Double Vie... Ou Plus 4/7 Un Anniversaire... Particulier

Ma belle-mère veut fêter ses soixante ans avec toute la famille. Je vais descendre au pays avec Nelly et son fils qui profiteront ainsi de mon voyage.
. Je les ramènerai le dimanche. Ma belle-sœur a proposé que je dorme chez elle le vendredi soir et le dimanche soir, ce qui m'évitera de payer l'hôtel. Une « compensation » pour le transport.
J'aurais très bien pu descendre dès le vendredi, car j'étais chez un client sur Bordeaux toute la semaine, mais j'ai prétexté une arrivée tardive de l'avion censé me ramener de Paris à vingt trois heures. Ma belle-mère ne voulant pas que je prenne la route la nuit avec sa fille et son petit fils, la solution arrangeait tout le monde.
Bien sûr j'ai passé la nuit avec Nelly qui dès que son fils est allé au lit, m'a entraînée dans sa chambre. Même si Jérémy est maintenant habitué à me voir chez sa mère, nous restons discrets sur notre véritable relation.
Le samedi matin, nous sommes ainsi arrivés un peu avant midi. Nous sommes d'abord passés chez moi. Nelly devait y dormir dans la chambre d'amis et Jérémy était tout heureux de retrouver son cousin avec lequel il partagera la chambre. C'est d'ailleurs à cette occasion que je dormirai pour la dernière fois dans le lit avec ma femme. D'habitude je dormais dans la chambre d'amis, mais en présence de sa sœur, elle ne voulait pas paraître faire chambre à part, ce qui nous a bien fait rire avec Nelly, malgré la frustration d'être séparés de quelques mètres .
Le comique de l'histoire est que mes beaux-parents qui font aussi chambre à part depuis longtemps, se sont eux aussi retrouvés à partager leur lit, les autres chambres étant prises par les deux fils de la famille et leurs compagnes.
Dans cette famille « bouts de ficelle » j'étais le seul à connaître les secrets des uns et des autres. Il faut dire que j'y avais contribué pour pas mal.
En effet, je connaissais la maîtresse de mon beau-père. Ma belle-mère avec qui j'avais eu une relation « coupable » au temps où je n'étais pas encore officiellement son gendre, vivait maintenant une relation homosexuelle avec sa locataire de l'entresol, qui était invitée à la fête comme c'était devenu une habitude dans la famille.

C'est moi qui les avait faites se rencontrer. Elle avait aussi comme amant, le facteur.
Maintenant donc, j'étais aussi l'amant de ma belle-sœur . Ni elle, ni sa mère n'étaient au courant de ma relation avec l'autre, même si ma belle-mère avait découvert qu’avant de fréquenter son aînée, je sortais avec sa seconde.. Au cours de cette journée, il y avait donc des couples officiels et des couples secrets..
C'est au cours du repas que j'ai découvert de nouvelles situations amusantes. Autour de la table, nous étions répartis en fonction des couples officiels. Les s étaient à une table séparée. Le plan de table de ma belle-mère a tout de même été chamboulé.
Le plus jeune de mes beaux-frères, en froid avec sa femme, a prétexté vouloir être a côté de son frère et a interverti sa place avec la compagne de celui-ci. Geneviève, ma belle-mère présidait en bout de table, aux côtés de son mari qui se trouvait à côté de la jeune femme de son fils, dont il lorgnait les formes opulentes depuis longtemps. De l'autre côté, ma belle-mère avait placé Ludivine, sa jeune locataire, sous prétexte qu'elle l'aiderait à faire le service. Je me retrouvais à ses côtés entre la maîtresse de ma belle-mère et ma belle-sœur . Ma femme, comme son frère, prétextant elle aussi vouloir se retrouver en face de ses frères. Pour finir le tour, à ses côtés se trouvait une amie à elle, qui avait été son témoin lors de notre mariage.
Spectateur privilégié – j'avais aussi eu une relation avec la maîtresse de ma belle-mère -, je m'amusais de cette situation ubuesque.
Bien sûr, la cuisse de Nelly n'a pas tardé à chercher la mienne, mais de l'autre côté, Ludivine passait sa main sur l'autre jambe. Je me suis rendu compte qu'elle le signalait à ma belle-mère, au courant bien sûr de notre relation. Mon beau père faisait du “rentre dedans” à sa belle-fille . Déjà que celle-ci n'était pas appréciée de sa belle-mère, la scène ne faisait rien pour qu'elle le devienne, même si Geneviève se fichait maintenant de ce que pouvait faire son mari.

