Le Vip Room

Le lendemain et après une bonne nuit de repos, je me levais pour profiter de la matinée, ne sachant pas trop ce que Hubert avait prévue pour sa journée en bateau. Je fus vite fixé et après un rapide petit déjeuner, je reçus un texto de son portable.
@Patricia : « Hello Patricia, Merci pour l’après-midi d’hier, c’était délicieux, je suis heureux que tu aies fait la connaissance et découvert de nouveaux plaisirs avec Karine »
Ce que j'ignorais, c'est que Karine utilisait le portable d’Hubert, alors que je pensais échanger avec mon amant en toute confiance.
@Hubert: «Bonjour Hubert, Merci pour l’après-midi d’hier, c’était délicieux, je suis heureuse d’avoir découvert de nouveaux plaisirs avec toi…"
@Patricia: « Avec plaisir ma Chérie…. Et qu'avec moi ?"
@Patricia: « Bien reposée ? Bien dormi ?
@Hubert: «Oui, fraîche et pimpante »
@Patricia: « Toujours ok pour le bateau aujourd’hui ? Même si tu n’as pas trop le choix !
@Hubert : « Oui avec plaisir… »
@Patricia : « Ok alors comme prévu et peut-être une autre amie, Véro que tu devras apprécier autant que Karine. »
@Hubert : « Super, j’avoue avoir beaucoup apprécié sa domination hier, mais ne va pas lui répéter, car elle pourrait en profiter… Même si je ne dirai pas non….
@Patricia: « Ok promis…. Nous comptons partir vers 11h au port… Tu nous rejoins à la maison vers 10h, j’ai une surprise pour toi »
@Hubert : « Ok je vais donc me préparer, qu’est ce que je mets ?"
@Patricia : "Maillot 2 pièces de préférence avec paréo…. À toute à l’heure"

J'arrivais à 10h chez Karine, habillé avec une robe saharienne beige une robe chemise revisitée avec ses poches poitrines à rabat, manches longues avec et Ceinture amovible à la taille, et un décolleté plongeant laissant entre voir ma poitrine protégée par mon maillot de bain triangle « freya sundance « en maille. Je sonnais, la porte s'ouvrit. Karine m'ouvrit la porte et me fit rentrer puis referma la porte.


- Salut ma belle bien reposée, j'espère de ta journée d'hier

Elle me plaqua contre le mur et m'embrassa goulûment plongea sa langue en moi et passa sa main entre mes cuisses.
- Tu t'es fait belle ma bourgeoise, c'est bien la journée va être longue.

Hubert apparus nous pressant, car nous devions retrouver au bateau l'amie de Karine
- Attends Hubert ai une surprise pour Patricia

Elle sort le plug anal utilisait veille.
- Tu reconnais ton jouet ma belle ? Tourne-toi et relève ta robe que je regarde si ton petit trou s'en souvient.

Elle me retourna. Je relevai ma robe. Elle se pencha devant me fesses et poussa sa langue vers mon anus ayant écarté mon shorty de maillot. Hubert près de moi me rouler une pelle tout en plongeant ses mains dans mon décolleté. Karine me plaça alors le plug avec pour instruction de le garder pour la journée. Elle me claqua les fesses, puis me demanda de rester appuyer contre le mur avec la jupe relevée, les fesses en arrière que vous puissiez bien voir le plug dans mon. Je reste la debout à jouer pendant que vous prépariez vos affaires. A chaque passage près de moi ils m’appliquaient une grande claque ou une caresse de mes fesses à pleines mains ce qui m’excitais et me poussais à pencher ma crope vers vous.
- Alors ma petite pute, tu aimes cela te faire maltraiter et soumettre… ? »
- Ouiiiiiii… »
- Et bien je vais te faire grave mouiller aujourd’hui … ! je vais peut-être te prendre moi-même, Hubert m’a dit que tu aimais tous types de pénétration… »
- Ouiiiiii »

