Un Jeu De Société Qui Dé, Partie 4 : Mecs En Rut, Chattes En Feu Et Fellation-Surprise
Ceci est une histoire réelle. J'ai juste changé les noms, résumé certaines choses et complété les moments où mes souvenirs manquaient.
A ce stade du jeu, nous avons donc :
- Noham, beau métis toujours entièrement habillé (hélas !), qui est sans doute en train de gagner la partie (avec Constance) car il possède pas mal de propriétés dont trois de la même couleur ce qui lui permet de choisir le gage à attribuer à la personne qui tombe dessus.
- La sage Constance, l'intello de la classe : elle se révèle moins sage que prévu mais, avec Noham, elle est sans doute en train de gagner la partie. Elle possède aussi trois propriétés de la même couleur, mais plus beaucoup de cash. Du coup, la petite brunette est à présent entièrement nue et, il faut le dire, elle est beaucoup plus belle nue qu'habillée ! Elle s'habille peut-être comme un sac, mais elle a un joli corps et manifestement, elle n'a pas passé sa terminale à juste réviser pour le bac. Elle a une belle cambrure, de belles fesses, une belle paire de boobs...
- Clara, très belle petite blonde dont j'ai appris à cette occasion la bisexualité, et l'attirance probable qu'elle a pour moi. Elle est en culotte et débardeur. On l'a vue brièvement sans culotte, ce qui a eu l'air de la gêner. Elle gardait les jambes serrées comme pour ne pas montrer son sexe - et bien vite elle a racheté sa culotte à la banque. Pourtant, c'est bien elle et son copain Thomas qui ont voulu commencer ce jeu ! Mais elle semble à présent un peu dépassée par les événements.
- Thomas, justement, beau brun athlétique, est en caleçon. Il est très content d'être là, lui, et ne serait pas contre qu'on retire son caleçon afin de dévoiler sa virilité. Il a roulé une pelle à Constance et à sa meuf, et ne s'est pas prié pour me pelotter quand j'étais sur ses genoux - et je sentais son sexe dur sous mes fesses. Il a quelques propriétés, un peu d'argent mais pas beaucoup...
- Hugo, lui, est fauché et à poil (dommage, le nombre de vêtement des mecs est pour l'instant inversement proportionnel à mon intérêt pour eux !).
- Quant à moi, Julie, immortelle déesse de beauté (sisi). Je n'ai pas beaucoup de thunes ni beaucoup de propriété, bref mes choix sont limités. Je suis en culotte blanche. Noham m'a retiré mon soutien-gorge un peu plus tôt ce qui m'a à la fois stressée et excitée. Noham a joué le jeu de la douche écossaise avec moi, me snobant ostensiblement pour ensuite me chauffer à blanc pendant une pause. Dans la cuisine, sans que personne ne nous voie, il m'a plaquée au frigo et a enchaîné French kiss, pelotage des seins sans ménagement, doigtage rapide et claque sonore sur la fesse droite. J'en suis toute chamboulée, et je perds un peu mes repères.
Clara aussi semble avoir brièvement perdu ses repères quand elle a compris qu'on allait jouer le "niveau 3 - érotique". Elle est à côté de son mec, sur le canapé. Tous les autres sont à présent assis sur des chaises, et l'ordinateur portable va de main en main. Il se passe quelques tours sans beaucoup d'action, la plupart des personnes tombant sur des cases sans intérêt. Thomas me fait un petit baiser, à l'occasion d'un des rares gages qu'il m'arrive de dispenser, mais ça ne va pas plus loin. Hugo se lamente de tomber sur de mauvaises cases, puis c'est le tour de Clara, qui tombe chez Noham.
Noham lui lit son gage : "Clara, lèche un de tes seins pendant trente secondes. Noham t'accompagnera dans ta tâche."
