Double Vie... Ou Plus 2/7 Les Liens Familiaux Se Resserrent
Changement de statut
La réussite de notre mission va modifier quelque peu notre situation dans la société. Le patron de la SOTRAX, ravi de nos prestations, va d'abord féliciter notre patron et ensuite nous recommander auprès des adhérents de son syndicat. Notre patron, à partir de là, va nous confier d'autres missions en binôme auprès des grandes entreprises. Nous allons également avoir une promotion en tant qu'ingénieurs faisant quelques jaloux auprès de nos collègues formateurs.
Notre « proximité » ne va pas échapper longtemps à la responsable des plannings qui va remarquer que non seulement nous faisions nos missions communes, mais que nous nous arrangions pour être dans la même zone et que nous descendions dans les mêmes hôtels. Par la suite, nous ne nous cachions plus avec elle et prenions même une chambre commune ce qui arrangeait la société qui faisait ainsi des économies.
J'ai averti le patron de la situation afin qu'il ne soit pas surpris. « Tant que votre travail est bien fait et c'est le cas, le reste ne me regarde pas. » me répondit-il « En plus je n'ai qu'à me féliciter de votre... complicité et nos clients également si j'en crois ce quil se dit. » L'affaire était close de ce côté-là.
Lorsque je passais une semaine au bureau, quand Sylvie y était aussi ou qu'elle était dans une entreprise proche, je logeais chez elle. Le reste du temps de prenais une chambre à l'hôtel voisin du bureau. Il lui est arrivé de venir m'y retrouver lorsqu'elle rentrait dans la semaine. La chambre en effet était de la même chaîne que celle qui nous avait hébergés en Lorraine et ça nous excitait particulièrement de nous retrouver dans ce cadre.
Les liens familiaux se resserrent.
Depuis quelques temps, lorsque parfois je reste au bureau pour la semaine, il m'arrive de passer le soir, voir ma belle-sur qui habite dans la région. Parfois, ma femme ou ma belle-mère me demandent de lui apporter quelque chose.
Après avoir eu un fils, elle est aussi séparée de son compagnon qui n'avait jamais voulu se marier et qui l'a quittée pour se marier avec une autre. Depuis, elle déprime un peu et travaillant de nuit, elle a du mal à avoir des relations, prise entre son travail et la garde de son fils en alternance.
Après mon travail, certains soirs ou elle ne travaille pas la nuit, je me rends chez elle pour dîner, ou parfois je l'invite au restaurant pour qu'elle sorte un peu de son environnement familial.
Alors que nous nous retrouvons chez elle un soir, Nelly, ma belle-sur est d'humeur morose. Nous prenons l'apéritif, et l'alcool aidant, elle s'épanche.
« Tu vois, quand nous étions jeunes, on s'amusait bien. Maintenant tu es avec ma sur, tu as une belle situation, tu te promènes et te connaissant tu ne dois pas manquer d'occasion, alors que moi...
Je...
Ttt ttt. Je connais bien ma sur et je sais qu'elle n'est pas trop portée « sur la chose ». Oh bien sûr, vous avez fait un gosse. Pour elle, c'est le summum. Elle est avant tout une mère, mais ne me dis pas que passant toutes ces semaines loin de chez toi, tu n'as pas mis quelques coups de canifs dans ton contrat de mariage. Je te connais assez et rappelle-toi quand tu étais avec moi...
C'est du passé ça.
Ne me prends pas pour une conne ! »
Le Martini a libéré sa parole et dans ces cas-là on ne l'arrête pas. C'est vrai qu'avant de connaître sa sur aînée, c'est avec elle que j'étais « sorti ». Elle était très « chaude » et précoce, mais elle m'avait trouvé trop vieux et était tombée amoureuse d'un autre garçon avant de rencontrer celui qui serait le père de son fils. J'étais amoureux d'elle et ne m'en étais finalement pas complètement remis. C'est sûrement pour cela que je m'étais ensuite tourné vers sa sur. Plus tard, malgré quelques relances quand elle était esseulée, je m'étais gardé de reprendre quoi que ce soit avec elle, même s'il n'aurait pas fallu grand chose pour que je succombe.
« Rassure-toi, continue-t-elle, je n'irai rien raconter à ma sur. De toutes façons je m'en fous. C'est ta vie. Je te dirais même mieux, si c'est le cas, grand bien te fasse. On sait tous les deux qu'il faut en profiter quand c'est possible, après tu te retrouves comme une vieille conne comme moi, avec un gosse sur les bras et aucun mec entre.