Karine me retira le plug pour me le placer dans la bouche et me bâillonner, puis commença à me caresser la chatte, totalement trempée. Elle me pénétra avec ses 2 doigts suivis de son pouce qu’elle poussa dans mon petit trou …. Ses doigts s’agitaient en moi. J’allais exploser. Elle s’arrêta me retira le plug de la bouche pour me le remettre dans le cul avec 2 petites claques sur les fesses, baissa ma robe et me dit : « Allez, on bouge ».
Nous montions dans la voiture, moi à l'arrière et Karine a tes côtés. Elle me regardait dans le rétroviseur, me demandant d'écarter les cuisses.
- Ecarte les cuisses, je veux voir ta culotte, c'est vrai que tu es super chic avec ton maillot de bain de bourgeoise, il doit coûter une vraie fortune. Ouvre ton décolleté et caresse toi tes belles miches... J'adore les gros seins de ta salope mon chéri, ils sont plus lourds que les miens, on sent la bonne génisse. Tu as dû en donner du bon lait... Une vraie laitière…

Elle continua à jouer avec moi, en m’insultant, m’humiliant, me comparant avec tous les animaux de la ferme, jusqu'à notre arrivée au bateau, ou on retrouva leur amie qui nous attendait pour partir. Véro, était une amie et ex maîtresse d’Hubert qu’il avait présenté à Karine. Elles s’entendaient très bien. À 57 ans, elle en paraissait 10 de moins, bronzée, musclée, des formes parfaites avec une pratique sportive intensive, et des seins superbes, un bon 95C Karine me la décrivait comme gourmande et bi-sexuelle... Elle était vêtue d’un short en jeans et d’un tee-shirt moulant blanc col V, sans aucun soutien-gorge…
Nous montions sur ce beau bateau de 25 m avec double pont, un Ferretti 780. Au premier pont, il y avait une terrasse couverte par le poste de pilotage, avec de longs canapés et un bar. Le niveau du dessous abrité une première terrasse avec coin repas et à l’intérieur, la cabine principale comprenant un canapé, un espace avec dressing et un bureau. Sur le devant, une plage immense avec coussin et transat, était parfaire pour une séance de bronzage ou une sieste au soleil. Le bateau appartenait à un client d’Hubert, qui lui avait prêté pour la journée. Après avoir déposé nos affaires l’intérieur nous nous changions, Karine me rappelant de bien garder mon jouet en place que je n’avais pas l’autorisation d’enlever. Elle rentra à l’intérieur avec Véro me laissant seule avec toi sur le pont supérieur.
Alors que tu me proposes une coupe de champagne, je m’assois à tes côtés sur le canapé, croisant les jambes pour donner à ma posture une attitude bourgeoise et digne, en ligne avec notre environnement hors norme.
Tu me déshabillas littéralement du regard, mon maillot de bain marron deux pièces semblait te faire un effet fou. Tu te penchas vers moi pour m’embrasser. Tes mains se promenèrent sur mon corps, alors que les miennes faisant de même…. Je sens ton envie et ton plaisir durcir entre tes cuisses alors que tu me pétris mes gros seins. Toujours accosté au port, tu ne prêtais pas attention aux touristes ou aux plaisanciers qui ne pouvaient pas louper une miette de notre échange.
Tu continuais à me peloter mes gros seins tout en m'embrassant, moi à côté de toi sur la banquette toujours les jambes croisées dans cette posture tellement bourgeoise que cela t’excitait encore plus alors que tu me fouillais la bouche de ta langue gourmande et affamée. Tu sorti ton sexe et me prenant par les cheveux me poussa vers ton entre-jambe pour te sucer. Je te léchais et te suçais la bitte avec délicatesse pendant que tu buvais ta coupe de champagne. Au bout de quelques minutes, tu me relevas.
- On doit partir maintenant, et je te connais ma salope si tu me suces encore, je vais te gicler dessus.

Tu pris la barre, prévenant les autorités et non partirent pour Porquerolles. Je restais près de toi a la barre, et après une dizaine de minutes, je décidais d'aller m'allonger sur la plage à l'avant du bateau. Je m'allongeai sur les coussins confortablement installés sous le regard de mon amant quant au bout de 10 minutes, Karine et Véro s'allongèrent à mes côtés. Ma sieste ne dura pas longtemps, Karine et Véro, s’étant toutes les deux couchées autour de moi avec la ferme intention de s’occuper de moi. Elles m'enlevèrent mon soutien-gorge pour me laisser topless, et s'activaient sur mes gros seins. Véro me roula une pelle alors que Karine se glissa entre mes cuisses pour me manger la chatte. Les mains de Véro s'attardaient sur ma grosse poitrine alors que sa langue m'envahit la bouche. Je sentais le bateau ralentir.
- Et les filles on m'oublie ?
- Véro va t'occuper de lui pendant que je dresse notre nouvelle jument.


