Ex
12 ans.
C'était environ le nombre d'années entre la fin de relation de mon premier amour et moi. Rupture que j'avais très mal vécue à l'époque.
Nous sommes un samedi matin, je ne travail pas ce week-end, je me lève et allume le PC, je vais me faire un café et pars regarder si je n'ai pas d'emails.
Quelques emails sans importance, je vais voir sur Facebook ce qu'il y a de neuf, j'ai deux messages, l'un d'eux attire mon attention.
C'est ce premier amour, je reste un instant à regarder le message avant de l'ouvrir, mais je le fais.
"Coucou, j'espère que ça va ? Je venais prendre de tes nouvelles simplement."
Après plus de douze années, elle se décidait à en prendre ?
Je finis par répondre, une discussion banale se fit, elle me proposait que l'on se revoie, je l'invitais à la maison le jour même.
- 14h30 ? D'accord, envoie-moi l'adresse.
Ce ne fut pas plus dur.
Elle arrivait à l'heure pile, même avant, je la scrutais, elle était toujours aussi belle, de longs cheveux blonds, de beaux grands yeux bleus... Habillée comme à l'époque, un jean's et un tee-shirt, je devinais qu'elle portait un string en dessous, de quelle couleur ? Hum, je me l'imaginais... Son joli 85 B semblaient toujours bien se porter, je les revoyais.
Je lui proposais à boire, on discutait de tout et de rien, surtout de rien, jusqu'au moment où elle s'excusait de m'avoir quitté du jour au lendemain, etc etc...
- J'aimerais me faire pardonner, tu penses que ça arrivera un jour ?
Devant mon absence de réponse, elle semblait "désespérer".
- Je ne t'en veux plus, c'est dû passer. Dis-je simplement.
- Ça me rassure, mais je m'en veux tellement, je sais que tu as longtemps été triste.
- C'est ce qui m'a forgé, ce nest pas la mort.
- D'accord, si tu le dis. Dit-elle semblant être déçue.
Je parti me mettre à la fenêtre, m'allumait une cigarette et la regardais.
- Tu peux peut-être faire quelque chose.
- Ah oui ?
- Oui, oui, tu sembles vouloir faire quelque chose pour racheter ta faute, ou te faire bonne conscience, je ne sais pas ...
- Oui, dis-moi.
- Je n'ai jamais réussi à l'époque, je veux te sodomiser.
Elle ne dit plus un mot, regardais par terre semblait réfléchir et relevais la tête puis dit : -D'accord.
Je tirais un coup sur la cigarette.
- Ca te vas maintenant tout de suite ?
- Oui.
- Déshabille-toi.
Là, face à moi, elle se mit à se déshabiller, croyez-moi ou non, mais j'étais prêt à cracher dans mon boxer !
Elle restait là, nue au milieu de mon salon, elle cherchait même pas à se cacher de moi, j'écrasais la cigarette et passait devant elle, lui faisant signe de me suivre, elle me suivait, je la fis se mettre à 4 pattes sur le lit.
J'ouvris le tiroir, pris le lubrifiant, commençait à le passer sur son anus, elle ne se sentait pas à laise, mais je continuais, commençant à pousser petit à petit pour rentrer dedans, voyant qu'elle était vraiment pas à l'aise, je commençais à jouer avec ses seins, elle finit par se concentrer là-dessus, moi, je lui doigtais son cul avec deux doigts, puis trois, continuant de lubrifier le plus possible.
- Tu vas mettre une capote ?
- Non, je vais te remplir le cul.
- Je préférais avec une capote.
- Mais tu te ferais pas vraiment pardonner si c'est comme tu préfères. Dis-je trois doigts dans son cul.
- D'accord, tu as raison.
- Tu me le dis quand tu es prête à te faire enculée.
- Je suis prête...
- Prête à quoi ?
- Je suis prête à me faire enculer.
Je sortis du lit et abaissais mon pantalon et mon boxer, mon sexe se dressais face à elle, je lui présentais et elle le suçait.
Je me mis derrière elle et le dirigeais vers son anus, je poussais petit à petit et rentrait sans trop difficulté.
Je commençais les vas et viens, la tenant par les hanches, elle poussait des petits gémissements.
- Tu n'as pas besoin de te retenir, personne ne t'entendra.
Et elle se lâchait, ses gémissements devenaient des cris, je l'enculais enfin, je me sentais en elle, bien serré, elle qui avait toujours refusée de se faire sodomiser.
Et je finis par venir, serrant ses hanches, je laissais chaque goutte lui remplir son cul de rêve.
Je me retirais, me laissant tomber à côté d'elle, mon sexe le plus possible à hauteur de sa bouche, elle me regardait, transpirante, essouffler, je la regardais puis regardais mon sexe, elle me fit non de la tête, je fronçais les yeux et elle me nettoyait mon sexe qui puait son petit trou de cul.
Je me relevais et m'apprêtait à sortir de la chambre, je regardais son cul, ça coulait, j'étais satisfait.
Elle me suivait dans la salle de bain et l'invitait à prendre une douche.
- On est quitte maintenant ? Lui dis-je.
- Oui...
- J'espère que ça ne t'a pas trop dégoutée.
- Non, j'ai aimée.
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