La Plage Naturiste
Je ne suis pas à proprement parler un naturiste. Je ne vis pas nu, même si je nai pas vraiment de soucis avec la nudité, quil sagisse de la mienne et de celle des autres. Mais jaime bien cette sensation de liberté que procure cette pratique. Ainsi de temps en temps, jaime aller à la seule vraie plage naturiste proche de chez moi, du côté dHendaye et de ses rochers appelés les Jumeaux. Sil y a la mer, Le Pays Basque est également un champ dès lors que lon sort de la côte et tout particulièrement près de chez moi à Ustaritz. Il y a une immense forêt trouée de clairières et entourée de collines, pour la plupart non exploitées et laissées à létat sauvage. Cest là que je viens parfois mextraire un peu du monde, de lactivité, des sollicitations, pour me faire un pique-nique accompagné dune petite sieste, qui, selon mon humeur peut être avec ou sans vêtements. Je profite de ces moments retirés pour écrire de petites nouvelles. Vu lisolement de lendroit où généralement je vais, je ne risque pas de gêner, hormis quelques milans qui planent dans le ciel, mais qui ont dû en voir dautres.
12h30, jenfourche ma moto, une BMW R850R, et mets le repas dans le top-case en callant bien le tout. Il ne sagirait pas de casser la bouteille de vin. Après un passage rapide sur la 4 voies, je sors au second rond-point pour me diriger vers la petite départementale qui longe la forêt dUstaritz. Le rythme est cool, jentre déjà dans mon ambiance de sérénité, de calme. À la sortie dun virage un peu serré, jemprunte un tout petit chemin de terre sur ma droite et laisse la civilisation derrière. La forêt sefface pour laisser le champ libre aux collines verdoyantes. Oui, du vert en plein été. Il pleut parfois au Pays Basque. Javance sur le chemin devenant trop dense. Je pose la moto sur sa béquille latérale et continue quelques mètres à pied. Alors que je longe une haie de ronces pleines de mures presque
mûres, un tout petit passage sur ma gauche me permet darriver dans une belle clairière, comme dans les films.
Je dépose le sac à provisions, mavance sur le haut de la colline et admire ce paysage qui depuis que je suis né ne cesse de mimpressionner par ses couleurs. Je retire mon blouson, t-shirt et reste debout à observer, respirer, renifler les odeurs. Je commence à sortir le repas, étendre un semblant de nappe et une serviette pour my allonger. Je retire mes chaussures, le pantalon et enfin mon caleçon. Je ne dois pas faire assez de naturisme jai encore un peu la marque du maillot !
Je mallonge sur la serviette, le repas peut bien attendre quelques minutes. Je profite, jécoute. La légère brise me caresse le corps. Il fait trop chaud pour frissonner, mais bigre, que cest agréable. Le naturisme a ça de bien quil permet de prendre conscience de son corps, de mieux ressentir le soleil, lair et davoir une relation plus charnelle avec soi-même. Mes mains vont sur mon torse, mon ventre. Je caresse mes cuisses. Il ny a aucune intention, je laisse aller. Mon sexe est lui aussi, allongé ! Je le caresse légèrement, il réagit immédiatement. Je nai pas lintention de me masturber, enfin, pas maintenant, mais cette sensation, le plaisir de se toucher en plein air, dans une liberté totale du corps est dune suavité folle. Mon sexe est entre-temps devenu totalement dur, une belle érection. Je continue dune main à légèrement le caresser et de lautre à explorer mon corps. Ma main passe sur mes bourses, vient caresser la zone de mon périnée, appuie légèrement. Je caresse tout doucement lentrée de mon anus, il faudra un jour que jaille chercher ce point P que tous les hommes sont censés avoir. Pas demballage. Je décide de stopper tout ceci et me rallonge sur la serviette. 10mn de bronzette, à écouter la nature et je passe à table ! Le bruit des branches et des herbes qui se frottent possède également un réel pouvoir de relaxation
Je crois bien mêtre assoupi.
Alors que je recouvre un semblant de rythme cardiaque et de calme, ma visiteuse se lève. Mon cur accélère quand je la vois sorienter dans ma direction. Elle sapproche. Je suis effondré sur moi-même.
« Bonjour
Bonjour
Cest un espace naturiste ici ?
Heuuuuu
non, enfin, pas officiellement, je ny ai jamais vu quelquun ni même quelquun dhabillé
Quand je vous ai vu tout à lheure, jai cru que jétais dans un espace naturiste privé
Je suis désolé. Je pensais être seul.
Ne soyez pas désolé (je peux rougir encore un peu ?). Je vois que vous alliez passer à table, jai également porté mon repas, cela vous dérange si nous mangeons ensemble ?
