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Louis est, plutôt, était agriculteur. À l’époque de cette histoire, il avait déjà largement dépassé la quarantaine. Le petit hameau tristounet où il habitait avec sa femme se composait de deux fermes et trois maisons, la ferme de Louis et celle de ses beaux-parents, deux des maisons n’étaient habitées que le week-end par des citadins embourgeoisés et la troisième par une vielle dame solitaire. Les habitants de ce hameau étaient tous plutôt âgés. En fait, Louis et sa femme étaient les plus jeunes, les derniers à devoir encore travailler pour gagner leur pain quotidien.

Louis et Marie s’étaient mariés très jeunes, Marie était la fille de l’autre fermier du hameau et ils se connaissaient depuis toujours. Dernier d’une famille de quatre s, il avait deux frères et une sœur et, comme souvent dans les campagnes, c’est le moins futé des s qui reprend la ferme et la charge des parents. Les autres ont les moyens de s’en sortir autrement. Vu l’état des bâtiments et les bas revenus, il n’y avait pas eu de problèmes entre frères et sœur lorsqu’il s’est agi de prendre la suite du père. Tout aurait été bien comme il se doit sauf que, malheureusement, Louis et Marie n’avaient pas pu avoir d’s. La vie était donc monotone dans ce hameau où les seules distractions concernaient les travaux des champs.

A la mort de son beau-père, Louis avait repris les terres de l’autre ferme, celle de ses beaux-parents, ce qui lui faisait une ferme d’une trentaine d’hectares. Ce n’était pas Byzance et pour s’en sortir, Louis, qui était une force de la nature, élevait une vingtaine de vaches, des poules et des lapins, il cultivait des pommes de terre, des betteraves et aussi un jardin potager. Il n’y a pas de petites économies et puis, ses légumes, il en connaissait la provenance.

Le couple ne partait jamais en vacances, ils ne s’en plaignaient pas. Au contraire, ils appréciaient leur routine et leur tranquillité.

Leur seul regret était ne pas avoir d’. De temps en temps, l’un ou l’autre de leurs frères et sœurs venait avec neveux et nièces leur rendre visite le dimanche après-midi, c’était les seules fois ou un peu de jeunesse pénétrait dans la petite maison.

Leurs rares déplacements se faisaient à l’occasion des mariages, des baptêmes ou des enterrements. Des occasions de revoir parfois de la famille plus ou moins proche qu’ils avaient perdu de vue.

C’est justement à l’occasion d’un enterrement d’un oncle que Marie retrouva une cousine qui était partie vivre à Paris et qu’elle n’avait pas revu depuis plus de vingt ans. La petite collation d’après l’enterrement fut l’occasion d’échanger des nouvelles.

Marie apprit que sa cousine était divorcée avec un à charge, une fille qui venait juste d’avoir dix-huit ans. Depuis son divorce, elle avait beaucoup de mal avec cette fille qui avait raté sa scolarité, raté son diplôme de coiffeuse et avait de mauvaises fréquentations.

À la suite d’on ne sait qu’elle sentiment, générosité, compassion ou, plus probablement, pulsion maternelle refoulée, Marie proposa à sa cousine d’accueillir sa petite-nièce pendant quelques temps.

Un mois plus tard, Louis attendait la petite-nièce à la gare de la ville voisine. Comme toujours le gros nounours s’acquittait de sa tâche nonchalamment. Il n’avait qu’une description sommaire de Violaine mais on lui avait assuré qu’il n’aurait aucun problème pour la reconnaître.

En effet, il la repéra tout de suite parmi les quelques dizaines de passager qui venait de Paris, elle avait un look pour le moins voyant. Jeans trop grand et troués, blouson clouté, t-shirt fripé sortant à moitié du jeans, godillots qui n’avaient pas vu de cirage depuis leur fabrication. Le summum était atteint par son visage «peinturluré», des yeux entourés de mascaras noir qui débordait de partout, des lèvres couleur marron foncé, et des cheveux taillés à la hache.
Elle était en effet reconnaissable de loin. Louis, qui s’attendait à tout, on lui avait décrit une gamine aux allures de loubard, fut tout de même estomaqué.

S’approchant d’elle, il se présenta et en signe de bienvenue, lui demanda l’autorisation de l’embrasser. Elle le regarda l'œil torve et lui tendit une main toute molle. Le contraste était saisissant, lui, 1,90m, 100 kilos, propre et rasé de près plutôt mal à l’aise dans ses habits endimanchés, elle, 1,60 m environ et pesant au maximum une cinquantaine de kilos toute mouillée. Elle avait l’air de se demander ce qu’elle faisait dans ce pays avec ce plouc.