Clara pâlit. Il faut dire que cette très fille très mignonne a, je le sais, un complexe : la taille de ses seins. Ils sont petits. Mignons, mais petits. Et alors qu'il aurait été facile pour Constance, par exemple, ou dans une moindre mesure pour moi, d'engouffrer ses têtons dans sa bouche, pour elle c'est plus compliqué. Noham se lève pour reposer le portable sur la table basse et attend, pour lancer le chronomètre, que Clara commence à sortir timidement sa langue en direction de son sein gauche, tout en maintenant celui-ci de sa main droite.
Puis c'est à Constance de jouer, et elle tombe sur une case possédée par Hugo. Elle lit son gage : "Constance, tu dois inspecter le nombril de Hugo avec ta langue pendant 15 secondes". Son sexe à la main, Hugo est ravi de voir Constance se lever, entièrement nue et la chatte rasée, puis s'approcher lentement et se mettre à genoux devant lui. Elle approche sa bouche du ventre d'Hugo et entreprend de le lécher sensuellement. Se faisant, ses cheveux et son visage entrent en contact avec le sexe en érection de l'étudiant dont la respiration s'accélère. Constance inspecte le nombril comme demandé et, d'une main ferme, att la queue qu'elle caresse de haut en bas. "Hé !" s'exclame Thomas "c'est pas dans le gage, ça !" - mais Hugo ne proteste pas, et Constance continue à branler le membre de haut en bas. Quand sonnent les 15 secondes, Constance lance un "Oops! J'avais dû mal lire le gage" en regardant Hugo d'un air lubrique.
Comme toujours après Constance, c'est ensuite à moi de jouer et, justement, je tombe chez elle. Mais elle me dit tout de suite :
"Toi Julie, tu payes, je te laisse pas faire un gage. Tu es trop habillée !
- Trop habillée ?! Mais j'ai que ma culotte !
- C'est déjà trop.
Et voilà, je me lève et retire mon dernier vêtement, laissant voir mon sexe à la toison courte et bien taillée. J'ai conscience qu'à ce moment-là, les cinq autres participant.e.s sont tous en train de mater ma chatte avec envie. Voilà, je n'ai presque plus une thune et plus d'habit ! Comment ça se passe, il va falloir payer de mon corps maintenant ?
C'est à Noham de jouer, et il tombe chez Constance qui lui inflige ce gage : "Noham a toujours son pantalon ? Enlève-le et perds 1000 pour la peine!"
"Quoi, 1000 ? Mais c'est de l'arnaque complète ce truc !" s'indigne le beau métis. En râlant, il se lève, enlève enfin son pantalon et laisse voir un boxer hélas pas très moulant. Mais miam quand même.
Noham se rasseoit en grognant, et Thomas lance les dés. Il tombe sur l'un des trois lotissements de Constance, qui a le choix entre trois gages à lui donner. Elles les parcourt des yeux avec un air coquin, et les lis à voix haute : "Le premier : 'Voilà une bataille de langues qui s'annonce chaude entre Thomas et Constance' ; deuxième gage possible : 'Constance, retire le caleçon de Thomas. Constance, caresse ses fesses si tu le désires' et le troisième... non, le troisième est pourri... Bon, je peux aussi te faire payer... Mmh voyons... Qu'est-ce que je vais choisir ? Allez, va pour le premier"
Thomas s'approche de Constance, et les deux se roulent une pelle pendant une bonne dizaine de secondes. On voit que le membre viril de Thomas ne demande qu'à être débarrassé de ce caleçon gênant.
Hugo joue à son tour, et tombe sur une case qui lui fait gagner un peu d'argent. Clara joue ensuite, et tombe sur l'unique terrain d'Hugo.
"Ca y est, toutes les filles sont à poil", commente sobrement Constance. En effet, seuls Thomas possède encore un caleçon, ainsi que Noham (qui a également un polo).
Et elle lance le dé, et tombe chez Thomas. Son gage : "Constance, monte sur les genoux de Thomas et simule un acte sexuel. Frotte ton sexe contre le sien, sur ses jambes, pousse des cris de gémissement...".
