Hélène 30 : Mel , L'Aboutissement ?
Mel : laboutissement
La voiture de Pierre file dans la nuit. Hélène et moi, nous sommes assises à larrière.
Elle a placé sa main sur la mienne. Je tremble. Cette angoisse, ce stress, ma belle amie ma expliqué quils font partie du plaisir du sacrifice. Le tissu de la jupe de mon amante a glissée, et la fente sest ouverte jusquau haut de la cuisse. Je peux voir sa chair blanche au-dessus de la lisière dorée de ses bas.
Elle surprend mon regard, et elle pose ma paume sur sa cuisse. La douceur de sa peau mapaise.
Flash back
La vitrine de la mercerie dHélène est élégamment agencée, bon chic bon genre, comme sa propriétaire. Je suis plantée devant son magasin, hésitante, presque honteuse de lobjet de ma visite.
Je nai pas vu, ni appelé mon amante depuis trois semaines. Je narrive pas à pousser sa porte.
A travers la vitre, je vois mon amie sactiver pour une cliente assez âgée. Cette dernière paye et se dirige vers la sortie. Elle sort, la porte est ouverte, je me jette à leau, jentre.
La propriétaire des lieux me reconnaît, et elle aborde son beau sourire de madone.
- Ma chérie, je suis si contente, tu mas manquée.
Et elle me colle une bise sur chaque joue en me volant le coin de mes lèvres.
- Tu es venue pour quoi.
- Jai quelque chose à te demander, mais cest plutôt confidentiel. Fais-je en regardant autour de moi.
- Il est presque midi, on ira manger ensemble à la maison, sans chichis, en copines, ça te va.
- Super
- Ne sois pas trop enthousiaste, on va finir les restes. Me précise-t-elle.
Je me recule un peu, et je la contemple. Ses cheveux sont tirés en arrière, en queue de cheval avec une mèche sur le front. Elle porte un chemisier noir à pois blancs, avec une jupe plissée en satin gris anthracite, dont lourlet sarrête à mi mollet, des boots avec des petits talons. Elle a suivi mon regard, et elle me lance.
- Quest-ce que tu regardes. Y a quelque chose qui ne va pas ?
- Cest la façon dont tu es habillée. Cest presque discret ! Lui réponds-je
- Ma chérie, cest normal, quand on tient un commerce, il ne faut pas trop trancher avec la clientèle, sans autant se laisser aller.
- Mais je te voyais plus glamour.
- Ma belle, je vends de la mercerie, des fils, des aiguilles, je nai pas besoin dexciter les fantasmes de mes clients.
- Mais quand même, tu as lair si sage. Tu as mis des bas ?
- Je mets toujours des bas. Je suis sage au dehors, mais en dessous
Passe derrière le comptoir.
Et cachée de la rue, la belle en cuisses soulève le coté de sa jupe, me montrant une jarretelle, et au-dessus de la lisière de ses nylons, elle me dévoile la peau blanche de sa cuisse charnue.
- Tu as mis une culotte ? Fais-je inquisitrice.
- Oui bien sûr, on ne sait jamais, si Pierre passe pendant sa pause déjeuner, il faut bien que je loccupe !
- Tu es une coquine.
- Non ce sont des dessous plutôt sages, mais élégants, fait-elle en déboutonnant deux boutons de chemisier pour mexhiber les deux bonnets dun soutien-gorge violet englobant sa belle poitrine.
- Vous voyez ce modèle est très confortable et pourtant bien enveloppant, avec ses coques, tout en restant seyant. Me dit-elle, en se mettant à me vouvoyer. Vous pouvez aussi avoir un ensemble assorti. Je vous laisse réfléchir pendant que je sers Madame.
Je me retourne: une autre cliente est entrée pendant que je matais ma mercière préférée.
- Vous avez raison, occupez-vous de Madame pendant que je me décide.
Hélène expédie sa cliente en cinq minutes. Et dès quelle est dans la rue, nous éclatons de rire.
- Allez vient on prend ma voiture, et on va finir le bourguignon.
