Collection Libertinage. Le Domaine. Saison Ii (7/10)
La chapelle a pris feu et a fait fuir mon inconnu de lécurie au moment où enfin il recommençait à me baiser.
Contrairement à la première fois, jai pu participer avant que la foudre ne le fasse fuir de nouveau.
Laurette sest aperçu quil se passait quelque chose et arrive à me faire dire que je rencontre un inconnu qui me sexe comme une folle ayant même réussi à diriger nos jeux avant le début de lincendie.
- Maître Mathieu, asseyez-vous et prenez un café, il faut que lon parle de cette nuit et de ce quil va falloir faire.
- Madame Véronique, jai déjà entamé les procédures à entreprendre dans ces cas-là.
Jai vérifié le contrat la chapelle était bien prise en compte dans lassurance.
- Ça je savais, cest moi qui ai tenu à ce quelle soit incluse dedans car cest pour moi le symbole du domaine Dunant.
Si vous regardez sur toutes les étiquettes on voit la maison surplombée de la chapelle.
- Vous avez raison, jallais vous demander sil nétait pas préférable de labatte mais comme ce sont les assurances qui payeront la remise en état, je ferais le nécessaire.
- Pendant que nous y sommes, la société qui fera la couverture pourrait très bien refaire le pan de toit de la maison dont nous avions parlé lautre jour avant quune fuite ne dégrade la charpente.
- Bonne idée, lensemble des travaux me permettra de négocier le travail de la maison comme ils seront sur place.
- À oui, Maître Mathieu, faites porter quatre caisses de notre 1er cru vieilles vignes chez les pompiers pour le travail quils ont fait cette nuit.
En plus vous mettrez une caisse de Crémant pour le jeune pompier qui ma particulièrement aidé quand jai eu des soucis avec mon peignoir dans la piscine.
- Je suis au courant, jai vu Laurette qui sest empressée de tout me raconter.
- Vous a-t-elle parlé de lécurie ?
- Lécurie non, pourquoi ?
- Rien, passons.
- Moi aussi joublie de vous dire deux choses.
Les clients dont la femme était enceinte viennent de repartir car après les événements de cette nuit cela lui a entraîné le début des contractions.
Dommage pour Laurette, elle perd en même temps son lieu de rendez-vous et lobjet de ce rendez-vous.
- Sans oublier, le camion pour descendre les tonneaux de la récolte de lan passé en vins rouges de la cave à lentrepôt de mise en bouteilles et de ventes est arrivé.
Les tonneaux à sortir, il faut que je trouve les moyens financiers pour faciliter cette tâche.
La cave est sous la maison et va jusquaux chambres dhôtes.
Mon père avant sa mort avait investi dans le nouvel entrepôt où les tonneaux sont vidés dans des cuves par crus, filtrés et mis en bouteilles.
Elles sont étiquetées, capsulées pour les douanes et empilées en rangs contenant jusquà 10 000 bouteilles.
Pour finir le travail, mes employés les mettent en carton de 6 ou 12 bouteilles suivant les commandes.
Depuis toujours, le raisin était travaillé dans ce vieux chai et rentré dans la cave, grâce à des cordes et des anneaux de ferraille solidement ancrés dans le sol.
Quand le jus de raisin est arrivé à maturité il nous faut faire lopération inverse.
Travail ardu et pénible avec de gros risques d'accidents heureusement épargnés à ce jour.
Par chance, la pente étant suffisante, il va falloir creuser en points bas et faire une nouvelle entrée qui permettra de les prendre directement avec les engins de levage.
Les plans existent mais les moyens me manquent encore.
Mon père a pensé à beaucoup de choses pour faire fructifier le domaine Dunant mais avant de faire lentrepôt du bas il aurait dû faciliter le travail en faisant louverture sur notre cave ancestrale.
- Bien, je passerais tout à lheure travaillez bien et dite à tous de faire attention.
Dans la journée les premiers tonneaux sont sortis et amenés au nouvel entrepôt.
Les jours passent et le beau temps persiste.
Lassurance donne les autorisations pour la reconstruction de la chapelle.
Maître Mathieu a fait le nécessaire avec lentreprise de maçonnerie et charpente pour le toit du castel.
Aujourdhui le patron de lentreprise Pierre, nom prédestiné surtout dans nos villages avec nos maisons en pierres taillées.
- Bonjours madame Dunant, je vais vous demander sil mest possible de commencer les travaux du toit pour profiter du beau temps ?
Vous savez je suis monté dans les combes, il faudrait envisager une plus grosse intervention que le replâtrage que je vais faire mais je sais que linvestissement est nettement plus onéreux.
- Oui, dautant plus que je dois investir dans la sortie de la cave et dailleurs si jai le financement je ferais appel à vous.
Jespère que vous saurez me faire un prix abordable.
- Vous les femmes vous savez toujours trouver les mots pour nous amadouer.
Jétudierais votre demande au prix le plus juste, en attendant êtes-vous daccord pour quaujourdhui mes gars montent léchafaudage qui va ternir la beauté de cette façade jusquà la fin des travaux ?