Louis soupira, il n’était pas trop d’accord pour héberger quelqu’un, cela allait déranger ses habitudes. La Marie l’avait d’ailleurs déjà prévenu, il faudra mettre une sourdine à leurs ébats de façon à ne pas mettre leur invitée dans l’embarras.

Il était contrarié Louis, il avait un bel appétit sexuel et couvrait la Marie presque tous les jours sauf, bien entendu, lorsqu’elle avait ses règles. Oh ! Bien sûr, il ne faisait pas de chichis, un coup ou deux à la missionnaire et il se retournait satisfait, s’endormant en ronflant presque aussitôt. Marie, avait cessé de faire semblant depuis bien longtemps, mais elle avait vite compris tous les avantages qu’elle pouvait tirer d’un gars courageux et pas compliqué. Surtout si celui-ci pouvait se faire dégorger le concombre à volonté. Le meilleur moyen de l’empêcher de courir la gueuse était de le laisser faire. À tel point que parfois, lorsqu’elle était sur le coup de s’endormir avant qu’il ne monte la rejoindre, elle se couchait sur le côté en chien de fusil, il ne restait plus alors à Louis, que de la prendre par derrière sans trop la secouer pour ne pas la réveiller. À part une ou deux soirées de gala dans l’année, il n’était pas question de léchouilles, cunni…machin, la fellation et la sodomie n’étaient par ailleurs jamais au menu.

Ce jour-là, l’arrivée d’une invitée rendait Marie nerveuse.
Enfin, il y aurait un peu de neuf dans leur routine quotidienne. Tellement excitée par la venue de cette petite-nièce qu’elle ne fut même pas déçue par l’apparence de la jeune fille. Comme beaucoup de femme qui n’ont pas connu les joies de la maternité, elle avait des tonnes de tendresse à dépenser et des milliers de bons conseils à transmettre. Dans l’attente de l’arrivée de Violaine, elle avait préparé la chambre à l’étage, c’était leur ancienne chambre à Louis et à elle, mais depuis le décès des parents de Louis, ils se sont installés au rez-de-chaussée. La chambre était toute coquette, complètement récuré, papier peint primesautier refait à neuf, ravalement des peintures, chauffage d’appoint pour faire disparaître l’humidité, Marie avait même mis des fleurs dans un vase en signe de bienvenue. C’était la première fois que la chambre allait être occupé depuis au moins dix ans.

Les premiers jours furent pourtant pénibles, Malgré tous les gestes de bonnes volontés de Marie, Violaine traînait les pieds, elle s’ennuyait, ne trouvant pas ses marques, elle se levait aux environs de midi. Tous les jours, Marie lui portait le petit déjeuner dans sa chambre sur un plateau. Louis ne comprenait pas sa femme, il s’agaçait de voir cette gamine qui snobait toutes ces attentions et se disait que si cela avait été sa fille, il l’aurait dressé à sa manière.

Néanmoins, Marie était dans le vrai, doucement, par petit pas, Violaine se mit à faire des efforts pour plaire à ses hôtes, se levait plus tôt, essayait d’aider en donnant à manger dans la basse-cour, allait chercher des légumes dans le jardin. Avec les jours qui passaient, une certaine complicité naquit entre les deux femmes. Oh ! Bien sûr, tout n’était parfait. De temps en temps, Violaine faisait des petites crises et montrait ses mauvais côtés. Malgré ces sautes d’humeur, Marie, avec beaucoup de patience, avait réussi par petit pas à changer le look de la jeune fille. Un petit tour à la ville pour lui acheter une robe et d’autres accessoires.
Un petit coup ciseaux lorsque la coiffeuse vint à domicile pour Marie. Enfin, la suppression progressive du maquillage outrancier laissa apparaître un charmant visage qui n’avait justement pas besoin de maquillage. Même Louis se surpris à penser que finalement, Violaine était un beau brin de fille, un peu maigrichonne à son goût, mais mignonne quand même.

Violaine, qui n’avait porté que des pantalons jusqu’à maintenant, découvrait le plaisir de porter des robes, elle était même passée d’un extrême à l’autre. Toute émoustillée par l’air frais qui se glissait entre ses cuisses. Un soir, Marie sortit une robe de style vichy du coffre où elle se languissait, Violaine voulue à tout prix l’essayer. Lorsqu’il vit la jeune fille dans cette robe, Louis fut subjugué, il revoyait la Marie dans cette robe alors que cette dernière n’était qu’une adolescente. Violaine, qui avait aperçu une petite lueur de ses yeux, eut envie de jouer les séductrices, prenant des attitudes craquantes, elle lui demanda de la conduire au bourg pour voir un peu ce qu’il s’y passait. Louis, décidé à faire des concessions pour marquer sa bonne volonté, la conduisit en voiture.