Nous nous installons dans la cuisine, et mon hôtesse nous sert deux portions de ragoût après lavoir réchauffé dans le micro-onde.
- Cest délicieux, cest toi qui la fait ? Lui demandé-je.
- Non, cest Pierre, cest lui qui soccupe des courses et de la cuisine.
- Tu as de la chance davoir un si bon cuisinier.
- Il me gâte, il sait que jaime les plaisirs de la bouche. Et elle sinterrompt, sapercevant du double sens de ses paroles.
-
Jéclate de rire
- On prend le café dans le salon ? Fait la belle en cuisse, en enlevant mon assiette.
Je me suis confortablement installée en face du guéridon. La maîtresse de maison pose devant le service à café, des petits chocolats et la cafetière. Je tourne la tête à droite à gauche, puis je prends la tasse que me tend mon hôtesse.
- Ça ne va pas, tu cherches quelque chose.
- Le chevalet, vous lavez rangé.
- Non, tu es juste en train de prendre le café dessus.
Je manque de renverser ma tasse sous leffet de la surprise.
- Mais comment ?
- Mon Chaton est un génie du bricolage. Le meuble est dissimulé sous le plateau. Ça lamuse de voir mes copines coincées et bien pensantes prendre le thé au-dessus de linstrument de ma souffrance et de mes plaisirs. ..
- Alors ma beauté, quest qui tamènes dans ma campagne. Reprend-elle
- Euh. Bafouillé-je, puis je lance, tout à trac
- Je voudrais que Pierre me mette sur le meuble et quil me fouette.
Cest au tour dHélène de se figer, puis elle articule.
- Non ! dit-elle en sasseyant près de moi.
- Mais pourquoi.
- Ma belle, Pierre est un amant fidèle, et il nen fouette aucune autre que moi.
- Mais alors, fais-je au bord des larmes.
Elle doit voir que je vais pleurer, elle me prend la main entre les deux siennes et la presse avec douceur.
- Ne te fais pas de soucis, je vais bien moccuper de toi, on va trouver une solution
Récit de Mel
Hélène surprend mon regard, et elle pose ma paume sur sa cuisse.
Tout à l'heure, elle m'a préparée.
D'abord, elle m'a dénudée, puis elle m'a lavée intimement avec une poire dont elle a enfoncé l'embout dans mon orifice caché.
- Tu vas voir, c'est agréable, c'est une infusion de thé vert. C'est légèrement astringent.
Elle se retourne pendant que je me vide dans le bidet, puis elle recommence. Je comprends mieux la signification de ses mots lors de nos premiers amours lesbiens «Je suis très propre».
Puis elle laisse tomber son peignoir et mentraîne sous la douche. Elle me savonne entièrement. Je me laisse faire, c'est à la fois très doux et très tendre, mais presque chaste.
Elle m'essuie.
Puis elle m'assoie en face d'une bergère, elle me coiffe et me tire mes cheveux en arrière. Elle les tresse en une natte qui caresse ma nuque et le haut de mon dos.
Elle me tend une paire de bas noirs à couture.
- Enfile-les, me demande-t-elle pendant qu'elle fouille dans une armoire. Puis,
- Lève les bras, je vais te le passer, fait-elle en me présentant un corset de cuir noir.
Je lui obéis. Elle le place autour de ma taille, puis le boucle dans mon dos. Elle ajuste mes deux seins dans le balconnet, et agrafe mes nylons aux jarretelles,
Elle se recule pour juger de son uvre.
- Il te va plutôt bien, mais il y a quelque chose qui cloche !
Elle se glisse dans mon dos et tire sur les boucles qui enserrent ma taille.
- Tu métouffes.
- Mais non Chérie, Respire un bon coup et tout va se mettre en place.
J'aspire et je souffle, et miracle, c'est vrai, je me sens bien, contrainte, mais pas étranglée.
- Ma belle, enfile tes talons, et mets ce masque.
Elle sapproche, tenant un petit bout de tissu dans sa main, et elle gaine mon cou d'un joli collier de dentelles. Je me regarde dans le miroir. Mon allure me stupéfie. Sentant mon étonnement Hélène ajoute
- Ma belle, nous sommes des femmes sabliers : une poitrine opulente, des cuisses charnues, un cul insolent, et une taille de guêpe.
