Terma 63- Zoulika Et Layla Concubines Infidèles (1) :
Je mappelle, pour la circonstance, Zoulika, âgée de 26 ans et troisième femme depuis 7 ans de Si Hassane, 60 ans, grand propriétaire terrien au bled, par héritage et achats. Il était aussi propriétaire, en ville, dun très vaste terrain, où il a construit et gère deux magasins de tissus et vêtements masculin et féminin, un hôtel de 20 chambres, et derrière, face à lautre rue, cinq maisons dhabitations alignées, dont deux pour ses femmes et les trois autres pour locations. Sa première femme depuis 30 ans, Lalla Khayra, la plus âgée, 50 ans, habite au bled, dans la propriété de Si Hassane. Elle avait eu de Si Hassane, deux filles et un fils, tous mariés et vivant au bled. Cest ce grand fils qui gère, avec ses s et sa vielle mère, les terres et fermes de Si Hassane. Sa seconde femme, Layla, 35 ans, il lavait épousée il y 15 ans, car elle était la fille dun associé important dans ses affaires. Layla a eu trois filles et cela a indisposé Si Hassane qui désirait des garçons. Il voulait sen séparer, mais comme le père de Layla détenait des parts dans ses affaires, Si Hassane la gardée, mais négligée beaucoup trop. Et cest pourquoi, il ma épousée, il y a 7 ans, et je lui ai donné une fille et deux garçons, ce qui a contenté Si Hassane. Layla et moi ainsi que nos s, nous habitons, chacune, une des maisons derrière lhôtel. Si Hassane avait amené un homme du bled, Kaddour, 40 ans, marié mais sans , chargé de surveiller, contrôler et entretenir ses cinq maisons et être à notre disposition pour nos besoins le cas échéant. On peut lappeler ou lui envoyer les s pour nous apporter ce quil faut, cela évite à Si Hassane de soccuper de ses familles et sabsenter au maximum des jours et des nuits. Dailleurs nous savions que Si Hassane a des maitresses en ville et quil a en vue un quatrième mariage. Kaddour habite la troisième maison et les deux dernières sont louées à dautres familles.
Layla et moi, trop délaissées, nous souffrions surtout de nos besoins sexuels.
Ce jour là, un samedi, vers 13h, en sortant du hammam, toutes chaudes et parfumées, Layla et moi, nous étions très excitées car nous nous sommes manipulées un peu les chattes durant le bain et on avait envie de gros zeb. On a donc décidé daller visiter le fameux gars et rapidement on est arrivé au magasin. Par chance, il ny avait pas de cliente. Notre héros et son collègue étaient assis dehors, au frais car il faisait chaud, et le vieux dormait profondément à coté de la caisse. A notre arrivée, notre héros se leva et, laissant son collègue dehors, il nous accompagna dans le magasin.
Découvrir ma chair à un inconnu était déjà une preuve que javais sauté la barrière de la discrétion dune femme mariée et une provocation claire. Normalement il devrait séloigner et me laisser enfiler moi-même mon bas, mais, ayant bien saisi mon émoi, mon signal sexuel et mes désirs, lhomme saccroupit devant moi et prit mon pied avec délicatesse. Ce premier contact me secoua tout le corps dun long frisson et mon ventre dune onde de désirs sexuel.
Il ma demandé de la mettre dans ma bouche et de la lécher et sucer, pour la lubrifier. Pour la première fois de ma vie, ma bouche a avalé une queue dhomme, une grosse qui écartait fortement mes lèvres tellement elle était épaisse. Je lai ressortie pour la lécher de toute sa longueur. Cétait merveilleux, dabord sa grosseur dans mes mains, puis sa douceur et sa longueur jusquaux couilles. Et ses couilles, aussi gonflées et poilues, elles étaient presque effrayantes mais excitantes. Je les ai aussi léché, puis je suis revenu à la bite de lhomme qui commençait à gémir de plaisir. Jai enfourché la grosse queue et cette fois jai réussi à lenfoncer profondément dans ma bouche et lhomme a crié de plaisir et sest tendu, moffrant encore mieux son bas ventre poilu. A cet instant, jai pensé à ma chatte, vu la grosseur de ce pieu de chair, est ce quelle pourra le supporter, le laisser la pénétrer ? Bah, ça mest égal, jétais prête à tout sacrifice pour baiser, pour gouter cette bite en moi. Dans une secousse, lhomme retira sa queue de ma bouche et, écartant largement mes cuisses, il maida à soulever haut une de mes jambes, mettant en évidence ma chatte nettement en lair. Puis, me collant au mur, il a saisi sa queue et la glissée entre mes cuisses, elle trouva facilement lentrée palpitante de ma chatte et mon clitoris gonflé. Alors, avec douceur,,il enfonça sa grosse bite dans ma chatte. Doucement dabord, avec lenteur, puis, et elle glissa facilement à lintérieur, peut-être à cause de la mouille lubrifiante, peut-être aussi que ma chatte était chaude, brulante de désir et donc souple et ouverte à plaisir. Alors, il enfonça brusquement et avec énergie sa grosse queue qui me pénétra avec facilité et en vitesse jusquaux couilles. Jai gémis de plaisir dès la lente entrée de la queue dans ma chatte puis jai hurlé de jouissance à son enfoncement brutal jusquaux couilles. Mon pied narrivait plus à me soutenir et jai failli tomber si ce nétait les mains puissantes de lhomme qui menlaçaient la taille et les fesses. Mon hurlement a été aussi stoppé par une main de lhomme sur ma bouche, jétais debout mais presque étourdie, dans des vapeurs merveilleusement agréables. Jai pensé à Layla qui devait certainement nous écouter derrière la porte et je souhaitais autant pour elle tout à lheure, si lhomme aurait suffisamment de force sexuelle.