Véro rejoignit Hubert pour le sucer alors qu’il était toujours aux commandes du bateau passant au large de Port Cros. Karine, quant à elle, continuait à me dévorer la chatte. Elle se positionna au-dessus de moi en 69 pour que je puisse à mon tour la dévorer. On se gouinaient et se doigtait. Alors que Karine enfonçait tous ses doigts en moi, elle poussa son poing me fistant entièrement la chatte alors que de son autre main elle jouait avec mon plug anal. Je gémissais, remuais de plaisir, me cambrais… Elle me faisait jouir comme une folle. À mon tour je lui infligeais le même traitement la fistant sachant qu’elle adorait ça. Pendant ce temps, Véro mangeait la bite d’Hubert entièrement et je le voyais faire des efforts incroyables pour ne pas jouir. Karine continuait à me fister. Toutes les 2 allongées sur la plage de la zone de poupe, nous abusions l'une de l'autre. Elle me faisait jouir comme seule une femme, c'est le faire. Je me contractais, me cambrais, remuais sous ses caresses. Je n'en pouvais plus de tous ces orgasmes multiples. Véro nous rejoignit. Elle s'assit sur mon visage toujours entre les cuisses de Karine et me força à lui manger la chatte. Nous restions comme ça toutes les 3 à nous gouiner quand arriver à proximité de Porquerolles, Hubert nous rappela à l’ordre afin de ne pas éveiller l'attention des autres bateaux

Alors que Hubert jetait l’ancre à l’eau, nous nous rhabillâmes. Une fois le bateau sécurisé, nous plongèrent, profitant des eaux chaudes de Porquerolles avant le déjeuner. J’avais du mal à nager, du fait de l’objet qui envahissait ma croupe, mais docile, je demandais à Karine si je pouvais le retirer. Je l’enlevais et le donner à Hubert qui le mit dans la poche de son caleçon de bain. Une fois rafraichi, je remontais sur le bateau. Hubert nous servit à chacune une coupe de champagne posant mon plug sur la table….
- Très bien Hubert ton cadeau pour Karine et moi aujourd’hui, elle est belle, agile, gourmande, experte avec sa langue et ses doigts… »
- Je sais ma Chérie, je l’ai essayé avant vous….
- Qui préfères-tu entre elle et moi, puisque j’ai été ta première offrande à ta gourmande de femme ? »
- Pas de préférence, vous êtes toutes les 2 mes maîtresses et pour rien au monde, je n’aimerai vous perdre et je pense que Karine sera d’accord avec moi… »
- Allez mesdames, trinquons maintenant et la dernière qui finit aura un gage !!! Moi j’ai fini »
- Pareil, répondit Véro
- Idem pour moi
- Et bien pas moi. Je peux connaître mon gage. Demandait Karine
- Je pense que nos invitées vont être d’accord avec moi, pour que ce soit toi qui transportes le plug dans ton petit trou…. Tu as le droit de choisir qui doit te le mettre…. »
- Avec plaisir et je veux que ce soit Patricia qui me le mette.

J'emmenais Karine sur le salon à l'arrière du bateau, la poussais a 4 pattes sur la banquette baisant son slip pour m'amuser à lui titiller l'anus avec le plug. Elle remuait son petit cul, appelant a cette sodomie, gémissant et suppliant que je lui mette. Je lui plongeais le plug dans son vagin le faisant coulisser rapidement pour finalement le ressortir et lui faire lécher.
- Sens ta chatte toute trempée, t’aime ça petite salope.
- Hummmm gémit elle
- Demande-moi de te la mettre dans le cul petite gouine....
- Hooooo grosse pute, tu vas me payer
-
Je lui donne une grande claque sur son petit cul appétissant.
- Alors demande moi !!! Gentiment
- Oui s'il te plaît Patricia encule moi avec mon plug

Je m'exécute et lui enfonce dans les fesses jouant quelques secondes avec elle. Mais elle remonte sa culotte se relève. M’att par les cheveux et m'entraîne vers l'avant du bateau.
- Hubert lève l'ancre et emmène-nous dans un coin discret, j'ai un compte à régler avec ta grosse pute.
- Mais Karine, c'était pour rire, c’était juste un jeu… Un peu apeuré
- Tais-toi grosse morue, Véro prends tes équipements, tu vas goûter tous les trous de cette grosse cochonne.