- Aucun problème je mangerais à lautre bout de la terrasse je vais demander que ma table soit déplacée.
- Je peux vous demander ?
Cest reparti, je sais je suis aveugle.
Quatre jours plus tard léchafaudage est monté.
Trois ouvriers ont découvert la partie du toit qui pose le plus de problèmes.
- Véronique Lionel ma prévenu il a entraînement ce soir et restera à la troisième mi-temps.
- On met notre plan à exécution, jirai à lécurie à minuit.
Tu mas promis de me laisser du temps, jai envie de me faire baiser.
- Je te lai promis.
La journée est interminable et à lheure dite je rentre voir Rocco et Quasi ayant remis mon peignoir à lendroit étant nu dessous.
- Es-tu là ?
- Oui, dans le box vide à lopposé doù tu es.
Fait comme tu as fait chaque fois.
- Je moccupe de Rocco et je vais voir Quasi qui aime me lécher la main.
- Chut, il peut venir.
Je rejoins Rocco qui aime quand je lui brosse le poil.
Je sors après une demi-heure cest là que la première fois il mest apparu.
Je dois plutôt dire, senti semparer de moi.
Rien, je vais dans le box de Quasi, je me fais lécher la main près de trois quart-dheure sans la moindre présence de linconnu.
Mon ouïe entend Laurette bouger quelques fois, je mapproche de lendroit où elle est cachée et lui parle presque en murmurant.
- Je vais mallonger sur le foin cela le fera peut-être venir.
Je me déplace et je mallonge en quelques secondes mes yeux se ferment.
- Alors les jolies gougnottes on a pris son pied.
Je me réveille dun coup, je sens une présence dans mes bras bougeant en métirant comme une chatte.
- Merde Lionel arrête de déconner.
- Comment penses-tu que je dois comprendre ce que vous êtes la patronne et toi quand je vous trouve couchées sur un tas de foin ?
La patronne à poil son peignoir ouvert me montrant sa jolie petite chatte que je baiserais bien mais je taime Laurette et je veux vivre avec toi.
Quel mot puis-je employer que gougnotte quand ma copine dort dans tes bras ?
- Je sais les apparences sont contre nous mais regarde-moi je suis habillée et je taime aussi.
Je faisais un tour en attendant que tu rentres.
Javais envie de toi et jai entendu du bruit dans lécurie, je me suis approché et jai vu la patronne allongée à la lumière de la lune.
Me rapprochant, jai reçu un coup sur la tête, il devait y avoir un rôdeur qui a assommé Véronique et qui ma assommé et je suis tombée sur elle.
- Croyez là, Lionel, cest ce qui mest arrivée et si elle vous explique la suite étant dans les pommes se doit être la vérité.
- Je vais appeler la gendarmerie pour leur signaler la présence dun rôdeur.
- Inutile, Laurette doit me conduire à la gendarmerie je suis convoquée à la suite de lincendie de la chapelle nous leur en parlerons.
- Bien, je ferme les yeux patronne, je viens pour harnacher Pompon on va dans les vignes.
Nous nous relevons, je referme mon peignoir et nous reprenons le chemin de la maison.
- Que sest-il passé ?
- Justement rien, jen avais mare dans mon box assise sur une chaise alors je suis venue près de toi
Je me suis dit que je pouvais mallonger et en quelques minutes jai dû mendormir.
Jai des doutes que Lionel soit ton inconnu bien quil ait pu sentir notre piège et éviter dintervenir.
Je crois que celui que tu espérais piéger ce soir restera linconnu de tes nuits.
De retour dans ma chambre il me reste du temps pour dormir un peu.
Le foin cest sympa mais pour récupérer il y a mieux quand jentends du bruit devant ma fenêtre ouverte.
Jentends des murmures, jouvre les yeux et jai la désagréable impression dêtre épiée.
Cest la série, dans la piscine à la vue de tous.
Dans lécurie à celle de Lionel et maintenant depuis la fenêtre de ma chambre car je me suis allongée nue par ce début de chaude journée.
Plusieurs ouvriers montent léchafaudage semblant apprécier le spectacle que je leur offre.
- Et les gars que regardez-vous, vous croyez que je vous paye à ne rien faire ?
Un peu garce je fais celle qui dort toujours alors que laltercation avec leur patron ma fait comprendre que les poseurs déchafaudage me regardent.
Je bouge ma jambe que je laisse tomber dans la rigole de mon lit et je reste là la chatte offerte mouillant à sentir le regard de ses garçons sur moi.
- Il faut que je monte ?
Je remonte ma jambe, je me retourne leur montrant mon cul que je sais très beau car la selle de Rocco et les courses dans le parc avec Laurette me tenant la main les maintiennent fermes.
Je me lève mhabille et descends manger.
La journée est habituelle pour moi qui suit limitée dans ce que je peux faire et surtout la chaleur.
La nuit venue jai toujours aussi chaud quand je sens que lon monte sur mon lit et quune bouche caresse mon intimité
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