À cette heure, les rues du centre étaient désertes, il n’y avait plus que le bar tabac qui était ouvert. Ne voulant pas la laisser seule dans un lieu qu’elle ne connaissait pas, il l’accompagna à l’intérieur. Et puis, il faudrait bien qu’elle revienne à la maison !

Il n’y avait pas grand monde, juste deux jeunes qui jouaient au billard et la patronne derrière son comptoir. Il s'assièrent à une table et commandèrent lui une bière, elle un coca. Au bout de quelque instant qu’ils mirent à profit pour mieux s’apprivoiser l’un l’autre, Violaine se leva pour aller consulter la liste des morceaux de musique qui se trouvaient dans le juke-box. Ce faisant elle passa près de la table billard en tortillant légèrement ses fesses. Cet appel eut l’écho escompté et les deux jeunes gens commencèrent à monter à l’assaut. Sans s’en rendre compte, Louis s’exaspérait de cette drague. Prenant intérieurement prétexte du rôle de protecteur qu’il était censé avoir, il rappela à Violaine qu’il fallait rentrer à la maison. Celle-ci obtempéra non sans lancer des regards d’encouragements à ses soupirants, au grand dam de Louis.

Le lendemain samedi, Marie était en retard, comme tous les samedis, elle devait se rendre au marché pour y vendre les produits de la ferme. Elle demanda à Louis qui comme tous les jours était déjà au travail depuis six heures du matin, d’aller porter le petit-déjeuner dans la chambre de Violaine. Maugréant envers ces jeunes que l’on devrait élever à la dure plutôt que de les chouchouter, il s’exécuta quand même.
À peine s’il frappa à la porte avant d’entrer. Les rideaux mal ajustés laissaient passer un peu de lumière. La chambre était plongée dans une demi pénombre et il y régnait une forte odeur de renfermé.

Posant le plateau, il ouvrit les rideaux et la fenêtre. En regardant vers le lit, il vit Violaine qui était couché de trois quarts sur le ventre. Réveillée par le bruit et l’appel d’air, elle se retourna péniblement et s’assit sur son lit en se frottant les yeux. Elle portait une de l'ancienne veste de pyjama de Louis trois fois trop grande pour elle. Cette veste n’était pas fermée et laissait voir une petite poitrine avec de tous petits seins en forme de volcan parfait dont les cratères étaient coiffés de tétons disproportionnés. Devant tant de grâce, tant de fragilité apparente, Louis qui était habitué à triturer la grosse poitrine de Marie, sentit poindre une intense émotion au fond de sa gorge, il semblait hypnotisé par cette poitrine qui lui apparaissait plus fragile qu’un vase en porcelaine de chine. Violaine sentit ce regard qui la violait plus que si l’homme s’était jeté sur elle. Elle referma prestement les pans de la veste de pyjama.
- Bonjour oncle Louis.
C’est ainsi qu’ils avaient décidé de s’appeler, oncle Louis, tante Marie et Violaine.
- Bonjour, réussit-il à articuler.
Ils n’avaient pas grand-chose à se dire, alors après quelques instants de silence pesant, pour rompre ce silence, elle ne trouva rien de mieux que :
- En partant, tu veux bien descendre le pot de chambre s'il te plaît.
Ces vieilles maisons n’étaient aux normes des conditions d’hygiènes actuelles. Pas de salle de bains, pas de WC et le chauffage était assuré par des appareils mobiles fonctionnant au gaz butane. Louis s’en était contenté jusque maintenant et il trouvait cela normal. La salle de bains et le seul WC intérieur n’était accessible qu’en traversant la chambre du couple ou alors en passant par l’extérieur. Le pot de chambre était donc pratique pour éviter de sortir dehors la nuit pour les petits besoins urgents.

Depuis ce jour, Louis s’arrangeait pour porter le petit-déjeuner de Violaine le plus souvent possible. Violaine, qui s’en était rendu compte, jouait le jeu en oubliant parfois de refermer correctement les pans de son pyjama. Elle délaissait aussi les repas des petits animaux de la ferme pour tourner autour de Louis pendant ses occupations, l’accompagnant dans les champs tout en prétextant qu’elle adorait conduire le vieux tracteur.
Marie s’était aperçu de la nouvelle complicité qui réunissait l’oncle et la petite-nièce, cela la confortait dans son approche de l’éducation et des bienfaits de l’air de la campagne.

