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Louis est, plutôt, était agriculteur. À lépoque de cette histoire, il avait déjà largement dépassé la quarantaine. Le petit hameau tristounet où il habitait avec sa femme se composait de deux fermes et trois maisons, la ferme de Louis et celle de ses beaux-parents, deux des maisons nétaient habitées que le week-end par des citadins embourgeoisés et la troisième par une vielle dame solitaire. Les habitants de ce hameau étaient tous plutôt âgés. En fait, Louis et sa femme étaient les plus jeunes, les derniers à devoir encore travailler pour gagner leur pain quotidien.
Louis et Marie sétaient mariés très jeunes, Marie était la fille de lautre fermier du hameau et ils se connaissaient depuis toujours. Dernier dune famille de quatre s, il avait deux frères et une sur et, comme souvent dans les campagnes, cest le moins futé des s qui reprend la ferme et la charge des parents. Les autres ont les moyens de sen sortir autrement. Vu létat des bâtiments et les bas revenus, il ny avait pas eu de problèmes entre frères et sur lorsquil sest agi de prendre la suite du père. Tout aurait été bien comme il se doit sauf que, malheureusement, Louis et Marie navaient pas pu avoir ds. La vie était donc monotone dans ce hameau où les seules distractions concernaient les travaux des champs.
A la mort de son beau-père, Louis avait repris les terres de lautre ferme, celle de ses beaux-parents, ce qui lui faisait une ferme dune trentaine dhectares. Ce nétait pas Byzance et pour sen sortir, Louis, qui était une force de la nature, élevait une vingtaine de vaches, des poules et des lapins, il cultivait des pommes de terre, des betteraves et aussi un jardin potager. Il ny a pas de petites économies et puis, ses légumes, il en connaissait la provenance.
Le couple ne partait jamais en vacances, ils ne sen plaignaient pas. Au contraire, ils appréciaient leur routine et leur tranquillité.
Leurs rares déplacements se faisaient à loccasion des mariages, des baptêmes ou des enterrements. Des occasions de revoir parfois de la famille plus ou moins proche quils avaient perdu de vue.
Cest justement à loccasion dun enterrement dun oncle que Marie retrouva une cousine qui était partie vivre à Paris et quelle navait pas revu depuis plus de vingt ans. La petite collation daprès lenterrement fut loccasion déchanger des nouvelles.
Marie apprit que sa cousine était divorcée avec un à charge, une fille qui venait juste davoir dix-huit ans. Depuis son divorce, elle avait beaucoup de mal avec cette fille qui avait raté sa scolarité, raté son diplôme de coiffeuse et avait de mauvaises fréquentations.
À la suite don ne sait quelle sentiment, générosité, compassion ou, plus probablement, pulsion maternelle refoulée, Marie proposa à sa cousine daccueillir sa petite-nièce pendant quelques temps.
Un mois plus tard, Louis attendait la petite-nièce à la gare de la ville voisine. Comme toujours le gros nounours sacquittait de sa tâche nonchalamment. Il navait quune description sommaire de Violaine mais on lui avait assuré quil naurait aucun problème pour la reconnaître.
En effet, il la repéra tout de suite parmi les quelques dizaines de passager qui venait de Paris, elle avait un look pour le moins voyant. Jeans trop grand et troués, blouson clouté, t-shirt fripé sortant à moitié du jeans, godillots qui navaient pas vu de cirage depuis leur fabrication. Le summum était atteint par son visage «peinturluré», des yeux entourés de mascaras noir qui débordait de partout, des lèvres couleur marron foncé, et des cheveux taillés à la hache.
Sapprochant delle, il se présenta et en signe de bienvenue, lui demanda lautorisation de lembrasser. Elle le regarda l'il torve et lui tendit une main toute molle. Le contraste était saisissant, lui, 1,90m, 100 kilos, propre et rasé de près plutôt mal à laise dans ses habits endimanchés, elle, 1,60 m environ et pesant au maximum une cinquantaine de kilos toute mouillée. Elle avait lair de se demander ce quelle faisait dans ce pays avec ce plouc.
Louis soupira, il nétait pas trop daccord pour héberger quelquun, cela allait déranger ses habitudes. La Marie lavait dailleurs déjà prévenu, il faudra mettre une sourdine à leurs ébats de façon à ne pas mettre leur invitée dans lembarras.