Constance ne se fait pas prier, et monte sur les genoux de Thomas, de sorte à être en face de lui. Elle approche progressivement son entrejambe du caleçon du jeune homme, au moyen de petits mouvements sensuels du bassin, tout en se caressant langoureusement les seins. Elle s'approche de lui, leurs ventres se touchent, et sa chatte découverte se frotte à présent contre le bout de tissu qui emprisonne encore la bite de Thomas.
Celui-ci lui soupire :"Hum... C'est dommage que tu m'aies pas enlevé mon caleçon tout à l'heure, non ?"
Et il lui att les fesses de ses deux mains. Aussitôt, Constance réagit en en lui claquant les mains et en s'exclamant "Eh, le gage ne te donne pas le droit de faire ça !". Surpris, Thomas lâche alors le postérieur de sa partenaire, qui lui fourre le visage entre ses deux seins. Elle intensifie le mouvement de son bassin, frottant son clitoris contre le caleçon et fait entendre des gémissements sonores, au rythme des mouvements.
"Oh... Oh... Oh..."
Thomas a disparu entre les mamelles généreuses, et on ne peut même pas savoir comment il réagit, mais il semble lui aussi pousser des soupirs de plaisir. C'est impressionnant, en quelques instantes le playboy semble relégué au rang de vibromasseur humain. En matant le spectacle, Hugo se branle doucement. Constance continue à frotter son clitoris contre la base du sexe de Thomas dans un bruit de tissu régulier. "Oh oui... Oh oui... Je sens qu'elle est dure..."
Hélas pour les deux, le chronomètre marque la fin du gage et Constance, en sueur, regagne sa place. Thomas, en nage, se lève pour arrêter le chauffage.
C'est à moi de jouer, et vu les différents gages passés, mon coeur bat à 100 à l'heure. Quand je vois que je tombe chez Noham, ça passe à 200 à l'heure. En plus, je tombe sur son lotissement, c'est-à-dire que Noham va choisir le gage à me faire subir... Le gars sourit, et prend son temps pour lire les trois :
"Premier gage : 'Noham, tu dois tracer le contour des tétons de Julie avec ta langue (sans les toucher)'"
Je souris, mais Noham fait la moue...
"Deuxième gage, continue Noham : Noham, allonge toi sur le dos. Julie, mets toi à quatre pattes au dessus de lui. Tu dois balancer tes seins sur son visage. Noham, essaye d'en attr un avec tes lèvres. (Pas de morsures !)'"
Là, il se met à sourire. Ca lui parait envisageable !
"Troisième gage : Noham, emmène Julie dans une pièce noire. Tiens sa main et donne lui une visite guidée de ton corps. Enlève pour ca les habits que tu as encore. Tu pourras les remettre ensuite."
"Il y a une pièce où il fait noir ?" demande-t-il aussitôt
"Oui, la chambre au bout du couloir là" répond Clara
Sans même prendre la peine de me signifier qu'il a choisi le troisième gage, Noham me fait signe de sortir, et il me suit. Nous voilà dans le couloir qui mène à la chambre, moi entièrement nue, lui en boxer et polo. Il me met une main aux fesses, je m'y attendais un peu, et me presse d'entrer dans la chambre dont la lumière est éteinte. Les volets sont tirés, mais la lumière qui vient du couloir éclaire la pièce. Il repère une chaise, sur laquelle il compte s'asseoir, et me demande de me mettre à genoux devant. Je m'exécute. Alors, il sort de la pièce, éteint dans le couloir, puis revient, ferme la porte de la chambre et, à tâtons, s'assoit sur la chaise. Je suis donc, nue, à genoux devant ce mec qui me fait fantasmer depuis quelques heures. La pièce est plongée dans le noir total, je ne vois strictement rien. J'entends un bruit de tissu, et je comprends qu'il est en train d'enlever son polo. Je sens qu'il cherche mes mains, et je les lui donne docilement. Ainsi, comme demandé dans le gage, il tient mes deux mains dans les siennes et promène ainsi mes mains sur son visage, sur ses épaules, sur son torse. Cette sensation, alliée à l'obscurité complète, est vraiment grisante. Sous mes doigts, je sens des épaules et des pectoraux en acier trempé. Ces sensations m'excitent au plus haut point. Il fait passer mes mains dans son dos musclé, de sorte que je suis un peu tirée en avant, vers sa poitrine. Je sens son odeur, l'odeur de son parfum mêlée à une évident odeur d'excitation sexuelle. Mes lèvres sont à quelques centimètres de son torse. Ma respiration s'est accélérée depuis quelques instants déjà, et je sais qu'il l'entend. Je n'y tiens plus, et dépose doucement un baiser sur ces pectoraux que je ne peux pas voir. Je reste ainsi plusieurs secondes, les lèvres sur son corps, sans qu'il ne dise ni de fasse rien. Puis il me repousse doucement, et je comprends qu'il est en train d'enlever doucement son boxer.
