Simon, Nudité Et Sensualité

Salut à tous. Ce texte est consacré à la nudité et aux plaisirs érotiques en extérieur. Et vous, pratiquez-vous le naturisme ? Avez-vous déjà baisé sur une plage ou dans les bois ? Est-ce plus par exhibitionnisme / voyeurisme, et est-ce quelque chose de plus sensuel ? N’hésitez pas à partager vos expériences, ou vos idées pour de nouvelles histoires. Sylvain sylvainerotic@yahoo.com

Mon premier souvenir est très précis : je dois avoir 2 ou 3 ans, je barbotte nu dans une petite piscine dans le jardin de mes parents. Le soleil caresse ma peau, le soleil m’enveloppe de sa chaleur. Mon corps découvre le plaisir et la liberté.
Je m’appelle Simon et j’aimerais partager avec vous mon amour de la nudité, de la sensualité et de la communion avec la nature… pour un jeune homo.
Tout a commencé très tôt, dès l’enfance. Fils de parents instituteurs, libéraux et très bobos, j’ai grandi dans le naturisme. Je portais très rarement des vêtements à la maison, tout comme mes parents et mon frère et ma sœur, tous les deux plus âgés. J’ai tout de suite adopté le style de vie, et adore la sensation de bien-être et de liberté qui va avec. Je cours et joue tout nu, dans la maison ou dans le jardin, et mes parents invitent d’autres familles naturistes. Très vite, le corps de l’homme et de la femme n’a aucun secret pour moi.
Mais c’est surtout l’été que je m’épanouis le plus ! Nous passons toujours deux mois en centre naturiste en famille. Pas de vêtement pendant deux mois. Que du bonheur ! Bronzage intégral et toutes les activités possibles tout nu : sport, baignade, etc. Je grandis au soleil, dans le bien-être et la sensualité. Mon corps devient sensible au soleil, au vent, a l’eau.
A l’adolescence, ni mon frère, ni ma sœur ni moi ne développons de pudeur particulière. Nos corps se transforment naturellement sans que cela ne choque personne. Je comprends très vite que c’est le corps de l’homme qui m’attire le plus, et mes parents l’acceptent naturellement là aussi.

Pour mes premières séances de masturbation, je me déshabille toujours entièrement, et j’aime caresser ma peau. Je prends toujours mon temps, et j’associe ton mon corps au plaisir. Mais ce que je préfère c’est me branler au contact des éléments. L’hiver, sous la douche, mais surtout dès que le temps le permet, en extérieur. Quand je suis seul à la maison, je m’allonge dans l’herbe ou au milieu des buissons pour me branler. J’aime sentir la nature autour de moi. Je me branle contre un arbre, ou plante ma queue dans un trou. Quand la maison est occupée, je pars m’isoler en forêt…
L’été de mes 18 ans, je le passe dans les Landes, dans un centre naturiste, et mes hormones commencent à bouillir. C’est là que j’ai rencontré mon premier garçon. Je l’ai aperçu à la piscine dès le début de notre séjour. Il est aussi blond que je suis brun. Même âge que moi. Il joue à la piscine avec ses plus jeunes frères. Il est beau, mince. Ses cheveux fort blondis au soleil. Imberbe, à l’exception de quelques poils sur les jambes. On sympathise. Alex. Il est néerlandais et parle un peu français. Suffisamment pour me draguer. Il est moins timide que moi, c’est sûr. Je dois me contrôler énormément pour ne pas bander…
Premier baiser échangé sur la plage discrètement, en fin de journée. On se retrouve après le coucher du soleil sur la plage maintenant déserte pour de longs baisers et des caresses. On bande. J’aime sentir sa peau nue et chaude sous ma main, j’aime sa main sur ma peau, et sa langue dans ma bouche.
Après quelques jours, c’est officiel. C’est mon petit copain. Ça ne gêne pas mes parents, ni les siens. Il faut dire que mon frère et ma sœur ont chacun trouve aussi leur amour de vacances...
Nos débuts sont chastes et discrets. On apprend l’amour. On se prend par la main, et on se fait des bisous. Mais progressivement nous explorons ensemble nos désirs. En toute discrétion, bien sûr.
