Les Deux Femmes Cyclistes...
Alors que jétais en train de tondre la pelouse jai vu passer deux cyclistes féminines. Jusque là rien de bien particulier, me direz-vous. Surtout quils ont passé des dizaines de vélos par jour, sur cette petite route tranquille. Mais ce qui létait moins par contre, cest quelles ont ralenti en me voyant. Je les ai aperçu se dirent quelques mots, et lune delle cest même mise à rire avant de forcer de nouveau sur leurs pédales, et disparaître de mon champ de vision. Pas pour longtemps, puisque quelques minutes plus tard, elles ont réapparu. Prenant même la peine de stopper à la hauteur de mon portail, avant de me faire un signe de la main pour que je mapproche. Jai coupé le moteur de la tondeuse et je me suis rendu jusquà elles.
- Bonjour Monsieur. Vous possédez là, un beau jardin. Fit la brune. La quarantaine épanouie, grande, solide, possédant une beauté classique avec sa lourde chevelure, ses yeux noirs au regard ferme à la peau mate. Type méditerranéenne. Elle portait sur le cul un short en jean, avec plus haut un corsage de coton rose.
- Merci.
- Il sera possible que lon puisse remplir nos gourdes ?
- Bien sûr ! Avec plaisir, entrée donc. Dis-je, en leur donnant accès à ma propriété.
- Merci monsieur, firent-elles en cur. Poussant leurs bicyclettes dont lune avait une remorque attelé à la selle. Après avoir appuyer leurs montures contre le mur, elles se sont avancées jusquau tuyau darrosage, gourde en main.
- Vous faites quoi ? Leur demandais-je.
- Et bien nous nous apprêtons à remplir nos gourdes.
- Oui je veux bien mais pas là
pas à même le tuyau. Cela risque de donner mauvais goût à leau.
- Où ça alors ? A lancé la plus petite. les cheveux teint en roux. Elle aussi en short, avec un tee-shirt bleu au décolleté carré, avec de divers motifs sur la face. Des lueurs coquines au fond de ses grands yeux. Avec un visage mince à la peau de nacre, aux lèvres charnues, avec un petit nez droit.
- Je vous propose de remplir vos gourdes dans la cuisine. Là où je pense que leau est la meilleure.
- Cest que nous ne voulons pas vous dérangez. Surtout si Madame sy trouve.
- Ne vous inquiétez pas de ça, elle est au travail.
- Bon, alors dans ses conditions vous en suit. Fit la petite, sourire aux lèvres.
Une fois sur le lieu je les ai invités à remplir leurs gourdes à même le robinet.
- Je peux vous proposez un café ?
- Nous ne voulons pas vous r sur votre gentillesse. A lancé la brune.
- Sil nous le propose si gentiment, pourquoi ne pas accepter ? A répliqué la plus petite.
- Je vous en prie prenez place autour de la table. Je moccupe du café.
- Cest joli chez vous. Fit la rousse. Toujours avec le même sourire aux lèvres.
- Merci, madame.
- Moi cest Maude, et la grande dinde Clarisse.
- Moi cest Alain.
- Enchanté Alain, firent-elles en cur.
Mais alors que je maffairais à faire le café, jai entendu des chuchotements dans mon dos, suivis de ricanements. Une fois larabica passé, jai empli les tasses. Jai posé sur la table de quoi déjeuner. Puis je me suis installé face aux deux femmes. Leurs appétits faisaient plaisir à voir.
- Cest bien le premier déjeuner digne de ce nom que nous prenons depuis dix jours. Nest-ce pas Clarisse ?
- Je te laccorde. Répondit cette dernière, avant de mordre à pleine dents dans la tartine de pain quelle avait soigneusement beurré.
- Si jai bien compris cela fait dix jours que vous pédalez ?
- Non ! Onze pour être exacte. Nous avons laissé hommes et s, et avec ma belle-sur, Clarisse ici présente nous nous sommes décidés de prendre la route sur notre vélo. Pour ce faire nous avons pris des provisions, quelques fringues et nous voilà devant vous aujourdhui.
- Et combien de kilomètres ?
- Bien deux cents. Cest ça Clarisse ?
- Si tu le dis. Répondit-elle, tout en beurrant une autre tartine où elle coucha dessus une couche de confiture de fraises.
- Il serait possible que jempreinte vos toilettes, sil vous plaît ?
- Bien sûr ! Je vous en prie. Vous prenez le couloir en face de vous, la deuxième porte à votre droite.
Elle sest levée de sa place, et a fait un clin dil à sa compagne avant de disparaître, me laissant en tête à tête avec Clarisse. Qui sest empressé de se lever à son tour, pour sapprocher de moi. Approchant au plus près ses lèvres de mon visage. Effleurant imperceptiblement mon oreille. Déposant un baiser furtif sur Ma joue. Un autre un peu plus appuyé dans son cou. Je fus très vite envahi dune tension électrique, érotique. Un courant agréable circulait dans tout mon corps, ren à chaque fois plus, par les baisers de Clarisse.
