Collection Cocu. Merci Aurélie (1/2)
Je mappelle Sylvie, je suis une femme de 35 ans, mariée deux s.
Inutile de parler deux ils existent mais nont rien à voir dans mes propos.
Quoi que !
Il y a dix ans, jai épousé Robert, garçon de bonne famille vierge le jour de notre mariage à 30 ans comme je létais aussi.
Nous étions tous les deux issus dun milieu bourgeois, pas entièrement bigot mais un peu tout de même.
Cest à la kermesse du quartier où jhabitais que nous nous sommes rencontrés.
Il faisait partie de la paroisse voisine et nos chers curés avaient décidé de rapprocher nos deux paroisses car celui qui officiait chez Robert partait en retraite.
Ce départ et le manque de prête en France obligeait le diocèse à nous fusionner.
Jai tellement bien fusionné que je me suis retrouvé dans notre chambre nuptiale avec Robert.
Mais je vais un peu vite, cest ma belle-mère que jai croisée la première.
Une pure et dure, messe tous les dimanches.
Bien sûr à chaque fête.
Ces premiers mots après que nous nous fûmes présentés ont été :
- Sylvie que pensez-vous du mariage pour tous.
Pour moi, je vais être franche et je le suis toujours, il est inutile dessayer de transiger, cest un papa et une maman.
Tout le reste n'est que des saloperies de notre monde décadent.
Jai eu limpression que Georgette me testait.
- Sylvie je vous présente mon fils, je lai élevé seul, son pourri de père faisant partie de ce monde décadent est parti avec sa secrétaire.
Quand je vois la gueule de la belle-mère, je comprends que le mari se soit sauvé en courant.
Jaurais dû en faire autant mais les bonnes manières qui mavaient été inculquées étaient encrées en moi et je nai rien dit.
Le fils était quelconque ni beau ni laid, ni gros ni trop maigre, ni trop petit ni trop grand.
Nous avons échangé des banalités.
- Sylvie, que faite-vous dimanche prochain, il faut que nous soyons nombreux à la manif contre cette loi rétrograde quils veulent nous imposer.
Donnez-moi votre adresse je viendrais vous chercher.
Ce nest pas Robert qui me propose cela mais Georgette.
Je nai jamais manifesté, je me sens piégée, mais jaccepte.
Ce que jignorais cest quelle imposait à son fils dêtre là.
En marchant parmi le million de bons Français nous avons dialogué avec Robert.
Georgette hurlait des slogans tout en brandissant sa pancarte « un papa une maman ».
Javais la même quelle mavait mise dans mes mains et quelle avait sorti du coffre du taxi dans lequel il venait nous chercher.
Jai dû plaire à belle maman car Robert mappelait régulièrement jusquà minviter au restaurant et me demander en mariage.
- Robert, je réponds oui à votre demande, mais ne me brusquez pas, je sais jai 25 ans mais je suis restée une jeune fille pure.
- Moi aussi mon aimé, maman avait raison, vous êtes une jeune femme digne dintérêt.
Je passe la suite, à non, la bague il la sortie de sa poche, Georgette lui avait confié, sétait celle de sa mère.
Je nai pas pu la mettre le jour même afin de montrer à tous la manif suivante que mon cur était pris car mamy Hugette hélas décédée avait des doigts trop petits.
Bref quelques baisers sur la bouche, les mains bien au chaud dans ses poches, mais pour un puceau et une pucelle quoi de bien normal.
Mariage, discours du prêtre sur la famille que nous allions bâtir.
À côté de son fils, future belle-maman buvait ces propos.
Un jour dont elle me parlait de ce prête, je me suis demandé si sous ses airs de sainte ni-touche, ne se cachait pas une salope qui baisait avec lui.
Je nai jamais approfondi cest le cas de le dire et cest ainsi quaprès quil mait aidé à enlever ma robe, Robert a éteint la lumière, a dû enlever son caleçon et se couchant sur moi, ma pénétré.
Voilà ma vie depuis mon mariage, je men ouvrais à Aurélie ma copine denfance qui ma parlé de son expérience.
Comme Georgette, elle avait été trompée et sétait séparée de ce dragueur invétéré.
- Si un jour tu vois ton mari avoir un comportement différent de celui quil a habituellement dit toi quil y a une femme derrière ça.
Javais fait entrer ces propos par une oreille et immédiatement pour les faire ressortir par lautre.
Avec Robert, je nai navait rien à craindre même maintenant je suis sûr que Georgette surveillait.
Il y va tous les mercredis manger chez elle en bon fils quil est.
