Série « Les Voisins » Épisode 11 : « Monique » La Branlette Au Papy Qui Changea Sa Vie.
Je mappelle Monique, jai 69 ans, veuve depuis quatre ans. Ayant connu mon mari très jeune, je nai jamais couché avec un autre homme que lui. Bernard le père de mes trois s que jaimais profondément, était pour moi, lépoux le plus gentil que je puisse espérer rencontrer. Nous nous étions mariés en 1971, malheureusement notre mariage naura duré que 45 ans. Atteint dun cancer, Bernard était décédé après huit années de calvaire durant lesquelles, je lavais soigné et accompagné jusquau bout de sa vie.
Élevée dans une famille catholique, je suis dune génération où les discussions sur la sexualité était complètement tabou. Avec Bernard, nous navions jamais parlé de sexe, faire lamour était un devoir et permettait de faire des s. Ce nétait pas pour prendre du plaisir, enfin cétait ce que ma mère mavait fait comprendre. Néanmoins, depuis quelques temps, lors des conversations que jentretenais régulièrement les après-midis avec mes copines, ces femmes mariées, divorcées ou veuve comme moi, discutaient beaucoup plus librement sur ce sujet et nhésitaient pas à dire ce quelles aimaient faire au lit avec leur mari ou amant.
À partir de là, je mapercevais que depuis mon plus jeune âge, je navais jamais fait lamour avec mon mari autrement quen missionnaire. Hormis quelques baisers et caresses intimes dans le noir ou dans la pénombre, malgré quil me lait demandé quelques fois au début, je navais jamais fait de fellation à Bernard. Pour moi, il en était hors de question, je pensais quil ny avait que les prostituées ou les filles dépravées qui faisaient ces choses-là. Lorsquun jour, javais entendu mon amie Marie Sophie dire quelle sadonnait à la sodomie avec plaisir, jai cru tombée à la renverse. Jétais persuadée quelle disait cela pour se vanter ou pour blaguer me demandant si cétait réellement possible.
Même la taille des pénis de leur partenaire tenait lieu de grand sujet de conversation, ainsi que leur jouissance.
Afin de vous raconter ce qui mest arrivé lan passé, pendant le confinement avec Jean mon voisin, je remets tout dans son contexte. Il y a 35 ans, lorsque nous avions prévu de construire notre maison, nous avions acheté une parcelle de terrain à un ancien copain de mon père. À la mort de mes parents, cet homme et son épouse Josette, nos seuls voisins à lépoque, devinrent très vite de la famille, pour notre fille et nos deux garçons, Jean et Josette étaient leurs papy et mamie. Dautant plus que leurs propres s vivaient à létranger et aux quatre coins de la France, ils ne voyaient que très peu leurs propres petits-s.
Je me confiais beaucoup à Josette, elle était devenue comme une mère pour moi. Jean était quant à lui très serviable, il aidait et conseillait mon mari dans tout ce qui concernait le jardinage qui était sa passion. En grand travailleur, cétait une vraie force de la nature. À 85 ans, il conduisait sa voiture et était toujours dehors par tous les temps, faisant son bois et son portager. Il y a deux ans, ce fut un nouveau drame, lorsquil perdit son épouse Josette. Néanmoins, il avait surmonté cette épreuve et reprenait goût à la vie, grâce à sa passion et à sa force de caractère. Depuis la disparition de Josette, ses s tenaient beaucoup à ce que je conserve une clef de chez lui, au cas où il lui arrive quelque chose.
Début avril 2020, je lavais vu passer son motoculteur pendant toute la semaine, son potager étant très grand, il devait être épuisé car je ne lavais pas aperçu de tout le week-end.
Tout va bien Jean, tu nes pas malade au moins.
Cétait à peine sil mavait répondu, javais dû lennuyer car il ne fut pas très agréable contrairement à son habitude. Il marmonna quelques mots inaudibles et me demanda de le laisser : « Tu vois bien que je suis occupé Monique. » Jétais rassurée sur sa santé, je mapprêtais à partir lorsquil me rappela : « Tant que tu es là, tu ne veux pas me réchauffer le ragout de lapin et si tu pouvais me servir un verre. » Je savais que ce vieux bougre était très directif avec Josette, il lui menait la vie dure mais depuis quelle nétait plus là, il était bien obligé de se débrouiller tout seul. Il me donnait des ordres, sans doute sans le vouloir mais cela mavait surprise, son instinct de macho refaisait surface.