"Tu veux ma bite, hein bébé ?"
Je ne réponds rien.
"Tu veux ma bite depuis le début du jeu, hein bébé ?"
Pour toute réponse, je remets mes mains dans les siennes, et reste silencieuse. Ma respiration s'accélère encore.
"Non, dis-le moi", dit-il en serrant mes mains dans les siennes. "Dis que tu veux ma bite."
Je n'ai jamais eu de mec qui m'aient fait pratiquer des jeux de rôle ou du dirty talk. Je dois admettre que cette idée, tout en me gênant au départ, m'excite assez. Surtout comme ça, dans le noir, où il est plus facile d'être audacieuse.
"Je veux ta bite." lui réponds-je d'un air convaincu.
"Quoi ? J'ai rien entendu."
"Je veux ta bite."
"Bébé, faut que tu sois plus claire, j'ai rien compris là.
"JE. VEUX. TA. BITE."
Il reste silencieux une ou deux secondes et je répète, excitée :
"JE VEUX TA BITE. Fais moi toucher ta bite."
"Mais dis-donc bébé, qui te dit que tu as le droit de toucher ma bite ? Est-ce que tu as les mains propres d'ailleurs ?"
Il me met les deux mains derrière mon dos, et les att toutes les deux à l'aide de sa seule main gauche. Je suis ainsi, dans le noir où je commence à distinguer quelques formes, à genoux devant lui, les deux mains bloquées derrière le dos. Je sens alors sa main droite, sur ma tête, appliquer une forte pression afin de m'intimer l'ordre de baisser la tête. Bien vite, je comprends qu'il approche mon visage de son sexe et je me retrouve avec son gland dans la bouche. Son sexe me semble énorme, comme celui d'un acteur porno. C'est peut-être l'obscurité qui fausse mes sensations, mais j'ai l'impression que j'arrive à peine à faire entrer son gland dans ma bouche.
"Voilà, c'est ça. Ta bouche est pour ma bite. Suce moi je suis sûr que tu sais si bien le faire. Sois une bonne petite salope". Et il appuie sur ma tête, comme s'il allait tenter de m'enfoncer son dard dans la gorge.
Mais voilà. Certes, le mec me plait. Et la situation m'excite. Mais ce comportement de connard, cette situation à la limite de la fellation e... Non non, ça n'ira pas comme ça, il va falloir qu'il fasse des efforts. Je m'oppose donc à la pression, reprends le contrôle de mes mains, et lui lance
"Non non mon gars, ça va pas se passer comme ça du tout. Déjà, c'est pas ça le gage. "
Je me saisis de son sexe à pleines mains. Il est réellement énorme, je ne pense pas avoir jamais baisé un mec avec un sexe pareil. Je n'arrive pas à évaluer sa taille, mais il est énorme entre mes mains.
Je continue à parler : "Ecoute, si tu veux ma bouche, il va falloir que tu fasses mieux que ça." (en même temps, je commence à le branler de mes deux mains) "Parce que si tu passes ton temps à me chauffer et à me refroidir, tu sais comment ça va se terminer ? Hein ? Je vais me faire Thomas ou Hugo, c'est tout ! Hum... la bite de Thomas..."