Aussi surprenant que cela puisse paraitre, bien que très perturbante, dans sa bouche, sa demande paraît très naturelle. Après mêtre tassé de honte sur 10 cm je reprends un peu du poil de la bête. Je dois avouer également que mon sens visuel est titillé. Cest plutôt une belle femme, bien faite, et surtout elle transpire de gentillesse. Moi qui voulais mextraire quelques heures du monde, me poser, être seul, écrire,
cest mort. Je suis écarlate et mapprête à manger nu avec une inconnue.
La voici qui revient. Drôlement gracieuse quand elle marche. Alors quelle pose son repas, elle me demande si cela me dérange si elle retire ses vêtements. Elle ne se sent pas à laise de rester ainsi alors que je suis
gêné ? oui, mais surtout sans rien. « Heuuu, non, absolument pas ». Alors quelle seffeuille, je la regarde à la dérobée. Elle est superbe. Ce nest pas une de ces beautés d1,80m, 45kg. Non, elle est tout simplement normale, doit faire un 38, mais ses formes sont belles, harmonieuses, fermes. Ses seins
mais comment peut-on avoir de si beaux seins à son âge ? Elle doit avoir un peu de plus de 40 ans, et des seins
parfaits ! Pas trop gros, pas trop petit, pas trop haut façon siliconés, pas trop bas, façon fallait venir ya 15 ans. En fait son corps ressemble à ce qui émane delle : naturel. Si lidée davoir une érection me traverse, ajoutant de la honte à la honte, il nen est rien et jessaie de me replonger dans le repas pour me donner un peu de consistance. Alors quelle plie ses affaires en me tournant le dos et se baisse pour les poser, jen profite pour regarder son cul et son sexe que jentre-aperçois. Cest super érotique. La voilà qui sinstalle. Je lui propose une bière quelle accepte. Elle sassoit le plus naturellement du monde face à moi. Elle ne semble pas éprouver la moindre gêne, et du coup, le mienne commence à sestomper. Tout semble finalement assez naturel. Nous parlons un peu de tout et de rien. Sa voix est très agréable. Elle est posée, ne cherche pas à faire de mystères inutiles. Elle me demande si je viens souvent et ce que je fais.
« Oui, cela marrive parfois quand je souhaite venir écrire
Vous écrivez ?
Oui
Quel genre ?
Jécris de petites bluettes érotiques. Cette mise au vert mest nécessaire pour ne pas être perturbé par mon environnement quotidien.
Vous pouvez me montrer ? »
Je ne sais pas si je dois me réjouir ou non, mais je nai aucun récit avec moi et donc suis dans lincapacité de lui en communiquer un.
Elle me demande où je trouve mon inspiration. Je lui explique que je pioche dans mon expérience personnelle que je détourne et perverti pour en faire un petit récit érotique.
«Et sur quoi aviez-vous prévu décrire aujourdhui ?
- sur une relation avec une inconnue ».
Jai répondu du tac-o-tac, et ce nest quaprès que je me suis rendu compte de lincongruité de la situation et de ma réponse! Elle semble surprise mais ses yeux pétillent. Elle semble piquée par la curiosité, et jai bien limpression quelle voudrait bien connaître la suite de lhistoire, quitte à en être lactrice principale. Elle change légèrement de position, moffrant une vue plus ouverte sur son corps, le soleil mettant en évidence la douceur laiteuse de ses seins et de ses tétons qui semblent avoir durcis et pris du volume.
Un petit blanc se produit dans notre discussion. Son regard vert, intense, agrippe mon regard. Jarrive tout de même à la regarder dans son intégralité, à la dérobée, mais elle a dû me griller, cest certain ! Dun autre côté, je nai pas limpression non plus quelle se prive. Les bières terminées, jouvre la bouteille de Rioja. Elle ne connait pas. Elle nest pas de la région. Un Siglo, mon préféré. Alors que je lui sers son verre, mon il est accroché par une ligne brillante entre ses jambes. Je lavoue, jai regardé, et je men délecte ! Son sexe semble trempé. Il dégouline. Il y a même une auréole sur sa serviette qui vient prolonger cette jolie fuite. Mon dieu, je ne maitrise plus rien. Je me sens durcir inéluctablement. Je pense que tout le sang de mon corps est partagé entre mon corps caverneux et mon visage cramoisi de honte. Mais que cest beau ! Son naturel est désarmant, ce qui la rend dautant plus désirable. Elle ne semble pas offusquée le moins du monde, mais un petit rictus qui ressemble à un sourire me laisse à penser quil peut se produire quelque chose de totalement fou dans les prochaines minutes. Je ne connais même pas son prénom ! Je nai pas eu la lucidité de le lui demander. Paradoxalement, presque trop intime. Alors quelle change de position, son doigt vient glisser sur son sexe pour revenir brillant se poser sur ses lèvres. Je me surprends à prendre mon sexe à pleine main et lentement me caresser tout en la regardant. Son regard agrippe de nouveau le mien alors que sa main est revenue sur son sexe quelle caresse doucement. Stoppant son geste, elle sallonge délicatement sur le dos, face au