Albane (Suite)
Albane (2)
Albane, une jeune femme de 34 ans, mariée et mère de deux jeunes s, avait trompé son mari pour la première fois quinze jours auparavant. Cela sétait passé au cours du mariage dune collègue, avec un cousin de la mariée quelle ne connaissait pas. Il lavait caressée puis prise dans une salle annexe à la salle où se déroulait le mariage. Elle y avait pris un plaisir intense. Ce qui la troublait encore, cest que cest le regard dun jeune de son quartier, croisé dans la rue avant la noce qui avait allumé son excitation. Et le pire est quelle avait rêvé à plusieurs reprises quelle faisait lamour avec lui.
Elle venait de déposer ses s à la crèche. Profitant que le temps soit beau en ce mois de novembre, elle rentrait tranquillement chez elle, après avoir fait un détour par la boulangerie. Son mari, parti aider ses parents au Québec depuis près de 2 mois, lavait appelé la veille au soir pour lui dire quil prolongeait son séjour de deux semaines. Perdue dans des pensées moroses, elle marchait, les yeux perdus dans le vague.
Tout dun coup, elle frémit. Marchant dans le sens opposé, elle venait de reconnaitre ce jeune qui habitait parfois ses nuits de manière érotique. Elle le regarda. Il était de taille moyenne, plus grand en tout cas que son mètre cinquante-huit, les cheveux noirs légèrement frisés, les yeux foncés. Malgré son jeune âge, il semblait musclé. Elle se souvint quil lavait sifflée en la croisant, puis quil sétait retourné, la fixant du regard. Elle avait surpris ce regard chargé dun désir qui lavait déstabilisée et avait fait naitre en elle des frissons partant de son bas ventre.
Il se rapprochait, visiblement il ne lavait pas reconnue. Elle se sentait soudain frustrée. Elle sentait à nouveau poindre le désir, son sexe shumidifiait et la pointe de ses seins sérigeait. Ils se croisèrent, sans quil manifestât une réaction quelconque. Il est vrai quelle nétait pas maquillée, et était en jean et en pull.
Le soir, Albane partit travailler. Infirmière, elle travaillait au service des urgences. Comme dhabitude, le service était rempli, elle se mit au travail. Vers deux heures du matin, les pompiers déposèrent un jeune qui avait fait une chute de scooter. Il fut mis dans le box 3, le box dAlbane. La jeune infirmière pénétra dans le box ; « Bonsoir jeune homme » lui dit-elle « alors, que vous arrive-t-il ? ». Elle reconnut alors le petit jeune, objet de ses fantasmes nocturnes. Elle regarda sa feuille dadmission. Il sappelait Tom et était âgé de 17 ans. Elle le regarda droit dans les yeux et se sentit rougir. « Bon, vous avez eu un accident, le médecin va venir, je vais vous déshabiller pour quil puisse vous examiner. » Elle lui retira ses baskets, ses chaussettes, redoublant de précaution elle lui enleva son polo et son sweet-shirt. Elle lui retira ensuite son pantalon, lequel avait souffert de la chute. Elle lobserva à la dérobée. Son torse glabre était musclé, ses mamelons étroits dardaient, une bosse déformait le devant de son slip. Pourtant, il ne semblait pas bander. Elle le recouvrit dun drap. Elle se rendit-compte quelle mouillait. Le médecin arriva, examina le patient et prescrit des radios et une prise de sang. « Albane, tu peux le piquer sil te plait ? »
Albane prépara le matériel, tira un tabouret et sassit au chevet du jeune. « Cest mignon Albane comme prénom. Je trouve ça super-cool. Et puis, vous êtes canon je trouve » Elle lui sourit, écarta le drap et tira le bras vers elle. Elle mit un garrot pour faire gonfler la veine. La main de Tom reposait sur le haut des cuisses dAlbane et ce contact électrisa la jeune femme. Elle trouva la veine rapidement et réalisa lexamen.
Elle mit le moteur en route. Elle jeta un coup dil à son voisin. Il avait tourné la tête vers elle et fixait sa poitrine avec un regard intense. Elle se sentit défaillir. Une envie sourde la taraudait. Elle se rendit compte quelle avait envie de sexe. « Tu sais, je tai reconnue » lui dit doucement Tom. « On sétait vus dans la rue. Tu étais hyper sexy. Jai adoré tes jambes. Ça ma fait bander, jétais avec des potes et aussi ils tont trouvé cool. Le soir ça marrive de penser à toi. Jai bien vu que tu me matais cette nuit. Je suis sûr que tu as envie ». Albane était interloquée, le jeune lui plaisait, il la faisait fantasmer depuis quinze jours, et visiblement lattirance était réciproque.
Il linvestit dune seule poussée et simmobilisa un instant. Elle se sentait remplie comme elle ne lavait jamais été. Il entama alors un va et vient, variant le rythme. Elle se sentait partir. Lentement mais surement, telle une lame de fond issue de son ventre et irradiant dans toute sa chair. Elle jouit une première fois, se mordant le poignet pour ne pas hurler. Il ne sarrêta pas pour autant, continuer à la limer méthodiquement. Allongée sur le dos, elle regardait son jeune amant, son torse juvénile, ses traits encore presque ins, mais doté dun sexe redoutable dont il savait se servir admirablement. Il uvrait tel un marteau piqueur, son sexe coulissant onctueusement dans la grotte accueillante. Il avait posé ses mains sur ses seins, les caressant, les empaumant, pinçant parfois ses aréoles. Albane avait noué ses jambes autour de la taille du jeune homme et lui caressait le torse en le griffant au fur et à mesure quune nouvelle vague de plaisir naissait en elle. Il la conduisit à lorgasme et ils jouirent en même temps.
Sans pour autant débander, il la retourna, la fit mettre à quatre pattes et senfonça en elle à nouveau. Il agrémentait ses coups de boutoir de claques sur ses fesses quand il nempaumait pas ses mamelles ballotantes. Lassaut dura encore un bon quart dheure. On nentendait plus que leurs respirations sifflantes, leurs halètements, leurs soupirs rauques et le bruit régulier du ventre de lhomme frappant sur les fesses dAlbane. Elle jouit ainsi une troisième puis une quatrième fois. Son corps nétait plus quun sexe. Plus rien nexistait que la recherche du plaisir. Il se retira delle et se termina à la main, arrosant le dos dAlbane de longs jets blanchâtres.
Il sécroula sur elle. Ils cuvèrent leur plaisir, laissant les battements de leurs curs se calmer et reprendre un rythme normal. Tom retourna Albane, se coucha sur elle et lembrassa longuement, faisant pénétrer sa langue dans la bouche féminine et lenroulant autour de sa langue. Petite à petit, la virilité de Tom reprit de la vigueur, se redressa et trouva tout seul son chemin au cur du buisson ardent. Il entreprit une nouvelle chevauchée haletante. Sa verge ne semblait pas donner de signe de faiblesse, raide et puissante, investissant le sexe féminin. Albane se contorsionnait, se déhanchait, envoyait son bassin à la rencontre du pieu dévastateur. Elle criait des mots quelle navait jamais osé prononcer. La cavalcade dura près dune demi-heure. Tom fut le premier à capituler, bientôt suivi dAlbane.
Ils se désunirent, se relevèrent chancelants et se rhabillèrent en silence.
Le mari dAlbane revint un peu plus tôt que prévu, mettant fin à la parenthèse libertine de la jeune femme... La vie repris son cours. Albane ne revit jamais Tom. Elle apprit quil avait déménagé et était parti vivre en Australie.
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