Il était contrarié Louis, il avait un bel appétit sexuel et couvrait la Marie presque tous les jours sauf, bien entendu, lorsquelle avait ses règles. Oh ! Bien sûr, il ne faisait pas de chichis, un coup ou deux à la missionnaire et il se retournait satisfait, sendormant en ronflant presque aussitôt. Marie, avait cessé de faire semblant depuis bien longtemps, mais elle avait vite compris tous les avantages quelle pouvait tirer dun gars courageux et pas compliqué. Surtout si celui-ci pouvait se faire dégorger le concombre à volonté. Le meilleur moyen de lempêcher de courir la gueuse était de le laisser faire. À tel point que parfois, lorsquelle était sur le coup de sendormir avant quil ne monte la rejoindre, elle se couchait sur le côté en chien de fusil, il ne restait plus alors à Louis, que de la prendre par derrière sans trop la secouer pour ne pas la réveiller. À part une ou deux soirées de gala dans lannée, il nétait pas question de léchouilles, cunni
machin, la fellation et la sodomie nétaient par ailleurs jamais au menu.
Ce jour-là, larrivée dune invitée rendait Marie nerveuse.
Les premiers jours furent pourtant pénibles, Malgré tous les gestes de bonnes volontés de Marie, Violaine traînait les pieds, elle sennuyait, ne trouvant pas ses marques, elle se levait aux environs de midi. Tous les jours, Marie lui portait le petit déjeuner dans sa chambre sur un plateau. Louis ne comprenait pas sa femme, il sagaçait de voir cette gamine qui snobait toutes ces attentions et se disait que si cela avait été sa fille, il laurait dressé à sa manière.
Néanmoins, Marie était dans le vrai, doucement, par petit pas, Violaine se mit à faire des efforts pour plaire à ses hôtes, se levait plus tôt, essayait daider en donnant à manger dans la basse-cour, allait chercher des légumes dans le jardin. Avec les jours qui passaient, une certaine complicité naquit entre les deux femmes. Oh ! Bien sûr, tout nétait parfait. De temps en temps, Violaine faisait des petites crises et montrait ses mauvais côtés. Malgré ces sautes dhumeur, Marie, avec beaucoup de patience, avait réussi par petit pas à changer le look de la jeune fille. Un petit tour à la ville pour lui acheter une robe et dautres accessoires.
Violaine, qui navait porté que des pantalons jusquà maintenant, découvrait le plaisir de porter des robes, elle était même passée dun extrême à lautre. Toute émoustillée par lair frais qui se glissait entre ses cuisses. Un soir, Marie sortit une robe de style vichy du coffre où elle se languissait, Violaine voulue à tout prix lessayer. Lorsquil vit la jeune fille dans cette robe, Louis fut subjugué, il revoyait la Marie dans cette robe alors que cette dernière nétait quune adolescente. Violaine, qui avait aperçu une petite lueur de ses yeux, eut envie de jouer les séductrices, prenant des attitudes craquantes, elle lui demanda de la conduire au bourg pour voir un peu ce quil sy passait. Louis, décidé à faire des concessions pour marquer sa bonne volonté, la conduisit en voiture.
À cette heure, les rues du centre étaient désertes, il ny avait plus que le bar tabac qui était ouvert. Ne voulant pas la laisser seule dans un lieu quelle ne connaissait pas, il laccompagna à lintérieur. Et puis, il faudrait bien quelle revienne à la maison !
Il ny avait pas grand monde, juste deux jeunes qui jouaient au billard et la patronne derrière son comptoir. Il s'assièrent à une table et commandèrent lui une bière, elle un coca. Au bout de quelque instant quils mirent à profit pour mieux sapprivoiser lun lautre, Violaine se leva pour aller consulter la liste des morceaux de musique qui se trouvaient dans le juke-box. Ce faisant elle passa près de la table billard en tortillant légèrement ses fesses. Cet appel eut lécho escompté et les deux jeunes gens commencèrent à monter à lassaut. Sans sen rendre compte, Louis sexaspérait de cette drague. Prenant intérieurement prétexte du rôle de protecteur quil était censé avoir, il rappela à Violaine quil fallait rentrer à la maison. Celle-ci obtempéra non sans lancer des regards dencouragements à ses soupirants, au grand dam de Louis.
Le lendemain samedi, Marie était en retard, comme tous les samedis, elle devait se rendre au marché pour y vendre les produits de la ferme. Elle demanda à Louis qui comme tous les jours était déjà au travail depuis six heures du matin, daller porter le petit-déjeuner dans la chambre de Violaine. Maugréant envers ces jeunes que lon devrait élever à la dure plutôt que de les chouchouter, il sexécuta quand même.