Puis il ma baisée avec une énergie totalement nouvelle pour moi et ma chatte, aucune comparaison avec mes années de mariage. Des coups de reins puissants, qui me transperçaient et secouaient tout mon corps, des vas et viens accélérés de sa grosse queue dans mes entrailles, jétais, grâce à cet homme et a sa formidable bite, et pour la première fois de ma vie, au septième ciel. Pratiquement étourdie par des ondes continues de plaisir dans tout le corps, je souhaitais des jouissances sans fin. Dès le départ, jai eu un premier orgasme avec ses doigts et sa langue, puis dautres à louverture de ma chatte puis à lenfoncement de la queue. Le plus violent qui mavait pratiquement étourdi et fait perdre mon équilibre, cétait le défoncement brutal. Ensuite, mes orgasmes se suivaient en continue par les vas et viens de cette grosse queue qui mécartait et frottait avec virilité mon intérieur. Je soufflais, haletais et mon cur saffolait, en danger peut-être, mais ça métait égal car cétait des violences agréables, jouissantes, inédites pour une femme délaissée trop longtemps par son mari. Pour lui aussi, on voyait quil avait beaucoup de plaisir. Je voyais sur son visage, presque collé au mien, quil soufflait fort et gémissait en continu et bruyamment. Je suis certaine quil devait penser quil baisait, enfin, cette femme qui venait si souvent le provoquer dans son magasin, sans jamais oser aller plus loin. Il la possédait enfin et en profondeur et ils jouissaient franchement tous les deux. Il avait comprit quelle était affamée de sexe et se donnait entièrement. Alors, il voulait me voir en entier, et sécartant un peu, il me poussa à enlever mon hijab, ma robe et mon soutien. Jétais nue entre ses bras, alors, je lai aidé moi aussi, à se dénuder entièrement. Puis, il enfonça de nouveau sa queue dans ma chatte, et corps à corps, poitrine contre poitrine, ce qui amplifiait mes jouissances, il recommença son pilonnage dans ma chatte qui coulait, coulait en abondance le long de mes cuisses. Être nus, ça me permettait de toucher et caresser son dos et ses fesses puissantes et ça me grisait, cette peau dhomme jeune et viril. Jai pensé aussitôt à mon mari, et ce que javais entre les mains me donnait pleine conscience de le tromper. Baiser cette poitrine velue tout en ressentant sa grosse bite me donner le maximum de jouissances dans ma chatte et mes entrailles, me pardonnait de tout et mon corps me disait que javais raison et quil fallait continuer à fond. Lui aussi, pouvait me caresser, me peloter et même me pétrir fortement mes seins comme il le faisait de mes fesses tout à lheure. Il me baisait les seins et suçait leurs boutons et continuer sr mon coup et même sur mes lèvres comme un vrai amant accepté et désiré totalement. Jétais, maintenant, sa femme et son plaisir sexuel et lui aussi était mon vrai mari et sa grosse queue mappartenait pour en jouir à mon aise. Tout cela augmentait nos jouissances et on gémissait en phase et bruyamment. Jétais sure que Layla devait se masturber en nous écoutant et simpatientait pour lui libérer mon amant.
Donc nous avons baisé pendant un long moment que je ne saurait compter, et, quant il a senti quil allait éjaculer, et pour éviter de me remplir la chatte et de me semencer, il a retiré sa bite et, devant moi, il sest fortement masturbé une dizaine de fois, en accéléré. Ma chatte coulait toujours son jus de plaisir et mon clitoris me démangeait encore, et le tableau de lhomme, nu, superbement viril, entièrement différent de mon mari, et qui manipulait avec force, son gros et long pieu de chair, était aussi inédit pour moi. Alors, jai enfoncé mes doigts dans ma chatte pour me branler moi aussi car ça me démangeait. Je le regardais se masturber pour finir et penchée, je me branlais aussi fortement et haletait presque autant que lui. Cest lui qui a gagné, car soudain, il a eu un long hurlement de jouissances, et sa queue a explosé par quatre longs et puissants et abondants jets de sperme. Tellement forts quils sont allés méclabousser le ventre, les poils de mon pubis, mes cuisses cuisses, et même plus haut ma poitrine et un peu au visage. Je savais que cétait un homme puissant et viril et ses coups de bites mont déjà démontré cela, mais la puissance et labondance de son sperme blanc et visqueux sont une preuve formidable. Ah, sil avait été mon mari avec cette grosse queue et ce sperme, je naurais regardé aucun autre homme et lui donner une dizaine de gosses. Son sperme me tentait et jaurais aimé lavaler. Mes poils de pubis brillaient du blanc de son sperme. Juste après son quatrième jet, ma branle et le tableau devant moi ont réussi à faire exploser mon dernier orgasme devant lhomme, et jai crié autant que lui. Javais fermé les yeux et jétais presque étourdie. Jai du avoir une faiblesse et le geste de meffondrer au sol, mais heureusement que lhomme ma retenu par la taille et recollé contre le mur.
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