Jouer Peut Être Dangereux

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Jouer peut être dangereux

Je m’appelle Jean-Paul, j’ai 51 ans. J'ai un poste important dans une grande banque. Ma femme, Hélène, 45 ans, ne travaille pas. J’adore ma femme. Elle est tellement belle, grande, brune, bien faite, je suis toujours impressionné quand je sors avec elle de voir comment elle ne laisse pas les hommes indifférents. Pourtant je pense que c'est une femme sérieuse occupé la journée dans différentes associations. Pour ma part, je le suis moins, tous les week-ends, où presque, je vais jouer au poker. C’est un vice que j’ai attrapé depuis maintenant plusieurs années. Malheureusement, je perds plus que je ne gagne ! J’ai une dette d’environ 20 000 euros ! Je rembourse comme je peux mais depuis quelques temps mes créanciers se font de plus en plus pressants. Et ils commencent à me menacer. Ma femme ignore tous cela.

Un samedi soir nous revenions du restaurant quand c’est arrivé. Hélène était magnifique comme d’habitude. Elle était vêtue d’une jupe noire droite et moulante légèrement fendue sur le coté avec un chemisier en satin vert émeraude. Ses jambes étaient gainées de bas nylon. Ses escarpins la grandissaient encore un peu plus. Des que nous sommes rentrés dans notre villa, nous avons compris que quelque chose venait de se produire. Tout était en désordre. Les meubles renversés. Les rideaux déchirés. Hélène a étouffé un cri et elle m’a crié « Jean-Paul ! Nous avons été cambriolés »
Je n’eu pas le temps de répondre. Quatre hommes venaient d’apparaitre dans notre salon. Ma femme poussa un hurlement. Ils ont tous le visage masqué par une cagoule. Ils se précipitent sur nous. Deux s’emparent de ma femme pendant que les deux autres me maitrisent rapidement. Un des quatre hommes me bâillonna avec un mouchoir roulé en boule enfoncé dans le fond de ma gorge maintenu par une large bande de ruban adhésif. Les deux m’obligent à m’asseoir sur une chaise et m’attachent les pieds et les mains aves le même ruban collant.



Hélène se débat maintenant dans les bras des quatre types qui commencent à la peloter. On lui malaxe les seins à travers son chemisier. On farfouille sous sa jupe. Elle a les joues rouges et les cheveux en bataille. Elle gémit et supplie. Horrifié, j’assiste impuissant au viol de ma femme…
Un des hommes, le chef vraisemblablement, prit la parole. « Vous n’avez pas remboursé votre dette et Monsieur Max commence à perdre patience »
Max ! J’aurais du m’en douter ! C’est lui qui organise les parties de poker dans son club très fermé.
J’émets un grognement à travers mon bâillon. Les quatre hommes qui s’occupent de mon épouse lui ont arraché son chemisier. Ses seins apparaissent dans un soutien-gorge en satin. Ils baissent les balconnets et triturent ses seins, tordant les pointes ce qui arracha un cri de douleur à Hélène. Sa jupe est complètement relevée, tirebouchonnée autour de sa taille dévoilant son porte-jarretelles mauve ou sont accrochés ses bas noirs. On la force à s’agenouiller et elle regarde avec des yeux apeurés les hommes qui l’entourent. Ils se libèrent et sortent leurs sexes dressés. Un des hommes tire sur les cheveux d’Hélène qui couine et force ses lèvres carmin avec sa queue. Ma femme se débat et tourne la tête mais le type parvient à lui enfoncer sa bite dans sa bouche. Ses joues sont déformées par l’épaisseur de la bite. L’homme appuie sur sa tête ce qui l’oblige à commencer sa fellation. J’entends les bruits de succions et les commentaires ignobles. « Vas y, suce moi salope ! Applique-toi ! »
La bouche arrondit autour de la queue, ma femme fait du mieux qu’elle peut, suçant la bite, titillant le gland avec sa langue. L’homme donne des coups reins s’enfonçant dans sa bouche.
Hélène hoquète, recrache la queue mais on lui tire de nouveau les cheveux et elle doit de nouveau enfourner la bite. Il éjacula libérant son sperme dans la bouche de ma femme qui poussa un gémissement étranglé. « Avale salope !! Avale tout… » Hélène tente d’obéir mais comme il continue d’éjaculer, elle en recrache une partie qui lui coule sur le menton.