À peine sil frappa à la porte avant dentrer. Les rideaux mal ajustés laissaient passer un peu de lumière. La chambre était plongée dans une demi pénombre et il y régnait une forte odeur de renfermé.
Posant le plateau, il ouvrit les rideaux et la fenêtre. En regardant vers le lit, il vit Violaine qui était couché de trois quarts sur le ventre. Réveillée par le bruit et lappel dair, elle se retourna péniblement et sassit sur son lit en se frottant les yeux. Elle portait une de l'ancienne veste de pyjama de Louis trois fois trop grande pour elle. Cette veste nétait pas fermée et laissait voir une petite poitrine avec de tous petits seins en forme de volcan parfait dont les cratères étaient coiffés de tétons disproportionnés. Devant tant de grâce, tant de fragilité apparente, Louis qui était habitué à triturer la grosse poitrine de Marie, sentit poindre une intense émotion au fond de sa gorge, il semblait hypnotisé par cette poitrine qui lui apparaissait plus fragile quun vase en porcelaine de chine. Violaine sentit ce regard qui la violait plus que si lhomme sétait jeté sur elle. Elle referma prestement les pans de la veste de pyjama.
- Bonjour oncle Louis.
Cest ainsi quils avaient décidé de sappeler, oncle Louis, tante Marie et Violaine.
- Bonjour, réussit-il à articuler.
Ils navaient pas grand-chose à se dire, alors après quelques instants de silence pesant, pour rompre ce silence, elle ne trouva rien de mieux que :
- En partant, tu veux bien descendre le pot de chambre s'il te plaît.
Ces vieilles maisons nétaient aux normes des conditions dhygiènes actuelles. Pas de salle de bains, pas de WC et le chauffage était assuré par des appareils mobiles fonctionnant au gaz butane. Louis sen était contenté jusque maintenant et il trouvait cela normal. La salle de bains et le seul WC intérieur nétait accessible quen traversant la chambre du couple ou alors en passant par lextérieur. Le pot de chambre était donc pratique pour éviter de sortir dehors la nuit pour les petits besoins urgents.
Depuis ce jour, Louis sarrangeait pour porter le petit-déjeuner de Violaine le plus souvent possible. Violaine, qui sen était rendu compte, jouait le jeu en oubliant parfois de refermer correctement les pans de son pyjama. Elle délaissait aussi les repas des petits animaux de la ferme pour tourner autour de Louis pendant ses occupations, laccompagnant dans les champs tout en prétextant quelle adorait conduire le vieux tracteur.
Marie sétait aperçu de la nouvelle complicité qui réunissait loncle et la petite-nièce, cela la confortait dans son approche de léducation et des bienfaits de lair de la campagne.
Cétait lépoque des gros travaux dans les champs mais il semblait à Louis quils étaient moins lourds que dhabitude. Un jour, dans un champ, perdu au milieu dautres champs, pendant que Louis tondait la luzerne avant que la pluie ne len empêche, Violaine décida de grimper dans un arbre bordant le champ. Le ciel, qui était bleu à leur départ de la ferme, devenait de plus en plus gris et on sattendait à ce que les nuages noirs qui défilaient là-haut se déversent brusquement sur leurs têtes. A un certain moment, sinquiétant de ne plus la voir à côté de lui, Louis arrêta son tracteur et la chercha visuellement. Il laperçut perchée sur son arbre à plus de deux mètres de hauteur, elle lui faisait de grands signes. Louis remis son tracteur en marche et sapprocha.
- Que se passe-t-il, tu as peur descendre ?
- Je voudrais bien t-y voir toi !
- Oh ! Moi, je ne suis pas si bête pour me mettre dans de telle situation. Vas-y, nai pas peur, laisse-toi glisser le long du tronc
- Non, je vais me faire mal et déchirer la robe de tante Marie.
- Louis se décida à descendre de son tracteur et sapprocha de larbre.
- Vas-y, saute, je suis là, je vais te rattr !
- Non, jai peur.