Je lui avais servi son verre de vin et préparé son repas à la cuisine, pendant ce temps, je lentendis rallumer la télé puis un petit quart dheure plus tard, il me demanda de laider pour aller aux toilettes car son arthrose le faisait souffrir. Intriguée par ce comportement, jétais retournée au salon et pris dans les mains létui du DVD. Daprès la pochette, cétait bien un film porno quil visionnait et il sétait dirigé aux WC cétait probablement pour se masturber, je comprenais pourquoi je lavais dérangé en arrivant. Lorsque je le ramenai sur le divan, je remarquai sur ses charentaises quelques gouttes suspectes :
Tout est prêt Jean, tu peux manger.
Avant que je le quitte, il me demanda si je voulais bien rester diner avec lui : « Tu sais Monique, je mennuie depuis que ma Josette nest plus là. Toi aussi tes toute seule, tu veux bien me tenir compagnie ce soir. » Nous avions mangé ensemble en parlant de nos s et de nos conjoints puis il me demanda de laider à se coucher. De la salle de bain où il se changea pour la nuit, je lavais soutenu jusquà la chambre avant quil se couche dans son lit. Je métais penchée vers son visage pour lui faire la bise sur le front en lui souhaitant bonne nuit. Jean en me répondant posa sa main derrière ma cuisse. Sa main sur la peau nue du haut de ma jambe me fit avoir la chair de poule.
Comme il était allongé sur le lit, même si sa main était restée un long moment immobile, je ne lavais pas ressenti tel un geste déplacé. Cependant lorsquil me dit : « Monique ! Tu sais les films que tu as vu, cest Fabrice mon dernier qui me les a offerts à Noël, en me disant que sa mère devait me manquer. » Jétais une nouvelle fois gênée car tout en parlant, il conserva sa main posée sur ma cuisse, cela me perturba car sa caresse me fit frissonner. Il sen était aperçu et sexcusa : « Pardon Monique ! Tu nas plus lhabitude, je ne pensais pas à mal. » Je repris mes esprits et lui souhaitai « bonne nuit » avant de quitter la chambre.
Depuis la mort de Bernard, javais toujours pensé que plus jamais un homme me tiendrait dans ses bras ou me ferait des caresses, je navais pas lintention de me remettre avec quelquun. À 68 ans, jétais bien comme jétais et ce nétait pas dans mes perspectives. Pourtant cette nuit-là javais mal dormi, javais pensé à la solitude de Jean, sa femme lui manquait et il en était malheureux. Le mercredi matin, je venais de me lever, il était 8 heures lorsque le téléphone sonna : « Allo Monique ! Cest Jean, voudrais-tu me donner un coup de main, je narrive pas à sortir du lit. » Javais peur quil lui soit arrivé quelque chose, jenfilai un peignoir et me précipitai chez lui directement.
Arrivée dans sa chambre, quelle fut ma surprise, Jean était allongé sur les draps et je vis comme un chapiteau sous sa chemise de nuit. Il avait une érection et navais pas hésité un instant à me la montrer. Je pense même quil en était assez fier : « Salut Monique ! Merci dêtre venue si vite. » Jétais très gênée, je ne savais pas où poser les yeux je ne pouvais pas faire autrement que de regarder cette toile de tente qui déformait le tissu. En repensant à mes copines, je me disais que son sexe devait être dune très belle taille : « Cest trop difficile pour moi de vivre seul. » Me dit-il en me tendant les mains afin que je laide à se lever :
Je vais être obligé de regarder un film.