Ils échangent leurs places. Elle suce les couilles d’un autre homme maintenant. Effondré, je regarde ma femme pomper toutes ces bites qui se présentent devant elle. Elle doit même en branler d’autres. On se sert de sa bouche comme d’un vagin. Faisant coulisser rapidement les queues entre ses lèvres. On lui éjacule en pleine figure, son visage est recouvert de foutre. Des filaments coulent sur son menton et tombent sur ses seins dénudés.
On la releva et on la traina vers la table basse de notre salon. Elle fut agenouillée et courbée en avant, les seins écrasés sur la table. On lui lia les poignets et les chevilles avec le ruban adhésif. Elle se retrouve jambes écartées au maximum dévoilant son cul dressé en arrière moulé par le string aux regards lubriques de nos agresseurs. Un des hommes sort un couteau et va découper le string que porte ma femme. Elle exhibe sa fente maintenant. Un des hommes s’approche et caresse la vulve de mon épouse qui se débat dans ses liens. Elle pousse un cri et on la bâillonne de la même façon que moi. Elle continue de gigoter et on lui claque violemment les fesses qui deviennent vite rouges sous les coups. On lui introduit un index et un majeur dans son trou du cul et on tourne les doigts pour élargir son anus. « Elle ne doit pas avoir l’habitude d’être enculée ! C’est étroit. »
« On va l’élargir, t’inquiète pas… »
Hurlements étouffés de ma femme.
Une bite se présente et s’engouffre dans la chatte de mon épouse. Je pleurniche en voyant le salaud en train de la labourer avec vigueur. Il la défonce comme un malade la pilonnant violemment. Ses fesses tressautent sous les coups de boutoirs. Il se retire et un autre prend sa place. On écarte les fesses d‘Hélène dévoilant son anus. Un des hommes présente son gland violacé et l’introduit dans le trou du cul de ma femme. Elle pousse un grognement étouffé. Il agrippe ses hanches et fait coulisser sa bite dans le rectum d’Hélène. Son cul gigote sous les coups de reins de son tourmenteur.
Il éjacule rapidement sur ses fesses et un autre le remplace. Les quatre hommes se succèdent dans la chatte et le cul de ma femme. On la détache et on la positionne à genoux. Ils jouissent libérant des torrents de sperme qui vont s’écraser sur le front et les cheveux d’Hélène. Rejoignant le sperme séché qui macule son visage…


Je pensais que notre calvaire allait prendre fin mais je me trompais. Ma femme dut se déshabiller entièrement, enlevant sa jupe, faisant glisser ses bas…
On l’entraina dans notre salle de bains et elle prit une douche…Avec deux de nos agresseurs qui, a entendre les gémissements d’Hélène, en profitèrent certainement pour la baiser une nouvelle fois chacun leur tour. Elle revint dans le salon, totalement nue. Un des hommes sortit des vêtements d’un sac et les tendis à ma femme. « Habille-toi ! Vite ! »
Le qui semblait être le chef du commando s’approche de moi, un sourire mauvais sur ses lèvres…. « Comme tu n’as pas remboursé ta dette auprès de monsieur Max, c’est ta femme qui va s’en charger ! Tu devines comment ? »
Je pousse un cri étouffé par le bâillon !
Hélène est contrainte d’enfiler une très courte minijupe en vinyle noire et un soutien gorge en vinyle lui aussi, bien trop petit et qui lui comprimait et faisait ressortir les seins. On lui ordonne ensuite de mettre des escarpins a talons. On lui attache en plus un collier autour du cou équipé d’une laisse accrochée par un anneau et qui tombe entre ses seins. On la bâillonna ensuite avec une boule en latex que l’on enfonça dans sa bouche en la tenant fermement attachée autour de sa tête par une petite sangle. Comble d’humiliation, on la courba en avant et un des hommes lui enfonça un Plug dans son anus.

Le chef expliqua que je restais sous la surveillance de l’un des leurs et que ma femme avait intérêt à se comporter avec obéissance sinon il risquait de m’arriver malheur.
Les 3 hommes sortirent de notre villa en trainant Hélène par la laisse.
Celle ci me lança un regard désespéré en poussant un grognement plaintif derrière sa boule…
Le chef se penche encore une fois vers moi… « On te ramènera ta femme dans un ou deux jours avec une vidéo de ses exploits! Elle a une sacrée dette à rembourser, on l’emmène voir Monsieur Max, il a des projets pour elle… »
Et ils sortirent me laissant effondré.

Hélène fut contrainte de monter à l’arrière d’une voiture avec le chef, les deux autres étant installés à l’avant. Le court voyage se fit sans un mot, jusqu’au faubourg de la ville et la voiture s’arrêta devant ce qui semblai être un club avec deux imposants vigiles noir a l’entrée. Le chef la fit descendre de la voiture en tirant sur le lien et, suivi du passager, ils entrèrent tous les trois dans le bâtiment sous le regard des deux colosses. Ils se rendirent directement dans le bureau de monsieur Max. « Voila donc notre monnaie d’échange, tu es aussi belle que ce que l’on m’avait rapporté, ce n’en est que mieux. J’espère que tu sais pourquoi tu es la ! Tourne toi pour vois, merveilleux, baisse toi, qu’elle belle vue, il a l’air bien emmanché entre tes fesses. Ton mari est certainement un gentil garçon, attentionné à ton égard, mais vis-à-vis de moi, ce n’est pas bien, il me doit beaucoup d’argent, une grosse dette de jeux. Il en a bien réglé une partie, mais j’ai le sentiment que je ne suis pas prés de voir le reste. Alors, pour lui donner une leçon et effacer l’ardoise, j’ai besoin de toi. Je suppose que tu as eu un avant gout et que tu te doute de ce qui t’attend. »