- Ne bouge pas, je replace tes seins.
Elle les dégage et les place en liberté dans les demi-balconnets du corset.
- Je les trouve trop gros et ils pendouillent.
- Non, ils sont plutôt émouvants, maternels me répond Hélène.
- J'ai quand même allaité deux s,
- Pour moi, ils sont jolis, ronds, comme des pomelos, fermes, ils se tiennent bien. Et elle ajoute.
- Et je vais adorer jouer avec.
Un instant, je frémis en imaginant la nature des jeux. Je change de sujet de discussion
- Il est joli ce corset.
- Je l'ai porté lors de ma première performance. Cest un bon souvenir me répond-elle, me ramenant au début de notre conversation. Puis
- Penche-toi en avant ! M'ordonne-t-elle.
Je mexécute, pendant qu'elle s'agenouille derrière moi, elle empaume mes fesses et les écarte.
Je sens un petit filet humide couler dans ma raie humide, puis une caresse rappeuse sur mon orifice caché. Je me laisse faire, une petite poussée sur mon petit cratère et voilà elle me pénètre de sa langue, elle me fouille, je suis aux anges, ça faisait si longtemps que j'espérais cette feuille de rose. J'halète doucement, je vais partir quand elle se retire. Et profitant de mon anus complaisamment ouvert, elle y pousse un gland métallique.
- Et voilà, te voici embijoutée,
- Mais, j'étais presque partie, pourquoi tu as arrêté, c'était si bon.
- Par pur sadisme, ma belle, comme ça, tu restes sur ta faim, et la suite ne t'en paraîtra que plus désirable.
- Dis, il est gros comment
- Pas énorme. Me répond-elle et elle prend ma main, et joignant en faisceau lindex, le majeur, elle ajoute
- Un peu plus gros que ça, il ne faut pas te brusquer, tu n'es qu'une débutante.
Puis elle se dirige vers son dressing et...
- Tiens, voilà pour compléter ta tenue. Et elle me passe sur les épaules, une belle cape de soie légère, dont elle noue les cordons autour de mon cou.
- Voilà, tu es prête. Descend, et attend- moi en bas
- Mais Pierre va me voir
- Pierre en verra bien plus tout à l'heure. Et puis, ne te fais pas de soucis, mon homme est un vrai gentleman.
Le salon est à peine éclairé, pas de risque de transparence qui puisse gêner ma pudeur. Je m'installe dans un fauteuil en me drapant dans mon manteau, mon hôte me tend une eau gazeuse, je me laisse aller, bercée par « a kind of magic «, en sourdine.
Cet instant de sérénité est interrompu par l'entrée de ma gentille amante
- Bon, Je suis prête, on peut y aller, annonce mon ordonnatrice,
Je me retourne. Hélène s'est habillée simplement d'une jupe de dentelle qui la cache des jusqu'à mi mollet, et un corsage blanc montrant par transparence son soutien-gorge noir Elle a étranglé sa taille d'une ceinture du même tissu sombre
Une tenue sobre et de bon goût, mais que cache-t-elle dessous ?
- Allez, va on y va. Et nous nous dirigeons vers la voiture.
Alors que nous traversons une zone boisée, Pierre ralentit et tourne à droite vers un portail fermé. Il sarrête et murmure quelques mots à l'interphone la grille souvre, et il s'engage sur un chemin cavalier.
Je tourne la tête, les vantaux se referment. Plus de retour en arrière possible, je roule vers mon supplice.
Récit de Pierre.
Je gare la voiture devant un perron brillamment éclairé. Je descends et jouvre la portière à Hélène. Puis je fais de même du coté de Mél. Je lui tends la main pour lextraire du siège arrière. Elle est en train de se redresser quand une légère brise fait voler la soie qui la cache.
Elle ratt le tissu pour se couvrir quand une voix douce et ferme l'arrête.
- Non, reste exposée. Lui ordonne son amante.