Hubert démarra pour nous emmener dans une crique vide alors que mes deux amantes me poussaient à 4 pattes sur la plage avant du bateau. Je regardais Véro s’équiper d’un énorme gode ceinture et se placer derrière moi.... Elles attendaient que Hubert ait jeté l'ancre pour nous rejoindre en me palpant et fessant de tous côtés. Une fois, le bateau en sécurité Hubert nous rejoignit, me trouvant à quatre pattes avec Véro derrière en train de me labourer les fesses avec son gode ceinture et moi la tête entre les cuisses de Karine en train de lui bouffer la chatte. Il mit sa queue dans la bouche de Karine qui le suça amoureusement avec passion.
Une fois, le bateau en sécurité Hubert nous rejoignit, me trouvant à quatre pattes avec Véro derrière en train de me labourer les fesses avec son gode ceinture et moi la tête entre les cuisses de Karine en train de lui bouffer la chatte.
Hubert la bâillonna de son sexe pour la faire taire, alors que Véro continuait à me défoncer de plus belle. Il se mit derrière elle pour la prendre également. Sans précaution, il l’a sodomisé. Je sentais les coups de hanches de Hubert dans le cul de Véro, qui se répercutait en moi au travers du gode ceinture. Elle accéléra les mouvements dans ma chatte alors que Karine m'appuyait sur la tête afin que je plonge ma langue encore plus profondément. Ce jeu de rotation continua pendant plus de 20 minutes. Je voyais Hubert se retenir pour ne pas jouir avec tes deux maîtresses.
- Regarde-le, salope, il se retient, il veut te baiser et jouir en toi... Me dit Karine.

À plusieurs reprises, il essaya de me prendre, mais ses maîtresses ne le laissaient pas faire. Elles continuaient à envahir mon corps jusqu'à l'épuisement.
- Elle jouit tellement, cette pute qu'elle va s'évanouir... Dit Véro

Finalement frustré de ne pouvoir me prendre, il jouit dans la bouche de Karine et épuisé, il regarda ses deux maîtresses continuer à me pilonner jusqu'à ce que finalement, je m'écroule dans un ultime orgasme.
L'après-midi s'écoula avec une longue sieste. Nous reprîmes la direction de saint Tropez pour le feu d'artifice et décidions de s'arrêter aux Salins dans une petite paillote de plage pour manger. Je me rhabillais et remplacer mon maillot de bain par un ensemble Lise-Charmel tropical avec soutien-gorge push up et string sexy, et remis ma saharienne dont je laissais les 2 premiers boutons ouverts afin de faire bien ressortir mon décolleté. J’allais sortir de la salle de bain quand Véro poussa la porte suivit de Karine et refermèrent la porte derrière elles.
- J'ai un truc à te rendre, morue
- Mais Karine, Hubert as, tu dis que tu devais le garder, en plus c'est toi qui as perdu....
- Ta gueule la morue ici, c'est moi qui décide. Montre-moi ce que tu as en dessous de ta robe de bourgeoise… Ouaaaaa, mais c'est un vrai catalogue de sous-vêtements cette bourgeoise, regarde-moi cette culotte.

Une grande claque sur mon gros cul retentit dans la salle de bain. Moi la femme bourgeoise mure de 53 ans, je me faisais dominer et humilier par des femmes qui m'utilisaient comme leur esclave. Véro me prit le plug et me le plaça à nouveau dans mon cul. Elles me rhabillèrent et nous sortirent toutes les 3 rejoindre Hubert.
- Et pas un mot à Hubert salope compris ?
- Oui Karine, mais tu promets de me l'enlever bientôt. ...On verra ca

Je surpris, Karine, jouer avec son téléphone de manière active pendant le retour, montrant ses échanges à Véro qui riait en me regardant. Je compris, vite à notre arrivée aux Salins, ou après avoir débarqué pour s'installer sur la terrasse, nous croisèrent, les deux hommes qui n'avaient pas pu r de moi hier autour de la piscine. Karine, alla vers eux…
- Hello, Karine, c’est gentil d’avoir pensé à nous pour le feu d’artifice…
- Oui, je savais que ça vous ferait plaisir