C’était l’époque des gros travaux dans les champs mais il semblait à Louis qu’ils étaient moins lourds que d’habitude. Un jour, dans un champ, perdu au milieu d’autres champs, pendant que Louis tondait la luzerne avant que la pluie ne l’en empêche, Violaine décida de grimper dans un arbre bordant le champ. Le ciel, qui était bleu à leur départ de la ferme, devenait de plus en plus gris et on s’attendait à ce que les nuages noirs qui défilaient là-haut se déversent brusquement sur leurs têtes. A un certain moment, s’inquiétant de ne plus la voir à côté de lui, Louis arrêta son tracteur et la chercha visuellement. Il l’aperçut perchée sur son arbre à plus de deux mètres de hauteur, elle lui faisait de grands signes. Louis remis son tracteur en marche et s’approcha.
- Que se passe-t-il, tu as peur descendre ?
- Je voudrais bien t-y voir toi !
- Oh ! Moi, je ne suis pas si bête pour me mettre dans de telle situation. Vas-y, n’ai pas peur, laisse-toi glisser le long du tronc
- Non, je vais me faire mal et déchirer la robe de tante Marie.
- Louis se décida à descendre de son tracteur et s’approcha de l’arbre.
- Vas-y, saute, je suis là, je vais te rattr !
- Non, j’ai peur.
Après quelques instants de réflexions, Louis se rapprocha encore plus de l’arbre de façon à se mettre juste en dessous de Violaine, dos au tronc. En levant les yeux, il eut alors la vision de ce qu’il ne soupçonnait même pas. Une petite culotte blanc immaculé, tellement petite qu’il en faudrait au moins cinq comme celle-ci pour en faire une à Marie, cette petite culotte enveloppait difficilement deux globes, petits mais ferme et bien rond. C’est la première fois que Louis se rendait compte que Violaine avait un beau cul, c’était même la première fois qu’il voyait une femme sous cet angle, vue par-dessous, la petite bande de tissu qui séparait le devant du derrière dégageait un érotisme extraordinaire. Mesdames, si vous saviez l’effet dévastateur que provoquent les images volées de vos dessous en situation, je suis sûr que beaucoup d’entre vous s’arrangeraient pour multiplier les occasions.

Louis, le cerveau en ébullition, imaginait le trésor qui s’y cachait.
- Qu’est-ce que je fais ?
Violaine s’impatientait là-haut. Après quelques instants pour se remettre de ses émotions.
- Tu poses tes pieds l’un après l’autre sur mes épaules, doucement, n’ait pas peur. Accroche-toi au tronc et laisses toi glisser.
Violaine, avec moult précautions, se laissa glisser jusqu’à se retrouver à califourchon sur les épaules de son oncle, son ventre contre la tête de Louis. Celui-ci, même s’il en avait eu envie, ne pouvait pas se dégager, coincé par le tronc de l’arbre. Mais il n’en avait pas envie, enivré par l’odeur intime de Violaine. Au contraire, ce qu’il avait envie, c’était de déchirer la petite culotte avec ses dents afin de pouvoir lécher de tout son saoul les trésors cachés.
- Alors, qu’est-ce que tu attends, fait moi descendre.
Le ton mi-ferme, mi-ironique fit revenir Louis à la réalité. Il la fit glisser le long de son corps jusqu’à ce qu’elle puisse poser les pieds par terre. Au passage, elle put se rendre compte à la bosse de son pantalon, combien il avait été sensible à ce qu’il avait vu.

La pluie se faisait de plus en plus menaçante. Louis, en bon paysan, remis vite les pieds sur terre. Il fallait ramasser la luzerne et la mettre à l’abri avant qu’elle ne prenne trop d’humidité, quitte à la ressortir après pour la faire sécher. Violaine rentra à pieds non sans avoir auparavant lancé à Louis des regards provocants et plein de promesses. D'ores et déjà, elle avait décidé de pousser son avantage.

Le lendemain, comme d’habitude, Louis monta le petit-déjeuner. Lorsqu’il voulut prendre le pot de chambre avant de repartir. Violaine l’interpella.
- Attends, j’ai envie de faire pipi.
Louis pensa qu’elle exagérait, elle aurait pu faire ça avant, mais bon.

- Tourne-toi, je ne suis pas visible.
Il se tourna et entendit Violaine qui se déplaçait à pieds nus. Quelque instant plus tard, il entendit le bruit caractéristique du jet qui tombe dans le fond et sur les parois du pot de chambre émaillé. Louis ne s’était jamais rendu compte jusqu’à présent du pouvoir érotique que représentait ce petit bruit. Son imagination allait bon train, et insensiblement sa queue grossissait.
- Je n’ai rien pour m’essuyer !
Marre de cette gamine qui se foutait de sa gueule. Il se retourna pour se retrouver face à elle et au moment où il allait l’envoyer paître, il la vit, là, devant lui, légèrement fléchie sur ses jambes écartées autour du pot de chambre. Elle n’avait que le haut du pyjama, largement ouvert, laissant voir son insolente toison noire, une goutte d’urine accrochée sur ses poils. Sa queue fit un bon vers le ciel.
Après l’avoir amorcé, elle comprit qu’il fallait le ferrer, il fallait que ça passe ou que ça casse.
- Tu veux bien m’essuyer ?
Elle avait un culot monstre. Il avait des yeux exorbités. Il lui fallut quelques instants avant de pouvoir articuler :
- Com…ment ?
- Avec ta langue, ça sera bon humm !
Il n’en croyait pas ses oreilles, jamais la Marie ne lui avait demandé un truc comme ça. Sans savoir comment, il se retrouva entre les cuisses de sa petite-nièce, dégustant les gouttes qui perlaient de sa chatte, léchant en grognant, la poussant contre le mur comme un goret poussant sa gamelle. Au bout de quelque instant de ce traitement, Violaine eut l’orgasme du vainqueur. Après qu’il l’eut bien essuyé, elle le repoussa non sans difficultés.