On s’isole dans l’immense pinède qui entoure le centre. On marche nus main dans la main jusqu’à trouver l’endroit propice pour cacher notre amour. Première fellation. Je m’adosse à un arbre. Alex se met à genoux et me suce. L’écorce du pin caresse mon dos, le sable et les aiguilles de pin enveloppent mes pieds, le soleil perce à travers les arbres, la brise légère passe dans mes cheveux, et la bouche d’Alex me donne un plaisir inédit. Mon corps entier est envahi de plaisir. Je finis par jouir sur le torse d’Alex. Je lui donne sa première fellation juste après, dans la même position.
On se branle ou se suce tous les jours, parfois plusieurs fois dans la même journée. A chaque fois dans un endroit différent. On cherche à éviter de faire ça sous la tente. Faire l’amour dans la nature devient une nécessité, un élément essentiel : la pinède, la plage, les dunes, les rochers. Le soleil, l’eau, le vent, le sable : tous deviennent le troisième homme de nos ébats.
C’est au cours de cet été que j’ai développé cette nécessité de vivre nu au maximum et de baiser dans la nature.
Le soleil, la mer et le vent bénissent notre amour. Au fur et à mesure, nous devenons plus aventureux. Je prends goût… au goût du sperme dans mes branlettes, et je fais découvrir ce plaisir à Alex. D’abord les éjac faciales, les éjaculations en bouche, et les échanges de sperme dans de longs baisers langoureux. Il s’habitue vite au gout sale, comme celui de la mer.
Alex lui m’initie à l’anal. D’abord le rimming. Puis la sodo (il a pris soin d’amener du gel dans ses bagages). Nous sommes versatiles tous les deux et prenons autant de plaisir à donner qu’à recevoir.
Ces deux mois d’été sont paradisiaques. Nous faisons l’amour tous les jours, en pleine nature. Dans des positions variées, mais toujours associés à l’environnement qui nous entoure. Contre un arbre, roulés dans le sable, dans l’eau, sur un rocher, etc. Je n’ai jamais ressenti un tel bien être. Les frissons me parcourent de la tête au pied. Nu, au soleil, à faire l’amour, il n’y a pas une seule partie de mon corps, de ma peau qui ne soit pas associée à ma jouissance. J’aime sentir tous les parfums de sa peau que je la lèche et l’embrasse : le sel, les pins, la chaleur du soleil emmagasinée.
La séparation avec Alex fin aout n’en est que plus difficile… Avec l’automne, il faut maintenant que je me sépare de son corps, du soleil, du vent et de la mer.
Nous sommes jeunes et malheureusement notre amour ne résiste pas à l’éloignement. Alex tombe amoureux d’un autre garçon. Je lui en veux… un peu, car je comprends que notre relation ne pouvait qu’être éphémère.
Après le bac, je pars étudier en Allemagne. Je pratique bien la langue, mais c’est surtout le pays le plus naturiste du monde. Malgré la météo, c’est le pays le plus adapte pour moi : douches collectives au sport, multitude de lieux naturistes (lacs, plages, etc.), saunas et piscines naturistes.
Je me plais bien là-bas. J’ai quelques copains… et petits copains, mais je ne trouve personne qui soit prêt à aller aussi loin que moi (rester à la maison tout nu tout le temps même en hiver par exemple). Jusqu’à ma rencontre avec Stefan. Je l’ai rencontré dans une piscine naturiste. Grand, blond, athlétique. Bronzage intégral. Il adore être à poil, tout le temps comme moi. Une forte personnalité, plus décidé que moi. Il est actif, et je deviens donc 100% passif
Une rencontre coup de foudre. On vit chacun dans une chambre d’étudiants, ou l’on ne porte jamais de vêtement, ni l’un ni l’autre. On fréquente une piscine naturiste plusieurs fois par semaine. Stefan s’entraine, moi je suis plus relax. On fait l’amour chez lui ou chez moi. Le corps de Stefan est entièrement épilé (aisselles, pubis, jambes), et dès le début de notre relation il m’incite à faire de même. Je n’étais pas sur au début, surtout pour le pubis, mais j’accepte pour lui faire plaisir. Ma peau est donc complètement lisse partout.