Pour se maintenir debout, il se plaqua un peu contre moi, je sentais la dureté de son sexe contre mon ventre. Javais honte et je ne savais pas quoi dire. Je fis mine de rien et je me repris : « Allez Jean, un petit effort, je dois me préparer pour faire les courses. » Je lavais aidé jusquà la salle de bain puis je passai à la cuisine pour lui préparer le petit déjeuner. Pendant quil finissait son bol de café, jétais prête à partir lorsque soudain, il reprit la parole : « Comment fais-tu Monique ? Bernard ne te manque pas ? » Me demanda-t-il sans aucune pudeur et en reposant sa main derrière ma cuisse en mattirant vers lui.
Javais hâte de partir de chez lui, je venais de comprendre quil me faisait carrément des avances, il avait envie que je reste avec lui et me le montrait en se plaquant contre moi. Puis il insista : « Tu sais lactrice me fait beaucoup penser à toi lorsque tu étais jeune. Je pensais toujours à toi. » Je ne sais pas ce qui sétait passé, je nétais pas en colère après lui, Jean me mettait mal à laise, je nétais plus moi-même, cétait la première fois que je ressentais dans mon ventre comme un courant électrique. Lorsquil me demanda de regarder le film avec lui, je dus me retirer gentiment de son étreinte en lui disant que je ne pouvais pas rester : « Tu es encore si belle, ne me dis pas que tu ne vois pas quelquun ? »
Je ne savais plus où me mettre, jétais partie sans me retourner et me jurai que je ne reviendrais plus de sitôt. Pendant toute la matinée, je navais pensé quà cette étreinte, ce petit quelque chose qui mavait traversé tout le corps. Croyant quil jouait la comédie, lorsque javais parlé de la santé de Jean à mon amie Marie Sophie laprès-midi, étant une ancienne infirmière, elle me dit que cétait tout à fait normal quà son âge il ait quelques petites difficultés les matins à se lever mais que dès que ses muscles étaient chauds tout rentrait dans lordre.
Puis dans la conversation, je lui parlai de ce que javais vu le matin à son réveil : « Le vieux bande, cest tout à fait normal, il peut baiser jusquà sa mort, tu sais. » Javais enchainé sur ce que javais ressenti lorsque Jean se colla contre moi avec son sexe en érection : « Ça cest la magie du sexe Monique ! Depuis quand nas-tu pas couché avec un homme ? » je crus quelle allait sévanouir lorsque je lui avais répondu dix ans : « Cest incroyable Monique ! Comment fais-tu pour ten priver ? Ce que tu as ressenti ce matin, cest de lexcitation ton voisin ta foutu le feu au cul. »
Mais il a 85 ans ! Je laime bien mais comme mon père. Dis-je
Écoute, Jean a envie de toi, la prochaine fois soulage le en le masturbant. Tu verras ce que tu ressens, après tu décideras si tu veux aller plus loin avec lui. Cest peut-être un bon coup.
Pendant les deux jours suivants, Jean sétait levé seul aux aurores comme à son habitude. Je pensais à lui pendant toute la journée, jessayais de ne pas trop le rencontrer, je lévitais au maximum afin quil ne se fasse pas trop didée sur mon compte, je sortais de chez moi le plus discrètement possible. Le samedi après-midi, je profitai du soleil pour étendre du linge, jétais rassurée, il nétait pas dans son jardin. Subitement, lorsquil mavait vu, il vint vers moi et me tendis un bouquet de tulipes quil avait coupé le matin : « Bon anniversaire Monique. » Je fus très touchée quil y ait pensé,
Nous étions restés dehors et nous avions parlé de chose et dautres comme nous le faisions régulièrement.
Il était revenu sur notre discussion de la semaine, il sexcusa de ses propos en me disant quil sétait rendu compte quil mavait mise mal à laise en parlant de sa sexualité. Pour être totalement franche avec lui, je lui avais avoué que je navais pas fait lamour depuis dix ans et que cela ne me manquait pas : « Josette était comme toi, elle ne voulait plus. Mais tu sais, elle savait y faire, quand jen avais envie. » Me répondis-t-il tout en me caressant le bras. Pour changer de conversation, je mintéressai à sa santé, cependant Jean fut une nouvelle fois malin comme un singe :
Oh ma pauvre ! Ce nest pas mon arthrose qui me fait le plus souffrir, cest ma solitude.
