Vente D'Esclave Aux Enchères
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Aujourdhui, cest le grand jour. Le jour des enchères. Voilà des mois que ma décision est prise : la décision la plus importante de ma vie, celle de devenir un esclave à part entière.
Ces derniers mois ont été bien remplis. Au moment où ma décision a été prise et que jai contacté celui que je devais dès lors appeler « Monsieur », mon dresseur, mon éducation a commencé. Mon destin était fixé.
Léducation fut progressive. Au départ, je pouvais garder mes vêtements. Puis, je devais me dénuder. Enfin, je devais être nu avant de passer la porte de chez Monsieur. Il fallait mhabi à la nudité, car elle sera désormais mon uniforme de travail et ma tenue de tous les jours.
Puis, il a fallu mapprendre les postures desclave. À genoux ! Croise les bras dans le dos ! Le menton bien haut ! Les ordres de Monsieur ont résonné dans ma tête, et résonnent encore, comme un ordre inscrit dans ma mémoire. Ancré au plus profond de moi, pour ne plus avoir besoin dêtre prononcé. Un automatisme viscéral.
Létape suivante était la plus cruciale. Celle de labandon. Monsieur voulait mapprendre lAbnégation. Avec un grand A. Celle qui fait dun esclave un bon esclave, bien docile. Le secret nest pas dinculquer lobéissance, disait Monsieur. Le secret, cest de pousser lesclave à trouver son propre plaisir dans lobéissance. « Si tu obéis par contrainte, tu failliras. Mais si tu trouves ton bonheur dans la satisfaction de ton Maître, tu ne le décevras jamais. »
« Ton Maître », ces mots résonnent comme une promesse que me fait Monsieur. La seule promesse, la seule contrepartie. Je mabandonne tout entier, et en échange, Monsieur me promet de me trouver un Maître.
Largent de la vente lui revient jusquau dernier centime. Cest son salaire pour mavoir dressé, ou plutôt son gain pour avoir misé sur moi comme bon esclave, digne dêtre acquis.
« Oublie ton sexe. » ma-t-il lancé un jour. « Le plaisir de la queue, cest le plaisir égoïste. Toi, tu dois connaitre le plaisir du réceptacle. Le plaisir dans la satisfaction de la queue de ton Maître. » À compter de jour-là, il ma posé une cage de chasteté. « Oublie ton sexe. » a-t-il répété, comme un mantra, « Il ny a que celui ton Maître qui compte. Si tu comprends cela, tu réussiras. »
Cest à ce moment-là quont commencé les séances dhypnose. Une simple vidéo, avec une spirale et des extraits de vidéos pornographiques. Et cette voix entêtante, qui répète encore et encore des maximes sur la servitude : « Vénère ton Maître. », « Son plaisir fait ton bonheur. », « Tant que sa queue est satisfaite, tu es satisfait. » Tous les jours. Encore et encore et encore. Jusquà ce que ça rentre. Jusquà ce que jintègre ces maximes comme faisant partie de moi-même.
Vous seriez surpris de voir vers quels sommets de docilité peut pousser la chasteté, le manque sexuel. Après quelques semaines, le moindre acte prend une dimension sexuelle extrême. Monsieur dit « Va récurer la baignoire », et ni une ni deux, je suis à quatre pattes en train de frotter, le cul bien tendu en lair. Comme si cela me procurait autant de plaisir que de me faire baiser.
La punition corporelle nest plus nécessaire non plus. La simple menace de ne pas baiser lesclave, suffit à lui faire remuer ciel et terre pour satisfaire son Maître. Il est plongé dans un état psychologique de dépendance totale.
Si vous saviez comme cet état desprit est grisant. Lorsque tout est sexe, et le seul souci qui tracasse lesclave, et dont dépend lintégralité de son bonheur, cest la satisfaction de son Maître. La vie est plus simple lorsquon ne se concentre que sur un seul objectif.