Il voulut aller plus loin en sortant son vit violacé, mais elle ne l’entendait pas de cette oreille.
- Ça suffit maintenant, si tu insistes, je crie.
Cette menace fut suffisante, Marie n’était pas très loin dans la cour et il n’allait pas gâcher sa vie pour une petite allumeuse. Après tout, s’il se montrait gentil, peut-être qu’il y aurait d’autres occasions.

Ce soir-là, tous les prétextes et les appels à la raison de Marie furent vains pour se soustraire aux désirs de son mari. Elle y passa avec une sauvagerie inhabituelle qu’elle imputa à une trop longue abstinence. À tel point que le lendemain, elle fut gênée pour répondre aux questions hypocrites de Violaine sur le raffut de la veille.

Tous les jours maintenant, Louis attendait avec impatience le petit déjeuner, moment où il pouvait de nouveau lécher le con mêlé de pisse et de mouille de la jeune fille.

Un soir, elle insista pour aller de nouveau faire un petit tour au bourg. Louis n’était pas très enthousiaste en se rappelant la première visite mais maintenant, il pouvait difficilement lui refuser quoi que ce soit. Avec l’accord de Marie, il la conduisit donc au bourg. Une fois sur place et après qu’elle se fut assuré que les jeunes gens étaient au bar tabac, elle renvoya Louis en lui disant qu’elle trouverait bien quelqu’un pour la reconduire et que le cas échéant, elle appellerait au téléphone. Maugréant, mais se rendant compte à quel point il était en porte-à-faux, il rentra à la ferme.

Il ne put aller se coucher, attendant que Violaine veuille bien rentrer. Minuit, toujours personne, bien sûr, minuit ce n’est pas tard mais dans les campagnes, les gens se couchent en général vers 22h30, juste après le film de 20h30. Même si Violaine était majeure, il se sentait moralement responsable. La connaissant, il n’était pas très rassuré. N’y tenant plus, il se rendit de nouveau au bourg. Le bar était fermé, seuls quelques lampadaires assuraient une lumière blafarde. Pour retrouver Violaine, il décida de faire le tour des quelques coins tranquilles qu’il avait lui-même fréquentés dans sa jeunesse.

Bien lui en pris, il aperçut une voiture dans un chemin de terre. À la lumière de ses phares, il vit qu’il y avait du monde qui bougeait à l’intérieur. S’approchant, il aperçut Violaine radieuse, qui embrassait un des gars à pleine bouche et les deux garçons avaient chacun une main dans la petite culotte de la fille. Très fâché, il ouvrit violemment la portière et empoignant Violaine par le bras, la sortie vigoureusement de la voiture pour la ramener à la maison. Elle protesta de sa majorité mais rien ni fit. De leur côté, les jeunes gens ne réagirent pas devant ce colosse en colère, d’autant plus que dans le village tout le monde se connaissait et il valait mieux ne pas faire d’histoire.

Sur le chemin du retour, Louis lui passa un savon dans lequel on pouvait percevoir de la jalousie. Elle ne dit pas un mot.

Le lendemain, Louis, calmé, porta le petit-déjeuner comme d’habitude. Arrivé sur le palier, il remarqua qu’elle avait mis le pot de chambre sur le palier. La porte était fermée à clé. Il frappa plusieurs fois espérant qu’elle lui réponde. Finalement il se décida à poser le plateau sur le palier et d’emporter le pot pour le vider comme d’habitude. À peine arrivée au bas de l’escalier, il entendit la porte s’ouvrir et eut juste le temps d’apercevoir une silhouette emporter le plateau.

Violaine boudait, Louis essayait bien de lui parler mais elle le fuyait. À table, ce n’était pas possible à cause de la présence de Marie. Les séances de lèche du matin lui manquaient beaucoup.

