Collection Libertinage. Le Domaine. Saison Ii (8/10)
Hier jai passé une partie de la nuit dans lécurie avec Laurette afin dessayer de piéger mon inconnu mais chou blanc.
On a fini la nuit dans les bras lune de lautre nous faisant traiter de gouine par Lionel qui nous a trouvés au petit matin.
Cest vrai si je réfléchis bien depuis que nous sommes petites jai souvent vu Laurette nue comme elle ma vue aussi dans la même tenue mais jamais nous navons été attirées lune par lautre.
Je me souviens une année avoir été troublée par une jeune fille qui accompagnait ses parents venus acheter du vin mais ils sont venus et repartis aussi vite mévitant de me poser des questions.
Le seul contact que jai eu avec elle cest un regard dans le dos de ses parents et sa main sur ma main quand papa a fait visiter les caves à ses parents.
Sa main, non, juste le bout de ses doigts sur mes bouts de doigts, ce fut mon premier émoi sexuel
Mon père remontait derrière le couple et quand jy repense, comme moi il regardait les fesses de la maman quand les doigts se sont posés sur ma main mélectrisant le bas du dos.
Ce regard sur un postérieur et le contact des doigts restent dans ma mémoire laube de mes premiers éveilles à la sexualité.
Ce très vieux souvenir démontre comment mes premières envies de sexe ont débuté mais en ce moment je suis surprise par cette langue qui rentre et qui sort de mon vagin.
Un doute massaille est-ce mon inconnu de lécurie qui a profité de léchafaudage et vient me donner du plaisir ou un des hommes qui mont maté au moment où ils le montaient ?
La question restera en létat, sans sortir de chez moi cet été un ou plusieurs sexes sintéressent à linfirme que je suis.
Bien que la cécité soit une infirmité bénigne comparée à celles et ceux qui comme moi après un accident de voiture se retrouvent cloués dans un fauteuil roulant.
Si jaccepte de recevoir des queues différentes en moi suis-je pour autant une salope ?
La question peut se poser même si depuis quil me suce je me concentre sur le plaisir que je ressens rapidement.
- Donne-moi ta queue que je la suce, tu es revenu.
Hier je tai attendu dans lécurie mais tu devais être pris ailleurs.
Jespère que tu me resteras fidèle.
Jespère que je suis la seule que tu retrouves dans la nuit même si notre situation est insolite.
Jattends une réponse, mais jai oublié dans ce moment privilégié que mon inconnu est muet.
Je me sens contrainte à un monologue en parole mais pas avec nos sexes car il pivote pour que je puisse lattr et le mettre dans ma bouche.
Cest incroyable, jai une langue qui caresse mon clito qui apprécie beaucoup et une queue dans ma bouche que je masturbe de ma main tout en la suçant.
Alors que mon seul souci dans le moment présent cest de me demander si cette queue est de la même grosseur que celle que jai eue dans mon vagin les deux premières fois ?
Si javais su que la question se poserait jaurais pris le temps de mémoriser le diamètre du garçon de lécurie pour comparer avec celui qui soccupe de moi cette nuit.
Cela me rappelle une histoire quOctavio racontait du temps où il répondait avant dêtre aux abonnés absents lors de la paulée de fin des vendanges.
La paulée est le repas que les propriétaires de domaines comme le nôtre offrent à tous les vendangeurs pour fêter la fin de rentrer de la récolte de lannée.
Ce soir-là les histoires quelques fois très salaces sont racontées.
« Un jeune homme amoureux de sa fiancée veut la dépuceler avant le mariage mais veut le faire sans prendre de risque de lengrosser.
Il va à la pharmacie où une préparatrice avec un grand nombre dheures de vol le reçoit.
Que voulez-vous jeune homme ?
Dès, dès.
Je vois des capotes, quelle taille ?
Je lignore madame.
Votre sexe comment est-il gros jeune homme ? »
Le jeune homme est rouge de honte, il pensait quil entrerait demanderait ce dont il avait besoin, payerais avec le billet quil avait mis dans sa poche et repartirait.
« Je vois vous aussi êtes puceau, je vais préciser. »
La femme lui montre son pouce.
« Quand vous bandez elle est grosse comme cela ?
Non plus. »
La femme met un deuxième doigt le long du premier.
« Comme cela ?
Non plus.
Vous avez un bel engin jeune homme. »
Ces derniers mots dits le regard allumé plein de gourmandise.
Elle met un troisième doigt le long des deux premiers.
« Cette grosseur, vous êtes prometteur à votre âge. »
La préparatrice met ses trois doigts dans sa bouche.
« Middle, jeune homme ! »
Elle se retourne et part chercher la boîte.
Jaurais dû mettre celle de mon inconnu en sachant les tailles des différentes capotes ou des différents types de sexe.
On peut mexcuser car à part Ottavio mon accident ma fait limiter les comparaisons de diamètre de celle des hommes.
Je me souviens des anciennes soirées où nous fêtions la paulée.
Celle de cette année aura lieu dans plus dun mois à cause du printemps pluvieux et joublie de pomper le sexe qui est à moi.