Tout est arrangé depuis longtemps, jai signé les papiers de cession de ma liberté, il ny a plus quà y stipuler le nom du Maître qui fera mon acquisition, et à y apposer sa signature aux côtés de la mienne.
Depuis quelques semaines déjà, Monsieur ma accueilli chez lui, afin de terminer mon éducation et de voir si je suis prêt à être esclave à plein temps. Vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept.
Puis, il y a une semaine, Monsieur est venu me trouver pendant ma séance dhypnose. Il ma montré le papier : « Vente aux enchères, esclave dressé avec soin par Monsieur ***** », sous cette phrase en lettres dorées, il y avait des photos de moi, sous tous les angles, en position de soumission.
« Tu es prêt. » ma t-il dit. « Tu ne découvriras les potentiels acheteurs que le jour de la vente. Tu devras les convaincre de tacheter. Il en va de ton avenir en tant quesclave, mais aussi et surtout de ma réputation de dresseur. Ne me déçois pas, montre-moi que jai eu raison de miser sur toi et réalise ton rêve. »
Mon cur battait la chamade, mon sexe voulait se dresser, mais la cage était là pour me rappeler les ordres de Monsieur : « Oublie ton sexe. »
Et maintenant, cest le grand jour. Derrière cette porte se trouvent les acheteurs potentiels et, peut-être, lhomme que je servirai dès la fin de la vente. Je ne connais pas le prix de départ fixé sur ma servitude, mais ces hommes sont tous très fortunés : on nachète pas les services de dressage de Monsieur si facilement.
Je ne sais pas à quoi ressemblent les acheteurs, mais peu importe. Jai renoncé à toute liberté en signant ce contrat, et je nai aucun pouvoir de décision sur lidentité ou le physique de lHomme qui en bénéficiera. Jai appris à faire une confiance entière et aveugle à Monsieur, et cest lui qui les a trouvés parmi son réseau étendu de connaissances.
Le voilà qui me donne les dernières directives : « Noublie pas le déroulement de la soirée.
La porte souvre, jentre. Dans un salon meublé avec faste, six hommes sont assis en cercle dans des fauteuils de créateur. Ils ont tous entre trente et quarante ans, et sont là pour la même chose : acheter ce jeune homme qui a subi des mois de dressage intensif dans le seul but de les satisfaire.
Dun pas décidé, je magenouille au milieu du cercle, en position de soumission. La scène doit avoir quelque chose de surréaliste, vu de lextérieur. Le contraste est frappant : ces hommes sont confortablement assis, je suis à genoux, le dos bien cambré pour faire ressortir mes fesses, ils sont vêtus, je suis nu, ils ont des bagues aux doigts, jai un collier de cuir et une cage de chasteté. Ils sont libres, je suis esclave.
Les commentaires commencent. Les acheteurs discutent entre eux. Lun deux se lève et sort. Il me pensait plus efféminé. Monsieur le ratt dehors, je ne sais pas ce quil lui dit, mais il parvient à le convaincre de rester. LHomme se rassoit.
Monsieur me présente avec force superlatifs, je ne lai jamais entendu me complimenter autant. Cest aussi un vendeur. Il vante les mérites de sa « nouvelle méthode révolutionnaire », apparemment, je serais le premier esclave dont il complète le dressage par des séances dhypnose.
Le résultat serait, selon ses dires, bluffant. Je suis entièrement formaté à la servitude, et lon peut faire de moi ce que lon veut.
Les acheteurs lapplaudissent.
Puis, Monsieur les invite à « toucher larticle ». Alors, comme un seul homme, les acheteurs se lèvent et mentourent. Bientôt, mon corps est couvert de douze mains baladeuses. Lune me pince le sein, lautre me palpe les fesses, une autre encore soupèse ma cage de chasteté et son contenu.
Voilà deux semaines que je nai pas été libéré de ma cage, et ces assauts me font tressaillir, mais je dois rester stoïque, car il en va de lhonneur de Monsieur.