Jen profite pour admirer le corps de Mel à la lumière du perron largement illuminé, je me recule un petit peu.
Dans les fentes du masque, je peux saisir son regard bleu, jy distingue comme une légère lueur d'angoisse.
Elle a de belles épaules rondes. Le cou n'est pas encore marqué par lâge. Sa peau est très légèrement rosée avec quelques grains de beauté dont un se niche coquinement dans le haut du décolleté,
Ses seins lourds sont à peine contenus dans les demi-balconnets du corset. Mais étonnamment, ses tétons sont petits, à peine gros comme le bout de mes doigts.
Son corset étrangle une taille fine, et lui dégage le ventre qu'elle a légèrement gras. Des hanches rondes et maternelles complètent cet ensemble voluptueux.
Son pubis a été débroussaillé en triangle, mais ses cuisses charnues n'en laissent apparaître que la fente des grandes lèvres.
- Pierre quest ce qui mattend ce soir ?
- Je ne peux rien vous dire. Hélène a choisi pour vous.
Elle se tourne vers ma compagne, et linterroge.
- Le collier, la laisse ?
- Non rien de tout ça, donne-moi ta main ! lui répond ma compagne.
- Pourquoi ?
- Tu nes pas une soumise, tu es une amie, et je temmène découvrir de nouveaux plaisir.
- Une soirée entre filles. Ironise la future suppliciée.
- En quelque sorte, Allez viens ! Fait ma belle en lentraînant vers le haut des marches.
Mes deux compagnes montent lescalier, leurs popotins roulant en cadence.
Je reste quelques marches derrière. La soie senvole à nouveau me révélant le côté pile de Mel. Elle est aussi bien pourvu qu'Hélène, son cul est magnifique. Ses fesses rondes et pleines surplombent des cuisses charnues, mises en valeur par la bordure en dentelles des bas. Le lent roulis qui agite sa croupe laisse échapper un éclat bleu. Un instant, je rêve a une montée des marche où ces deux matures ne seraient vêtues que de leurs dessous.
- Bonjour mes chéries et bonjour Pierre! Fait Christine en nous accueillant devant lentrée.
- Mel, je vous attendez avec impatience. Poursuit-elle. Et lui prenant les mains pour lexposer, elle ajoute.
- Hélène na pas exagéré, vous êtes splendide. Passons à coté, vous êtes très attendue.
Récit de Mèl.
Voilà, me voici nue, au milieu de tous ces gens, dans lattente de mon supplice.
Où est passée la bourgeoise potiche tout émue d'enlever sa culotte. Et qui croyait quavoir le cul nu sous sa jupe était le sommet de lérotisme
Une femme, en robe de soie bleue, qui moule des formes au moins aussi pulpeuses que les miennes sapproche de moi, tenant son compagnon par la main. Elle cueille au passage une flûte de champagne et me la tends.
- Je vous envie, chère amie.
- Pardon ?
- La première fois est toujours la meilleure ! Dit-elle en me souriant.
Léclairage baisse doucement dans la salle, ne laissant que la scène éclairée par une douce lumière légèrement rosée.
- Ça va être à vous. Vous allez être la reine de la soirée. Ajoute la mature en bleue.
Je me sens perdue, désemparée, quand une main saisit la mienne.
- Viens ma belle, je vais moccuper de toi. Fait Hélène en mentraînant vers lestrade.
Les lumières sadoucissent, nimbant lestrade dune douce clarté rose.
Récit dHélène
Je tire Mél par la main et lentraîne sur la scène. Au passage, elle jette un regard inquiet sur la petite desserte où sont déposés es instruments du supplice : une cravache, un bull whip, un martinet à longues lanières, des bracelets de cuir, un petit tas de tissu noir.
Je fais un léger signe de la main, et un anneau descend du plafond, sarrêtant à hauteur de nos visages.
Je passe deux forts bracelets de cuir à ses poignets et je les accroche au cercle de fer. Je la positionne dos à la salle et je la débarrasse de son masque.
- Pourquoi, on va me reconnaître !
- Ne tinquiète pas. Fais-je en attrapant un petit tas de dentelle noire sur la table de service.