Les derniers se sont faits aventureux. Sapprochant lentement au plus près de ma bouche. Un premier aboutit sur le coin des lèvres, alors quun autre pile dessus. Quelques secondes plus tard jouvris mes lèvres, offrant un passage à la langue audacieuse. Cen était fini de ma passivité. Jai même glissé ma main jusquà sa nuque, pour accen la pression de sa bouche sur la mienne. Puis dun bloc elle sest débattue reculant sa tête. Un sourire salace aux lèvres, elle sest laissé glisser jusquà mes pieds. Avec des gestes dinfirmière elle ma défroqué. Puis elle a amené sa tête jusquà ma cuisse. Glissant sa main sur mon pubis. Quelle a frictionné, avant denrouler ses doigts à la base de ma verge.
Avec une mine gourmande, elle a parcouru des lèvres ma verge. De la racine jusqu'à la pointe. Où elle les a posé sur mon gland. Elle la embrassait, la léchait, allant jusquà lagacé d'une langue pointue et experte. Puis la bouche sest ouverte. Assez grande pour me lenfourner. Où elle sest mise à me la sucer, me laspirer, pour enfin lengloutir dans en entier. Avec un mouvement de pompe, elle a fait monté et descendre sa tête. Tout en la suçant. Comme si ma verge avait été un sucre d'orge. Alternant les caresses de sa main et celle de sa bouche, auxquelles mon bassin a répondu par ses propres mouvements.
Avec tout ça je nai pas vu revenir Monique. Qui tenait dans sa main une culotte que jai reconnue étant celle de ma femme. Sous mes yeux témoins, elle la porta à ses narines avant de la faire humer par Clarisse.
- Je devine quelle appartient à votre femme.
- Vous avez bien deviné.
- Elle sent bon de la moule ! Fit Clarisse.
- Je confirme. Répliquais-je.
Cest alors que la brune sest redressé. Me laissant seul avec mon érection. Ce liant avec sa belle-sur, dont sa langue est allée au devant de la sienne. Leurs corps sappelés au travers les vêtements. Les doigts de Clarisse se sont glissés sous le tee-shirt de sa belle-soeur, malaxant se qui ce trouver en dessous.
- Cela vous dit quen aille sinstallé dans le salon ? Fis-je.
- Oui
oui, pourquoi pas ! Répondit Maude en faisant passer son tee-shirt par-dessus sa tête. Mexhibant son soutien-gorge en dentelle blanche.
Il a fallut que je patiente jusquau salon pour avoir le plaisir de me trouver en face dune généreuse poitrine. Mais pas le temps de mattarder dessus que déjà Clarisse a embouché un téton, cachant lautre avec son visage. Ce qui a arraché un halètement à Maude. Qui loin de rester inerte, sest empressée à déboutonner le short de la grande brune.
Jai lu sur le visage de la même Clarisse une jouissance imminente. Pas besoin davoir une grande imagination pour savoir quelle sorte de ballet la petite rousse faisait adopter à ses doigts, au fond de sa culotte.
Puis elles ont changé de position. Clarisse sest agenouillée au pied du canapé, entre les cuisses de Maude, dont son regard était collé au mien.
À laide de ses deux mains, la même Clarisse lui a fait descendre dun seul bloc, le short et la culotte, le long des jambes et a jeté le tout à mes pieds. Comme si elle avait deviné mon vice. Je ne me suis pas gêner pour men saisir. Jai extirpé la culotte blanche pour la porter à mes narines. De toutes les dernières culottes que javais humé celle-là mérité la palme dor. Cétait purement de lextrait de femme en rut. Une odeur qui aurait rebuté bien nombre de personne. Mais pas moi : Un vrai aphrodisiaque.
Du côté du divan, Maude a exhibé son sexe humide au milieu dun triangle de poils noirs, trop parfait pour être naturel. Clarisse, sans se souciait de ma présence, a poussé sa belle-sur a sinstallé sur le divan. Dans une position plus confortable pour elle. Puis à quatre pattes elle a approché ses lèvres du sexe, glissant sa langue aussi profonde quelle le pouvait. Très vite de longs râles vibrants, sont sortis de la bouche de la brune. Cest alors que mon regard fut comme aimanté par le cul de Clarisse dressé vers moi.
Je me suis pris à imaginer son intimité à travers le short. Limaginant très brûlante. Et que dire de ce cul. Fièrement mis en valeur par les reins cambrés. Avec cet il unique que je devinais caché derrière la toile.