Après quelques instants de réflexions, Louis se rapprocha encore plus de larbre de façon à se mettre juste en dessous de Violaine, dos au tronc. En levant les yeux, il eut alors la vision de ce quil ne soupçonnait même pas. Une petite culotte blanc immaculé, tellement petite quil en faudrait au moins cinq comme celle-ci pour en faire une à Marie, cette petite culotte enveloppait difficilement deux globes, petits mais ferme et bien rond. Cest la première fois que Louis se rendait compte que Violaine avait un beau cul, cétait même la première fois quil voyait une femme sous cet angle, vue par-dessous, la petite bande de tissu qui séparait le devant du derrière dégageait un érotisme extraordinaire. Mesdames, si vous saviez leffet dévastateur que provoquent les images volées de vos dessous en situation, je suis sûr que beaucoup dentre vous sarrangeraient pour multiplier les occasions.
Louis, le cerveau en ébullition, imaginait le trésor qui sy cachait.
- Quest-ce que je fais ?
Violaine simpatientait là-haut. Après quelques instants pour se remettre de ses émotions.
- Tu poses tes pieds lun après lautre sur mes épaules, doucement, nait pas peur. Accroche-toi au tronc et laisses toi glisser.
Violaine, avec moult précautions, se laissa glisser jusquà se retrouver à califourchon sur les épaules de son oncle, son ventre contre la tête de Louis. Celui-ci, même sil en avait eu envie, ne pouvait pas se dégager, coincé par le tronc de larbre. Mais il nen avait pas envie, enivré par lodeur intime de Violaine. Au contraire, ce quil avait envie, cétait de déchirer la petite culotte avec ses dents afin de pouvoir lécher de tout son saoul les trésors cachés.
- Alors, quest-ce que tu attends, fait moi descendre.
Le ton mi-ferme, mi-ironique fit revenir Louis à la réalité. Il la fit glisser le long de son corps jusquà ce quelle puisse poser les pieds par terre. Au passage, elle put se rendre compte à la bosse de son pantalon, combien il avait été sensible à ce quil avait vu.
La pluie se faisait de plus en plus menaçante. Louis, en bon paysan, remis vite les pieds sur terre. Il fallait ramasser la luzerne et la mettre à labri avant quelle ne prenne trop dhumidité, quitte à la ressortir après pour la faire sécher. Violaine rentra à pieds non sans avoir auparavant lancé à Louis des regards provocants et plein de promesses. D'ores et déjà, elle avait décidé de pousser son avantage.
Le lendemain, comme dhabitude, Louis monta le petit-déjeuner. Lorsquil voulut prendre le pot de chambre avant de repartir. Violaine linterpella.
- Attends, jai envie de faire pipi.
Louis pensa quelle exagérait, elle aurait pu faire ça avant, mais bon.
- Tourne-toi, je ne suis pas visible.
Il se tourna et entendit Violaine qui se déplaçait à pieds nus. Quelque instant plus tard, il entendit le bruit caractéristique du jet qui tombe dans le fond et sur les parois du pot de chambre émaillé. Louis ne sétait jamais rendu compte jusquà présent du pouvoir érotique que représentait ce petit bruit. Son imagination allait bon train, et insensiblement sa queue grossissait.
- Je nai rien pour messuyer !
Marre de cette gamine qui se foutait de sa gueule. Il se retourna pour se retrouver face à elle et au moment où il allait lenvoyer paître, il la vit, là, devant lui, légèrement fléchie sur ses jambes écartées autour du pot de chambre. Elle navait que le haut du pyjama, largement ouvert, laissant voir son insolente toison noire, une goutte durine accrochée sur ses poils. Sa queue fit un bon vers le ciel.
Après lavoir amorcé, elle comprit quil fallait le ferrer, il fallait que ça passe ou que ça casse.
- Tu veux bien messuyer ?
Elle avait un culot monstre. Il avait des yeux exorbités. Il lui fallut quelques instants avant de pouvoir articuler :
- Com
ment ?
- Avec ta langue, ça sera bon humm !
Il nen croyait pas ses oreilles, jamais la Marie ne lui avait demandé un truc comme ça. Sans savoir comment, il se retrouva entre les cuisses de sa petite-nièce, dégustant les gouttes qui perlaient de sa chatte, léchant en grognant, la poussant contre le mur comme un goret poussant sa gamelle. Au bout de quelque instant de ce traitement, Violaine eut lorgasme du vainqueur. Après quil leut bien essuyé, elle le repoussa non sans difficultés.
Il voulut aller plus loin en sortant son vit violacé, mais elle ne lentendait pas de cette oreille.