Le troisième jour, au moment de vider le pot dans le WC, il eut une idée folle, celle de goûter l’urine de Violaine. L’ange et le démon se disputaient dans sa tête, c’est le démon qui gagna. Il porta le pot aux larges bords à sa bouche et doucement, il but. Cela avait un goût très fort et très particulier, mais sachant qu’il s’agissait de la production intime de Violaine, le démon lui accorda toutes les vertus. Il réussit à avaler plusieurs gorgées et même que ça le faisait bander dur. Personne ne pouvait le voir, mais rouge de honte, il sortit sa grosse bite et se branla en geignant.

Au bout d’une semaine, Violaine semblait moins fâchée, un jour elle remit même la robe vichy que Marie lui avait prêté. Louis en profita pour lui proposer de l’accompagner dans les champs, justement, il devait aller finir de couper le champ de luzerne près du bois. Après avoir fait semblant d’hésiter, Violaine accepta.

Comme il l’espérait, au terme d’une demi-heure, la même scène que la première fois se produisit, Violaine grimpa dans l’arbre, Louis s’approcha et se mit d’office sous la branche sur laquelle elle était perchée. En levant la tête, il eut encore une surprise, décidément, la petite était pleine d’imagination. Non seulement elle n’avait pas de culotte, mais en plus, son mont de vénus était complètement glabre, elle s’était rasée et le spectacle coupa le souffle de Louis, il ne pouvait détacher les yeux de l’entre jambe et se disait qu’il devait être bénit du bon dieu pour avoir la chance de contempler des choses aussi merveilleuses. Il est évident qu’il bandait comme un âne.

Doucement, sans rien dire, les paroles auraient été superflues, elle posa ses pieds sur les épaules de Louis et se laissa glisser le long du tronc d’arbre jusqu’à que sa chatte rencontre les lèvres de Louis. Là, elle s’arrêta, et serrant l’arbre du plus fort qu’elle pouvait, elle offrit son con et son cul à la langue vorace de son oncle. Au bout d’un quart d’heure, à bout de force, elle se laissa tomber sur Louis. Il la déposa délicatement par terre et la supplia de lui accorder ses faveurs.
- Non, il n’en est pas question, je ne veux pas faire cocu tante Marie qui m’a si bien accueilli.
Elle ne manquait pas d’air, après excité le mâle au maximum, elle prenait prétexte de considérations morales pour se refuser à lui.
- Mais… Si tu veux, tu peux te branler, j’aimerais bien voir un homme se branler pour moi.
Dans l’état ou il était, Il était prêt à tout accepter, se mettant à genoux, il sortit son gros machin. Faussement ingénue, elle s’allongea sur le dos à deux mètres devant lui et, se tenant sur les coudes, ouvrit ses cuisses laissant de nouveau voir la bouleversante origine du monde. Cette posture obscène, le gros plan sur cet entrecuisse complètement lisse décupla son désir si c’était encore possible. Il se branla furieusement et lorsque le premier jet de foutre atterrit entre les jambes de Violaine, des larmes se mirent à couler de ses yeux. Il était vil, il était lâche et il avait honte d’avoir pris un tel plaisir sous l'œil moqueur de la jeune fille. Visiblement, celle-ci était fière de constater son pouvoir.

Sa queue n’était pourtant pas encore satisfaite, malgré une légère faiblesse après qu’il eut éjaculé, il avait encore envie. Mais déjà, Violaine s’était relevée. Se plantant debout à quelques centimètres du visage de Louis, elle lui donna ses ordres.
- À partir de maintenant, quand tu m’apporteras le petit déjeuner, avant d’entrer dans la chambre, je veux que tu sortes ton engin de façon à ce que je puisse vérifier si tu as envie de moi. Si tu bande bien, tu pourras alors te mettre à genoux devant le pot de chambre et m’essuyer le minou après que j’ai pissé, sinon, ce ne sera même pas la peine de rester.
Vaincu, honteux, Louis continua à se branler les larmes aux yeux pendant qu’elle s’éloignait.

Les jours suivants, avant d’entrer dans la chambre de Violaine, Louis prenait bien soin de sortir sa queue et de se branler légèrement pour lui donner un peu de prestance. Enfin présentable, il frappait discrètement à la porte et déposait le plateau sur la table. Il s’approchait ensuite du lit, flamberge au vent et attendait que Violaine constate qu’il était dans de bonnes dispositions. Parfois, pour l’humilier encore davantage, elle saisissait le mandrin en faisant «diling, diling». Alors elle ordonnait.
- C’est bon, mets-toi en position, j’arrive.
Mais ce n’était pas encore assez pour lui dans la descente aux enfers. Un jour, alors qu’il venait une fois de plus de servir de PQ à Violaine. Il osa.
- J’aimerais que tu me pisses dans la bouche, je crève d’envie de te boire.
Elle eut un sourire de rapace, elle le tenait vraiment à sa botte.
- Figure-toi que j’y avais déjà pensé. Je craignais que tu n’en sois pas capable… mais si tu me le demandes… En tous les cas, pour aujourd’hui, c’est trop tard, je te promets que je vais y réfléchir.