Cétait trop, beaucoup trop pour pouvoir résister plus longtemps à la tentation de baiser ce short. Jai pour ça, abandonné mon poste dobservation, pour magenouiller derrière le cul. Maude, elle, gémissait toujours sous les coups de langue de sa belle-sur. Qui focalisé à donner du plaisir à sa compagne, na pas réagi lorsque jai fait remonté son t-shirt jusquà sa poitrine. À la différence de la brune, elle, elle ne portait pas de soutien-gorge. Jai frotté les tétons gonflés contre mes paumes, tout en massant mon érection contre son fessier. Entre deux coups de langue, Clarisse poussait de petits gémissements.
Jai profité de son trouble pour déboutonner son short, avec des doigts tremblotants. Trop impatient de faire connaissance avec son cul. Javoue avoir eu un grand mal à le lui défaire, tant il lui collait à la peau. Attirant dans sa descente la culotte en coton rose. Arrivé aux genoux, la gentille Clarisse ma aidé. En levant une jambe puis lautre afin de me facilité le passage. Là devant mes yeux éblouis, son cul nu. Je nai pas pu résisté de déposer un baiser sur chacune des fesses tendues. Une odeur puissante sen dégageait. Du bout de la langue, jai effleuré le petit trou. Un gémissement plus fort que ceux précédemment, sest échappé de sa bouche. Exhorté, jai caressé les abords du petit trou, formant des cercles concentriques qui doucement me rapprochaient du centre. Les plaintes de Clarisse se sont fait plus fréquents, plus longs, plus profonds.
Ma langue sest faite plus audacieuse. Senfonçant dans son cul, sentant les muscles se contracter autour. Je lai alors retiré légèrement, pour mieux revenir à la charge, linstant après. Menfonçant toujours un peu plus loin à chaque retour. Elle a gémit, sans pour cela sarrêtait de lécher Maude. Son corps sest tendu, sest cambré au maximum au point que son cul est venu à la rencontre de ma langue dans lespoir dêtre violé plus profondément.
La situation est devenue intolérable. Il fallait que je me vide dans ce cul ouvert, détendu, prêt à me recevoir. Me sentant derrière elle, Clarisse a appuyé ses fesses contre mon sexe. Par mobilités du bassin, jai guidé mon gland entre ses sphères, jusqu'à ce qu'il touche son petit trou trempé de ma propre salive. Saisissant la base de ma queue, je me suis pressé contre lorifice. Forçant doucement le passage. Menfonçant un peu plus à chaque mouvement. Cétait chaud, cétait étroit, mais cétait aussi très bon. Surtout que tour à tour, la coquine jouait avec son anus. Le décontractant, puis le contractant le plus fort quelle le pouvait autour de ma queue. Provoquant des sursauts de plaisir dans tout mon corps.
- Il mencule
il mencule
gémissait-elle.
Je me suis mis à la bourrer. De toute la longueur de ma verge. Et rapidement j'ai joui en elle. Avec limpression de déverser des litres de sperme dans son cul.
Vidés de toute énergie, satisfaits, apaisés, jai été reprendre mon souffle sur le divan. Pour y découvrir Maude, avec un regard dans le vague, perdu, cherchant le mien sans arriver à le trouver. Je le sentais. Elle nallait pas tarder de jouir. Comme pressenti, son corps sest crispé. Elle sest saisi de la tête de Clarisse, toujours entre ses jambes et la collait contre son sexe. Tout en jouissant, sa bouche laissait échapper un long râle allant crescendo.
Quelques minutes plus tard alors que Maude prenait une douche, je surpris Clarisse sur la cuvette des WC. Me voyant, par pur réflexe elle a serré les jambes. Je me suis approché.
- Laisse-moi de voir pisser. Lui demandais-je.
Incrédule, elle ma regardé avec des yeux ronds, avant de desserrer létau de ses cuisses.
- Ça te plaît de voir une femme faire pipi ?
- Tu ne timagines même pas. Écarte un peu plus, que jen vois un peu plus.
Elle sest exécutée, écartant ses jambes au maximum. Javais à cet instant, envie dêtre sale. Sous son regard témoin, jai placé deux doigts sous son jet durine clair puis je les ai porté à ma bouche pour les goûter.
- Délicieux ! Commentais-je.
- Oh mon dieu
Mais
Mais. Furent les seuls mots quelle put prononcer.
Jai réalisé la même opération à plusieurs reprises, avant de lui demander :
- Met toi à quatre pattes, je vais te baiser en levrette.
Clarisse ne sest pas fait prié. Elle sest levée, sest retournée et sest mise dans la position demandée, me présentant sa croupe. Je lai baisé tout en lui malaxant les nichons. Lui fessant les fesses avec mon ventre. Jai finis par lui enfoncer deux doigts, puis trois dans lanus dilaté par la précédente pénétration. Je lai longuement branlé, avant de les ressortir et les porter à mes narines. Ce fut son odeur qui déclencha mon plaisir.
Je nai plus de mots pour décrire ce qui a suivis. Je le garde pour moi. Gravé dans ma mémoire. Et il nest pas près de sestomper
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