L'Homme Du Train
Je suis dans un train de nuit en partance pour l'Italie.
Je vais à Venise, seule, pour rêver ; car je suis seule dans la vie depuis si longtemps.
Il fait nuit ; c'est un train couchette avec des cabines sur la droite comme il en existait autrefois sur la ligne Paris-Nice ; un train de nuit.
Je suis dans le couloir, accoudée à une fenêtre. Je regarde le paysage. Les montagnes sont belles. Elles se dessinent dans le ciel. Cest un clair de Lune. Il n'y a personne d'autre dans le train ; tout le monde dort.
Soudain, je vois une ombre au bout du couloir : c'est la silhouette d'un homme.
Il a l'air grand beau et fort. Il porte un costume-cravate, un chapeau et il fume. Il me fait penser à ce genre de gangster américain des années 30.
Je ne vois pas son visage ; juste une ombre.
Soudain, il s'approche de moi.
Je me sens toute chose toute soudaine et incertaine.
Il s'approche de moi.
Je me dis qu'il va passer son chemin sans prêter attention à moi. Je ne regarde pas la fenêtre et fait mine de ne pas le voir. Pourvu quil ne lise dans mes pensées. Mais non, il s'arrête et pose ses mains sur ma croupe que je lui tends nonchalamment sans men rendre compte. Je suis tétanisée, jai peur et je ne sais comment réagir.
Je pourrais me retourner et lui foutre une claque : malotru !
Je ne le fais pas.
Il me prend, les fesses à deux mains et me caresse, pleinement
Je ferme les yeux. Il continue.
Jouvre les yeux. Il continue.
Soudain, sa main passe sous ma jupe fendue. Je sens son doigt qui caresse ma fente. Je dégouline. Je trésaille. Jattends quil me fouille et me lintroduise. Quattends-tu pour le faire ?
Il me caresse, passe ses mains autours de mes hanches quand soudain, jentends un zip. Le zip de ma fermeture éclair. Ma jupe tombe net sur mes pieds. Je suis surprise, figée par tant daudace. Jai peur, je laisse faire. Je regarde le paysage, toujours sans réagir.
Mais soudain jentends un autre zip. Le zip de sa fermeture éclair. Le zip de son pantalon. Je nose imaginer et je nose me retourner pour vérifier. Je me dis quil sort son sexe en érection de belle dimension.
Je me retourne enfin. Il me regarde dans les yeux. Je le regarde dans les yeux. Nous sommes silencieux. Il me sourit. Il est sûr de lui. Je ne vois presque pas son visage. Puis soudain encore, il appuie sur mes épaules pour que je magenouille devant lui. Il est fort, je ne puis résister ni me débattre ni fuir, à quoi bon.
Je me retrouve agenouillée devant son sexe. Mon dieu quil est beau. Pas trop gros mais bien épais, gorgé à souhait. Je regarde mon hôte levant les yeux vers son visage pour croiser son regard et obtenir son approbation. Je prends le sexe dans ma main délicate. Je porte des gants blancs satin que je retire. Je prends le sexe dans la bouche. Il ne me laisse pas le choix. Sans réfléchir je suce cet homme que je ne connais pas parce quil ma mise à genoux, par quil ma donnée lordre de faire ce dont il veut de moi.
Soudain, il me relève et me retourne contre la vite presque violemment tout au plus brusquement. Il sempare de mes fesses, écarte ma petite culotte. Enfin, je me dis que mon heure est arrivée. Il sabaisse, place son visage à hauteur de mes fesses et les embrasse. Je suis en transe. Je nattends plus quune chose : quil me prenne et me pilonne. Je veux sa bite dure au fond de moi-même. Je veux mais je ne peux lavouer. La pudeur et la honte men empêchent. Mais je le pense si fort, tellement fort.
Soudain, je sens sa bite en moi. Je me cambre, il me cambre. Je ne sais plus qui à commencer le premier. Il me pilonne enfin. Je sens son dard au fond de moi. Ce gland qui ouvre mes chairs et se fraie un chemin. Il va, il vient et je me sens bien. Je ferme les yeux pour mieux ressentir la profondeur de ses assauts quand soudain il se retire.
Je lèche et je goutte ce met délicieux.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!