- Ça suffit maintenant, si tu insistes, je crie.
Cette menace fut suffisante, Marie nétait pas très loin dans la cour et il nallait pas gâcher sa vie pour une petite allumeuse. Après tout, sil se montrait gentil, peut-être quil y aurait dautres occasions.
Ce soir-là, tous les prétextes et les appels à la raison de Marie furent vains pour se soustraire aux désirs de son mari. Elle y passa avec une sauvagerie inhabituelle quelle imputa à une trop longue abstinence. À tel point que le lendemain, elle fut gênée pour répondre aux questions hypocrites de Violaine sur le raffut de la veille.
Tous les jours maintenant, Louis attendait avec impatience le petit déjeuner, moment où il pouvait de nouveau lécher le con mêlé de pisse et de mouille de la jeune fille.
Un soir, elle insista pour aller de nouveau faire un petit tour au bourg. Louis nétait pas très enthousiaste en se rappelant la première visite mais maintenant, il pouvait difficilement lui refuser quoi que ce soit. Avec laccord de Marie, il la conduisit donc au bourg. Une fois sur place et après quelle se fut assuré que les jeunes gens étaient au bar tabac, elle renvoya Louis en lui disant quelle trouverait bien quelquun pour la reconduire et que le cas échéant, elle appellerait au téléphone. Maugréant, mais se rendant compte à quel point il était en porte-à-faux, il rentra à la ferme.
Il ne put aller se coucher, attendant que Violaine veuille bien rentrer. Minuit, toujours personne, bien sûr, minuit ce nest pas tard mais dans les campagnes, les gens se couchent en général vers 22h30, juste après le film de 20h30. Même si Violaine était majeure, il se sentait moralement responsable. La connaissant, il nétait pas très rassuré. Ny tenant plus, il se rendit de nouveau au bourg. Le bar était fermé, seuls quelques lampadaires assuraient une lumière blafarde. Pour retrouver Violaine, il décida de faire le tour des quelques coins tranquilles quil avait lui-même fréquentés dans sa jeunesse.
Bien lui en pris, il aperçut une voiture dans un chemin de terre. À la lumière de ses phares, il vit quil y avait du monde qui bougeait à lintérieur. Sapprochant, il aperçut Violaine radieuse, qui embrassait un des gars à pleine bouche et les deux garçons avaient chacun une main dans la petite culotte de la fille. Très fâché, il ouvrit violemment la portière et empoignant Violaine par le bras, la sortie vigoureusement de la voiture pour la ramener à la maison. Elle protesta de sa majorité mais rien ni fit. De leur côté, les jeunes gens ne réagirent pas devant ce colosse en colère, dautant plus que dans le village tout le monde se connaissait et il valait mieux ne pas faire dhistoire.
Sur le chemin du retour, Louis lui passa un savon dans lequel on pouvait percevoir de la jalousie. Elle ne dit pas un mot.
Le lendemain, Louis, calmé, porta le petit-déjeuner comme dhabitude. Arrivé sur le palier, il remarqua quelle avait mis le pot de chambre sur le palier. La porte était fermée à clé. Il frappa plusieurs fois espérant quelle lui réponde. Finalement il se décida à poser le plateau sur le palier et demporter le pot pour le vider comme dhabitude. À peine arrivée au bas de lescalier, il entendit la porte souvrir et eut juste le temps dapercevoir une silhouette emporter le plateau.
Violaine boudait, Louis essayait bien de lui parler mais elle le fuyait. À table, ce nétait pas possible à cause de la présence de Marie. Les séances de lèche du matin lui manquaient beaucoup.
Le troisième jour, au moment de vider le pot dans le WC, il eut une idée folle, celle de goûter lurine de Violaine. Lange et le démon se disputaient dans sa tête, cest le démon qui gagna. Il porta le pot aux larges bords à sa bouche et doucement, il but. Cela avait un goût très fort et très particulier, mais sachant quil sagissait de la production intime de Violaine, le démon lui accorda toutes les vertus. Il réussit à avaler plusieurs gorgées et même que ça le faisait bander dur. Personne ne pouvait le voir, mais rouge de honte, il sortit sa grosse bite et se branla en geignant.
Au bout dune semaine, Violaine semblait moins fâchée, un jour elle remit même la robe vichy que Marie lui avait prêté. Louis en profita pour lui proposer de laccompagner dans les champs, justement, il devait aller finir de couper le champ de luzerne près du bois. Après avoir fait semblant dhésiter, Violaine accepta.