Tu ne fais pas abstinence quand même ?
A ton avis ? Comment veux-tu que je fasse ? Les trois quart du temps je dors dans la journée et le soir je m'occupe de Jérémy. Il n'y a pas beaucoup de place pour s'éclater et puis à mon âge...
Je te signale que tu es encore jeune. Tu n'as même pas trente ans et franchement tu es superbe ! Je trouve même que tu es mieux qu'avant.
Petit coquin va !
Euh ! Pardonne-moi. Je sais bien que tu ne veux pas que je te parle comme-ça mais franchement, tu es bandante !
Tu sais, j'ai évolué tout de même depuis le temps. Je te rappelle que quand on était ensemble, enfin, quand on « s'amusaient » ensemble, tu avais deux fois mon âge. Je te trouvais vieux et je savais que tu étais amoureux de moi, alors j'en profitais. Tu voulais attendre mes quinze ans pour me faire l'amour, alors j'ai trouvé ailleurs. C'est vrai que maintenant, la différence entre nous est moindre. Après tout, quinze ans, ce n'est pas beaucoup ! »
Je suis un peu étonné de son discours. Quand elle boit un peu, Nelly dit n'importe quoi. Bien sûr, quelque part, je l'aime toujours et ne l'ai jamais oubliée. Elle porte sur elle un érotisme puissant, mais aujourd'hui je suis marié avec sa sur.
« Attend, me dit-elle. Il faut que j'aille aux toilettes. »
Son départ me permet de me reprendre un peu, même si le bruit de sa mixtion qui me parvient, a tendance à m'exciter. Je nous ressers un verre en me disant que l'alcool lui permettra de continuer à s'épancher.
Quand elle réapparaît, je suis sous le choc. Nelly s'est déshabillée et se présente nue devant moi. Elle prend la pose.
Elle est splendide. Son corps a changé. Sa poitrine est plus grosse et ses tétons, comme des petits dés à coudre virent au noir, au milieu de grandes aréoles brunes. Ses hanches se sont évasées suite à sa grossesse. Elle est pulpeuse. Je vois le corps de sa mère avec trente ans de moins.
C'est vrai que j'ai eu une relation avec sa mère avant de me marier, mais c'est une autre histoire. C'est du passé. Depuis qu'elle est officiellement ma belle-mère, nous avons cessé tout rapport, mais ce passé me saute à la figure aujourd'hui en voyant Nelly.
Elle s'approche de moi et je respire immédiatement le parfum de sa peau de femme chaude.
« Je ne me suis pas essuyée. Tu vas le faire avec ta langue. Si je me rappelle bien, tu aimais ça autrefois ! »
Nous avions effectivement joué à des jeux de pipi à l'occasion de nos rapports, notamment dans la nature. C'était arrivé la première fois lorsque qu'après un bon moment passé dans la voiture au milieu des bois, Nelly avait eu besoin de se soulager. Nue et accroupie dans l'herbe, elle n'avait pas de quoi s'essuyer. Après avoir passé mes doigts sur la chatte mouillée, j'avais léché mes doigts à son grand effroi - elle n'avait pas quinze ans à l'époque . Choquée au départ, elle avait très vite apprécié cette pratique perverse. Nous avions pris l'habitude à ce que je participe à sa toilette intime avec ma bouche..
Ce soir-là donc, je me précipite à genoux entre ses jambes et je plonge mon visage sur son abricot totalement épilé. Ma langue retrouve le goût légèrement amer de ses dernières gouttes. Il est vite remplacé par celui plus onctueux de sa jute qui perle.
« Je savais que tu aimerais ! » ajoute Nelly. « Je t'en ai gardé un peu pour que tu te régales mon salaud ! »
Elle plaque ma tête sur son entre jambes, comme si j'avais l'intention de me refuser et très vite, lâche son urine sur ma langue tendue et dans ma bouche qui avale.
J'ai passé mes mains sur ses fesses pour la maintenir. Elle fléchit légèrement les jambes pour me donner le plein accès à sa vulve. En levant les yeux je la voie, les bras relevés, mains derrière la tête renversée, elle se laisse dominer par le plaisir et coule dans ma bouche.
A peine remise de son premier orgasme, rendu rapide par la situation, elle lance :
« Viens salaud ! Viens me baiser ! J'ai trop envie ! »
Je me relève, la pousse contre la table. En trois secondes je tombe pantalon et caleçon et guidé par sa main, je la pénètre enfin.