Il ordonna a l’un de ses deux hommes de main de préparer de quoi filmer « Je veux que tu la suives partout et que tu filme ses exploits, et tu ne t’occupe que de filmer ! »Il appuya ensuite sur une touche de son téléphone et aussitôt, une dame d’un certain âge apparut avec une petite trousse à la main. «Tu vas voir, c’est une véritable mère pour les filles qui passent ici, elle va tout d’abord te faire une petite piqure qui te donnera du cœur à l’ouvrage. » Elle sortit une petite seringue de la trousse et réalisa rapidement une petite injection. Elle emmena ensuite Hélène dans une petite chambre équipée d’un lit et d’une petite table, « Si tu coopère et si tu te soumets à leur demandes, tout se passera bien, ce que je viens de te faire vas t‘aider, je reviendrai te chercher » Hélène s’assit sur le lit, cela lui rappela la présence du Plug figé entre ses fesses.
Elle se prit la tète entre les mains se demandant avec angoisse qu’elle serait la suite de la punition qu’elle n’avait pas méritée directement. Bizarrement elle senti une sorte d’euphorie l’envahir, en décalage avec sa situation. Quelques temps plus tard, elle est revenue et lui a demandé de la suivre. Elles traversèrent la salle du club vide et après avoir soulevé une tenture, elles se retrouvèrent dans une petite pièce ou attendait Max. « J’espère que tu es en forme, je vais te présenter a l’assistance » Il la prit par la laisse et gravirent quelque marche qu’elle n’avait pas vue. Elle se retrouva sur une petite scène qui dominait une salle garnie par plusieurs tables. Deux étaient occupées chacune par quatre hommes. « Voila le petit lot de la soirée, une belle bourgeoise que nous allons dévergonder. Vous avez payé votre place, pas pour jouer de l’argent mais le gagnant de chaque partie pourra en disposer a sa guise et éventuellement en faire profiter les amis. Mais auparavant, je vous ai préparé un petit spectacle pendant la première partie qui devrait la mettre dans de bonnes disposition pour la suite » Elle s'aperçut que le comparse équipé de la caméra était déjà en place.

Il enleva la laisse et souleva le rideau pour laisser entrer les deux vigiles vues a l’arrivée. « Ces deux garçons vont vous présenter son savoir faire » Elle paraissait bien petite entre les deux athlètes. Le premier la serra contre lui et lui pris sa bouche d’autorité pour un baiser fougueux. Le second vint se coller par derrière il lui prit la tète a son tour et au pris d’une petite contorsion Hélène fut obligée de l’embrasser a son tour. Elle se retrouvée serrée entre ces deux male mais bizarrement, pensa t’elle, elle ne ressentait pas d’appréhension. Elle sentit bientôt leur sexe durcir, un contre son ventre, un contre ses fesses. Max lui demanda d’enlever leurs polos, ce qu’elle fit tour a tour. Ensuite leurs pantalons, ce qu’elle fit dans le même ordre. Ensuite enlève leur caleçon lui dit il. Ce fut plus compliqué, ils bandaient tellement quelle du s’y reprendre a plusieurs fois pour les faire glisser et les enlever. Se faisant elle se retrouva presque a genoux et elle fut priée de commander à les caresser. On aurait dis deux frères, même stature, même musculature et surtout même énorme bite dressées comme un pieux au bas de leur ventre. Elle du les prendre en main et commencer à les branler en même temps devant l’assistance qui, tout en jouant leurs parties, ne perdait pas une miette du spectacle.
Malgré l’humiliation de sa position, elle commençait à haleter, elle sentait ses seins, maintenant complètement sortis du soutien gorge, se durcir, ses mamelon gonfler et se tendre, et surtout, sa chatte commencer à mouiller. Elle du bientôt en sucer un tout en continuant à branler l’autre. Elle eu du mal à prendre cette énorme queue dans sa bouche, elle ouvrit ses lèvres autant qu’elle put et elle finit par réussir. Il lui prit la nuque et lui imposa un vas et viens régulier le long de la verge elle suçait la longueur qu’elle pouvait faire entrer dans sa bouche tout en branlant doucement la base de la queue qui lui sembla grossir encore. Pendant qu’elle branlait aussi l’autre garçon, il avait investie son entre jambe avec la main. Il devait bien se rendre compte qu’elle commençait à mouiller de plus en plus. Elle sentit les doigts la fouiller et elle ne put s’empêcher de commencer à onduler avec son bassin. Il la fit mettre à quatre pattes et l’obligeât à cambrer sa croupe. Tout le monde put apercevoir son bijou d’anus trônant entre ses fesses. Il se positionna entre ses jambes, et non sans appréhension elle attendit la pénétration. Que c’était gros ! Mais il finit par s’introduire et elle sentit le ventre du male se plaquer contre ses fesses. Il commença à aller et venir et elle sentait son ventre s’enflammer. Elle n’aurait jamais cru pouvoir être prise avec autant de plaisir par une queue aussi grosse. A quatre pattes, prise par la bouche et par la chatte au rythme imposé par les deux hommes, elle sentait ses seins balloter sous elle. Ils changèrent de place, elle retrouva le parfum et le gout de sa chatte sur celui qui maintenant lui prenait la bouche, l’autre s’étant introduit sans peine dans sa chatte largement ouverte par le coït précédant. Ils firent durer le plaisir en la prenant à leur rythme. Toute honte bue malgré son exposition, elle senti son plaisir arriver elle retira, sa tète en arrière en branlant a deux main la bite sortie de bouche. Dans un grand ralle, l’homme joui et éjacula en long jets blanc qui lui maculèrent le visage, poissant ses cheveux. Celui qui investissait sa chatte jouis à son tour, tout d’abord a l’intérieur, bien figé au fond du vagin, collé à ses fesses et ensuite en de longs jets atterrissant sur son dos, elle en sentait la chaleur.