Comme il lespérait, au terme dune demi-heure, la même scène que la première fois se produisit, Violaine grimpa dans larbre, Louis sapprocha et se mit doffice sous la branche sur laquelle elle était perchée. En levant la tête, il eut encore une surprise, décidément, la petite était pleine dimagination. Non seulement elle navait pas de culotte, mais en plus, son mont de vénus était complètement glabre, elle sétait rasée et le spectacle coupa le souffle de Louis, il ne pouvait détacher les yeux de lentre jambe et se disait quil devait être bénit du bon dieu pour avoir la chance de contempler des choses aussi merveilleuses. Il est évident quil bandait comme un âne.
Doucement, sans rien dire, les paroles auraient été superflues, elle posa ses pieds sur les épaules de Louis et se laissa glisser le long du tronc darbre jusquà que sa chatte rencontre les lèvres de Louis. Là, elle sarrêta, et serrant larbre du plus fort quelle pouvait, elle offrit son con et son cul à la langue vorace de son oncle. Au bout dun quart dheure, à bout de force, elle se laissa tomber sur Louis. Il la déposa délicatement par terre et la supplia de lui accorder ses faveurs.
- Non, il nen est pas question, je ne veux pas faire cocu tante Marie qui ma si bien accueilli.
Elle ne manquait pas dair, après excité le mâle au maximum, elle prenait prétexte de considérations morales pour se refuser à lui.
- Mais
Si tu veux, tu peux te branler, jaimerais bien voir un homme se branler pour moi.
Dans létat ou il était, Il était prêt à tout accepter, se mettant à genoux, il sortit son gros machin. Faussement ingénue, elle sallongea sur le dos à deux mètres devant lui et, se tenant sur les coudes, ouvrit ses cuisses laissant de nouveau voir la bouleversante origine du monde. Cette posture obscène, le gros plan sur cet entrecuisse complètement lisse décupla son désir si cétait encore possible. Il se branla furieusement et lorsque le premier jet de foutre atterrit entre les jambes de Violaine, des larmes se mirent à couler de ses yeux. Il était vil, il était lâche et il avait honte davoir pris un tel plaisir sous l'il moqueur de la jeune fille. Visiblement, celle-ci était fière de constater son pouvoir.
Sa queue nétait pourtant pas encore satisfaite, malgré une légère faiblesse après quil eut éjaculé, il avait encore envie. Mais déjà, Violaine sétait relevée. Se plantant debout à quelques centimètres du visage de Louis, elle lui donna ses ordres.
- À partir de maintenant, quand tu mapporteras le petit déjeuner, avant dentrer dans la chambre, je veux que tu sortes ton engin de façon à ce que je puisse vérifier si tu as envie de moi. Si tu bande bien, tu pourras alors te mettre à genoux devant le pot de chambre et messuyer le minou après que jai pissé, sinon, ce ne sera même pas la peine de rester.
Vaincu, honteux, Louis continua à se branler les larmes aux yeux pendant quelle séloignait.
Les jours suivants, avant dentrer dans la chambre de Violaine, Louis prenait bien soin de sortir sa queue et de se branler légèrement pour lui donner un peu de prestance. Enfin présentable, il frappait discrètement à la porte et déposait le plateau sur la table. Il sapprochait ensuite du lit, flamberge au vent et attendait que Violaine constate quil était dans de bonnes dispositions. Parfois, pour lhumilier encore davantage, elle saisissait le mandrin en faisant «diling, diling». Alors elle ordonnait.
- Cest bon, mets-toi en position, jarrive.
Mais ce nétait pas encore assez pour lui dans la descente aux enfers. Un jour, alors quil venait une fois de plus de servir de PQ à Violaine. Il osa.
- Jaimerais que tu me pisses dans la bouche, je crève denvie de te boire.
Elle eut un sourire de rapace, elle le tenait vraiment à sa botte.
- Figure-toi que jy avais déjà pensé. Je craignais que tu nen sois pas capable
mais si tu me le demandes
En tous les cas, pour aujourdhui, cest trop tard, je te promets que je vais y réfléchir.
Le lendemain était un samedi, jour de marché. Louis savait que dès que Marie serait partie, il aurait tout son temps avec Violaine. Ce jour-là, Marie avait du mal à préparer ses produits. Louis bouillait dimpatience. Enfin elle partit. Il prépara le plateau tremblant dexcitation et comme dhabitude sortit sa queue avant dentrer dans la chambre de Violaine. Comme à son habitude, elle était allongée de trois quart sur le ventre avant de se retourner tout doucement.