Extraordinaire ! Je revois à nouveau sa mère, la première fois où nous avions baisé. C'était contre la table de la cuisine et elle avait guidé ma queue dans sa chatte ! La même chose se reproduit. Une jambe passée dans mon dos, elle m'enlace et me donne sa bouche pour couvrir ses cris. Son fils dort dans sa chambre à quelques mètres. Elle repart dans une nouvelle jouissance. Je n'ai pas jouis et je veux profiter le plus possible de ce moment où je baise ma belle-sur après tant d'années d'attente. Je la retourne, pousse les verres de dessus la table où elle pose son buste.
« Prends-moi le cul ! » crie-t-elle. Mets la moi ! »
Alors je m'agenouille et écartant ses fesses, je lèche son anus.
« Mais arrête ! C'est sale !
Laisse-toi faire ! Tu vas adorer et il faut bien que je prépare le passage.
Ne t'en fais pas. J'ai l'habitude ! Mais c'est bon ce que tu me fais là salaud ! Mmmh !
Tu vois que tu aimes déjà ! Je te promets de recommencer quand tu voudras ! »
Je me relève. Je mouille ma queue avec de la salive. Je guide ma bite sur son trou qui s'est ouvert et sans problème, signe de sa pratique de la sodomie, je m'enfonce dans ses lombes.
« Oh oui ! C'est bon ! Vas-y salaud ! Encule-moi bien ! »
Je ne cherche plus son plaisir. Je veux jouir comme ça en elle. J'agrippe ses hanches pleines et je la besogne comme un fou. Je suis tendu depuis trop longtemps. Alors qu'elle feule, la bouche dans ses bras, je me lâche dans son cul en grognant.
Vidé dans tous les sens du terme, je me couche sur son dos en cherchant à reprendre mon souffle. Elle n'est pas mieux que moi. Je ne sais si elle a jouit à nouveau, mais elle aussi est vannée.
Peu à peu malgré tout et l'inconfort de la position aidant, je me relève. Je retourne Nelly et nous échangeons à nouveau un profond baiser.
Elle va s'asseoir. J'ai toujours le pantalon sur les chevilles. Je m'en débarrasse rapidement. Je la rejoins et nous nous retrouvons dans les bras l'un de l'autre pour nous caresser et nous bécoter.
« Mon dieu, c'était bon ! Tu m'a bien baisé salaud !
Disons que tu l'as bien cherché, en arrivant toute nue !
C'est vrai ! Je savais que tu étais un pineur. On a fait ma sur cocue, mais c'était bon ! Maintenant tu es infidèle !
C'est ce que tu voulais ?
Je n'ai pas réfléchi.
Bon. Si ça peut te consoler, tu n'es pas la première.
Salaud ! Je m'en doutais !
Tu m'as longtemps interdit de t'approcher après m'avoir relancé avant que je me marie.
Après c'était compliqué et puis, j'avais quelqu'un.
Et tu étais amoureuse.
O... Oui, c'est vrai aussi.
Qu'est-ce qu'il t'a pris ce soir ?
Je sais pas. J'étais...
En manque ?
Salaud ! Oui ! Mais, je ne t'ai jamais oublié, mais dis-moi, tu as une... régulière ?
Si on veut oui.
Mais... que vas tu faire ?
Comment ça ? Avec ta sur ? Ou avec toi ?
Avec... les deux...
Avec ta sur, depuis qu'elle est mère, le sexe ne l'intéresse plus.
Qu'elle est con !
Bon... c'est pour ça que... à force... j'ai... comme on dit, fauté !
Bien fait pour elle !
C'est ta sur tout de même !
D'accord, mais avec un queutard comme toi, on en profite.
Elle n'est pas comme toi, le sexe n'a jamais été sa priorité, à part pour faire un .
Pourquoi tu l'as épousée alors ?
Je ne sais pas... c'est un peu compliqué...
Et...comment va-t-on faire maintenant ?
Ça dépend...
De quoi ?
Ben,de savoir si tu veux recommencer d'une part...
T'es con ! Bien sûr... enfin.... si tu veux toi...
Tu ne vas pas culpabiliser ?
Et toi, tu ne vas pas divorcer ?
Pour me mettre avec toi ? C'est un peu compliqué non ?