Un jour, nous venions de nous coucher, il est sorti de la salle de bain, je voyais que son caleçon de nuit était tendu.
Ça a toujours été le seul signe me montrant quil avait envie de faire lamour.
Pas de me faire lamour, de faire lamour car il ma pris classiquement dans sa position du missionnaire.
Mais pour la première fois depuis notre mariage il a laissé la lumière allumée.
Cest la première fois que je le voyais couché sur moi son visage dans mon épaule à souffler comme un buf.
Comme à mon habitude, jai senti un petit frisson mais sans plus.
Je me suis bien gardé de poser la moindre question.
Et il y a eu la canicule, lui, tirée toujours à quatre épingles en employer de banque-modèle quil était, je lai vu aller dans la chambre se déshabiller.
On ne va pas me croire, cétait la première fois que je voyais mon mari dans le plus simple appareil.
Jai été étonné mais une nouvelle fois je nai rien dit.
Il a même mangé dans cette tenue, il avait simplement fait passer le voilage devant la porte-fenêtre pour être caché de nos voisins.
Une nouvelle fois pas un mot.
Cest le soir sortant nu de la salle de bain sa queue tendue quune nouvelle fois je voyais pour la première fois, quil a brouté minette à grand coups de langes malhabiles bien que je naie aucune expérience.
Je peux dire que sa langue ma apporté un orgasme.
Je devais par la suite mapercevoir quil était encore très modeste.
« Si un jour tu vois ton mari avoir un comportement différent de celui quil a habituellement dit toi quil y a une femme derrière ça. »
Les propos dAurélie me sont revenus en mémoire.
Mess s était à lécole et comme je venais de perdre mon emploi, je me suis mise à le suivre.
Tous les jours restant même dans un café non loin de son travail sans jamais le voir sortir avant la fin de sa journée et rentrer directement chez nous.
Robert avait été touché par la grâce et avait certainement décidé de changer son comportement.
Jallais en rester là quand jai repensé aux mercredis où il ne travaillait que le matin et allait manger chez maman le midi.
Au début, il mavait proposé de venir avec moi, mais de subir Georgette certains dimanches était largement suffisant pour moi et jai rapidement décidé quil y aille seul.
Le mercredi suivant, jétais devant chez ma belle-mère en embuscade.
Jai vu cette dernière sortir vers 10 heures 30 et monté dans un taxi et séloigner.
Pas de mari, avait-il rendez-vous avec elle au restaurant pour une fois.
- Comment ça a été avec ta mère ce midi ?
- La routine, elle m'a fait ses éternelles lasagnes, tu comprends pourquoi je ne veux pas que tu men fasses.
Sans le vouloir piégé le bonhomme, sa mère était partie, il y avait bien anguille sous roche, mais avec qui mon homme me trompe-t-il.
Lattente a été longue et le mercredi qui suit, je suis dans le bar quand il sort à un peu plus de 11 h 30.
Il prend le RER, ligne A et descend à Joinville le pont.
Cest impossible, il rentre dans un pavillon, ce ne peut pas être elle.
Le chemin quil prend rejoignant la marne ne peut être que celui ou habite Aurélie mon amie.
Je suis à bonne distance et il entre.
Comme une petite souris, je le suis, je franchis le portail passant derrière son pavillon.
Je viens de temps en temps, un jour javais rendez-vous avec elle.
Je lattendais à lentrée sur le petit perron sous la pluie.
Voyant dans létat où jétais, Aurélie m'a fait voir où elle cachait une clef afin de rentrer dans son sous-sol.
Je laisse passer un moment, je pousse la porte et jentre sans faire le moindre bruit.
Ils sont dans la salle, je les vois cachés derrière la porte conduisant au sous-sol.
Robert est derrière mon amie et la prend sauvagement.
- Vas-y, bourre-moi, jaime quand tu mencules.
Tu le feras à Sylvie ce soir, je te donne des cours, mais cest pour le plaisir de mon amie.
Je suis presque touchée, si elle me fait cocu, cest pour mon bien, jai de la chance à avoir une telle copine.
- Comment my prendre, je rêve de la prendre en la sodomisant, mais elle est tellement coincée du cul que jai peur quelle ne se braque ?
Je le vois poussé vers lavant tenant sa queue bandée entrant certainement dans lanus de mon amie.
Le mouvement du corps quelle me montre môte tous les doutes, elle vient de se faire enculer.
- Salop quest-ce que tes bien monté, je tai déjà dit que si ta femme était coincée cest ta faute, tu nas pas su lui faire ce que je tai appris à me faire.
Ce soir, cest à toi de rectifier le tir
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