Mais c'est un regard entre ma femme et son amie qui m'a tout d'un coup interloqué. Dès ce moment, j'ai observé un peu plus les deux femmes. Alors que le repas avançait, je me suis rendu compte de leur proximité. Comme par inadvertance, leurs doigts se touchaient parfois. Les regards entre elles devenaient plus fréquents. A un moment elles se sont proposées pour débarrasser la table et sont parties à la cuisine. Discrètement je les ai suivies et observées. C'est alors qu'elle ont échangé un baiser sur les lèvres.
Je comprenais mieux tout d'un coup l'attitude de ma femme. Il me revenait en mémoire quelques occasions antérieures où les deux amies partageaient des moments seules, partaient faire des courses toute une journée. Finalement, ma femme était homosexuelle depuis toujours et n'avait accepté de relations avec moi que pour avoir un . Je gardais bien sûr cette information pour moi ce qui me dédouanait quelque peu de ma vie au sein de cette famille, paraissant tout à fait normale et unie et qui en réalité est complètement immorale.
Le père a des maîtresses depuis de nombreuses années, la mère, après avoir une des relations avec son futur gendre (moi), baise régulièrement avec le facteur et vit une relation homosexuelle avec sa locataire. La fille aînée (ma femme) est donc homosexuelle et la seconde est maintenant la maîtresse de son beau-frère. Le plus jeune frère fréquente des soirées échangistes avec sa femme. Il la “livre” à des vieux messieurs et en retire quelques bénéfices… Bien sûr je suis un peu responsable de quelques aspects de cette famille, mais il faut dire que le terreau était fertile. Seul apparemment, le frère aîné a une vie normale avec sa femme et leurs quatre s.
Après le repas, sieste dans l'herbe pour tous pendant que les s s'amusent sous l’œil attendri des grands parents et des mères. Chaque « couple » illégitime cherche à grappiller quelques secondes d'intimité. Je m'amuse de ces petits moments au milieu d'une fête de famille a priori « normale ».
La nuit sera plus compliquée pour tous. Je couchais donc dans le même lit que ma femme depuis longtemps, pour ce qui sera la dernière fois. Elle était séparée de sa « chérie » dont j'ai appris depuis qu'elle venait souvent à la maison. Ma belle sœur était de l'autre côté de la cloison de la chambre. Chez ma belle-mère, la locataire est restée dans son appartement à l’entresol,le lit de sa maîtresse étant occupé par le mari.
Le dimanche, prétextant d'éviter les bouchons du soir au retour sur Bordeaux, nous sommes repartis aussitôt après le repas. J'ai bien sûr dormi chez ma belle-sœur, officiellement dans la chambre d'amis...

Je m'organise alors entre mes deux maîtresses et les visites au pays pour y voir mon fils. Si je suis en déplacement - le plus souvent avec Sylvie -, je passe le week-end soit avec Nelly, quand elle ne travaille pas, soit au pays. Si je ne vois pas Sylvie de la semaine, je passe le week-end avec elle.
Quelques semaines passent ainsi. Si Nelly connaît ma relation avec Sylvie et ne veux pas que j'y mettes fin, le contraire n'est pas vrai. Cela ne me satisfait pas beaucoup, mais je m'en accommode.
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