Je... Non... Enfin... officiellement, on ne peut pas. C'est sûr que ça poserait quelques problèmes dans la famille.
C'est sûr, même si ma vie est plutôt ici maintenant, ça finirait par se savoir et bonjour l'ambiance !
On est bien pareil tous les deux !
Comment ca ?
Et bien... On pense au cul et pas trop à « bien penser »
C'est sûr !
Mais avec ta... « maîtresse » ?
laquelle ?
Pourquoi ? Tu en as plusieurs ?
Ben... Il y a toi maintenant.
Tu n'en loupes pas une, toi. Non mais, dis-moi. Tu vas continuer avec elle ? Tu l'aimes ?
On est bien ensemble.
Elle est d'où ? D'ici ?
C'est une collègue de travail.
Ben mon salaud ! Elle est jeune ?
Ton âge.
C'est vrai que tu aimes les femmes jeunes !
Pas que..
Comment ça ?
J'ai eu des femmes plus âgées que moi aussi.
Ca ne m'étonne pas ! Même en étant avec ma sur ?
Avant de me marier, oui.
Putain ! Tu es affreux toi !
J'ai du mal à refuser quand une femme me fait des avances.... comme toi ce soir.
Tout de même, tu étais fiancé et tu te tapais des gonzesses ?
Ca m'est arrivé.
Chez nous ? Je les connais ?
N...Non, je ne crois pas (je ne peux pas tout lui dire quand même, surtout que sa mère en fait partie) Une cliente, sur un chantier une fois et une autre chez qui j'allais...
Finalement ma sur était cocue avant de se marier...
C'est ça !
Tu es quand même incroyable ! Pourquoi tu l'as épousée alors ?
Ca marchait tout de même assez bien entre nous au départ et puis elle est jolie je te rappelle. C'est plutôt depuis qu'on est mariés que ça a changé. Elle ne voulait faire l'amour que pour avoir un et maintenant qu'elle en a un, ça ne l'intéresse plus.
Bon.On ne vas pas passer la soirée la dessus quand même.
Comment ? Sur le canapé ?
T'es con toi ! Sur le cas de ma sur.
Mais oui. J'avais compris ! Je préférerais la passer dans ton lit, mais je travaille demain matin.
Reste un peu quand même.... j'ai envie....
Salope !
Salaud toi-même ! Beau-frère indigne !
Cochonne de belle-sur !
On fait bien la paire tous les deux
Je crois, oui.
C'est moi que tu aurais dû épouser !
Je te rappelle que tu étais amoureuse et que tu me trouvais trop vieux.
Ce... Ce n'est pas ça ! Enfin, au début oui. Mais bon, c'est vrai que j'étais amoureuse, mais après... je crois que j'ai toujours étais un peu amoureuse de toi.
C'est gentil, mais tu n'en a rien fait paraître.
Tu étais avec ma sur et puis...
Bon. On a dit qu'on arrêtait ça.
Ok ! On va dans ma chambre ? J'ai envie que tu me prennes dans mon lit... normalement.
Normalement ?
Oui... enfin... Tu vois ce que je veux dire !
Non ! Tu ne veux plus que je t'encule ?
Salaud ! Bien sûr que oui ! J'adore ça ! Mais... on peut aussi..
D'accord. Je vais te baiser à la missionnaire et si tu le permets en levrette.
Mais quel voyou ! Obsédé ! Queutard ! Vicieux ! Allez viens me baiser dans mon lit ! Attend ! Je passe voir si mon fils dort.
Il n'a pas eu l'air de se réveiller.Allez ! Va te rassurer, mauvaise femme !
Mauvaise femme peut-être mais pas mauvaise mère. »
Après un rapide passage par la chambre de son fils, Nelly m'entraîne dans la sienne. Son lit n'est pas fait et j'y retrouve son divin parfum.
Tendrement, nous allons faire l'amour. Comme promis, pour la première fois, je me couche sur elle, non sans avoir léché un peu sa chatte. Dressé sur mes bras, j'ai admiré son corps brûlant d'odalisque au moment de sa jouissance avant de jouir à mon tour. Il n'y a pas eu de troisième round ce soir là. J'étais et nous étions tous les deux fatigués autant nerveusement que physiquement après cette soirée.
Je me réveillais en sursaut le lendemain matin. Je posais mes lèvres sur les siennes. Lui disais que je l'appellerai dans la journée et me précipitais au travail après être passé à mon hôtel pour prendre un douche et me changer.
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