi. On règlera ça un soir
- Nicolette ! Voulez-vous maider à déshabiller le commandant, je vous prie ?
- Mais bien sûr, fais-je avec mon plus bel air de faux-cul !
En retirant son pantalon, un de mes ongles sarrange justement pour le griffer sur le flanc : oh ben ça, cest pas de chance
Tiens : un acompte !! Y a pas mort dhomme, il sen remettra
La petite se réserve bien entendu le travail sur le slip. Elle le retire de manière brusque, sauvage, comme si, chauffée à blanc, elle ne pouvait contenir son désir plus longtemps. Dans la foulée, elle sagenouille devant Manu et, sans la moindre retenue, prend sa queue dans la bouche. En la regardant sucer mon homme, je dois bien reconnaître quelle sy prend comme une professionnelle. Elle opère avec un enthousiasme que seule la jeunesse (ou une longue abstinence) peut expliquer : étonnant et même émouvant de naturel. Là, javoue être scotchée et
un tantinet excitée. Pas sûre que je suce aussi bien, en tout cas avec autant de conviction.
Aussi, je moffre de la mettre un peu plus à laise en lui retirant son t-shirt. Elle se laisse faire puis reprend sa fellation. Elle ne porte pas de soutif. Il est vrai que sa poitrine est faiblement développée. Placée dans son dos, je la prends donc dans mes mains, la pelote tout en douceur en convergeant petit à petit vers ses aréoles puis ses tétons, délicieux petits tétons sallongeant sous le roulement de mes doigts. Elle mémeut cette petite, avec son poil de carotte à croquer.
Ma main atteint son pubis et je réussis à glisser un doigt dans sa fente, humide à souhait. Jinsiste et appuie ma caresse en la fouillant jusquà ce quelle ondule du bassin, ce qui ne tarde pas.
- Commandant ! Jai très envie de vous chevaucher. Voulez-vous vous asseoir ici ? (elle pointe du doigt le troisième fauteuil du cockpit, situé un peu en retrait du poste de pilotage).
Il obéit. Karine grimpe sur le fauteuil. Je laide à ne pas tomber. Elle se retourne vers moi puis sassoit sur le membre raidi de Manu en le guidant délicatement jusquà lentrée de son vagin. Et avec une réelle agilité (je ne ferais pas mieux). Elle prend ensuite appui sur les accoudoirs et débute son rodéo lubrique. Elle donne beaucoup damplitude à son mouvement de croupe, son vagin avalant sans problème la queue de Manu, laquelle fait quand même plus de 18 cm de long
Pour me rendre utile, je retire mon chemisier et approche ma poitrine de sa bouche. Laquelle passe et repasse bientôt sur mes seins au rythme de son va-et-vient. En accélérant le mouvement, de délicieux petits cris ainsi que plusieurs bouffées de sécrétions intimes séchappent de son corps en furie, indiquant que lorgasme est proche. Manu va-t-il tenir pour ne pas décharger en elle, là est la question. En guise de réponse, il retire sa queue du fourreau qui lenserre et jouit longuement sur le ventre de la petite, plusieurs jets de foutre atteignant sa poitrine et son cou.
- Nicolette ! Vous serez sûrement daccord pour me débarrasser de toute cette crème avec votre bouche, me dit-elle après avoir repris son souffle !
Ben voyons
Plus délurée, tu meurs ! Décidément, rien ne me sera épargné
Elle sassoit alors sur le fauteuil, attendant que je vienne laper et aspirer les coulures de sperme étalées un peu partout sur elle.
Je laisse ensuite mon homme se rhabiller et reprendre son poste, la petite et moi étant occupées à nous rincer la bouche et nous essuyer. Karine vient alors me parler discrètement à loreille :
- Nicolette, vous avez vu le copilote comme il est craquant ! Je serais vous
jirais moccuper un peu de lui, si vous voyez ce que je veux dire
- Ça, avec plaisir ! Il va se souvenir de moi, je vous le jure !