Des le printemps, et que le temps le permet, nous faisons des escapades. Nous fréquentons les quelques lacs naturistes de la région, mais surtout Stefan a l’art de trouver des petits coins isolés ou l’on peut retirer tous nos vêtements et baiser. Mon plus beau souvenir est un dimanche après-midi, en pleine campagne et en plein soleil : nous faisons l’amour dans un champ à l’ombre des meules de foin.
Quand le temps ne le permet plus, nous retournons en piscine, mais là, pas de possibilité de s’offrir l’un à l’autre. Sauf qu’un jour, Stefan m’emmené dans un nouvel endroit. Un spa gay. Uniquement des hommes, nus. De tous âges, de tous les styles. Au début, nous profitons des installations normalement. J’apprécie de pouvoir me promener tout nu, et tous les bienfaits de l’eau sur ma peau. Sans arrière-pensée sexuelle. Mais dans le sauna, alors que nous sommes tous les deux, avec un autre homme, un peu plus âgé que nous, mais bien foutu, Stefan commence doucement à me caresser la cuisse, puis à m’embrasser. Je suis trouble par la présence d’un troisième. Mais je commence à bander. Je laisse Stefan s’occuper de moi. Il détache ma serviette, et commence à me sucer. Je me sens bien. La chaleur, la transpiration, le bois contre ma peau nue, la langue de Stefan sur ma queue. Puis c’est à mon tour de la sucer. Notre comparse apprécie le show et se branle doucement. Stefan m’interrompt et me prend par la main. Il m’emmène dans la salle des jacuzzis. Deux autres couples y sont déjà et font l’amour. Je suis un peu gêne, embarrassé. Je n’ai jamais maté d’autres couples, ni fait l’amour en public. Avec Alex et Stefan jusqu’à présent, cela avait toujours été pudique, et intime. Stefan me conduit vers un jacuzzi vide. Je me détends, me concentre sur les bienfaits des bouillonnements sur ma peau. Je jette un coup d’œil discret aux autres couples. Puis il commence à me caresser et à m’embrasser. Il a décidé de faire l’amour devant les autres
Soudain Stefan me redresse, me penche contre le bord et me rimme... Je lui obéis docilement. Sa langue a raison de moi. Il me prend ensuite en levrette dans le jacuzzi, tout en regardant les autres couples. On termine en se donnant des ejac faciales. Les autres couples ont déjà joui mais continuent à nous mater.
Cette expérience me laisse confus. J’ai certes apprécié l’expérience naturiste du sauna, et la possibilité de faire l’amour au sauna ou dans le jacuzzi. Mais l’amour en public m’a laissé plus perplexe. Cela m’a un peu excité, c’est vrai. Dérangé ? Un peu. Choque ? Non.
Au cours de l’hiver, nous y retournons régulièrement. Après tout, si cela plait à Stefan…
Le printemps et l’été suivants, nous fréquentons à nouveau différents lacs naturistes. Mais Stefan en a trouvé un nouveau, bien isole. L’endroit est calme, et fréquenté par quelques hommes uniquement. J’apprécie la quiétude du lieu, les clairières et la fraicheur de l’eau. Après une heure de baignade, Stefan me prend par la main, et me conduit dans une clairière en retrait. On fait l’amour, mais je repéré assez vite que nous ne sommes pas seuls. Entre les buissons, on nous observe. D’autres hommes nus nous regardent, se branlent. Stefan et moi échangeons des fellations, il me rimme avant de me sodomiser par derrière contre un arbre. Il regarde autour de nous. Je lis sur son visage son plaisir à être vu et observé quand on fait l’amour. Je prends du plaisir, bien sûr. Mais je ne sais pas trop quoi penser…
Stefan insiste pour que nous retournions au lac secret le plus souvent possible. J’aime l’endroit, c’est un petit coin de paradis, et je donne donc à Stefan ce petit plaisir de faire l’amour devant les autres à chaque fois.