Les joueurs applaudirent ayant appréciés la prestation. Les deux garçons quittèrent la scène et la vielle dame amena Hélène faire un brin de toilette, elle avait perdu son petit soutient gorge et on la débarrassât de la jupe roulée autour de la taille. La dame en profita pour lui enlever le petit gode qui était toujours figé entre ses fesses. C’est entièrement nue, a par le collier, que Max la ramena sur la scène en plaisantant « faite vos jeux !» Déjà, il y avait un gagnant. Il demanda a ce qu’elle vienne le rejoindre, tout en restant assis, il déboutonna sa bargette, sortie sa bite déjà dressée, « a quatre pattes et suce moi » lui intima t’il. Elle se plia à sa demande au sens propre et au sens figuré. Elle prit la queue dans sa bouche et commença à le pomper « caresse moi, les couilles et cambre toi bien que les autres profitent de la vue ». Une exclamation venue des spectateurs, « Voyez, les deux orifices son libre, en plus de la baiser, on va aussi pouvoir l’enculer » L’homme était excité et il ne tint pas longtemps. En soufflant, il lui prit la tète à deux main et la bloqua contre son ventre en donnant de petit coup de reins. Il déchargeait dans sa bouche. Heureusement, ce n’était pas la quantité du précédent, mais elle ne put se dégager et elle du déglutir plusieurs fois en avalant le liquide chaud. Lorsqu’il la libera, un dernier jet poissa le bord de ses lèvres. Le vainqueur de la table à coté se manifesta à son tour. « Reste comme tu es, j’adore la levrette » Il vint se positionner par derrière, sortit sa queue déjà bien raide et, profitant de sa chatte bien humide, d'un seul élan, il l'emmancha jusqu'à la garde. Passant ses mains sous son buste, il se mit à lui malaxer les seins, ils lui semblaient gonfler de plus en plus, ses tétons lui paraissaient énorme, ils étaient tellement sensibles que conjugué avec les aller et venue dans sa chatte, elle se mit à jouir sans retenue. Cela acheva de déclencher celle de son baiseur. Accompagné de long ralle, il se vida en elle avec de petits coups de reins. Il se retira mais elle, comme perdue sur un nuage, continua à gémir en balançant sa croupe d'avant en arrière.
A nouveau un autre vainqueur a l'autre table, Il sortit une liasse de billets de sa poche, et les posa sur la table "Max, j'achète la fin de la soirée pour que tout le monde en profite, Elle a l'air tellement chaude que j'ai peur de me pas arriver à la contenter tout seul". Les hommes se levèrent, certains, excités, avaient déjà sortis leur bites et étaient en train de se branler. L'un d'eux s'allongea sous elle, et lui prenant les fesses à deux mains, il la fit descendre sur sa bite bien dressée. Les autres n'étaient pas en reste, un autre présenta son mandrin devant sa bouche et machinalement elle écartât les lèvres pour l'engouffrer. Un troisième, à genoux, se positionna derrière et lui caressa le creux de ses fesses avec ses doigts. Il pointa ensuite son gland sur son anus et lentement il s'introduisit, calquant son vas et vient sur celui qui était déjà en place. Entre deux jouissances elle était dans un état second. Dans un éclair de lucidité, elle se rendit compte Quelle était prise dans tous ses orifices à la fois, elle se faisait baiser et enculer en même temps et un autre lui fourrait la bouche. Des doigts qui lui pincèrent les tétons, la fit décoller à nouveau. Après les uns, les autres, les bites se succédaient, une fois dans sa bouche, une fois dans sa chatte, une fois dans son cul. Elle sentait le trop plein de sperme lui couler à l'intérieur des cuisses. On l'aida à se relever et on la fit s'allonger a plat dos sur une des tables. En lui écartant les jambes à l'équerre, on les lui leva a la verticale et elle imagina le spectacle qu'elle offrait, ce qui lui occasionna une énième bouffée de chaleur dans le ventre. Sa chatte fut aussitôt investie, après quelques vas et vient, l'homme jouit et déchargea bien callé contre ses fesse. Un autre le remplaça aussitôt. Un autre encore grimpa sur la table lui prit la tète et l'amena entre ses jambes, elle ne put faire autrement que de le sucer. Il jouit rapidement, Elle recrachât le foutre qui lui coula sur la joue. Une autre bite se présenta, mais l'homme était tellement excité qu'il jouit directement contre sa bouche, sur son visage et dans ces cheveux.
Elle perdit ensuite le fil de la soirée, combien de fois elle fut prise, elle était bien incapable de le dire. Petit à petit, Hélène repris ses esprit et s'aperçut qu'elle était toujours allongé sur la table, seule avec le caméraman qui filmait toujours. La vielle dame arriva, l'aida à se redresser et elles rejoignirent la petite pièce derrière la scène. "Monsieur Max est fier de toi, il trouve que pour une bourgeoise bien élevée, tu es une sacrée baiseuse qui s'ignorait". Après avoir pris une douche, elle lui conseilla de se reposer car son week end n'était pas fini. "Mais auparavant, Monsieur Max y tient, penche toi" et elle lui introduit à nouveau le Plug dans son anus " Hélène poussa un gémissement "Et oui, tu monte en grade, c'est la taille au dessus". A peine couchée, elle sombra dans un sommeil sans rêve, en se rendant compte qu'elle n'avait pas pensé une seule fois à son mari retenu prisonnier dans leur maison.

