Le Manoir Du Péché (7)
Javais à peine franchis la porte de lentrée du manoir que déjà Annabelle mest tombée dessus.
- Vous tombez bien Alain, jallais vous appelé. Je dois filler jusquà laéroport rejoindre mon mari. Jemmène les garçons. Pas la peine de nous attendre, nous rentrerons tard dans la nuit.
- Bien Annabelle. Vous désirez que je prépare la voiture.
- Sil vous plaît.
Vingt minutes plus tard, ils quittèrent le domaine. Comme le personnel était de congé, jen ai profité pour faire la vaisselle, et passer un coup de serpillère sur les sols. Ceci fait je suis rentré à ma loge. Alors que jétais en train de déjeuner la sonnerie du téléphone a résonné dans la pièce. À lautre bout du fil, Annabelle.
- Alain, excusez-moi de vous déranger, mais je viens de me rappeler quAdeline, vous la connaissez.
- Non ! Je ne crois pas.
- Eh bien, elle doit passer au domaine pour y déposer Jérémie son fils. Qui doit passer les fêtes de fin dannée en notre compagnie.
Il serait possible que vous les receviez ?
- Oui bien sûr madame.
- Je peux compter sur vous ?
- Vous pouvez compter sur moi, Madame.
- Merci Alain. À plus ! Et elle a raccroché.
Heureusement pour moi, que je navais pas à mabsenter. Et il a fallut que je patiente près de quatre heure avant de voir le nez du capot devant la grille.
Il en est sortit de la voiture, une grande femme d'une quarantaine d'années dont le roux de la coiffure ne pouvait qu'être artificiel. Étant un expert en la matière, jai remarqué tout de suite quelle possédé un cul ample. Moulait dans une longue jupe bleu nuit. Plus haut, sous un corsage de satin de la même couleur que le bas, une poitrine qui retombait un peu. Mais ce qui a juré chez elle cest-ce quelle portait à ses pieds. Des escarpins à talon très haut. Qui ne devait pas être lidéale pour conduire. Ses mollets étaient gainés de nylon fumés. Avec une grosse couture qui soulignait ses courbes.
- Bonjour Madame.
- Adeline, je préfère. Je devine que vous êtes Alain.
- Oui Adeline ! Pour vous servir. On mavait dit quun jeune homme au nom Jérémie devait vous accompagner.
- On vous a bien renseigné. Il dort sur la banquette arrière. Cela ne vous ennui pas de le transporter jusquà sa chambre.
- Pas du tout madame, jy cours.
- Appelez-moi Adeline, je vous en pris.
- Je mexcuse, Madame, enfin Adeline mais je dois mabsenter le temps de mener le jeune homme jusquà sa chambre.
- Je vous en prie. Dailleurs je vais moccuper de la valise.
- Mais Adeline.
- Jassiste
- Bon alors, si vous voulez bien me suivre.
De retour de la chambre, jai proposé à Adeline un café. Elle a opté pour un thé. Alors que je voulais lui servir dans le salon, elle a assisté pour sinstaller dans la cuisine. Où elle sest assise devant la table.
- Vous désirez des petits gâteaux secs avec votre thé ?
- Non merci Alain. Je dois faire attention à ma ligne.
- Oh ! Si Madame me le permet, elle se puni pour rien. Vous êtes agréable à regarder.
- Merci, Alain, cela me touche. Jaimerai bien que cela sorte de temps en temps de la bouche de mon époux. Mais cela me fait penser que jai un colis à cacher dans la valise dAnnabelle.
- Vous désirez peut-être que je men occupe ?
- Non
non, merci Alain ! Mais je préfère men occuper par moi-même. Je vais sur le pas le chercher dans la voiture.
Elle revint quelque minute plus tard avec un sac en kraft, en main.
- Vous pouvez Alain, sil vous plaît me guider jusquà la chambre dAnnabelle.
- Bien sûr. Si vous voulez bien me suivre. Je mexcuse mais je passe devant vous.
- Je vous en prie.
Deux niveaux plus haut, je lui ai ouvert la porte de la pièce où coucher son amie. La valise se tenait sur le sofa. Grande ouverte. Je la vis glisser le sac kraft sous la pile de linge.
- Surtout Alain, je compte sur vous pour être discret le temps venu de montrer la cachette à Annabelle.
- Vous pouvez compter sur moi.
- Je laurais bien mis sous le matelas, mais jai peur quelle sallonge dessus, et quelle écrase sous son poids le paquet.
Elle sest approchée du lit et je ne sais pourquoi a soulevé le matelas.
- Tiens ! Fit-elle. Ça pour en être une cest une belle surprise.
- Pardon ! Répondis-je.
- Venez, approchez
Et là coucher sur le sommier un buste dhomme en silicone. Une structure réaliste, de peau virtuelle. Avec des muscles puissants. Mais surtout une érection à en faire pâlir un taureau en rut.
- Si je mattendais à cela ! Et quelle sensation agréable au toucher. Fit-elle en malaxant les pectoraux. Toucher Alain, vous men direz des nouvelles.