La perspective dimposer à Manu de me voir me taper son copilote me réjouit. Toujours les seins nus, je mapproche de son fauteuil et commence à lémoustiller. Je lui caresse lentement la main gauche avec un doigt que je suce ensuite de la manière la plus suggestive qui soit. Puis le porte à mes seins en lui faisant décrire langoureusement une aréole puis lautre, sans oublier les tétons, en état durgence. Lhomme commence à se déconcentrer car il demande à Manu de reprendre les commandes de lavion. Cest un black couleur ébène, la quarantaine, les tempes à peine blanchies. La forme que prend sa braguette est plus que prometteuse. Je le tire par la cravate, le fais lever de son siège puis le guide jusquà faire descendre son visage à hauteur de ma poitrine. Il ne se fait pas prier pour la prendre à pleine bouche, avec un mélange dhabileté et de gourmandise assez émouvant, je dois dire.
Son travail de langue est tellement remarquable que je ne peux mempêcher de porter en même temps une main entre mes cuisses
et aussi entre les siennes. Pas besoin de tâter bien longtemps pour constater quil bande fort au travers de son pantalon. Je magenouille alors devant lui pour lui rendre la pareille. En un tournemain, je fais tomber tout le bas et jaillir son beau mandrin, lequel, parcouru dintenses spasmes, ne manque pas denvoyer chaque fois valser dans tous les sens les deux gros sacs plissés pendouillant en-dessous. Cela faisait un bail que je navais pas manipulé une grosse bite noire, aussi je ne tergiverse pas très longtemps pour lui faire subir les derniers outrages.
Alors que jentame mon mouvement conjugué de pompage et de branlette, mouvement des plus appuyés vu mon état dexcitation, la petite décide de venir mépauler. Sa bouche se porte immédiatement sur les deux gros ufs asymétriques que ma fellation fait bringuebaler. Des ufs quelle soffre daspirer et de gober en experte quelle est déjà, une de ses mains étant, par ailleurs, occupée à dégrafer ma jupe. Celle-ci tombée, les doigts de Karine filent droit vers mon entrejambe, écartent délicatement le string et sattachent à fouiller mon intimité. Et pendant que sa petite langue longe le dessous de la queue qui lui est offerte en remontant vers ma tête, jusquà me toucher par moment, je sens ses doigts sinsinuer dans mon sexe jusquà me pénétrer. Constatant mon état dhumidité avancé, elle me susurre à loreille quelle aimerait bien me voir prise par derrière par le copilote, ce que, de toute façon, jaurais provoqué moi-même sans son intervention. Mais elle veut aussi en profiter : dix coups dans mon cul, dix coups dans sa bouche et ainsi de suite
Pour faire enrager Manu, je minstalle derrière lui, pose mes mains sur les accoudoirs de son siège et me cambre en position horizontale pour être prise par derrière. Habillé de sa seule chemise-cravate, le black me débarrasse de mon string, approche sa bite à léquerre, mécarte les fesses et me pénètre doucement vu son gabarit. Sa raideur et sa chaleur menvoûtent tout de suite, aussi je mabandonne totalement, en témoignent les nombreux râles résonnant dans le cockpit. Pendant que je suis ainsi labourée, la petite essaie de suivre le rythme en collant sa joue à mon cul, nayant plus alors que la bouche à ouvrir pour accueillir la queue du copilote. Au bout de deux ou trois tours, elle demande :
- Monsieur le copilote ! Continuez pareillement en changeant juste de trou, je vous prie : sodomisez Nicolette, elle nattend que ça ! Nest-ce-pas Nicolette ?
- Oh oui, bien sûr, ânonné-je avec peine entre deux coups de boutoir dans mon cul !
Pas vraiment surprise quelle parle pour moi, la jeune délurée ! Et de déposer carrément un crachat juste où il faut pour me lubrifier
Cest Manu qui doit bouillir, lui qui se réserve, dhabitude, la primeur en matière denculade.
(à suivre)
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