Cette garce, les avait contactés, pour proposer de manger avec nous et de nous accompagner dans le bateau pour admirer le feu d'artifice. Je regardais avec Hubert avec inquiétude, cherchant dans son regard une protection sachant qu'ils avaient failli me prendre de force la veille autour de la piscine... On mangeait nos pizzas buvions beaucoup de rosé, alors que. Karine et Véro racontaient aux garçons notre journée avec un grand renfort de détail et beaucoup d'allusion qui laissaient les garçons deviner ce qui s'était passé durant l’après-midi. Je sentais la main sous la table de l'un des deux qui me caressait la cuisse alors que l'autre en face me faisait du pied. Il remonta son pied nu sur ma jambe et le poussa entre mes cuisses alors que le premier avait remonté sa main vers mon entre-jambe. Essayant de le repousser discrètement, Karine s'aperçus de notre manège
- Tu ne serais pas en train de peloter ma copine dit donc ?
- - Disons que je fais plus amples connaissances, dit-il en riant

Après le dîner nous reprirent le bateau tous les 5 et nous dirigerions vers la baie de Saint-Tropez, près de Port Grimaud pour assister au feu d'artifice du 15/8.
- Tu te souviens de notre première rencontre et du feu d'artifice du mois de juin, ma beauté...
- Oui, amour me lovant dans ses bras, j'espère que tu es encore en forme, j'ai bien envie d'un remake. Et si tu pouvais m’éviter que les 2 malabars, ca me ferait plaisir.

Des dizaines de bateaux étaient là à attendre. Nous faisions pareil, quand Karine nous aperçut tous les 2.
- Et les amoureux venaient ici ça va commencer.

On était tous les 5, sur le salon à l'arrière du bateau. Je pouvais voir Véro murmurer à l'oreille d’Hubert qui éclata de rire. Elle se baissa pour sortir son gros dard et le prendre en bouche, alors que Karine les rejoignait. J’étais furax espérant que nous allions profiter de ce moment tous les, ces 2 nymphomanes avaient accaparait littéralement Hubert sous mes yeux, alors qu’il me regardait en souriant levant les bras comme résignés et impuissant. Karine, regarda les 2 hommes à mes côtés, et leur fit un signe de tête dans ma direction. Comme une forme d’autorisation, ils me prenaient la main m'entrainant vers le pont supérieur. Je tentais de résister, mais ils étaient trop puissants, me soulevant avec l’ultime objectif de m'isoler du reste du groupe. Une fois en haut, ils m’encerclèrent, déchaînant leurs mains sur tout mon corps. L'une glissait entre mes cuisses, l'autre écartait encore deux boutons pour laisser passer mes gros seins qu'ils empoignaient à pleines mains au travers de mon soutien-gorge. L’un des deux m’attrapa par les cheveux pour me forcer à lui rouler une pelle, quand son autre main explorée mon fessier découvrant le jouet qui me remplissait l’anus depuis quelques heures.
- Arrêtez, je ne veux pas, je n’ai pas envie.
- Tais-toi la bourgeoise, on va s'occuper de toi, tu vas voir, tu vas adorer, et puis on a l’autorisation de ta copine. Elle nous a invité rien que pour ça, tu ne voudrais pas lui gâcher son plaisir….

Tout d'un coup le premier homme me saisit par la taille me porte et me fit opérer une rotation à 180 degrés. Il me maintenait contre lui, ma tête en bas et mes cuisses à hauteur de sa poitrine. Ma bouche heurtait son sexe dur, alors que l'autre me reprenait par les cheveux en me disant :
- Suce le pétasse.

J'ouvris la bouche et l'avalais. Il se releva et s'attaqua à mon entre-jambe. Alors que celui qui avait envahi ma bouche plongeait sa langue dans ma chatte, le second m'enleva mon plug et s'attaqua à mon petit trou. Nous étions là au milieu du pont supérieur du bateau, alors que le feu d'artifice commençait, eux debout me portant comme un vulgaire baluchon, un objet qu’on manipule sans précaution, et moi la tête à l'envers et la bouche remplie par le sexe d’un inconnu, alors que mon entrejambe était envahi par mes 2 violeurs qui abusaient de moi. Après quelques minutes de ce traitement. Ils me replacèrent à l'endroit, debout, mais toujours coincée. Le premier me souleva par la cuisse droite alors que l'autre fit de même avec la gauche. Ils allaient me prendre en sandwich debout entre eux. Je m'accrochais de chaque bras à leurs nuques respectives, mes gros seins libéraient, ballotaient au rythme de leurs coups de reins. Je pouvais observer sur le pont en bas, Hubert en train de s'occuper de ses 2 maîtresses tout en me regardant coincée par ces 2 hommes. Elles étaient l'une sur l'autre en levrette, offrant leur cul, l'une après qu’il ravageait avec gourmandise.
Mes violeurs me pénétraient sans prêter attention à mes objections. Ils voulaient tous les deux me baiser, sans répits...
- Je suis sûr que tu ne t’es jamais fait doublement pénétrer le vagin, morue, tu vas voir, tu vas adorer…