L’hiver suivant, on continue à fréquenter les saunas… mais l’été et le soleil sur ma peau nue me manquent.
L’été suivant, les choses s’accélèrent. Nous sommes assidus au lac de l’été dernier bien sûr, mais un jour, Stefan me lance : « Ça te dirait un après-midi naturiste chez quelqu’un ? Il a une grande piscine et un super jardin ». Pourquoi pas…
La piscine et le jardin sont en fait très jolis. Nous partageons la journée nus avec d’autres hommes, à bronzer et nager. Ce n’est pas déplaisant. Mais progressivement, l’ambiance change. Les mains commencent à se balader. Stefan me caresse. Deux à deux les couples commencent leurs jeux. On fait l’amour comme tout le monde. Mais d’un regard Stefan invite les autres à nous rejoindre. Pour la première fois, je vais faire un plan à trois. Stefan prend les choses en main. Tout en m’enculant, il invite d’autres hommes à se faire sucer par moi. Je me fais prendre par devant et par derrière. Sensation nouvelle, troublante. A quatre pattes dans le jardin, les queues défilent dans ma bouche et dans mon cul. La journée naturiste s’est maintenant transformée en partouze. Stefan me met ensuite à disposition d’autres hommes, il organise les ébats, les positions dans lesquelles il veut que je baise. Alors que je chevauche la bite d’un beau mec bien muscle, il se glisse derrière, et je suis double pénétré ! Une troisième queue se glisse dans ma bouche. Stefan est extatique. La journée s’achève et j’ai pris tellement d’éjaculations dans le cul et dans la bouche. Je suis fatigué… Trop fatigué pour penser. Mon corps a aimé, c’est sûr…
Les choses s’accélèrent ensuite. Quand nous nous rendons au lac secret, Stefan ne perd plus de temps. Pas de baignade, pas de bronzette. Il m’entraine immédiatement dans un coin pour un plan à plusieurs dans la forêt. Il a manifestement organisé les choses, car souvent j’ai l’impression que les gens nous attendent. Le plus souvent avec un homme seul, parfois un couple. Stefan me fait sucer et branler tout le monde, avant que quelqu’un ne commence à me bouffer le cul. Mon cul et ma bouche sont toujours remplis simultanément… De plus en plus, Stefan prend juste plaisir à me regarder. Des fois, il n’intervient même pas, et se contente de mater.
Je commence à réaliser que je suis sous son emprise. Je me contente de suivre… Que m’arrive-t-il ? Où est passé mon idéal de jeunesse ? Où est passée la communion avec la nature ? La nudité n’est maintenant plus prétexte qu’a l’exhibitionnisme et au voyeurisme ? Mon corps aimé ce qu’il ressent mais je ressens aussi un manque croissant. Je prends en fait de moins en moins de plaisir. Je ne suis pas choqué, ni dégouté, mais ma sexualité est en train de prendre un tour que je n’ai pas choisi. Je ne me reconnais plus.
Un tournant se produit à l’automne. Stefan me glisse un week-end : « J’ai une petite surprise pour toi »
On se rend dans une grande maison isolée. On se déshabille dans le vestibule, et après je n’en crois pas mes yeux : chaque pièce est peuplée de mecs nus qui baisent à plusieurs. Je n’ai pas le temps de réfléchir que Stefan m’a déjà offert à deux hommes. Je suis aussitôt sucé, léché, doigté, tandis qu’on me présente des queues à sucer. Les mains poussent ma nuque, je n’ai pas de répit. Je sens en permanence une langue sur mon anus, ou un doigt me pénétrer. Bien que constamment occupé, je réalise aussi que beaucoup d’hommes sont habillés et ne sont la que pour mater. Pire, deux ou trois hommes passent de pièce en pièce pour prendre des photos ou filmer ! L’orgie dure plusieurs heures. Je me fais baiser par une vingtaine de mecs, mais je perds vite le compte. Les queues se déchargent en moi. J’ai un gout de sperme en permanence dans la bouche, et du foutre dégouline constamment le long de mes cuisses. Je prends aussi deux bites dans le cul en même temps plusieurs fois, ce qui m’attire un grand succès.