Je glisse la cagoule sur son visage, jajuste les ouvertures des yeux et de la bouche, et je passe sa natte par le trou prévu à cet effet, au sommet de sa tête.
- Voilà, tu ne seras pas démasqué par inadvertance. Puis je poursuis
- Tu veux que je te mette les pinces.
- Oui, je préfère si cest toi, sil te plaît
Je mempare de son beau sein en poire. Jen chiffonne le bout. Depuis nos étreintes, je me suis aperçu de sa sensibilité. Quelques instants de ce traitement et le bouton gonfle, sa propriétaire halète doucement.
Je prends un jeu de pinces dont les extrémités en bec de canard sont munies de quelques dents pyramidales. Je serre le petit instrument autour du mamelon en érection. Sa respiration se fait saccadée, je continue de tourner la vis de serrage, elle commence à geindre. Je marrête, et je fais subir le même sort à son jumeau.
- Ça va, tu es prête. Ça va commencer, tu vas être heureuse.
- Embrasse- moi, sil te plaît, fait-elle en tendant son visage au-dessus de ses bras.
Je pose mes lèvres sur les siennes puis ma langue envahit sa bouche, sa salive a un goût salée. Nous nous désunissons, et je me recule, sans oublier de lui donner une petite claque sur les fesses.
Je lève ma main, agitant mon index en cercle. Un ronronnement mécanique et lanneau remonte. Ma belle amie est magnifique, étirée, sa tête rejetée en arrière, sa poitrine projetée en avant, cambrant sa croupe opulente. Létirement allonge ses jambes, affinant ses cuisses charnues.
Je rejoints Pierre dans le divan qui nous est réservé. Il menlace. Au creux de mon ventre, je sens un petit pincement. Je ressens la jouissance de voir mon amante se prêter au supplice pour mon plaisir égoïste de dominatrice
Récit de Mél
Mes bras sont tirés vers le haut, je touche à peine le sol de mes talons. Je me tords la nuque pour suivre ma chérie qui regagne la salle.
Elle descend les deux marches et rejoint son amant. Elle s'assied à côté de lui sur le divan et se coule dans ses bras. Tranquillement, elle lui prend la main et la glisse entre deux boutons du corsage.
Un instant, j'imagine les doigts de Pierre fouillant dans la dentelle et s'emparant d'une des framboises.
La lumière sestompe ne laissant quun spot dirigé vers moi
Hélène a disparu dans la pénombre de la salle, je suis seule dans le cercle de lumière, frissonnante.
Puis, deux autres spots s'allument, dans chacun d'eux, une silhouette noire, fine, indubitablement féminine, armées l'une d'un long bull whip, l'autre d'un chat à neuf queues.
Elles se placent chacune dun côté, légèrement en arrière
Elles se font attendre. J'ondule légèrement du cul. Le résultat de ma provocation ne se fait pas attendre.
Celle munie d'un fouet lance son bras, mais elle a su doser sa force, je ne ressens qu'une légère morsure sur ma fesse.
Je déguste cette sensation nouvelle pour moi quand le martinet s'abat, avec vigueur sans prévenir, arrosant ma croupe. Je crie de surprise. Sans me laisser le temps de souffler, le chat à neuf queues s'abat à nouveau, incendiant mon cul
Une pause, puis la longue mèche s'enroule autour de ma taille protégée par le corset. Un instant, je crois à une maladresse, puis ma bourrelle tire avec énergie me faisant pivoter face à celle qui tient le martinet. Les lanières cueillent mes deux seins à la volée, l'une d'elles arrache une pince ajoutant à ma douleur.
Je comprends à cet instant que je n'aurais aucun répit, mes deux flagellatrices vont jouer sans pitié avec moi.
Récit d'Hélène
Mel danse d'un pied sur l'autre sous la flagellation, sa belle poitrine se balançant de droite n'est pas épargnée par les coups. Ses formes opulentes se couvrent dune résille rouge
A chaque coup, je sens une crispation dans mon ventre, comme si j'étais moi-même fouettée. Sous ma jupe, je sens mon sexe s'ouvrir, une humidité coupable tache ma culotte, mon anus se serre et se desserre au rythme du fouet,
Je suis en train de jouir du supplice de mon amante.