Mais au lieu de palper le buste, mon choix sest porté sur le phallus. Sur le gland pour être précis. Que jai fait rouler entre deux doigts.
- Cest incroyable ! Répliquais-je. Je suis comme vous très surpris par le réalisme de ce
cette poupée.
- Je vous laccorde.
Jai enroulé mes doigts autour de la hampe en silicone et je lai branlé, sous les yeux écarquillé dAdeline.
- Je sens dans votre geste un expert de la branlette.
- Vous ne pouvez pas savoir à quel point vous dîtes vrai. Je mexcuse Adeline, mais dès que je vois une érection je ne peux mempêcher de men saisir.
- Même quand elle ne vous appartient pas ?
- Cela mest égal. Et vous, dîtes-moi Adeline que vous inspire cette érection.
- Oh ! Fit-elle en se pouffant de rire. Je nose vous le dire.
- Mais au contraire, Adeline, exprimez-vous. Jaimerai tant le savoir. Ne vous gênez pas, cela restera entre nous. Je vous le jure.
- Cest sûr ?
- Comme je vous le dis. Dailleurs cest la première et peut-être la dernière fois que nous nous verrons.
- Il y a une serrure à cette porte ?
- Oui
bien sûr
- Veuillez la verrouiller sil vous plaît.
Elle a attendu que je revienne près delle pour se laisser tomber sur ses genoux. Elle a saisit le membre à la base et a commencé d'abord à le lécher sur toute la longueur. Puis ses lèvres se sont arrondies autour du gland, et elle sest mise à le téter comme s'il s'était agi d'un vrai. En même temps elle a soupesé les couilles factifs, les caressait du bout des doigts. Puis elle a enroulé le phallus de ses doigts et la branlé. Tout en faisant coulisser ses lèvres très rapidement sur le haut, en laspirant. Cela a duré un bon moment avant quelle est relevée la tête.
- Jai répondu à votre question.
- Je nen espérais pas tant.
- Je trouve la matière très agréable en bouche. Seul point faible et pas des moindres il ny a pas le goût de lhomme en rut. Et les spasmes qui encouragent la suceuse daller plus loin dans la caresse.
Comme télécommander par un ange pervers, mes mains ont défait mon pantalon.
- Mais que faîtes-vous là ? Alain ! Fit-elle, le regard rivé sur la bosse que faisait mon érection sous mon slip.
- Annabelle ma dit de ne surtout pas vous offenser. De satisfaire toutes vos exigences. Répondis-je en faisant tomber mon slip à mes chevilles.
- À oui ! Elle vous a dit cela
alors il ne faut pas la décevoir
- À non, je ny tiens pas ! Surtout pas, elle sen prendrait à moi.
- Raison plus pour ne pas la froisser.
Jai lu dans ses yeux du désir. Comme celui dun animal qui a faim. Un long frisson est remonté le long de mon dos. Qui était loin de me déplaire.
- Viens, approche ! Ma-t-elle commandé. Passant du vouvoiement au tutoiement.
Elle sest assise sur le lit. Puis elle ma prise dans sa main. La serrant entre ses doigts comme pour en vérifier la fermeté. Elle sest penchée en avant, tout en ouvrant sa bouche. Elle ma engloutit lentement, dodelinant de la tête et soufflant à mesure que ma verge disparaissait entre ses lèvres. Elle est parvenue à mavaler presque en entier.
Une onde délectable a prit alors possession de mes testicules. Qui se sont contractés violemment. Pour remonter jusquà ma verge, en traçant sur son passage un sillon de feu. Pour enfin se déverser dans sa bouche dAdeline, sans que cette dernière saffole. Je nai pas joui par à-coups, mais je me suis vidé simplement dans un flot continu.
Toujours assise au bord du lit, dans une posture impudique, les jambes écartées. Adeline ma fixé avec un drôle de petit sourire, tout en passant le bout de sa langue sur ses lèvres.
- Jai eu la conduite dune belle pute, nest-ce pas ? Dit-elle dune voix rauque. Eh bien détrempe-toi mon beau. Les putes sont beaucoup moins vicieuses que moi. Elles se font tringlé pour du fric et bien moi non ! Tout bonnement parce que jaime la baise. Cela dure depuis plusieurs années. Je veuille à ce que mon mari ne sen aperçoive pas, car malgré mes demandes, il refuse de me baiser autant que je le désirerais. Alors je madonne au plaisir solitaire. Il marrive de menfermer dans les toilettes du travail et de savourer le plaisir que moffrent mes doigts, que jenfonce au plus profond de ma chatte. Que donnerais-je dans ces moments là, pour quune belle queue de chair vienne remplacer mes doigts, allant et venant dans mon sexe. Je suis tellement accro de cette pratique, que je nabandonnerais pas cette délicieuse caresse pour rien au monde.
- Et pourquoi ne pas chercher un amant, belle comme vous êtes ? Fis-je.