Plus la soirée avance, plus le vertige m’envahit. Je n’ai pas ressenti de plaisir ou à peine depuis que j’ai passé le seuil de la porte. Le paradis naturiste à viré en exhibitionnisme extrême. Où est passé le soleil ? Où est passée la sensualité ? Apres l’orgie, j’annonce à Stefan que je n’en peux plus. C’est fini… Et au bout de quelques jours, notre histoire s’achève.
Les mois qui suivent sont difficiles. Je me sens bien seul. Ma sexualité est-elle unique ? Puis je vraiment rencontrer des gens comme moi ?
Une fois les études terminées, je rentre en France et m’inscris sur des sites de rencontre gay avec le profil suivant.
« Jeune gay 23 ans, naturiste cherche plan sérieux avec un autre homme pour rencontres sensuelles, nudité à la maison et en dehors le plus souvent possible. Exhibitionniste et voyeur s’abstenir »
Je n’ai pas beaucoup de succès… Oui bien sûr, quelquefois le besoin primaire prend le dessus et je fais des plans d’un soir, mais je ne trouve personne qui souhaite vraiment vivre comme moi.
Jusqu’au jour où Serge m’envoie un message sur un site de rencontres. Son profil est similaire au mien. Il a mis en ligne des photos de lui nu sur différentes plages. Il a l’air plutôt sincère et sympa. Mais suis-je attiré par lui ? Non, pas vraiment. Il est beaucoup plus âgé que moi, la cinquantaine, pas sportif. Beaucoup plus riche aussi. On chatte pas mal. Je décidé quand même de le rencontrer. Il m’invite chez lui en banlieue. Très belle maison. Piscine. Magnifique jardin, clôturé, discret. Il fait beau. Il m’invite à me déshabiller entièrement. On passe un bon moment à poil dans son jardin et dans la piscine.
J’aime sa philosophie, proche de la mienne : il adore être nu au soleil, fréquente un maximum d’endroits naturistes, familiaux, et faire l’amour en extérieur, en toute discrétion avec un autre homme.
Au fur et à mesure de l’après-midi, je ressens une connexion croissante pour Serge, et de l’amitié. Assis au bord de la piscine, côte à côte, les pieds dans l’eau, il dépose un baiser sur mes lèvres. Le soleil, l’eau, le ciel bleu m’invitent aux plaisirs charnels. Même si je n’éprouve pas d’attirance particulière pour lui, j’ai envie de vivre cette expérience « naturelle » et de m’offrir a lui. Les caresses succèdent aux baisers, toujours dans la piscine.
Serge me prend par la main, et m’emmène faire l’amour à l’ombre dans un arbre, dans son grand jardin. Je m’adosse à un arbre, les paumes de mes mains caressent l’écorce, je ferme les yeux. La bouche de Serge sur mon sexe me donne beaucoup de plaisir. Pour la première fois depuis longtemps, je retrouve ce sentiment de bien-être, de plénitude, bien au-delà du plaisir charnel. Serge mec retourne pour me lécher les fesses et l’anus, avant de me prendre par derrière, debout contre l’arbre. Ses gestes sont lents, doux. Je prends énormément de plaisir. Tout en me pénétrant, il me branle avec tendresse et on finit par jouir ensemble, lui en moi, moi dans l’herbe. Nous avons refait l’amour une deuxième fois ce jour-là.
Suite à cette première rencontre, Serge et moi sommes devenus amis et amants, mais pas amoureux. Disons que Serge devient un ami, avec qui je partage une passion commune. Nous sommes clairs tous les deux là-dessus. Je passe parfois le week end chez lui nu pour profiter du jardin, et on fait l’amour au soleil. On fréquente tous les endroits naturistes possibles ensemble (non sexuels).