Pierre a glissé sa main dans mon chemisier, je la remonte dans sur ma poitrine. Il me comprend sans un mot et dégage mon sein de mon soutien-gorge, posant son pouce et son index autour de mon mamelon.
- Serre, serre très fort,
Ses doigts écrasent ma framboise. Les yeux rivés sur le corps supplicié de ma belle, je spasme dans un orgasme silencieux
Mel est épuisée, elle ne danse plus sous les cinglées, elle ne peut plus que gémir sous la fouettée, elle est presque à bout. Je fais le signe convenu aux deux bourrelles.
Récit de Mel.
La longue lanière senroule autour de mes cuisses, la mèche percute mes lèvres et mord mon bourgeon, comme si on arrachait mon clitoris.
Jhurle, mes jambes me lâchent, je meffondre, pendue par les poignets. Sous la douleur, je perds le sens.
On me soulève. Je me laisse aller dans ces bras qui me soutiennent.
Une odeur familière caresse mes narines. Pierre est venu à mon secours. On me détache. Ils sont deux à me porter. Je me laisse aller dans ces bras vigoureux.
Je jouis avec bonheur de cette mâle sollicitude. Je profite de cet instant de paix avant mon nouveau supplice.
On me soutient jusquà un pouf, on my pose sur le ventre. On ajuste mes seins pour quils pendent librement, seulement étirés par le poids des pinces. Mes poignets sont rattachés dans mon dos.
Hélène, savance le sourire aux lèvres et sagenouille devant moi.
- Attends, je vais te la remettre. Fait-elle avec une fausse sollicitude en replaçant la pince arrachée sur mon bourgeon.
Je gémis sous cette nouvelle . Elle m'att par ma natte, et me tord la nuque. Elle me présente sa cravache.
- Tu veux ? me demande-t-elle.
- Je veux !
- Tu veux quoi.
- Je veux que tu me cravaches
- Plus fort, ma belle
- Je veux que tu me marques ! Lance-je dans un cri.
Elle passe derrière moi. Je sais ce qui mattend, jen ai tellement rêvé dans mes nuits agitées.
Pendant un instant, je fais le vide, je deviens sereine, heureuse. Je nentends plus que mon souffle dans la pièce.
Un sifflement dans le silence. Le jonc frappe en biais, au milieu de ma fesse gauche, et à la jonction de ma cuisse et de mon cul. Comme au ralenti, je ressens dabord le choc, puis une douleur comme si jétais coupée en deux. Je crie, et comme en écho, je sens la brûlure qui afflue vers ma blessure.
Un instant, je suis au bord de lévanouissement.
Quand je reprends mes esprits, ma bourrelle adorée est en face de moi.
- Là
Là
ma belle. Ça va aller. Fait-elle en me caressant la joue.
- Hélène, jai si mal, cest fini ?
- Non, ma chérie, il reste Benjamin
- Benjamin ??? .
On ouvre mes fesses. On tire sur mon Butt plug, je le laisse échapper, ouvrant ma rosette. Je sens un liquide qui coule dans ma raie culière. On pousse sur mon anus. La lubrification mévite la douleur du frottement.
Mon sphincter résiste un instant puis cède sous le viol. Mon anneau est écartelé en force. Je suis dilatée, bien plus quavec le rosebud que mavait posé ma cruelle maîtresse.
Javais toujours refusé cette entrée à mon mari, malgré ses demandes insistantes, mais, à cet instant, je mabandonne à la poussée lente et continue qui menvahit.
Mon sodomisateur sarrête, il ma enculée à fond, je sens ses couilles contre ma chatte.
Jen profite pour essayer de maîtriser cette douleur sourde qui irradie de mon illet.
Je rouvre les yeux. Hélène est là, qui me sourit.
- Tu vois, cest fait, tu es une enculée, me murmure-t-elle en me caressant la joue
- Oui, je suis ta grosse salope denculée, Dis-je dans un souffle.