En milieu de matinée le lendemain, la dame vint la réveiller, Après un rapide petit déjeuner et une nouvelle piqure, elle lui retira le gode et lui fit mettre un soutient gorge et une jupette identiques a celle de la veille. Maintenue par la laisse accrochée a son collier, elle suivi le chauffeur qui l'amena a la voiture, un grand monospace, ou attendait déjà l'homme a la caméra. Ils prirent la direction de l'extérieur de la ville et engagèrent la voiture dans une allée boisée et se garèrent dans une petite clairière ou se trouvé deux ou trois tables et quelques bancs de bois. Le chauffeur lui expliqua que l'endroit était très fréquenté par des hommes de passage, qu'il était la pour les faire payer, mais qu'elle devait leur en donner pour leur argent. Une bonne recette adoucirait le ressentiment de Monsieur MAX. Lui enlevant sa laisse, ils la firent sortir de la voiture "Ne t'inquiète pas, cela va rapidement s'animer". Le bruit de roulage proche lui fit penser qu'ils se trouvaient prés d'une grande route. La suite de la piqure lui faisait toujours le même effet, des bouffées de chaleur dans son ventre, Hélène alla s'asseoir sur un banc.

Elle vit un homme arriver prés de la voiture et à la suite d'une rapide discussion avec le chauffeur, il s'approcha. Après un rapide bonjour il lui dit "j'ai payé pour une pipe et je viens pour me faire sucer" Se faisant, il dégrafa son pantalon, sortit sa bite à moitié bandée et prenant sa main il lui intima de le branler. Rapidement, il se mit à bander dur, ensuite, il lui a pris la tête à deux mains et la lui amena vers son ventre. Les yeux fermés, elle ne pu faire autrement que de le prendre en bouche. A l’aide de ses main il lui imprima un mouvement de vas et viens. Il prit son temps, il lui dirigea une main entre ses jambes afin qu’elle lui caresse les couilles. Debout entre ses jambes, il se mit à lui ploter les seins qui finirent par sortir du soutient gorge. Après un long moment, elle rouvrit les yeux et se rendit compte qu’ils n’étaient plus seuls. Quelques hommes les entouraient et me semblaient rien perdre du spectacle qu’elle offrait. Elle, seins à l’air, la jupe remontée autour de la taille, les jambes écartées et lui, toujours en train d’investir sa bouche. Et l’homme a la caméra filmait toujours. Elle ne se connaissait pas ce coté exhibitionniste, par force certes, mais la vision de tous regards rivés sur elle déclencha une brusque bouffée de chaleur suivit par un violent orgasme.
Elle resserra machinalement la base de la verge toujours fourrée dans sa bouche ce qui le fit décharger. Il se vida en donnant de petit coup de reins, son ventre contre son visage. Lorsqu’il se retira, elle parvint à recracher une partie du sperme qui coula en longues trainées blanche entre ses seins. A peine eu t’il finit qu’un autre le remplaçât, même bite, même vas et viens, elle comprit alors que chacun attendait son tour. Il devait être très excité car ses vas et viens devinrent plus amples et il jouit presque aussitôt. Sa queue s’échappa de sa bouche et elle reçut son sperme sur le visage et dans ses cheveux. Qu’a cela ne tienne, des mains l’agrippèrent et la firent mettre à quatre pattes sur le banc. Une autre bite investi sa bouche et elle senti une langue humide s’introduire dans sa chatte et remonter entre ses fesse, lui léchant l’anus. Elle jouit à nouveau. La langue fut rapidement remplacée par la queue de l’inconnu. De nouvelles éjaculations dans sa bouche, sur son visage, dans sa chatte entre ses fesses, elle s’aperçut que presque tous les spectateurs étaient en train de se branler en attendant leur tous. Mon dieu pensa t’elle ou j’en suis, et elle eu un nouvel orgasme.