Serge m’initie à la randonue. Avec d’autres naturistes de tout âge, nous organisons des balades nus, en forêt, en toute discrétion. J’aime beaucoup ça…
L’été qui suit, Serge me propose de partir en vacances avec lui. 15 jours sur son voilier, au large de la Croatie. J’hésite. N’est-ce pas m’engager ? Mais je sais que Serge n’attend rien de moi. J’accepte…
Pendant deux semaines, nous vivons nus en permanence sur son voilier, et j’apprécie la sensation. Les autres plaisanciers ne sont pas choqués. Le naturisme est très développé en Croatie. J’aime plonger nu depuis le bateau. On fait l’amour sur le pont, tous les jours. J’aime jouir en regarder les eaux cristallines et les cotes rocheuses et sauvages. Dès que possible, nous explorons les criques. On se promène aussi dans les forets de pins. Dès que nous sommes isolés, et que l’endroit s’y prête, nous baisons en pleine nature.
Au retour, je suis reconnaissant… Serge m’a offert un bon moment. Mais je ressens le manque d’amour et de complicité. Serge m’apporte deux pièces essentielles de mon puzzle : le naturisme, le sexe… mais pas l’amour.
Tout va changer lors d’une randonue en septembre. Un nouveau s’est joint au groupe. Mon âge, blond, finement musclé. Son visage me dit quelque chose… Ce n’est qu’au bout d’une heure que je reconnais Alex, mon premier amour ! Lui non plus ne m’avait pas reconnu. Il faut dire qu’en 6 ans on a surement beaucoup changé. Est-ce le destin qui l’a ramené vers moi ?
Il est venu s’installer en France après ses études et un chagrin d’amour. Nous sommes tous les deux célibataires, disponibles. J’ai retrouvé par miracle mon alter ego.
En ce mois de septembre, l’été est encore chaud. On se retrouve le week end prochain, seuls tous les deux. Alex me donne rendez vous a l’orée des bois. Une fois enfonces dans la forêt, nous nous déshabillons intégralement, et marchons longuement nus, main dans la main. Jusqu’à nous retrouver dans un petit coin de paradis : des arbres, une clairière, et un ruisseau. Je retrouve le premier corps que j’ai aimé et gouté. Maintenant légèrement plus mature, muscle sans excès, à peine plus de poils. Quand nos lèvres se retrouvent, les souvenirs de notre première me reviennent en tête. Nous restons longuement debout, nus, face à face à nous embrasser, caresser, branler doucement. Le soleil nous caresse, tout comme l’herbe sous nos pieds. On se suce à genoux, l’un après l’autre doucement, sensuellement. Chacun prend soin du corps de l’autre et lèche, embrasse, suce le gland, la tige. On se met en 69 dans l’herbe, moi au-dessus, Alex en dessous. Après ma queue, Alex me lèche l’anus. Sa langue me donne un plaisir intense et s’aventure jusqu’en moi. Quant à moi, je lèche Alex en abondance. Je le veux en moi uniquement lubrifie de salive. Alex est allonge dans l’herbe sur le dos, et je viens m’empaler sur lui. Quel beau jeune homme ! Ses cheveux blondis au soleil… Je monte et descend sur sa queue. Ses mains me caressent longuement, doucement, partout… Sa bite stimule ma prostate. Le soleil m’enveloppe, l’herbe lèche mes genoux, la brise caresse me cheveux. Il n’y a pas un seul élément de mon corps qui ne soit sollicité, et envahi de bien-être. Je finis par jouir dans un orgasme complet, total. Je jouis de partout. Un frisson entier, et une vague de plaisir complète m’emportent. Je n’avais plus joui comme ça depuis tant d’années…
Cet après-midi-là, on refait l’amour quatre fois. On fait l’amour, et s’encule à tour de rôle dans toutes les positions, et dans tous les endroits possibles, notamment le ruisseau.
Alex et moi nous promettons de ne plus nous séparer et de vivre ensemble notre passion. Nous emménageons ensemble dans une coquette maison a la campagne, avec un jardin clôturé, sans voisins immédiat. Nous vivons nus à la maison et dans le jardin en permanence. L’été nous parcourons le monde pour explorer des paradis nus et y faire l’amour : plages grecques, jungle thaïlandaise, parcs américains, etc.
Depuis ce jour, je suis le plus heureux des hommes.