- Je nai pas envie de tromper mon mari. Jaurais beaucoup de mal après de le regarder droit dans les yeux, si vous voyez ce que je veux vous dires.
- Parfaitement Adeline.
- Alors depuis peu je madonne au gode. Dailleurs à dire vrai celui-là mappartient. Je lai seulement prêté à Annabelle pour quelle men donne son avis. Cela te dirait de jouer avec moi, Alain ? Fit-elle en passant sa soie par-dessus sa tête.
- Cest que vous maviez dit que
- Je ne trompais pas mon mari. Me coupa-t-elle. Tant quil ny a pas de pénétration de sexe, je ne le trompe pas. Vous nêtes pas daccord avec moi.
- Et votre fils ?
- Bof, il dort. Répondit-elle.
Tout en me fixant, elle a relevé lourlet de sa longue jupe. Puis sa main descendit vers sa fourche velue quelle a écartée, révélant les petites lèvres roses, toutes luisantes de plaisir.
- Elle te plait ?
- Oui
- Tu ne peux pas savoir comment cela me fait plaisir dexhiber ma chatte à tes rétines. Fit-elle, avant dagiter sa langue entre ses lèvres.
Elle a enfoncé un doigt dans son vagin et a commencé à se masturber, dabord tout en douceur, puis en accélérant le mouvement tandis que son autre main est remontée vers ses seins quelle a extirpé lun après lautre des bonnets de son soutien-gorge. Je ne savais plus où regarder.
Tout en se malaxant ses seins, elle a ôté de sa chatte son index poissé de mouille. Quelle a porté à ses lèvres et la sucé bruyamment. Le faisant aller et venir dans sa bouche.
Dun mouvement souple a replié les genoux en écartant les cuisses. Posant ses talons sur le bord du matelas, les collants contre ses fesses. Dans une position indigne pour une telle femme. Dans la lancée, la fente rose et brune de son sexe sest ouverte au milieu des poils. Jai remarqué quun filet de mouille clair sécoulée jusquà son anus. Le regard fixe, elle ma lancé :
- Tu compte doccupé de moi quand ? Demain ?
- Jattendais que vous men donniez lordre chère Adeline. Je ne voudrais surtout pas mimposer.
- Et bien sache que cet ordre tu las maintenant. Surtout noubli pas « ne pas décevoir Annabelle ».
- Merci de me le rappeler. Répondis-je en magenouillant entre ses jambes.
Du bout de ma langue, jai léché les plis, et replis de cette peau chaude, odorante, humide. Plus haut son bouton long et dur. Par petits coups je lai humidifié, avant de lemprisonner entre mes lèvres et de le décalotter. Je lai agacé à coup de langue. Sous mon menton, a coulé son plaisir, ce ma encouragé de poursuivre et daccélérer la mesure. Les mains dAdeline se sont posées sur le haut de mon crâne et a accentué la pression, pour me coller mes lèvres contre sa chatte. Puis elle a jouit. Jai reçu un flot gluant dans la bouche, ainsi quune longue giclée dun liquide fade et chaud.
La respiration dAdeline sest interrompue immédiatement pour laisser place à des grognements rauques. Elle venait de jouir une seconde fois. Jai voulu reprendre ma caresse mais les mains qui me tenaient jusquà maintenant mont à cet instant repoussé.
- Cela est devenue trop sensible. Sexcusa-t-elle.
Bite à la main je me suis avancé jusquà sa fourche.
- Je peux savoir ce que tu comptes faire là ?
- À ton avis ?
- Il nen est pas question. Ce nest pas parce que tu mas fait jouir que je vais transpercer ma règle. Pas de pénétration... Seulement, fit-elle en se levant pour aller enjamber le torse avec sa forte érection. Là elle a placé le gland entre les deux petites escalopes charnues de sa vulve au milieu de poils humides. Elles se sont écarté delles mêmes sous lintrusion du phallus. Elle a alors poussé un gémissement, suspendant son souffle. Son corps fut agressé par un soubresaut nerveux, qui eut pour effet de libérer sa respiration dune plainte rauque. Puis elle sest laissée tomber de tout son poids sur le phallus, sempalant dessus jusquà la garde. Dissimulant le sexe factrice à ma vue. Puis elle a imprimé à ses hanches de lents va-et-vient.
- Que cest bon, gémit-elle, en coulissant aisément sur la verge en silicone.
Se tortillant, dansant sur le phallus en tous sens. Son souffle sest de nouveau accéléré. Prise de frénésie, elle sest baissé jusquà lépuisement.
Puis elle est descendue de sa monture pour sallonger sur le lit. Un besoin de récupérer. Jen ai profité pour me jeter sur le phallus brillant de mouille. Que jai pris soin de nettoyer à laide de ma langue, sous le regard pantois dAdeline.
- Ça été un après midi très jouissif
tu nes pas daccord avec moi, Alain ? Me fit-elle en prenant place derrière le volant.
- Je compte sur vous pour le soumettre à Annabelle.
- Je ny manquerais pas
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