Une Famille En Or (8)

Jeudi 4 avril 1991

Depuis dimanche, nous sommes restés assez sages dans nos tenues, d’autant plus que ma sœur occupe le convertible du salon, en position stratégique.

Je l’ai juste un peu testée hier soir en entrant dans la salle de bains alors qu’elle sortait tout juste de sous la douche et j’ai enlevé mon peignoir.

Elle a protesté en se masquant promptement avec la serviette:
- Eh, tu pourrais attendre que je sois sortie!
- Oh, entre sœurs…

Elle n’a pas insisté et n’a pas tardé à sortir.
Elle n’a pas eu l’occasion de voir mon épilation, je lui tournais le dos.
Chaque chose en son temps.

Ce matin, c’est Ber qui est passé en string de bain pour aller se doucher.
Lorsqu’il nous rejoint à table, en peignoir, elle le lui fait remarquer:
- Dis donc, tu pourrais faire attention, je suis là!
- Oh, ne me dis pas que tu es scandalisée, tu m’as déjà vu avec ce string à la mer!
- Oui, mais là, c’est pas les mêmes circonstance, et ça m’a surprise.
- Mais maintenant que la surprise est passée, ça va?
- En fait oui, maintenant ça va…
- Parce que depuis que tu es là, on fait attention, mais sinon on a l’habitude de pas trop se gêner, à la maison. Et si on fait attention depuis samedi, c’est uniquement parce que tu es là. Donc, avec ta permission, on va reprendre une vie un peu plus décontractée. Et attends-toi à me voir encore en string, d’accord?
- J’essaierai de faire avec. De toute façon, vous êtes chez vous!
- Merci de ton approbation!

Le soir même, nous sommes tous deux en string et débardeur.
Elle fait des efforts désespérés pour ne pas lorgner sur nos anatomies, mais en fait, elle est assez perturbée par nos tenues très légères.


Samedi 6 avril 1991

Nous avons encore diminué nos vêtements. Hier, c’était string-ficelle, et rien d’autre. Sève n’a dit rien, mais elle n’osait pas trop nous regarder directement.


Elle a fini par en prendre son parti, mais nos tenue attirent irrésistiblement ses yeux.

Ce soir, ce que je porte c’est juste mon cache-clitoris rose.
Et le string de Ber contient à peine sa batterie, laissant bien voir le plumeau de poils sur son pubis épilé et même deviner la racine de sa bite.

Pendant le dîner, je la taquine:
- Et si tu te mettais un peu à l’aise, toi aussi? Au moins en slip et soutif, ça fait drôle de te voir toute habillée entre nous.
- Non merci, je me sens pas prête pour ça.

Mais elle reconnait qu’il fait un peu chaud pour rester toute habillée, et je lui suggère de se mettre en peignoir. Elle fait un peu la gueule en voyant le truc très court en satin que je lui sors du placard du couloir, mais finalement elle l’accepte et je lui propose d’aller se changer dans notre chambre.
Comme j’ai laissé des godes et deux magazines de cul en évidence sur la commode, exprès pour ce genre d’occasion, elle revient avec un drôle d’air, mais ne dit rien.

Pendant son absence, Ber a mis sur le petit guéridon du salon un de nos albums photos, celui qui contient nos photos coquines, mais seulement les soft.
Et comme le guéridon lui sert de table de chevet, elle ne peut pas ne pas le voir.

En plus des livres de cul, j’avais aussi laissé ouvert sur la commode un de nos petits albums photos, celui qui contient de nos photos coquines, mais seulement les soft. Quand nous allons nous coucher, je constate qu’il a disparu.


Dimanche 7 avril 1991

Ce matin, nous sommes tous de repos.

J’attends qu’elle soit sous la douche pour entrer direct à poil dans la salle de bains.

Elle cache ses seins et son triangle bien fourni:
- Anna, enfin, tu le fais exprès?

Je ne réponds même pas. En plus de ma nudité, elle remarque enfin ma calvitie:
- Anna, tu est complètement épilée?
- Oui, c’est plus agréable, Bon, je me brosse juste les dents et je sors!

Je prends mon temps, puis je la quitte pour la laisser un peu souffler.

Elle revient au salon en peignoir, et constate que je suis restée à poil, et que Ber est lui aussi entièrement nu dans le canapé.

Elle proteste, mais Ber l’interrompt:
- Dis donc, Sève, apparemment ça t’a pas gênée de nous voir comme ça sur nos photos personnelles. Et ne me dis pas que tu ne les as pas regardées.
- Euh, oui, c’est vrai, j’ai regardé, mais l’album traînait ouvert sur la commode…
- Et je parie que tu les as regardées jusqu’à la dernière, non? Elles t’ont plu?
- Euh, oui, non… j’ai pas pu m’en empêcher, j’étais trop surprise de voir ça.
- Eh bien, maintenant que tu nous as vus sous tous les angles, je vois pas pourquoi on continuerait à se cacher pour toi. On va pouvoir enfin respirer.

Je ne lui laisse aucun répit:
- Et finies les simagrées, vire-moi ce truc!