La palpation séternise, puis, Monsieur invite les acheteurs à retourner sasseoir. Il mordonne daller immédiatement en cuisine chercher de quoi désaltérer les invités. On me sonnera lorsque je pourrai revenir. Je sais que cest un prétexte pour les laisser discuter et poser leurs questions à Monsieur. Jobéis.
Arrivé en cuisine, je prépare un plateau avec sept flûtes de champagne, puis minstalle en position de soumission sur le sol, devant le plan de travail.
Après dix longues minutes, la sonnette retentit. Je me lève illico, et retourne au salon avec le plateau, que je présente tour à tour à chaque invité, puis à Monsieur. Puis, je retourne me mettre en position au milieu du cercle.
Certains des acheteurs me regardent avec un sourire gourmand. Je ne les fixe pas, cest malpoli.
Monsieur prend la parole :
« Esclave, cest lheure de lessai. Tu sais ce quil te reste à faire. »
Fidèle aux recommandations de Monsieur, jeffectue un demi-tour à quatre pattes, et me dirige vers linvité qui se trouvait assis derrière moi.
Je me poste à genoux devant lui, et demande la permission de sortir son sexe. Il accepte volontiers.
Je mexécute et me retrouve nez à nez avec un énorme sexe déjà bien dur. Le principe de « lessai » est simple : je dispose de cinq minutes pour convaincre les acheteurs potentiels que je peux moccuper de leur queue. Lessai commence par une fellation, puis je dois masseoir sur leur queue et mempaler tout seul, sans quils naient rien à faire que de profiter.
Monsieur ma très largement entraîné à cet exercice, aussi je suis confiant. « Le secret, mavait t-il enseigné, cest de calquer ton plaisir sur le sien. Tu ne dois pas être trop expressif, car cest uniquement son plaisir qui importe, mais si laisse échapper quelques gémissements discrets, cest très bon pour la confiance en soi de lhomme que tu sers. Noublie pas ça. Il doit se sentir viril et étalon. »
Je suce ce sexe avec hardiesse, comme sil sagissait dun objet de culte à vénérer. Je lembrasse, je le lèche. Je sais que lenjeu est plus grand que de satisfaire uniquement lhomme qui messaye, cest une vitrine. Tous les autres acheteurs, ainsi que Monsieur, ont les yeux braqués sur moi.
Je me cambre, pour offrir une belle vue. Sous leffet de ma cambrure, mes fesses sécartent et dévoilent ce petit trou qui sera bien vite comblé.
Je me démène comme un beau diable, il en va de mon avenir. Finalement, lhomme, dun petit geste de la main sous mon menton, me fait signe quil est temps de me lever pour venir masseoir sur son sexe.
La pénétration se fait en douceur, mais sans marche arrière. Monsieur ma entraîné à pouvoir encaisser des sexes de toutes les tailles. Celui-ci est gros, mais il rentre sans plus de difficultés quun long soupir dexcitation, un soupir flatteur pour lhomme.
Lorsque mes fesses touchent son bas ventre, je contracte les parois de mon fondement, pour enserrer ce sexe. Les hommes adorent ça, mavait enseigné Monsieur.
En mappuyant sur les bras du siège, je décris de petits cercles avec mon fessier, pour stimuler ce sexe tout en douceur, mais en profondeur.
Cette fois, cest lui qui profite de ma cambrure. Je suis face à lassemblée qui me regarde, dans lexpectative. Je ne les fixe pas, cest malpoli. Jai les épaules en arrière, les pectoraux vers lavant, je regarde en lair, montrant légèrement mon plaisir, mais jamais plus que lhomme ne montre le sien.
Puis, Monsieur sonne la fin du premier essai. Je passe au suivant, dans le sens des aiguilles dune montre. Rebelote, fellation, pénétration. Cet homme-là a un sexe légèrement plus petit, mais dune taille tout à fait respectable. Lors de la pénétration, il glisse sa main autour de mon coup et me serre légèrement la gorge. Je le remercie, cest son droit.