Ils me pénétrèrent tous les deux, j’avais leurs 2 queues en moi dans mon vagin. J’avais subi régulièrement des doubles pénétrations, mais rarement de cette façon. Ils étaient odieux, brutaux, abjects avec leurs mains parcourant mon corps. Ils me défoncèrent comme ça pendant 5 minutes jusqu'à ce que celui de derrière ressorte pour s'occuper de mon petit trou. Il m'encula, sans même écouter mes faibles protestations. Je m'abandonnais ne pouvant résister au plaisir de ces deux grosses queues qui abusaient de moi contre ma volonté. Je regardais Hubert gicler sur les culs de tes maîtresses alors que mes agresseurs se vidèrent au même moment en moi tout en me malaxant les gros seins. Nous reprenions nos esprits tous les 5 alors que le feu d'artifice se terminait. Je me blottissais contre toi en gémissante.
- Tu m'avais promis que tu allais t'occuper de moi et au lieu de cela, tu me laisses avec ces 2 idiots qui me prennent de force.
- Avoue qu’ils t'ont fait jouir.
- Oui peut-être, mais c'est toi que je voulais.
- T'inquiètes la soirée n'est pas terminé... Allez, on ramène le bateau à Cogolin et on finit la nuit en boite.
- Ok en route pour le vip room dit Karine
- Pas tout de suite à chérie, il me semble que tu n’as pas respecté la règle du jeu et que ton jouet a changé de propriétaire...
- Patricia, peux-tu lui rendre son jouet s'il te plaît...
- Avec plaisir amour. Dis aux 2 comiques de s'occuper de l'autre grande asperge pendant ce temps.

Ils s'emparèrent de Véro, la tenant pour qu'elle ne perturbe pas mon échange avec Karine.
- Mets-toi a 4 pattes Karine, je vais m'occuper de toi...

Elle obéit contrainte par Hubert, et releva sa robe. Je lui donnais une grande claque sur les fesses, puis une autre et encore une et une autre… Je m'acharnais sur son cul.
- Tu voulais rougir mon cul, voilà pour toi maintenant...

Hubert me tendit le gode ceinture de Véro, que j’attachais autour de ma taille. Alors que lui enfonçait le plug dans son petit cul de dégénéré, je la pénétrais avec le harnais toit en lui claquant ses petites fesses... De son coté, Véro était à la merci des 2 comiques qui la fouillait de tous les cotes. Je les voyais bander comme des machines. Ils devaient être bourrés de Viagra pour être dans un état pareil, juste 30 minutes après notre séance sur le pont supérieur, et cela ne semblait pas déplaire à madame cross fit.
- Suce-nous pouffasse et prends-nous entre tes belles grosses miches.

Une queue dans la bouche de Véro, alors que l'autre se masturbait entre ses seins, pendant que moi, je baisais Karine avec une ferveur vengeresse, afin de me laver de l’outrage que j’avais subi un peu avant par sa faute, et tout ça pendant que Hubert serein, reprenait des forces et ramenait le bateau aux marines de Cogolin.
- On se calme les s le temps que je fasse le plein, les papiers, et qu’on récupère la voiture….

L’orgie reprit, une fois dans la voiture. Le q7.ce transforma en Lupanar, le temps des 6Kms qui sépare les Marins du VIP ROOM. Hubert au volant, et moi et les garçons qui avions changés de partenaire. Karine avec son plug dans le cul derrière était entourée par les des 2 garçons, tandis que moi et Véro dans le coffre sur les sièges d'appoint dans le coffre.
- Suce-les bien, Karine et applique toi sinon tu ne reverras pas la queue de ton mec avant longtemps.