Elle changeait sans arrêt de main, entre les coïts, elle se fit enculer plusieurs fois de suite, et sa bouche n’était pas en reste. Chacun se soulageait en fonction de son désir. Elle avait perdu la notion du temps et après elle ne savais combien d’assaut de tout ces males le chauffeur vint la récupérer. Elle était entièrement nue, sa jupe et son soutiens gorge avaient disparu, il la fit asseoir dans la voiture non sans avoir mis une couverture afin qu’elle ne tache pas le siège. Ils allaient partir, lorsqu’un dernier client tapa à la portière. Le chauffeur récupéra quelques billets et dit à l’homme de faire le tour de la voiture. Le passager ouvrit la vitre du coté d’Hélène et poussa son visage et son buste vers l’extérieur.

« Allez, une dernière pipe avant la route. Tu es une sacré baiseuse, Monsieur MAX vas être content de la recette ». Il lui tenait la tête a l’extérieur, l’homme avait ouvert sa braguette et déjà sorti sa queue. Elle fut contrainte d’ouvrir les lèvres et de laisser entrer la bite dans sa bouche. Le passager demanda au baiseur de s’activer un peu, ce qu’il fit avec de grands coups de reins. Il déchargea rapidement, dans la bouche, sur le visage et les derniers jets atterrirent sur la portière. La vitre fut rapidement remontée et ils démarrèrent immédiatement.

De retour au club dans le courant de l'après midi, on la ramena dans sa petite pièce ou elle prit aussitôt une douche. La dame vint la rejoindre, "Tu a semble t'il bien travaillé, Monsieur MAX vas être content. Il est actuellement en train de voir jouer son équipe de foot. J'espère pour toi qu'ils ne vont pas gagner. De toute façon, il faut te reposer mais auparavant, ouvre tes fesse et montre moi ton œillet. Elle lui cambra la croupe et introduit un nouveau Plug. Hélène gémit "Et oui, il est encore plus gros que le précédent". La dame sortie, elle s'assoupi aussitôt.

En début de soirée, la dame revint pour la réveiller, Après une rapide collation et encore une piqure, elle enleva le gode et lui fit mettre un long tee shirt aux couleurs criardes. " L'équipe de Monsieur MAX à gagnée et c'est leur maillot. En principe, il va arriver avec ses supporters et tu vas lui servir pour les remercier de supporter son club. Heureusement vous serez deux et ce ne sera pas de trop". Elle resta seule un long moment, Hélène n'en revenait pas, elle si sérieuse se découvrir en véritable bête de sexe. Si son maris n'avis pas perdu autant d'argent, elle n'aurait peut être jamais découvert cette facette de sa personnalité. Son mari justement, comment allait t'il, elle avait peu de temps pour penser à lui. Ensuite l'homme à la caméra vint la récupérer. Dans le petit corridor, une autre femme était déjà là, une grande blonde peut être un peu plus jeune, il les désignât, « Hélène ! Karine ! » Les présentations étaient faite. Chacune au bout de leur laisse, l’homme les conduisit sur la scène, il les en débarrassa et les présenta par leur prénom à la douzaine de spectateurs présents. Hélène aperçut un sofa sur un coin de la scène et entendit un fond musical. Le caméraman les poussa dans les bras l’une de l’autre en leur intimant de danser. La musique était lente et elles essayèrent de danser dans le rythme. « Un peu plus serrées ! Vous pourriez vous embrasser ! Joli tableau ! »

