Collection Libertinage. Le Domaine. Fin De La Saison Ii (10/10)
Le pauvre !
Louis le jeune pompier qui ma aidé lors de lincendie de la chapelle de mon domaine et qui ma emmené manger un kebab à Givry est appelé pour une intervention durgence se privant définitivement davoir une chance de me baiser.
Son abandon me laissant seule dans la ville où mes repères sont nuls est une chose mais sa manière de membrasser tremblant de tous ses membres le disqualifie pour la course dêtre mon inconnu.
Lautre nuit, son baiser était gouleyant.
Frais comme le vin rosé que nous vendons grâce à notre raisin mais qui est vinifié chez un autre viticulteur qui a des cuves à froid nécessaire pour sa fabrication.
Celui de mon inconnu avait sa langue qui savait tournoyer autour de la mienne lentourant et la relâchant pour mieux venir la reprendre.
Jai beau appeler Laurette, elle est aux abonnées absente.
Elle qui en temps normal a toujours son portable à porter de main.
- Bonjour Véronique, ce pauvre con de Louis ta laissé en plan ?
Voilà ce que cest que de sortir avec un louseur, sais-tu qui je suis ?
- Votre voix, non, mais vous savez sans les yeux il mest difficile de vous reconnaître.
- Tu es la première fille qui ma embrassé et je suis le premier garçon qui en a fait autant pour moi.
- Jignore qui vous êtes.
- Pourtant ce jour-là tu me tutoyais !
Au divorce de mes parents je suis parti avec ma mère dans le Bordelais chez mon grand-père et je viens de revenir.
Il y a un mois que jai pris en main le domaine Raguin étant son fils, jhérite de ses biens.
- Tu es Olivier le fils Raguin, je me souviens nous avions 5 ans le jour du mariage de ma tante et nous étions cachés sous la table.
- Tu viens on va se cacher sous la table.
- Sans nappe ça va être difficile.
- Viens, je te ramène chez toi.
Il me prend la main, galant mieux que le galant qui ma amené ici.
- Attends, je touvre la portière.
Quand je parle de galant en voilà un, je minstalle.
- Ta voiture est neuve, elle est spacieuse.
- Tu mépates Véronique quelle soit spacieuse, je conçois que tu le constates, je suis à 20 centimètres de toi mais neuve.
- Elle sent le cuir neuf.
- Cest la voiture que mon père venait de sacheter quand il a fait un infarctus foudroyant.
Jai hérité des biens dont le domaine et la voiture de marque Mercédès classe C.
Givry centre, mon domaine en moins de cinq minutes nous sommes rendus et les pneus crissent sur le gravier.
- Tu moffres un verre ?
- Sil te plaît, je te remercie mais je crois que jai besoin dun moment de solitude, quel est ton numéro de téléphone ?
Il me le donne.
- Voilà cest dans la boîte rappelle-moi.
- Je peux te faire la bise ?
- Ça tu en as gagné le droit.
- Comme à 5 ans ?
- Pourquoi, vous les garçons il faut toujours que vous abusiez ?
Il me fait la bise et jentends la voiture partir.
Laprès-midi je suis en mono à la piscine il faut bien que dimanche se passe.
Jai le cafard, plus de trace de mon inconnu mais cest normal car je ferme ma fenêtre, je vais à lécurie quand il fait jour.
Bref je promène ma peine.
- Allô, Véronique cest Olivier, je tinvite à sortir samedi soir, je te pris daccepter, je me languis de te revoir.
- Pour que tu me laisse en plan ?
- Jurer, je serai à tes petits soins pas comme ce couillon de Louis.
- Alors jaccepte à samedi.
Merci Louis de mavoir laissé en plan, je me souviens dOlivier qui était un joli petit blond ayant une jolie frimousse qui a fait de lui certainement un beau gosse à son âge.
Pour une fois depuis mon accident jai la chance dintéresser un homme à visage découvert.
Ce même jour nous nous réconcilions avec Laurette alors que nous étions auprès des chevaux dans lécurie car le fait quelle mait abandonné en ayant mis son téléphone aux abonnés absent alors que jétais dehors avait créé lun de ces moments de tension ponctuant notre vie.
- Véronique excuse-moi, cest la dernière fois que cela arrivera.
Mais tu sais, il était beau gosse et ce jour-là jétais en colère contre Lionel.
- Quand tu es en colère tu couches avec un autre pour te venger ?
- Cest un peu cela.
Nous sommes tombées dans les bras et Laurette membrassait partout sur le visage déclenchant en moi un certain émoi pour la première fois de ma vie.
- Ce soir Lionel part au rugby pour un entraînement.
Il ma dit quil y aurait une troisième mi-temps, on se retrouve dans lécurie à minuit ?
- Non, Laurette, jen ai marre de cette quête au mâle comme si jétais une fille juste bonne à baiser.
Ce soir je vais rester seule dans mon lit, de plus les ouvriers ont fini le toit et attaquent les travaux de la chapelle ils ont le feu vert de lassurance.
- Je peux venir te rejoindre dans ta chambre quand jaurai fini mon travail cela me rappellera notre jeunesse quand nos parents nous faisaient couchés dans le même lit les soirs du 14 juillet.