Elle suçait le premier alors que le second lui écartait sa robe pour la prendre par-derrière. Excité à la vue du gode, il la pénétrait et baisait pendant tout le trajet, pendant que je me déchaînais contre sa copine Véro et la défonçais avec son gode, tout en parlant à Karine…
- Alors la petite pouffe, on fait moins la maligne maintenant...

Karine gémissait suppliant les garçons de ne pas jouir en elle.
- Non s'il vous plaît, pas dans ma bouche glouhhhhhhhhhh
- Trop tard salope avale tout...

Lui dit l'homme se libérant dans sa bouche alors que l'autre se vidait les couilles dans son vagin. Une orgie, composée de personnage ivre de champagne et de rosé, ayant perdu toute pudeur et notion de réalité. Moi la femme bourgeoise bien mise, en premier. Je trompais mon mari depuis plusieurs jours sans aucun remord, et limite. Seul l’orgasme comptait. Arrivé sur le parking, je pris Karine par les cheveux.
- Tu vas faire tout ce que je te dis maintenant, c'est toi ma soumise petite pute...

Nous rentrions, dans le vip room. Apparemment, Hubert était un habitué et bien ami avec les videurs, car après avoir parlementé avec le service d’ordre, on nous conduit à un carré VIP ou une bouteille de Vodka nous attendait. Hubert me glissa à l’oreille.
- Et oui ça sert à installer des piscines au chef de la sécurité…

Je dansais avec les filles, nous étions déchaînais, et faisions la fête comme je ne l’avais pas fait depuis tellement longtemps. Entouré d'une jeunesse dorée qui profitait de cette soirée, le club était rempli de vip, star de télé réalité dont je ne connaissais même pas le nom. Le dance floor était à nous, et Karine à moi pour le reste de la soirée.
- Elle a toujours son plug dans le cul ?
- Oui toujours mon chéri, tu veux vérifier
- Et si tu allais la faire jouir aux wc, vas-y et envoie moi une photo

D’autorité, j'embarquais Karine avec moi alors que les 2 autres dansaient avec Véro. Elle me suivit sans rien dire, et rentra dans les wc. Je la poussais vers un box fermais la porte.
- Remonte ta robe, ton mec veut une photo de ton petit cul !

À l’aide de mon iPhone, je la mitraillais de photo avec son plug sans son plug, lui met dans la bouche, avec mes doigts dans sa chatte et envoie le tout à Hubert.
- Maintenant, tu vas me mettre le plug au fond de moi et son ton mec qui viendra me l'enlever… Compris ?

Sans répondre, mais avec un sourire sadique, elle m’obéissait, et me sodomisa, retrouvant ses habitudes de dominatrice... On s'embrassa ensuite longuement et retournèrent vers Hubert. Véro avait disparu avec les 2 hommes, et on se retrouvait tous les 3 sur la banquette. Karine se pencha vers moi et en regardant Hubert pour me rouler une pelle alors que ses mains me pelotaient au travers de ma saharienne. On continua à danser pendant une bonne partie de la nuit et retournions avec Karine plusieurs fois aux toilettes. Chaque fois plus fort !!! Chaque fois plus intensément !!! Toujours sans nouvelle de Véro, et au vu de l’heure, on quitta finalement la boite pour rentrer se coucher. Arrivés près de la voiture, on retrouva Véro, avec nos deux hommes qui nous attendaient. Elle était recouverte de sperme. Vraisemblablement bien plus que ce que les 2 idiots ne pouvaient produire. Sans rien dire, silencieuse et un brin coupable elle monta dans la voiture, moi devant avec toi et les filles derrière épuisées. En chemin, elles s'endormirent avant que la voiture ne me dépose devant chez moi.
- Tu repars demain alors ?
- Et oui, les vacances sont finies, il faut reprendre le travail. Tu m'accompagnes jusqu'à a la porte, j'ai un truc à te donner.

On sorti de la voiture laissant les filles dormir et Hubert me raccompagna. J'ouvrais la porte et on se glissait tous les dans le jardin. Une fois à l’intérieur, je refermais la porte d’un coup de pied et sautais sur Hubert pour l’embrasser. Il plongea sa langue en moi, traînant ses mains sur mon gros cul pour me relever ma robe saharienne. Il marque une hésitation avant de rencontrer son jouet entre mes fesses….
- Hummmm ma belle salope, je vois que tu as pris goût à mon jouet… Viens ici que je te le retire.