Benjamin se recule, tirant en arrière mon muscle crispé.
- Décontracte-toi ma chatte, imagine que ce sont mes doigts. Fait-elle en me massant mes seins.
Cette douce sensation accompagne celle de l'envahissement de mes reins. Je me relâche.
La verge de mon violeur me pistonne lentement, avec délicatesse, cest comme un massage interne, mon appréhension de la douleur disparait, je mouvre.
Puis doucement, je sens une douce chaleur irradiant de mon rectum, cette délicieuse sensation gagne mon bas ventre.
Je me surprends à jeter mon cul en arrière vers la bite de mon amant. Je suis bien, détendue.
Je plane.
La vague va me submerger, j'ouvre les paupières, Hélène est là qui me sourit, attentive au bonheur qui monte en moi.
Je vais partir quand elle arrache les deux pinces. La douleur atroce de ma poitrine se conjugue au plaisir anal Et je pars dans un orgasme éblouissant.
Je m'effondre sur le pouf
Mel
Le silence ma réveillée, le jour doit à peine être levé car une faible lumière filtre à travers les persiennes. Je suis seule et nue au milieu du grand lit de la chambre damis. Je mhabitue à la quiétude de la maison et à ses petits bruits.
Par la porte entrebâillée, je perçois dabord la respiration de Pierre, puis celle plus légère de mon amie. Je me lève, et pieds nus, je sors dans le couloir. La porte de leur chambre est ouverte, je penche la tête.
Je découvre un spectacle charmant, Hélène et son amant sont couchés sur le coté, en chien de fusil, emboîtés lun dans lautre comme deux petites cuillères.
Serrés ensemble, ils laissent un bon tiers du lit inoccupé. Dun coup, mes souvenirs de petite fille me reviennent quand je rejoignais mes parents dans leur couche.
Tout doucement, je me glisse sous les draps, sans bruit et en retenant mon souffle pour ne pas les réveiller. Je me blottis contre ma belle.
- Tu es une coquine, ma chérie. Murmure -t-elle à mon oreille.
- Excuse-moi, je tai réveillée, mais je narrivais plus à me rendormir, et puis j'ai encore mal.
- Mal où ? Fait-elle, interrogative.
- Aux fesses, mais aussi à mon petit trou du cul.
- Pourtant Benjamin est un enculeur délicat.
- Dis, tu me mettras de la pommade tout à l'heure ?
- D'accord.
Et en même temps qu'elle me répond, elle trousse sa chemise de nuit et la fait passer au-dessus de sa tête, elle poursuit :
- Colle tes miches contre mon ventre.
-
Je lui obéis, je pousse mon cul contre son pubis et son petit bedon semboîte dans mes reins Sa main se glisse sous mon bras et empaume mon sein, pinçant délicatement mon mamelon.
Je suis bien, et je me rendors
Récit d'Hélène
Cest la fin de la parenthèse magique.
Demain lundi je retourne à ma vie de mercière et Mél à son existence bourgeoise.
Je laccompagne à sa voiture. Elle est debout contre sa portière, comme perdue.
Je vais lembrasser sur la joue, mais elle tourne la tête et ce sont nos lèvres qui se touchent. La coquine en profite pour glisser sa langue dans ma bouche, nous échangeons un doux baiser lesbien.
Nous nous séparons, elle sinstalle au volant, elle ferme sa porte et ouvre sa fenêtre. Je me penche à hauteur de son visage.
- Allez. Il est temps de se quitter. Et puis, il faut que Pierre soccupe de moi
- Il va te fouetter ?
- Non, sauf si je lui demande gentiment. Me répond-elle
- Hélène, fait-elle dune toute petite voix blanche.
- Oui, ma douce.
- Hélène, répète-elle, tu memmèneras une autre fois à la villa.
- Je ne sais pas, oui, on verra ! Je bredouille, surprise.
- Sil te plaît, et puis
- Et puis, ma chérie ? Reprends-je
- Tu peux menvoyer le 06 de Benjamin ? Ajoute-t-elle en souriant.
Et elle enclenche la première.
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