Avant qu’elle ait pu réagir, je lui enlève le peignoir. Elle se masque de ses mains:
- Anna, s’il te plait, non! En plus, je suis trop grosse…
- Et alors, tu crois que seuls les mannequins ont le droit de faire du naturisme? Moi aussi, je me trouve des défauts. On s’en fout que tu aies quelques kilos en trop. D’ailleurs, au passage, j’aimerais bien avoir tes seins plantureux à la place de mes petits nénés. Allez, à partir de maintenant, interdiction de porter quoi que ce soit ici. Dis-toi qu’on est en famille et laisse-toi aller, ça va finir par te plaire.

Elle va se caler dans un fauteuil, jambes bien serrées, et finit par décroiser les bras qui cachaient sa poitrine à nos regards.

Vers midi, elle est un peu plus décontractée et se lève sans trop de manières pour venir toute nue à table.

J’insiste pour qu’elle reste comme ça, et au au dîner, elle nous avoue:
- Bon, maintenant, ça va mieux, mais j’ai pas mal flippé au début. Et vos épilations n’arrangent rien. On vous voit trop, euh, tout, enfin vous savez…
- Mais non, d’abord c’est plus hygiénique, et c’est aussi une question de coquetterie.
C’est un peu comme les coupes de cheveux, la barbe ou la moustache, mais en plus intime. C’est vrai que toi, avec ta forêt vierge…
Elle ne fait plus aucun chichi pour se lever et aller chercher le dessert à la cuisine, puis pour venir m’aider à faire la vaisselle comme moi, nue.

Elle ne dit rien non plus quand Ber la rejoint dans la salle de bains pour se brosser les dents en même temps qu’elle.


Mercredi 10 avril 1991

Ce matin au réveil, Ber a la grande trique.

Je le laisse avec son problème et je vais préparer le petit-déjeuner.
Finalement, il nous rejoint la queue encore bien gonflée, presque à l’horizontale et le gland à demi sorti. Il s’assoit face à Sève, l’engin disparaissant derrière la table.

Sève avale de travers sa gorgée de café:
- Dis donc, Ber, te voir à poil, j’essaie de m’habi, mais là, tu exagères! Tu pourrais me dispenser de ce genre de spectacle.
- Pourquoi? Après tout, c’est la nature! Comme le disait Brassens, la bandaison, ça ne se commande pas! D’ailleurs, c’était presque rien. Par contre, le fait de m’en parler, ça me fout vraiment la trique, regarde!

Il se relève, faisant surgir au-dessus de la table sa bite décalottée bien dressée:
- Là, tu vois, ça c’est une vraie érection, pas comme tout à l’heure! Et je te rassure, elle mord pas. Et après tout, qu’est-ce qu’elle a de différent, ma bite, de ma langue ou de mes oreilles, à part l’idée qu’on s’en fait?

Il la fait un peu sauter dans sa main avant de se rassoir. Sève est abasourdie par sa première vision d’une bite raide, en plus à cinquante centimètres à peine:
Anna, dis quelque chose!
Ben quoi, il a raison, c’est la nature. Moi, ça me dérange pas que tu le voies.

Sève se le tient pour dit, et personne ne relance le débat.

Quand il se relève pour aller s’habiller, sa bite est presque revenue au repos, mais pas totalement. Le gland bat ses cuisses quand il marche.



Samedi 13 avril 1991

Depuis mercredi, Sève a eu très régulièrement droit aux érections de Ber.

Il faut dire qu’il se met en forme exprès dans la chambre ou la salle de bains avant d’apparaître sans jamais rien cacher mais toujours avec un mot d’excuse, du style:
- Je sais pas ce que j’ai en ce moment, ça doit être le printemps qui agit sur mes hormones! C’est la montée de sève. Oups, Sève, tu m’excuses le jeu de mots?

Aujourd’hui, elle termine son contrat, et comme demain matin, nous devons la redescendre à Luynes, nous avons programmé une petite fête ce soir.
Nous en avons discuté, Ber et moi, je suis d’accord pour la provoquer à fond histoire de la décoincer, mais pas touche à elle.

Après un gros apéro et un dîner bien arrosé, elle est achevée par le Génépy maison.
Installée entre nous sur le canapé, elle est tellement allumée qu’elle rigole quand Ber s’amuse à faire tressauter sa bite toute raide. Il propose alors de regarder un film sur le magnétoscope, mais sans prévenir que c’est un film de cul.

Sève émet une protestation en voyant le titre et les premières images. Je l’arrête:
- Allez, on rigole, et ça fait de mal à personne!
- Oh, et puis après tout, au point où j’en suis…

Accaparée par le film, elle met un certain temps à réaliser que Ber est en train de se branler. Elle se retourne pour m’en faire part, mais elle s’aperçoit que je suis en train de faire la même chose, jambes grandes ouvertes:
- Anna, qu’est-ce que vous faites? C’est dégoûtant, je suis là!
- Dit-elle en regardant un film de cul! On se fait un peu plaisir, et c’est tout à fait normal. Tu devrais en faire autant, je vois à tes tétons dressés que le film t’excite. Je suis sure que tu mouilles, alors branle-toi comme nous, et ne me dis pas que tu l’as jamais fait avant…

Et nous reprenons nos occupations. Décoincée par l’alcool, elle reste un moment dans l’expectative, puis elle commence à se masturber doucement.