Puis cest au tour du troisième. Celui-ci a un sexe bien plus petit. Inférieur à la moyenne. Mais qui suis-je pour juger, moi qui ai le sexe prisonnier dune cage ? Je moccupe de servir ce sexe avec la même ardeur que les deux autres, et il en semble satisfait.
Le quatrième me caresse le bout des seins. Cela mexcite dautant plus. Il est tendre
Trop tendre ? Le voilà qui se ratt en les pinçant fermement pour les tourner, puis il descend lentement ses mains et vient planter ses doigts dans mes fesses pour les monter et descendre à sa guise sur son sexe bien droit.
Le cinquième ne veut pas être inactif, il active son bassin pour me donner ses coups de butoir. Il veut dicter sa manière. Libre à lui, ce nest en aucun cas à moi de décider. Il a sans doute déjà bien assez vu ce dont je suis capable avec les autres.
Arrivé au sixième, je commence à fatiguer. Pourtant, je dois continuer avec la même fougue. Des perles de sueur se mêlent à lhuile qui rend mon corps luisant. Peu importe, je dois aller jusquau bout. Ce dernier est avide, il me mord dans le cou en me pénétrant.
Monsieur le rappelle à lordre : « Attention, on ne marque pas lesclave avant de lavoir acquis. » Lhomme se ressaisit. Pourtant, lorsque sonne la fin de lessai, il ne veut pas obtempérer. Il matt par la nuque et commence à massaillir de ses coups de reins de plus en plus rapides.
Avant que Monsieur nait eu le temps de venir larrêter, lhomme sest vidé en moi.
« Cest un comportement inacceptable, vous aurez une pénalité à payer à lacquéreur. »
Lhomme acquiesce. Il marmonne quelque chose comme quoi il sest laissé aller.
Monsieur mordonne daller me laver le fondement pendant de nouvelles délibérations.
Lorsque je reviens, le contrat que jai signé de ma main est posé sur une table basse, près du centre du cercle. Monsieur mordonne de me poster à genoux à côté et jobéis. Il me bande les yeux et me met des bouchons doreilles. Je ne dois pas voir les enchères. Cela ne me regarde pas.
Je sens aux mouvements dair autour de moi que les enchères ont commencé. Elles semblent endiablées. Cela est plutôt bon signe, ça signifie que ma prestation a été appréciée et que quelquun veut sûrement faire mon acquisition.
Lattente est interminable. Je sens une main se poser sur ma tête, sûrement Monsieur qui préside les enchères.
Lorsque Monsieur me rend lusage de mes sens, un homme est debout à côté de moi, devant la table où se trouve mon contrat desclavage. Je ne peux voir qui est lhomme.
« Esclave, tourne-toi. » mordonne le dresseur.
Debout, devant la table basse, se trouve le quatrième homme à mavoir essayé. Le pinceur.
« Le contrat ayant été signé au préalable par lesclave, il ne manque plus que la signature du Maître. Toutes les personnes ici présentes, à lexception de lesclave qui nest plus considéré comme tel, sont témoins de la signature et de la prise deffet immédiate de cet acte, par lequel lesclave confie sa liberté au Maître, et ce de manière inconditionnelle. »
Il sadresse au Pinceur :
« Le Maître peut signer le contrat. »
Lhomme signe. Le dresseur prend le contrat, et me le met sous le nez.
« Esclave, reconnais-tu ta signature ? »
Jacquiesce.
« Parfait, te voilà donc esclave et propriété de Monsieur de *******. Tu lui dois respect et obéissance. »
Je suis au comble de lexcitation, le moment que jattendais depuis si longtemps est arrivé. Mon Maître sapproche de moi, glisse son doigt dans lanneau qui orne mon collier pour tirer dessus et venir presque coller son visage au mien.
« Dis-moi esclave, tu es heureux de mappartenir ? »
Sans réfléchir un seul instant, je lâche :
« Oui, Maître. »
Ce mot dont je rêvais depuis si longtemps, « Maître », je peux enfin le prononcer.
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