Le lendemain était un samedi, jour de marché. Louis savait que dès que Marie serait partie, il aurait tout son temps avec Violaine. Ce jour-là, Marie avait du mal à préparer ses produits. Louis bouillait d’impatience. Enfin elle partit. Il prépara le plateau tremblant d’excitation et comme d’habitude sortit sa queue avant d’entrer dans la chambre de Violaine. Comme à son habitude, elle était allongée de trois quart sur le ventre avant de se retourner tout doucement.
- Ce n’est pas trop tôt, j’ai faim et une envie de pisser à mourir. Passe-moi le plateau.
Louis s’étonna, d’habitude il laissait le plateau sur la table. Mais elle reprit.
- Pas de manières, hier tu m’as demandé de te pisser dans la bouche, et bien, sois content, tu vas être servi. Allez, glisses-toi sous les draps.
Le cœur de Louis battait la chamade, ses rêves et ses craintes étaient sur le point de se réaliser. Pendant qu’il s’installait entre les cuisses divines, prenant soins de se ménager une arrivée d’air, Violaine tenait le plateau en l’air pour qu’il ne le renverse pas. L’endroit était saturé des odeurs que dégage tout corps humain. Une fois qu’il fut installé, Violaine s’ajusta pour plaquer son sexe sur la bouche de Louis, elle croisa ses jambes sur son dos et ramena le drap jusqu’à elle en lui recouvrant le haut du corps. Ensuite, elle posa le plateau sur la tête de Louis et le coinça contre sa propre taille.

De l’endroit où il se trouvait, Louis entendait les bruits étouffés du café que l’on verse dans la tasse, du café que l’on touille, de la biscotte que l’on beurre. Il avait contre sa bouche un con trempé et il faisait ce qu’il était censé faire, c’est à dire lécher délicatement en attendant que la propriétaire de ce con décide d’autre chose. Elle mouillait comme ce n’est pas permis et prenait tout son temps.

Tout à coup, le silence. Violaine poussait en essayant de contenir une quantité qui risquait d’être trop importante. La bouche grande ouverte, Louis attendait l’offrande, elle arriva sous la forme d’un long jet de pisse accompagnée d’un petit vent qu’elle n’avait pas pu ni voulu contenir. Il s’efforça d’avaler au mieux et se mit à lécher pour essuyer ce qui avait légèrement débordé. Il n’avait pas fini que déjà, là-haut, elle remettait ça. Ils prirent tous deux, ce jour-là, un petit déjeuner inoubliable. Louis éjacula par le simple frottement du drap sur sa queue.

Ce festin ne pouvait se renouveler tous les jours parce que Marie ne comprendrait pas qu’il faille autant de temps à Louis pour déposer un plateau de repas. Alors, ils mirent au point une technique plus rapide pour les jours ordinaires. Comme d’habitude, Louis, entrait la queue en l’air pour faire allégeance à Violaine, il posait le plateau sur la table, là, changement, il venait s’asseoir au pied du lit dos contre celui-ci, il renversait ensuite sa tête en arrière, la posant sur le matelas. Elle, lui tournant aussi le dos, à genoux sur le lit, se mettait à califourchon sur son visage et après les ajustements nécessaires, se soulageait dans sa bouche. C’était un moment magique qui transportait Louis au septième ciel, cet instant ou il sentait les petites lèvres de Violaine s’ouvrir, le méat doux et humide qui grossissait et enfin, le jet puissant qui cognait sur sa langue, sur son palais et au fond de sa gorge, l’offrande l’envahissait, elle investissait tout son corps, il avait l’impression que Violaine se liquéfiait en lui, qu’ils fusionnaient. C’était des instants ou il avait l’impression de ne plus rien peser, de flotter dans l’air, d’être en apesanteur dans la navette spatiale de 2001 odyssée de l’espace, le beau Danube bleu comme musique de fond. Il était alors fréquent que Louis se masturbe pendant qu’ils jouissaient tous deux différemment de ces merveilleux moments d’intimité.

Les jours passaient et se ressemblaient, Louis était un peu plus nerveux, moins attentif dans son travail, une seule chose l’intéressait, le petit déjeuner de Violaine. Celle-ci, toute la journée, profitait de son pouvoir pour agacer Louis, prenant des poses suggestives à chaque fois que c’était possible. Lui promettant le nirvana s’il était bien obéissant.