- Ce nest pas trop tôt, jai faim et une envie de pisser à mourir. Passe-moi le plateau.
Louis sétonna, dhabitude il laissait le plateau sur la table. Mais elle reprit.
- Pas de manières, hier tu mas demandé de te pisser dans la bouche, et bien, sois content, tu vas être servi. Allez, glisses-toi sous les draps.
Le cur de Louis battait la chamade, ses rêves et ses craintes étaient sur le point de se réaliser. Pendant quil sinstallait entre les cuisses divines, prenant soins de se ménager une arrivée dair, Violaine tenait le plateau en lair pour quil ne le renverse pas. Lendroit était saturé des odeurs que dégage tout corps humain. Une fois quil fut installé, Violaine sajusta pour plaquer son sexe sur la bouche de Louis, elle croisa ses jambes sur son dos et ramena le drap jusquà elle en lui recouvrant le haut du corps. Ensuite, elle posa le plateau sur la tête de Louis et le coinça contre sa propre taille.
De lendroit où il se trouvait, Louis entendait les bruits étouffés du café que lon verse dans la tasse, du café que lon touille, de la biscotte que lon beurre. Il avait contre sa bouche un con trempé et il faisait ce quil était censé faire, cest à dire lécher délicatement en attendant que la propriétaire de ce con décide dautre chose. Elle mouillait comme ce nest pas permis et prenait tout son temps.
Tout à coup, le silence. Violaine poussait en essayant de contenir une quantité qui risquait dêtre trop importante. La bouche grande ouverte, Louis attendait loffrande, elle arriva sous la forme dun long jet de pisse accompagnée dun petit vent quelle navait pas pu ni voulu contenir. Il sefforça davaler au mieux et se mit à lécher pour essuyer ce qui avait légèrement débordé. Il navait pas fini que déjà, là-haut, elle remettait ça. Ils prirent tous deux, ce jour-là, un petit déjeuner inoubliable. Louis éjacula par le simple frottement du drap sur sa queue.
Ce festin ne pouvait se renouveler tous les jours parce que Marie ne comprendrait pas quil faille autant de temps à Louis pour déposer un plateau de repas. Alors, ils mirent au point une technique plus rapide pour les jours ordinaires. Comme dhabitude, Louis, entrait la queue en lair pour faire allégeance à Violaine, il posait le plateau sur la table, là, changement, il venait sasseoir au pied du lit dos contre celui-ci, il renversait ensuite sa tête en arrière, la posant sur le matelas. Elle, lui tournant aussi le dos, à genoux sur le lit, se mettait à califourchon sur son visage et après les ajustements nécessaires, se soulageait dans sa bouche. Cétait un moment magique qui transportait Louis au septième ciel, cet instant ou il sentait les petites lèvres de Violaine souvrir, le méat doux et humide qui grossissait et enfin, le jet puissant qui cognait sur sa langue, sur son palais et au fond de sa gorge, loffrande lenvahissait, elle investissait tout son corps, il avait limpression que Violaine se liquéfiait en lui, quils fusionnaient. Cétait des instants ou il avait limpression de ne plus rien peser, de flotter dans lair, dêtre en apesanteur dans la navette spatiale de 2001 odyssée de lespace, le beau Danube bleu comme musique de fond. Il était alors fréquent que Louis se masturbe pendant quils jouissaient tous deux différemment de ces merveilleux moments dintimité.
Les jours passaient et se ressemblaient, Louis était un peu plus nerveux, moins attentif dans son travail, une seule chose lintéressait, le petit déjeuner de Violaine. Celle-ci, toute la journée, profitait de son pouvoir pour agacer Louis, prenant des poses suggestives à chaque fois que cétait possible. Lui promettant le nirvana sil était bien obéissant.
Un soir, au cours du repas, elle se montra insolente envers Marie arguant de son statut dinvitée. Marie, ayant moins de raisons que Louis pour supporter ses caprices, ne sen laissa pas conter. Elle piqua une colère et enjoignit Louis de lapprouver. Ce quil fit à voix basse en essayant de ne pas trop simpliquer. Violaine se le tint pour dit et bouda une grande partie du repas. Au moment du dessert, elle se leva pour aller chercher la corbeille de fruits et lorsquelle passa derrière Marie fit des signes à Louis pour se venger et reprendre la main. Mettant ses mains entre ses cuisses et serrant les genoux dans la position de la petite fille qui a une grosse envie et ne peut plus se retenir, elle indiqua à Louis de sortir.