J’attends qu’elle ait atteint sa vitesse de croisière pour enchaîner. Je vais m’agenouiller devant Ber qui est tout heureux de me donner son gland à sucer.

Ça la dépasse un peu trop, et elle le fait savoir:
- Anna, voyons, tu vas un peu trop loin!

Je lève les yeux vers ma sœur  qui me regarde, dépassée par les évènements:
- Et alors, on est déjà tous en train de se branler devant un porno! Quelle différence?

Comme elle n’a pas cessé de s’astiquer le bouton, ni de me regarder alors que je continue de branler Ber, je replonge dans ma fellation en la narguant.

Puis je change de position. Je me mets à genoux sur le canapé et Ber vient me prendre en levrette sous les yeux de Sève que j’entends partir dans son premier orgasme.
Elle ne ralentit pas et continue sa branlette. Elle ne regarde plus le film, préférant nettement nos ébats comme source d’inspiration.
Ma tête repose sur sa cuisse, près de sa chatte et je me retiens d’y mettre les doigts.

Puis j’ai envie de changer de trou, en ne laissant aucun doute pour ma sœur:
- Allez, encule-moi! oui, comme ça, bien à fond!

Ber me défonce la rondelle sur sa bite et je me frotte le clito.
J’écarte avec ma main la cuisse de ma sœur et Ber profite de la vue sur la chatte de Sève.
Elle ne se retient pas de jouir juste sous mon nez.

Ber annonce son arrivée proche et se retire juste à temps pour m’expédier de copieux jets de sperme sur mon cul.

Nous reprenons nos places assises.
Sève a maintenant un retour de culpabilité, mais nous la rassurons.
Après quelques atermoiements, elle finit par admettre que c’était bon, et qu’elle va s’adonner à la masturbation plus souvent dans sa chambre.

Dans la confusion ambiante, Ber lui a pris discrètement la main et l’a posée sur sa queue. Toute à notre discussion, elle le tripote machinalement, ce qui le remet en érection et elle commence inconsciemment à le branler. Elle ne se rend compte de ce qu’elle fait que lorsqu’il bande à mort dans sa main. Elle le lâche rapidement avec un air très gêné, et il n’insiste pas.


Dimanche 14 avril 1991

Ce matin, Ber est en train de me prendre en levrette debout devant l’évier quand Sève entre dans la cuisine.

Elle stoppe en nous voyant, mais décide de plaisanter:
- Décidément, j’y aurai eu droit jusqu’au bout! Bon, je vous laisse dix minutes, mais pas plus, j’ai trop faim!

Avant de rejoindre tous les trois la voiture, je la persuade d’emporter un de mes vibros.
Je lui prête aussi un de mes strings de plage qui est réglable sur les côtés pour qu’elle le mette au bord de la piscine.
Elle ne me promet rien quant à l’utilisation de tout ça, mais elle les prend.

Nous profitons de notre passage pour aller voir Valy.
Il y a Marie-Lou, mais Ben est tout le week-end chez son père.

Il nous faut très peu insister pour qu’elle accepte que nous prenions tous le soleil à poil ensemble. Elle ne veut pas trop le montrer, mais son regard est assez attiré par l’épilation radicale de Ber.

Après le déjeuner, nous sommes étalés sur la terrasse et la conversation vient sur Ben et la gestion de la nudité à la maison.
J’en profite pour argumenter:
- Et alors, pourquoi pas avec lui aussi?
- Allons, Anna, il est encore mineur.
- Vous ne seriez pas les premiers à faire du naturisme en famille, c’est très courant.
- Tout de même, je ne sais pas trop, me mettre nue devant lui…
- Le mieux serait d’essayer, pour voir sa réaction. Qu’en penses-tu, Valy?
- Oh, tu sais, il m’a tellement souvent vue en string, ainsi que Anna. Et toi aussi maintenant que tu en as un. Donc ça devrait le faire sans problème.

On parlemente encore un peu, et c’est Ber qui l’emporte:
- Oui, Marie-Lou, et le mieux, ce serait que pour la première fois il ne soit pas le seul mec à poil au milieu de nanas. Donc profitons que je suis aussi là pour le faire tout à l’heure quand il reviendra. Ça t’aidera aussi.
- Bon, vous m’avez eu, c’est d’accord pour essayer.

Quand il arrive, vers cinq heures, il a donc la surprise de nous trouver ainsi, et il ne fait pas de manières pour aller se déshabiller et nous rejoindre dans le plus simple appareil. Il est tout de même un peu intimidé et donc ne bande heureusement pas.

Marie-Lou est enfin entièrement rassurée et convaincue lorsque nous les quittons.

A suivre…

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