Il me quitte pour mieux venir me pénétrer.
Le diamètre je men fiche, comme il était aussi dit souvent dans ces soirées, il en vaut mieux une petite vigoureuse, mais on connaît la suite, marre de ses souvenirs de ces fins de vendanges.
Ce que je peux dire cest que la bouche qui nettoyait ma chatte vient sur ma bouche et que mon inconnu embrasse divinement.
Mieux même quOctavio seul référence que jai.
Tient, ces lèvres, normal, ce nest pas un noir qui membrasse avec ses lèvres massives.
Je frétille du bassin pour le faire entrer le plus loin possible en moi et une première fois je jouis.
Simple jouissance pas encore lorgasme dévastateur que jai ressenti avec le sexe de mon inconnu quand la foudre est tombée sur la chapelle, débutant lincendie.
Mais la nuit est loin dêtre fini quand il sort et quil me fait comprendre quil faut que je me place en levrette.
Japprécie le moelleux de mon matelas bien ferme par ailleurs pour éviter le mal de dos comparé au foin des nuits passées.
Il me reprend sans essayer davoir des pratiques déviantes ce que japprécie car je suis vierge de la rosette et je dois reconnaître que jai un peu peur.
Est-ce la position ou une autre pratique avec un autre inconnu mais dun coup alors que son sexe entre en moi avec régularité échauffant mon bouton, je reçois une grande claque sur ma fesse droite.
- Aie, méchant !
Le sexe continue à me pilonner, son autre main sabattant sur mon autre fesse.
- Aie continu !
Véronique, tu te demandais si tu es une salope ?
La réponse est « oui », la première tu dis « aïe » la deuxième « continu »
Mais à chaque claque de plus en plus rapprocher qui sabat sur mon cul en plus des coups de bite de plus en plus rapide les « Continus, continus » sont les seuls mots que jarrive à faire sortir de ma bouche.
Mon fessier doit être bien rouge quand une boule plus lente à venir quavec léclair monte en moi.
Jexplose dans un orgasme aussi dévastateur que dans lécurie.
Le sperme du garçon giclant en moi prolongeant cet orgasme chaque fois quun jet sort et atteint mon utérus.
Perdre conscience sous lassaut dune bite, je dois y prendre goût.
Finissant par émerger je cherche à droite et à gauche.
Je maperçois que jai le cul en lair seule dans mon lit.
Je vais à la fenêtre pour profiter de la fraîcheur de la nuit quant au clocher de léglise un peu loin dans la nuit sans bruit le carillon sonne deux heures.
Je vais me recoucher sentant le sperme du garçon sortir de moi mélanger à ma cyprine.
Lassaut de mon inconnu ma épuisé et je mendors dans limpossibilité daller me laver.
- Debout fainéante, cest dimanche et ton petit déjeuner tattend sur la terrasse.
Le temps est magnifique.
- Je me lève, prends-tu un café avec moi ?
- Oui, même une tartine, le boulanger a livré son pain comme tous les matins.
Jadore les petites ficelles que tu dévores, il y en aura un bout pour moi.
Et la douche ?
On verra plus tard jai trop faim.
Je passe mon maillot de bain récupéré dans mon armoire et je descends.
Laurette au bruit du pain quelle tartine de beurre me guide vers ma table qui a été déplacée.
- Tu manges avec appétit, je pense que ton dimanche va être tranquille.
- Aie.
Je viens de masseoir et la fessée ramassée cette nuit se rappelle à mon bon souvenir.
- Jai bien vu dans ta chambre malgré la pénombre due à léchafaudage que tes fesses sont toutes rouges.
- Léchafaudage, si tu savais.
Je lui raconte ma nuit lors de la visite de mon inconnu ayant monté sur léchafaudage pour entrer dans ma chambre la fenêtre étant ouverte et la fessée administrée me faisant arriver à lorgasme.
- Tu verrais mes fesses, elles sont aussi rouges que les tiennes !
- Lionel te fesse-t-il ?
- Oui mais ce matin cest le nouveau boulanger qui la fait.
Je cherchais loccasion depuis quil sest installé avec sa jeune épouse dans la boulangerie du village.
Jai réussi à baiser dans la cuisine de loffice où je prépare les petits déjeuners pour les clients arrivés hier et qui remplissent les chambres dhôtes ;
Il ma fessé pendant quil me baisait.
- Lionel, le boulanger, tu es une belle salope, surtout sil est jeune marié tu nas aucune morale et alors Lionel te fesse aussi, il la fait hier au soir.
- Je te lai dit, il me fesse mais hier il ma dit être fatigué de la nuit avec ses copains et à cause de la chaleur vers minuit il est parti se coucher dans sa chambre.
- Comment sais-tu quil était minuit ?
- Ma fenêtre était ouverte et jai entendu les douze coups à lhorloge de léglise.
Dong, Dong, j'ai nettement entendu deux heures et le temps que mon inconnu arrive et quil me sexe à men faire jouir jai bien passé deux heures dans ses bras.
Bizarre, le palefrenier a quitté Laurette à minuit. Dong, Dong, Dong, Dong
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