Louis, pour éviter tout esclandre et craignant des révélations gênantes, fit semblant de se rappeler quune de ses vaches avait des signes inquiétant de maladie et déclara quil lui fallait impérativement aller la voir dans létable. À peine était-il parti que Violaine déclara tout simplement quelle devait aller pisser. Elle le rejoignit dans létable.
Il lattendait, debout entre deux vaches. Lorsquelle arriva, elle lui indiqua la position dans laquelle elle voulait le voir. Louis se mit à genoux et bascula la tête en arrière. Violaine lenjamba et écartant sa petite culotte, se soulagea sans retenue dans la gorge accueillante. Le miracle eut lieu comme dhabitude. La drogue distillée par le conin de Violaine annihilait tout esprit de révolte chez Louis. Lorsquelle eut fini sa miction, Louis lui nettoya respectueusement la chatte.
Remarquant que comme dhabitude, Louis bandait, elle ordonna.
- Je ne peux pas attendre parce que tante Marie pourrait arriver dun instant à lautre. Alors, je veux que tu sortes ta grosse queue et tu te branles jusquà que tu nen puisses plus, je ne veux pas quelle profite ce soir de létat ou tu es grâce à moi.
La petite peste était à peine arrivée à la porte de létable quelle entendit Marie qui venait aux nouvelles. Elle se planqua et se faufila dès que possibles dans la cuisine, prenant une attitude de sainte nitouche.
Marie arriva à hauteur de lendroit où se trouvait son mari, le trouva à genoux, agitant son gros machin noueux. Après 25 ans de mariage, cest la première fois quelle le voyait se branler. Ouvrant des yeux ronds comme des billes.
- Ben, quest-ce que tu fais ?
Cétait pour dire quelque chose, elle voyait bien ce quil faisait. Il la regarda. Même pas gêné dans cette position humiliante pour un homme de son âge, on pourrait même dire soulagé de se faire prendre et pouvoir enfin partager sa douleur.
- Tu le vois bien, je fais suer le monstre, il en a besoin
depuis que la petite est là, il ny en a que pour elle. Moi je ne compte plus, je suis un homme, jai des besoins.
Bien sûr, cétait hypocrite, mais cest ce quon appelle retourner la situation. Le plus extraordinaire fut que ça a marché. Marie, toute attendrie, les yeux voilés devant son gros nounours qui se livrait sans pudeur devant elle. Elle sentait confusément quil se passait des choses pas très catholiques. La fameuse intuition féminine ? Dans un souffle, elle dit.
- Viens.
Le prenant par la main, elle le releva et il la suivit, il neut pas le temps de fermer sa braguette, à peine sil eut le temps de ranger le monstre dans son caleçon. Passant devant Violaine dans la cuisine, Marie lui dit dun air pincé.
- Ne tinquiète pas si tu entends du bruit dans notre chambre, si ça te gêne, mets-toi un oreiller sur la tête !
Il était à peine 8 heures, ce soir-là, la lumière resta allumée dans la chambre jusquà 2 heures du matin. Louis et Marie eurent le temps de jouer, et de rejouer plusieurs fois la « charge de la brigade légère ».
Le lendemain matin, Louis du bas de lescalier, invitait Violaine à venir prendre son petit déjeuner dans la cuisine.
Violaine compris que son temps était fini, de toutes façons, elle en avait marre de ce pays où il faisait tout le temps gris. Deux jours plus tard, Marie la reconduisait à la gare. Profitant dêtre en ville, elle sacheta quelques lingeries polissonnes et même carrément provocatrices pour ne pas dire porno.
Comme au temps où ils étaient jeunes mariés et même plus, Louis était un homme comblé, Marie avait commencé à lui faire des fellations, bon cest vrai, elle avait encore beaucoup de progrès à faire, mais cétait tant mieux, il y aurait beaucoup de répétitions. Par ailleurs, il ne désespérait pas de trouver les mots quil faut pour amener Marie à lui offrir ce que sa petite nièce avait tant de plaisir à lui faire déguster. Pourquoi ne pas lemmener à Sluis pour lui faire découvrir un tas douvrage sur la question que lon ne trouve pas en France ?
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