Jétais naïve, mais pas à ce point, je savais très bien où il voulait en venir. Je pensais à tout ce que mavait dit Marie-Sophie et ce ne fut pas par pitié que je lui proposai : « Tu veux que je vienne ce soir te coucher. » Ce fut lorsquil me sourit et quil me caressa une nouvelle fois le bras que je compris que moi aussi, javais envie dune aventure : « Tu serais vraiment gentille. » Mavait-il répondu en glissant sa main sur ma joue. Jétais toute chose, toute excitée davoir un rendez-vous. Javais prévu de le masturber, pour lexciter un peu plus, javais enfilé ma plus belle chemise de nuit. À 21h30, lorsque jétais rentrée, il me sourit et me dit quil avait préparé le champagne.
Javais pourtant bien la ferme intention de lui faire le petit cadeau quil attendait, cependant, jétais anxieuse, arrivée dans le salon, javais retiré mon peignoir et me présentai en nuisette presque transparente devant lui. Il alluma le DVD, à lécran, une fille nue suçait son partenaire, il navait pas eu besoin de cela pour être en érection. Le chapiteau était déjà dressé sous sa longue chemise bleu ciel et cela me troubla. Je penchai ma tête vers lui et lui fit la bise quil sempressa de me rendre en passant sa main sur ma hanche : « Tu es très belle Monique ! » Il me demanda de massoir et me tendit une coupe de pétillant que javalai dun trait, la situation mexcita beaucoup.
Cétait nouveau pour moi, il était debout devant moi, sa verge sous le tissu sous mes yeux : « Tu mexcites trop ! Regarde comme je bande en pensant à toi. » en me montrant cette toile de tente. Je nosais rien dire, javais honte de moi, je désirais ne pas poursuivre dans mes intentions de départ, les mots sortirent de ma bouche : « Tu devrais allez aux toilettes. » Dis-je presque timidement.
Jai une meilleure idée. Dit-il en me prenant la main et en la posant directement sur son sexe. Tu me fais bander Monique.
Cétait incroyable, sa verge était grosse et très dure : « Je vois ça Jean, tu te mets dans de ces états. Tu veux quoi ? »
Branle-moi, je nattends que cela.
Je savais que je ne pouvais plus reculer, impatiente de voir son pénis je soulevai sa chemise de nuit, je nen avais jamais vu un en plein jour et celui de mon défunt mari me semblait minus à côté de celui qui se trouvait devant moi. De plus en plus anxieuse, je navais quune envie, cétait den finir au plus vite. Il retira entièrement son vêtement, je regardais avec une grande attention sa verge raide, tendue devant moi, ses testicules pendaient lourdement entre ses jambes :
Regarde comme elle fait cette actrice, tu peux faire pareil. Tu sais je me suis lavé avant que tu viennes. Me rassura-t-il.
Ce nétait pas faux, sa longue queue à quelques centimètres de moi, je pouvais sentir le gel douche à la pomme quil utilisait et en me mémorisant ce que disaient mes copines, je trouvais moi aussi que le sexe dun homme pouvait être beau, surtout celui de Jean. Son gland entièrement décalotté semblait vouloir exploser tellement il était rouge sang et luisant. Tenant toujours son sexe dans la main, je maventurai à déposer une petite bise sur le bout de sa verge, cela mexcitait beaucoup, je sentais mouiller ma petite culotte. Ne désirant pas aller plus loin pour ce soir, maladroitement je pris son engin et coulissais ma main le long de sa colonne de chair.
Cela faisait trop longtemps que le papy était dans cet état, je regrettai très vite davoir accélérer mes va et vient le long de sa longue queue car quelques minutes plus tard, cinq longs jets de sperme atterrissaient sur mon sillon mammaire, il venait éjaculer en râlant et en criant mon nom : « Oh Monique ! Oui ! Il se pencha sur moi et nous nous étions embrassés. Ce baiser me transcenda, je ne sais pas pourquoi mais ce soir-là, je compris que javais fait une erreur, dattendre si longtemps pour découvrir le sexe. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Monique, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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