Des exclamations montaient de la salle. Le caméraman toujours présent leur conseilla d’écouter. Karine se pencha à l’oreille d’Hélène, « Tu à déjà embrassé une femme » Elle fit non de la tête. « Laisse toit faire » Karine lui pris les lèvres et l’embrassa, elle sentit la langue s’insinuer dans sa bouche et, après une petite hésitation, elle fit de même. Embrasser une autre femme, jamais elle ne s’en serait cru capable et cela ne la laissait pas indifférente. Elle sentit ses mamelons durcir et une douce humidité envahir sa chatte. Le baisser dura, un « On veut les maillots ! » monta de la salle. Le regard du caméraman, qui filmait toujours, les incita à obtempérer. Elles se séparèrent, élevèrent leur maillots et après Karine, Hélène jeta le sien au bas de l’estrade. Elles s’enlacèrent à nouveau et entièrement nues, elles se remirent à danser. Naturellement leur bouches se rejoignirent, Hélène sentait les seins de Karine se frotter contre les siens, cela la fit mouiller davantage. « Des caresses, des caresses… ! » Toujours enlacées, Karine se pencha et lui prit un mamelon dans la bouche. En même temps, elle insinua une main entre ses jambes. Hélène fléchit un peu et elle sentit les doigts s’introduire en elle. Elle mouillait toujours plus. Après quelques mouvements de vas et vient Karine lui murmura, « A toi maintenant ». Hélène se penchât, et se mit à titiller un téton avec les lèvres, la tête penchée en arrière Karine semblait apprécier. Elle lui soufflât « Ta main ! » Elle descendit la main le long de son ventre, et descendit jusqu'à la chate de Karine. Elle était entièrement épilée et son entrejambe était aussi mouillé que siens. Elle la caressa et a son tour, introduit ses doigts entre les lèvres humides. Elle se mit à faire aller et venir sa main doucement. Elle sentit à nouveaux la main de Karine s’insinuer entre ses jambes légèrement ouvertes. Elles ne bougeaient plus, toutes les deux concentrées sur leurs caresses. Elle senti ses jambes fléchir, Karine l’accompagna et elle se retrouva allongée sur le sofa. Karine l’enjamba et elles se retrouvèrent tête bêche. Aussitôt, elle senti la bouche se coller contre sa chatte et la langue pénétrer dans la fente. Pour sa part, elle avait sous les yeux la chatte imberbe de Karine et tout naturellement elle approcha sa bouche. Elle rendait caresse pour caresse. Elle sentit la langue s’insinuer dans son anus, elle n’hésitât pas, à son tour, elle se mit à titiller la rondelle plissée de Karine, essayant de faire pénétrer sa langue. Tout à coup deux genoux masculins vinrent encadrer sa tête, entre, une bite épaisse et raide comme un pieu se positionna sur l’entrée luisante de mouille de la chatte et d’un coup de rein, l’homme pénétra. Elle avait sous les yeux les vas et viens de la queue et les couilles qui ballottaient en cadence. Il était très excité, il colla son ventre contre les fesses avec de petits coups de reins, Hélène compris qu’il était en train de décharger. Il se retira, et le sexe encore bandé glissa sur son visage en déposant une traînée de sperme. Aussitôt, une autre bite pris la place libre dans la chatte, elle lui semblait encore plus grosse, effectivement, elle eu du mal a la prendre dans la bouche quant l’homme la lui présenta. Après quelques coups de reins, il se réintroduit entre les fesses de Karine et jouit aussitôt. On les fit se déplacer sur le sofa et elles se retrouvèrent à quatre pattes face a face. Ils se succédèrent les uns après les autres, suivant leurs envies, les uns pour la baiser, les autres pour l’enculer, ses orifices étaient comblés sans arrêt et il lui semblait qu’il en était de même pour sa compagne de luxure. De temps en temps, au détour d’une caresse, un tourbillon la prenait et elle jouissait sans retenue. Ils ne manquaient pas d’imagination, on les fit se rapprocher, visage contre visage, bouche contre bouche et une bite s’introduit entre les deux paires de lèvres. Avec d’ample mouvement du bassin, il faisait coulisser sa queue entre les deux bouches. Il déchargeât dans de longs jets, aspergeant leurs cheveux, leurs visages et leurs bouches. Le cameraman décrétât la fin de la récréation et elles se retrouvèrent rapidement seules. Il leur ordonna de rejoindre leurs chambres respectives, ce fut la dernière fois qu’elle vit Karine. La vielle dame vint la rejoindre avec une collation, « Bien tu as pris une douche, restaure toi et repose toi, Monsieur Max est satisfait, je pense que demain matin tu retourne chez toi » Comme chaque fois, Hélène dus se pencher pour recevoir le gode entre ses fesses. A nouveau elle gémit ; « c’est le plus gros de la collection de Monsieur Max, cela prouve qu’il est content de toi » La dame sortie, elle se coucha et s’endormit aussitôt.