- Oui bien sûr, je tattendrais nous prendrons un bain ensemble comme au temps où aucun ballon deau chaude ne nous permettait de nous laver.
Dans ces années-là, leau chaude et les douches étant inexistantes dans nos maisons.
Nos parents laissaient leau au soleil dans lauge devant lécurie avant de nous baigner et de nous coucher.
Je me garde de dire à Laurette que jai un rancard avec le fils Raguin samedi voulant pour une fois garder cette aventure pour moi seule.
Après dîner, comme prévu je suis dans ma salle de bain quand Laurette arrive, je suis en train de faire couler de leau bien chaude celle-là avec beaucoup de sels odorants.
Je suis nue et jentends mon amie en faire de même.
- Jai mis beaucoup de sel, tu empestes le crottin de cheval.
- Madame fait sa mijaurée alors quelle était moins regardante quand elle se roulait par terre dans lécurie et quelle se comportait comme une truie.
- Laurette comme une jument pas comme une cochonne car jétais dans lécurie et non dans la porcherie.
Elle est à ma portée et nous nous retrouvons dans les bras lune lautre mes seins dardant sur ses seins,
Elle maide à entrer dans leau et à masseoir, que fait-elle, elle entre dans leau derrière moi et je sens ses jambes venir de chaque côté et ses seins se coller à mon dos.
Je comprends quelle ma placé à quelques centimètres du bout de la baignoire pour pouvoir sasseoir comme elle le fait en ce moment.
Elle pose sa tête sur mon épaule et je sens lune de ses mains partir à la découverte de mon corps.
Laurette que je connais depuis toujours en quelques minutes me chamboule les sens et chamboule ma vie.
Quand sa main et surtout ses doigts viennent caresser mon clitoris, je sais que cest elle que jespérais et mon amour pour elle mapparaît au grand jour.
Dès ce moment je sais quelle sera infidèle car si cest elle qui me fait prendre mon plaisir en ce moment je sais dans mon for intérieur que je suis prête à souffrir pour conserver notre amour naissant.
Bien sûr il y a Lionel, je suis prête à la partager avec lui et si bien sûr le palefrenier est lamant inconnu nous pourrions nous entendre tous les trois.
Jextrapole déjà notre vie future alors que ma bouche est encore vierge de sa bouche mais quand je tourne la tête ce petit inconvénient se trouve vite corrigé.
La position est difficile car je dois me tordre le cou mais sa main qui continue à me caresser la chatte me permet davoir carrément une première jouissance sous les doigts dune fille.
Je la sens bouger, libérer mon sein et mon vagin et sans faire attention aux éclaboussures provoquées sortir de leau pour mieux rerentrer devant moi.
Je la sens debout et avant quelle ne se rasseye je lui enserre les jambes manquant de la déséquilibrer et sans voir où je vais, je plaque ma bouche sur son sexe.
Elle me prend par les côtés de ma tête et ma langue entre en elle.
Elle plie les jambes et je peux sucer son bouton plus imposant que le mien, je le mordille faisant démarrer en elle les débuts de frissons que je ressentais quand les sexes étaient en moi.
- Véronique, que nous arrive-t-il, quand je tai vu nue une envie irrésistible sest insinuée en moi et jai eu envie de te caresser ?
Je vois que toi aussi tu aimes me sucer la chatte et le clito, crois-tu que lon saime ?
Mon amour Laurette, ma bouche est prise pour te répondre mais moi aussi je viens de mapercevoir que depuis longtemps je craque pour toi.
Emmène-moi sur mon lit et bande pour moi, tes seins, ta petite minette adorable je vais les aimer.
Mieux, les choyer, les massacrer avec amours, je vais te faire oublier la chasse effrénée que tu as des plus grosses verges.
Fini la plus performante car à partir de ce jour nous sommes toutes les deux lune à lautre.
La nuit que nous passons dans les bras lune lautre interrompus par des 69 nous laissant pantelantes semble sans fin.
La nuit avec des mots damour sans sarrêter toujours renouveler jusquà 10 heures où je me réveille seul dans notre lit.
Je mets une petite robe dété sans rien en dessous, et je retrouve Laurette qui est assise à la table le petit déjeuner servi.
Autour de nous les ouvriers déplacent les morceaux déchafaudage et les montent jusquà la chapelle et le remonter pour commencer les travaux.
- Véronique, tu verrais comme il te regarde.
- Je men fiche je suis amoureuse.
- Tient voilà Lionel qui approche.
- Je sais, je lai entendu.
On garde notre nuit pour nous.
- Tiens, tu es là Laurette, jai tout fait tous seul ce matin jai même dû aller recevoir le boulanger quand il est venu, il y avait deux heures que je dormais.
- Continu pendant quelque temps, Véronique ma donné jusquà dimanche soir, je suis en congé.
- Puis-je vous parler Patronne ?
- Bien sûr Lionel, tu peux parler devant Laurette entre nous pas de secret.
- Connaissez-vous Olivier Raguin ?...
Cest la fin de la saison II, quelques textes et les cinq prochains chapitres de la saison III seront en ligne.
Que Lionel souhaite-t-il mapprendre sur Olivier Raguin, y aurait-il anguille sous roche.
En attendant, merci à Alexandra pour ses relectures.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!