Il me l’enleva et me roula une pelle gourmande. Sa langue était partout dans ma bouche, dans mon cou, sur mes lèvres… On entendait nos bruits de sucions dans tout le jardin. Ses mains agrippaient mes gros seins pour les peloter allégrement. Son autre main remontait ma cuisse gauche en passant en dessous pour me tenir la jambe en l’air. Il écarta mon string et plongea son membre redevenu dur au fond de moi. Il me baisa contre la porte du jardin, me donnant des grands coups de hanches comme pour me transpercer. Il prit ma deuxième cuisse pour me soulever et continuer à me baiser comme un marteau-piqueur. Il était debout en moi, et moi envahit par son sexe, mes mains tenaient sa nuque, juste portée par la force de ses bras qui étaient passées en dessous de mes cuisses et s’accrochaient à mes grosses fesses. Je n’en pouvais plus après une journée complète de sexe, j’avais toujours autant envie d’être son objet, son jouet, qu’il me baise, me défonce comme un fou, me viole tous mes trous, m’utilise de toutes les façons possibles. Toujours en moi, il marchait vers le jardin en me portant, soudé à sa bitte, et en fouillant ma bouche de sa langue. J’étais comme un pantin désarticulé, envahit par un membre soudait en moi, mais qui coulissant de manière frénétique, avec ma robe déchirée et mon sac à main en bandoulière qui se balançait comme un détail ridicule, qu’on aurait oublié de gommer. Il s’arrêtait de temps en temps pour m’appliquer des grands coups de reins. On était debout tous les deux en plein milieu du jardin à faire l’amour comme des amants perdus et passionnés. Il me coucha sur un transat toujours en moi et me baisa encore plus fort et encore plus longtemps.
- Je vais te baiser dans tous les coins de ta villa ma salope, même si ça doit durer toute la nuit….

Je gémissais, sujet à de multiples d’orgasmes sous les coups de son sexe. Ses mains toujours accrochées à moi, alors que son doigt s’immisçait dans mon anus, pendant que son sexe poursuivait son travail de sape et continuait à me troncher. Il me releva encore et toujours accroché en moi pour m’entraîner dans la maison. Pendant qu’il fouillait mon sac pour trouver la clé et ouvrir la porte, il me colla son sexe dans la bouche ne m’offrant aucun répit, aucun repos. Il me tenait par les cheveux et me baisait la bouche, alors que la porte s’ouvrait. Il me fit avancer dans le salon en me maintenant son sexe en bouche. Un fauve, et une nymphomane, voilà ce que nous étions. Il me poussa sur le canapé et me plaça à 4 pattes pour continuer à me baiser Ayant éjaculé plusieurs fois dans la journée, il était plus résistant. Les petites pilules bleues, devaient aussi contribuer à sa résistance hors norme. Il continua à m’utiliser pendant une bonne parte de la nuit. Surexcitait, il m’emmena sur la table et me coucha en levrette, afin de continuer à me baiser. Ses mains s’abattaient sur ma croupe. Plus je gémissais, plus il me fessait, et plus mes fesses rougissaient, plus il forçait les coups de hanches. Il finit par me traîner enfin dans ma chambre où je me remis à le sucer. Je sentais qu’il venait. Il allait enfin gicler dans ma bouche. Mais il se retira pour me doigter et reprendre un peu de force. Je hurlais, je gémissais, je pleurais, avec sa main entièrement en moi. Ma robe saharienne était dévastée. Il l’avait déchirée en deux pour faire encore plus apparaître mes gros seins. Il me replaça à 4 pattes pour le bouquet final et me viola mon anus, qui n’attendait que ta queue… Je savais qu’il n’allait pas tenir, mais le temps était compté, je me sentais partir, m’évanouir… Je n’en pouvais plus. Jamais on ne m’avait baisé avec une telle intensité. Défonçais depuis 2 jours, je subissais l’assaut final qui m’anéantissait. De grandes coulées de sperme se répandirent enfin sur mes fesses jusqu’à ce qu’il s’écroule à mes côtés. Nous restions plus de 30 minutes tous les 2. Il était 5 heures du matin, et je devais prendre mon avion le lendemain de Nice en fin de matinée. J’étais épuisée, anéantie et comateuse. Discret, il m’embrassa pour repartir rejoindre son monde avec Karine et Véro avec lesquelles il allait terminer ses vacances sans moi.

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