soleil. Je mapproche en arrivant face à elle par ses pieds. Ne sachant encore si elle allait accepter mon approche. Elle entre-ouvre légèrement ses jambes me laissant voir de près son superbe sexe, épilé de près avec une petite bande de poils coupés très courts dans le pur style maillot américain. Me voilà informé ! Je me baisse et pose ma langue sur ses grandes lèvres. Elle devient immédiatement enduite et gluante de son délicieux jus. Je remonte sur son clitoris qui est rouge et déjà gonflé. Je joue un peu avec. Je me prends pour un « womanizer », je laspire tout en faisant vibrer ma langue dessus. Mon aspérité linguale tourne maintenant autour, explore chaque millimètre de ce pénis féminin, repasse dessus comme pour essayer dentrer dedans, le lèche comme si cétait la première fois que jen léchais un. Le plat de ma langue vient maintenant laper ce sexe gluant, partant de lentrée du vagin en remontant. Son jus me glisse dans ma bouche et vient lubrifier mes mouvements. Mes deux mains sont de chaque côté de son sexe, comme pour délimiter la zone, et mes doigts caressent le bord de ses grandes lèvres. Sa respiration accélère pendant quelle bouge presque imperceptiblement ses hanches. Ma langue glisse entre ses petites lèvres maintenant pour entrer. Je la pénètre pour la première fois ainsi. Cest divin. La découverte de ce sexe trempé uniquement par la langue est un bonheur. Ma langue est enfouie dans son vagin, je me délecte de ses odeurs. Ses deux mains me prennent la tête, lappuie comme pour la pénétrer plus au fond. Alors que je change de position pour insérer un doigt puis un autre, elle en profite pour se retourner et me montrer ses fesses. Mon visage à leur niveau, je continue mon travail, écarte légèrement et me mets à lécher lentrée de son cul, humide de sa cyprine qui a coulé, et, pendant que mes doigts vont et viennent dans son sexe, ma langue, décidément bien vaillante, humecte, lèche, salive, et se délecte sans retenue de ce cul tendu jusqualors inconnu. Cette lubrification anale semble lui convenir et la détendre. Jai semble-t-il son entière approbation. Je sens son orifice se détendre. Ma bouche en prend possession et jen profite pour y insérer mon appendice lingual, uniquement retenu dans mon effort par mon trop long nez calé sur le haut de son cul. Le goût légèrement sucré de lentrée de son orifice me fait presque vaciller. Son corps ondule maintenant franchement alors quelle appuie son bassin sur le sol pour frotter son clitoris sur la serviette. Je suis bouillant dexcitation. Je me redresse, att ses reins pour la guider lentement et la remettre sur le dos. Je photographie avec mes yeux la scène, regarde son visage et essayant dimaginer ce quil se passe dans sa tête. Je me place entre ses jambes et positionne mon sexe entre ses lèvres brillantes et lustrées. Je nai aucune envie de la pénétrer. Je commence légèrement mes va et viens alors que ma main gauche fait de même sur ses seins et sur ses tétons. Alors quelle se branle allègrement, jaccompagne parfois sa main avec la mienne, juste pour sentir son mouvement, être aussi en contact avec son sexe, sentir ses doigts glisser, humides quelle porte ensuite à sa bouche. Les mouvements de mon sexe sur le sien se font plus pressants, plus appuyés. Sa tête tourne de gauche à droite, elle est en train de monter. Jécarte sa main, admire ce sexe offert et pose le pouce de ma main droite pour chatouiller son bouton de rose. Cest presque une ruade qui accueille ce contact. Sa respiration devient bruyante, saccadée. Mon sexe glisse et surfe littéralement entre ses lèvres mouillées. Son bassin se soulève dans un cri étouffé. Je ne peux me retenir déjaculer sur elle. Ma jouissance se répand sur le haut de son sexe et le bas de son ventre. Une jouissance totale, pleine. Je ne cherche pas à guider mes jets successifs. Je jouis, jéjacule, point. Elle utilise la paume de sa main pour létaler sur son corps puis la porte à sa bouche doù sort une langue avide de goûter. Ses mouvements sarrêtent, les miens diminuent lentement pour ne plus exister.
Si dordinaire le moment post-coït est toujours un moment délicat, presque gênant, son naturel le rend finalement facile. Je mallonge près delle, nos deux corps luisant de sperme. Nous fermons nos yeux et entrons dans une douce léthargie. Il est lheure de la sieste. Je me surprends à imaginer le réveil, jen ai déjà hâte. Alors que je suis sur le point de sombrer, je remarque quelque chose à quelques mètres de nous. Une silhouette qui ne laisse aucun doute sur sa nature. Nous avons été observés, par une femme et même filmés ou pris en photo si jen juge ce quelle tient à la main. Je suis presque certain que ma voisine de sieste la également vu, son regard étant tourné vers elle. Elle ne semble pas le moins du monde surprise. Etait-ce prémédité ?
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