Zone Humide !

Encore une histoire à la piscine me direz-vous ! Ça en vaut la peine !
En arrivant dans la balneo, personne à l’horizon, et c’est un peu trop souvent comme ça, pas même un homme pour faire la discussion.
Je commençais par me détendre dans le jacuzzi avant d’aller dans le hammam où j’y découvris un femme allongée qui remarqua mon entrée.
Elle me salua sobrement tout en étant visiblement soulagée de voir enfin quelqu’un.
« Bonjour, lui répondis-je
- C’est rare de voir quelqu’un à cette heure-ci, me répondit-elle,
- Vous avez raison, mais tout arrive à qui sait attendre.
- Qu’entendez vous par là ? me questionna-t-elle
- Rien de particulier, mais votre voix me donne la sensation que vous êtes une femme agréable et sympathique.
- Merci, c’est gentil et rare les compliments.
- C’est gratuit et ça fait plaisir, alors je ne me prive pas quand je peux le faire.
- En effet, mais les hommes qui arrivent à le faire avec tact sont peu nombreux. »
J’acquiesça et m’allongeait près de cette femme blonde d’environ 45 ans et qui semblait avoir une belle poitrine. Nous étions disposé de façon à pouvoir se regarder l’un l’autre quand elle me fit remarquer quelque chose.
« Je ne suis pas certaine de bien voir avec la buée du hammam… mais j’ai l’impression que vous êtes heureux et détendu…
- Détendu, c’est plus facile quand on est dans un endroit agréable comme celui-ci en charmante compagnie…
- Merci, mais quand je disais heureux et que je ne voyais pas bien, je voulais parler de votre « bas-ventre.
- Je vous confirme que le tissu de mon boxer est plus tendu qu’à l’accoutumée…
- J’ai donc une bonne vue ! Je vais dans le jacuzzi, venez me rejoindre, je vous y attends ?
- Avec plaisir ! lui répondis-je, moi c’est Pierre, et vous ?
- Sandrine. À tout de suite ! »
Sandrine sorti donc du hammam pour se diriger vers le jacuzzi.
J’en fis de même quelques instants plus tard.

Je pouvais m’apercevoir que je ne m’étais pas trompé quand au volume de sa poitrine.
« Préférez vous que je m’installe face à vous ou à côté de vous ? lui ai-je demandé
- Comme vous voulez, tout dépend ce que vous préférez ? Si vous me massez les pieds, je vous rends la pareille. Sinon, je peux vous aider à vous détendre intimement si vous vous mettez à côté de moi... »
Au fond de moi, j’avais une envie forte de choisir la deuxième proposition, mais je préférais quand même faire monter la tension en me mettant face à elle. Je pouvais ainsi la regarder dans les yeux, ou un peu plus bas si je le souhaitais.
« Ça sera le massage des pieds dans un premier temps, ça ne vous ennuie pas ?
- Oh non, pas du tout, me dit elle tout en plaçant très naturellement l’un de ses pied entre mes jambes, contre mon boxer bien tendu. »
Nous commencions à nous masser mutuellement les pieds dans un premier temps. Je me penchais de plus en plus vers elle pour remonter mes mains sur ses jambes jusqu’à me mettre à genoux au milieu du jacuzzi. Je pouvais alors la fixer du regard tout en lui insérant deux doigts dans son vagin. Sandrine s’approcha de moi également afin de poser ses lèvres sur les miennes et de glisser vers le bas mon boxer à l’aide de ses deux mains.
Je poursuivais ce que Sandrine avait initié en baissant d’abord les bretelles de son monokini puis en baissant entièrement ce dernier jusqu’à ses pieds.
« Que diriez vous de poursuivre nos jeux dans le hammam, l’humidité présente nous aiderait à bien coulisser votre verge dans mon vagin…
- Bien sûr ! Par contre vous devrez subir un cunnilingus auparavant !
- J’aime bien entendre cela ! ».
Étant donnée l’absence d’autres personnes, nous ne primes pas la précaution de nous rhabiller.
Sandrine s’assit les jambes écartés afin que je puisse facilement la satisfaire.
Sa chatte délicatement épilée était un régal à lécher. Si bien qu’elle jouit avant même qu’on ait commencé une quelconque pénétration.
« À mon tour de poser ma langue sur ton sexe ! »
Sandrine entreprit une fellation très agréable, sensuelle et terriblement excitante à la fois ! Ma jouissance se fit à la hauteur de sa dextérité.
« J’aurais bien aimé plus, mais je manque de temps aujourd’hui, j’espère à très bientôt ici... » me dit Sandrine en guise d’adieux.