Au matin, elle revint la réveiller avec un petit déjeuner et une dernière piqûre, « Pour faciliter le retour » dit-elle. Elle lui fit remettre le même polo que la veille et après avoir raccroché la laisse, l’homme à la caméra l’emmena. Il la fit asseoir à ses coté à l’arrière de la voiture et ils prirent le chemin du retour. Il sortit une pochette avec a l’intérieur un disque gravé avec ce titre, « les exploits d’Hélène » Tiens ! Tu pourras faire visionner tes exploits à ton mari et lui montrer que tu t’es sacrifié pour payer à sa place. « Avec tout cela, j’ai beaucoup travaillé et peu profité de la situation, pourquoi ne pas s’occuper pendant le trajet » <<en se contorsionnant, il s e déboutonna, fit glisse son pantalon et sortit son sexe déjà en érection « Suce » intima t’il. Il lui prit la tête et la courba vers son ventre. Le chauffeur conduisait avec un oeil sur le rétroviseur intérieur et salivait d’envie. Elle ne se força pas, au contraire, elle s’appliqua, lentement, elle lui léchait le gland, descendait avec sa langue le long de sa bite, gobaient ses couilles une après l’autre et l’engloutissait à nouveau. « On approche dit le chauffeur, Hélène se mit à le branler de plus en plus vite tout en continuant ses vas et vient avec la bouche. Il ne tarda pas à jouir, à long jet, il se déversa dans sa bouche, sur ses lèvres et sur son visage. La voiture était entrée dans le parc, le chauffeur descendit, ouvrit la portière et la prit par la laisse qu’elle avait toujours accrochée au collier qui ne l’avait pas quitté. Il la fit se baisser « Déboutonne et suce moi à mon tour ». Elle le prit dans sa bouche, il lui maintint la tête à deux mains et avec de petits coups de rein, il fit comme si il la baisé. Il accéléra ses mouvements et rapidement, son ventre bien callé contre le visage, il se déversa dans sa bouche. Il ne finissait pas de déverser, il déchargeait tellement qu’elle ne put tout avaler, elle retira sa tête en arrière et les dernières giclées virent rejoindre celle du précédent sur son visage. Le chauffeur se rajustât et la reprenant par la laisse, il alla sonner à la maison. « A vous voila enfin, je trouvais le temps long et son mari aussi» Il ferma la porte et ramena Hélène dans le salon, en la voyant enfin, Jean Paul ne put s’empêcher de pleurer. « Et voila le retour du règlement de Max, tu devrais être content, tiens » dit-il « tu pourras visionner les exploits de ta chère femme, et quant a toi, tu vas me remercier d’avoir été aux petits soins de ton maris » Il lui enleva enfin son collier et en même temps le polo, elle se retrouva nue. « Viens me faire une petite pipe pour me mettre en train ». Tournant le dos a son mari, elle du s’agenouiller et se mit à le sucer. « Cambre toi, et ouvre tes jambes que ton maris me perde rien du spectacle » Hélène écarta ses fesses à deux mains et Jean Paul aperçu le gros plug figé dans son anus.


Il se laissa sucer quelques minutes, ensuite la fit pivoter, l’obligea à poser la tête sur les genoux de son mari et la pris en levrette. Il se positionna derrière et d’une poussée il fourra sa queue dans la chatte trempée. En ballotant les seins et ses mamelons durcirent en frottant contre le pantalon. Elle ne put se retenir et elle partit dans un violant orgasme qui entraîna celui de son baiseur. Devant l’intensité, La bite s’échappa et les dernières giclées de sperme atterrirent sur son dos. L’homme finit par se dégager et sans un mot il sortit de la maison.

Hélène restât un long moment sans bouger, la tête sur les genoux de son mari. Elle fini par se relever, lui enleva le bâillon, lui détacha les mains et parti s’enfermer dans la salle de bain. Elle enleva le gode de son anus et après l’avoir passé sous l’eau le laissa bien en évidence sur la tablette, elle se fit ensuite couler un bain. Jean Paul était derrière la porte, pleurait sans arrêt en lui demandant de la pardonner. Après un long moment elle sortit, il était toujours la. Elle le regarda droit dans les yeux « Tu ne joue plus jamais » et elle alla s’enfermer dans sa chambre.
Depuis se jour, il est d’une gentillesse permanente, a ses petit soins ne posant jamais de questions et elle pense qu’il n’est jamais plus allé jouer. Ils n’on jamais abordé la question de ces deux journée et elle ne lui a jamais avoué qu’elles avaient changé sa vie, préférant laisser planer le doute qu’elle lui en voulait. Le disque est resté longtemps sur la table du salon, elle pense qu’il n’a jamais osé le regarder.
Ce n’est pas son cas, Certains après midi, elle s’installe nue sur le canapé et visionne une scène en se masturbant. Elle a fini par acheter tout un assortiment de godemichés dont elle se sert en fonction de la scène qu’elle regarde. Elle regarde souvent le moment ou elle s’est prendre par les deux vigiles, elle se sert a ce moment la d’un énorme vibro noir, très réaliste. Les jambes bien ouverte, elle se branle avec et lorsqu’il est bien au chaud dans sa chatte, elle se fait jouir en jouant avec les vibrations.

Lors de ses sorties, elle n’hésite plus à se laisser draguer et à suivre des inconnus ou des inconnues dans une chambre d’hôtel ou dans leur voiture. Mais cela est une autre Histoire.

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