Un soir, au cours du repas, elle se montra insolente envers Marie arguant de son statut d’invitée. Marie, ayant moins de raisons que Louis pour supporter ses caprices, ne s’en laissa pas conter. Elle piqua une colère et enjoignit Louis de l’approuver. Ce qu’il fit à voix basse en essayant de ne pas trop s’impliquer. Violaine se le tint pour dit et bouda une grande partie du repas. Au moment du dessert, elle se leva pour aller chercher la corbeille de fruits et lorsqu’elle passa derrière Marie fit des signes à Louis pour se venger et reprendre la main. Mettant ses mains entre ses cuisses et serrant les genoux dans la position de la petite fille qui a une grosse envie et ne peut plus se retenir, elle indiqua à Louis de sortir.

Louis, pour éviter tout esclandre et craignant des révélations gênantes, fit semblant de se rappeler qu’une de ses vaches avait des signes inquiétant de maladie et déclara qu’il lui fallait impérativement aller la voir dans l’étable. À peine était-il parti que Violaine déclara tout simplement qu’elle devait aller pisser. Elle le rejoignit dans l’étable.

Il l’attendait, debout entre deux vaches. Lorsqu’elle arriva, elle lui indiqua la position dans laquelle elle voulait le voir. Louis se mit à genoux et bascula la tête en arrière. Violaine l’enjamba et écartant sa petite culotte, se soulagea sans retenue dans la gorge accueillante. Le miracle eut lieu comme d’habitude. La drogue distillée par le conin de Violaine annihilait tout esprit de révolte chez Louis. Lorsqu’elle eut fini sa miction, Louis lui nettoya respectueusement la chatte.

Remarquant que comme d’habitude, Louis bandait, elle ordonna.
- Je ne peux pas attendre parce que tante Marie pourrait arriver d’un instant à l’autre. Alors, je veux que tu sortes ta grosse queue et tu te branles jusqu’à que tu n’en puisses plus, je ne veux pas qu’elle profite ce soir de l’état ou tu es grâce à moi.
La petite peste était à peine arrivée à la porte de l’étable qu’elle entendit Marie qui venait aux nouvelles. Elle se planqua et se faufila dès que possibles dans la cuisine, prenant une attitude de sainte nitouche.

Marie arriva à hauteur de l’endroit où se trouvait son mari, le trouva à genoux, agitant son gros machin noueux. Après 25 ans de mariage, c’est la première fois qu’elle le voyait se branler. Ouvrant des yeux ronds comme des billes.
- Ben, qu’est-ce que tu fais ?
C’était pour dire quelque chose, elle voyait bien ce qu’il faisait. Il la regarda. Même pas gêné dans cette position humiliante pour un homme de son âge, on pourrait même dire soulagé de se faire prendre et pouvoir enfin partager sa douleur.
- Tu le vois bien, je fais suer le monstre, il en a besoin… depuis que la petite est là, il n’y en a que pour elle. Moi je ne compte plus, je suis un homme, j’ai des besoins.
Bien sûr, c’était hypocrite, mais c’est ce qu’on appelle retourner la situation. Le plus extraordinaire fut que ça a marché. Marie, toute attendrie, les yeux voilés devant son gros nounours qui se livrait sans pudeur devant elle. Elle sentait confusément qu’il se passait des choses pas très catholiques. La fameuse intuition féminine ? Dans un souffle, elle dit.
- Viens.
Le prenant par la main, elle le releva et il la suivit, il n’eut pas le temps de fermer sa braguette, à peine s’il eut le temps de ranger le monstre dans son caleçon. Passant devant Violaine dans la cuisine, Marie lui dit d’un air pincé.
- Ne t’inquiète pas si tu entends du bruit dans notre chambre, si ça te gêne, mets-toi un oreiller sur la tête !
Il était à peine 8 heures, ce soir-là, la lumière resta allumée dans la chambre jusqu’à 2 heures du matin. Louis et Marie eurent le temps de jouer, et de rejouer plusieurs fois la « charge de la brigade légère ».

Le lendemain matin, Louis du bas de l’escalier, invitait Violaine à venir prendre son petit déjeuner dans la cuisine.

Violaine compris que son temps était fini, de toutes façons, elle en avait marre de ce pays où il faisait tout le temps gris. Deux jours plus tard, Marie la reconduisait à la gare. Profitant d’être en ville, elle s’acheta quelques lingeries polissonnes et même carrément provocatrices pour ne pas dire porno.

Comme au temps où ils étaient jeunes mariés et même plus, Louis était un homme comblé, Marie avait commencé à lui faire des fellations, bon c’est vrai, elle avait encore beaucoup de progrès à faire, mais c’était tant mieux, il y aurait beaucoup de répétitions. Par ailleurs, il ne désespérait pas de trouver les mots qu’il faut pour amener Marie à lui offrir ce que sa petite nièce avait tant de plaisir à lui faire déguster. Pourquoi ne pas l’emmener à Sluis pour lui faire découvrir un tas d’ouvrage sur la question que l’on ne trouve pas en France ?

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