Et là-dessus, je lâche son sexe en riant, et me lève pour partir.
"Ouah, j'adore ça, sérieux. C'est cool." s'exclame Noham en se levant.
J'entrouvre la porte en la tirant, mais celle-ci se referme bien vite : Noham s'est jeté sur moi, me planquant contre la porte. Je sens ses mains sur mes hanches, son sexe contre le bas de mon dos. Mes seins s'écrasent contre la porte avant qu'il n'y porte ses mains pour les malaxer, comme tout à l'heure dans la cuisine. Toujours debout, il appuie de tout son poids, je me sens prise dans ses griffes. A nouveau, il me retient les deux poignets, les plaque dans le dos d'une seule main, et continue à appuyer son corps contre le mien
"C'est cool sérieux, je kiffe les filles comme toi ! Tu sais que c'est toi l'objectif de ma partie depuis le début, hein ?"
Je sens son souffle dans mon cou. Je sens son excitation et ça me fait frissonner.
"Enfin, reprend-il, quand je dis 'toi' : je veux dire tes seins, ta bouche, tes hanches, ta chatte, ton cul... Je me suis dit que mon objectif cette nuit, c'est de jouir en toi. Tu en penses quoi ?"
Sans qu'il me laisse le temps de répondre, je sens que, derrière moi, il écarte mes jambes avec sa main, celle qui ne maintient pas mes deux bras. A ce stade, je m'attends à ce qu'il enfourne sa queue dans ma chatte, mais à la place il utilise deux doigts pour me pénétrer.
Il continue : "Humm... Je te chauffe et je te refroidis, tu dis ? Moi, vu comme tu mouilles, j'ai pas l'impression de t'avoir beaucoup refroidie jusquà présent..."
Mon corps est plaqué contre la porte fermée. Mes mains sont immobilisées dans mon dos. Il fait aller et venir ses doigts dans ma chatte, ce qui me fait pousser un premier soupir de désir, puis un second. Etre ainsi, entièrement soumise à son désir, me rend folle. A ce moment, il retire doucement ses doigts, puis les promène sur mon périnée, puis sur mon anus, puis revient vers l'entrée de mon vagin pour remonter sur mon clitoris et le caresser un moment. Je soupire à nouveau de plaisir. Je suis totalement sous son contrôle, je suis à sa merci. Il redescend à nouveau vers le périnée, puis l'anus.
"Tu sais ce que je veux ? demande-t-il. Depuis le début, ce que je veux, c'est ton joli petit cul."
A ce moment, je sens son majeur, trempé de ma cyprine, appuyer sur mon anus. Je sursaute.
"Je veux te posséder entièrement, je veux t'enculer, je veux jouir dans ton cul." Son doigt pénètre d'un centimètre dans mon petit trou, ce qui me fait un cri. Il rit "Ah, je devine que personne n'est passé par là, c'est ça ?"
Puis en riant, il recule, me libérant les mains, et m'assène, à nouveau, une violente claque sur la fesse droite. Il m'ordonne de sortir, en riant, puis souligne qu'il doit remettre son polo et son boxer, d'après le texte du gage. Je ne l'attends pas, et m'engage dans le couloir - très excitée mais aussi, comme tout à l'heure dans la cuisine, un peu humiliée ; et d'abord parce que si, mon garçon, il y a déjà quelqu'un qui est "passé par là" ! Je ne suis pas une gamine ni une coincée. Avec un mec, c'est même moi qui ai abordé le sujet, la sodomie n'est pas un tabou pour moi et ça peut même m'exciter. Enfin bref... Il me rejoint en courant, et nous revenons ensemble dans la pièce de jeu.
Thomas fait semblant de se fâcher : "Alors, vous faisiez quoi là ?"
Constance : "J'espère que vous avez pas baisé hein !"
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