Corinne À Poil (Mais Pas Toute Seule)
Corinne et Mylène se retrouvaient une fois de plus dans leur salon de thé habituel pour converser de choses et d'autres, en bonnes amies. Ayant atteint la cinquantaine, et de physique assez semblable (minces, cheveux mi-longs, jambes finement musclées, seins haut plantés, mise soignée), leurs propos dérivaient souvent sur leurs aventures sexuelles quoique dans un contexte différent. Mariée, Corinne se laissait parfois aller à l'adultère tandis que Mylène, divorcée, vivait pleinement son libertinage (voir les précédents texte sur Corinne).
Ce jour là, Mylène interpella son amie d'une manière que celle-ci n'attendait pas.
- Est-ce que ça te dirait de poser à poil pour un magazine féminin ?
- Quoi ? Qu'est-ce que tu me chantes là ?
- Je suis sérieuse. Un copain photographe a eu l'idée de proposer des photos de belles quinquas nues, histoire de montrer que la séduction ne s'arrête pas à vingt ou trente ans. Mais des femmes ordinaires, pas des stars, et de préférence pas trop moches bien sûr. J'ai dit que j'accepterais à condition qu'une amie m'accompagne.
- Et tu as bien sûr pensé à moi.
- Exact. Tu as tout à fait le profil. Tu es toujours belle (comme moi) et tu n'es pas farouche (comme moi aussi). Tu bronzes même à poil sur les plages naturistes. La photo nue n'est donc pas un problème pour toi.
- C'est vite dit. C'est qui, ce photographe ? Il est sérieux ? Il est bon ? Les photos seront retouchées ? Je n'ai pas envie d'être massacrée.
- Il est super bon. Tiens, regarde, j'ai apporté un magazine où il a donné sa production. C'est pas beau, ça ?
Mylène feuilleta la publication sur papier glacé où des mannequins posaient dans des tenues très légères.
- Ce sont de belles photos, faut admettre. J'imagine qu'il les a un peu retouchées.
- C'est possible mais peu importe au fond. L'essentiel est d'y être. J'ajoute qu'il s'est engagé à ne pas montrer le sexe des femmes qu'il photographiera.
- C'est sympa de sa part.
- Et last but not least, nous serons payées et même assez bien.
Ce dernier argument fit mouche. En fait, Corinne avait toujours rêvé de poser pour un magazine. Elle n'avait jamais penser à la nudité mais pourquoi pas ? Elle était assez fière de son corps. Mais elle ne voulait pas avoir l'air de céder trop vite. La perspective de toucher un peu d'argent leva ses dernières incertitudes. Elle voulait depuis longtemps changer son salon.
- Bon, je vais réfléchir, on s'en reparle.
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Deux jours plus tard, après en avoir discuté avec son mari Christophe, mais sans préciser qu'elle poserait nue, Corinne accepta la proposition de Mylène. Celle-ci en fut ravie :
- On va bien se marrer, j'en suis sûre, lui dit-elle.
Une semaine plus tard, elle gagnait un studio spécialement aménagé pour des photos. D'autres femmes du même âge y figuraient déjà. Le photographe, prénommé David, un élégant quadragénaire aux cheveux longs et bruns légèrement blanchis, fit les présentation. Les deux amies découvrirent Manuella, une fausse blonde aux formes épanouies, type Marilyn Monroe en plus ronde, pas du tout leur style physique mais enjouée; Cathy, un petit format bien roulé à la chevelure châtain abondante; Véronique, remarquable par sa chute de reins et son visage un peu masculin; Sandrine, une grande perche taille mannequin et enfin Nathalie, de petite taille mais avec une paire de seins phénoménale et un étonnant casque de cheveux prématurément blancs. "Ce ne sont pas des gravures de mode, se dit Corinne, j'espère qu'on est un peu mieux quand même". Le photographe l'avait présentée, ainsi que Mylène, comme "les deux bourges du groupe", ce qui n'était pas complètement faux vu leur look bc-bg. Il expliqua que l'idée était de montrer des femmes ordinaires mais attrayantes sexuellement. Corinne n'était qu'à moitié convaincue par l'ambition mais comme elle estimait profiter de la comparaison, ses réserves furent vite dissipées.
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Après un déjeuner où tout ce petit monde put faire connaissance, Corinne en sut plus long sur ses compagnes de circonstance. Il s'agissait pour l'essentiel de mères de famille, toujours en couple, légitime ou non, Mylène étant la seule divorcée. L'éventail des professions représentait quasiment toute la société. Outre Corinne, assistante de direction, on y trouvait donc Mylène, élue municipale, Cathy, documentaliste, Nathalie, employée de librairie, Manuella, journaliste, Sandrine, opticienne et Véronique, médecin. La doyenne était une pétulante sexagénaire prénommée Magali, podologue, à peine ridée, parfaitement conservée, dont le corps pouvait filer des complexes à bien des femmes plus jeunes. Il apparut à Corinne que toutes avaient pour point commun le culte de leur corps, le goût de la nudité et aussi en filigrane le besoin ou l'envie de s'affranchir pour un temps de la tutelle masculine. En dévoilant le lendemain leur corps sans complexe, Corinne eut alors la conviction que ces femmes, d'allure si banale, obéissaient en outre à un vieux fantasme en posant nues. En entendant les unes et les autres rigoler et plaisanter, évoquant leur mari resté au bercail pendant qu'elles se baladaient à poil devant des hommes, elle en vint même à la conclusion que si elles pouvaient commettre l'adultère en ces circonstances, elles ne se gêneraient pas. Elle entendit même la grande Sandrine murmurer : "si j'ai l'occasion de baiser pendant ces deux jours, je ne vais pas m'en priver".
Le groupe se scindait en deux catégories. D'un côté, les "tailles mannequin" comme Corinne elle-même, sa copine Mylène et la grande Sandrine. Petits seins, longues jambes et joli petit cul à raie courte. De l'autre, les pulpeuses, telles Cathy, Manuella et Nathalie dont le corps aux formes féminines très accusées fit penser à Corinne à ceux figurant dans les bandes dessinées érotiques.
La séance de photo commença. La consigne était de ne porter ni montre, ni bijoux, tout juste une alliance. David, aidé de deux éclairagistes, imposa les premières postures et Corinne comprit très vite qu'il s'agirait de photos érotiques. Manuella posa à quatre pattes, ses gros seins pendant en louve romaine devant une photo du Colisée. Véronique exhiba sa chute de reins en plaçant une banane à l'entrée de son anus sur fond de cocotiers. Sandrine regardait l'objectif avec un regard langoureux, un gros cigare entre langue et lèvres avec la gueule de Fidel Castro en arrière-plan. Nathalie posait sa lourde poitrine sur un plateau argenté, comme si elle était serveuse dans un restaurant. Cathy, à plat ventre et cul en l'air, présentait sur fond marin son fessier charnu à l'anus bien ouvert, comme un appel à la sodomie. Magali, parce qu'elle était podologue ?, affichait une curieuse posture : couchée de profil, jambes en l'air en se tenant les pieds, le regard mimant le plaisir sexuel. Seule Mylène, assise en tailleur sur un tatami, présentait l'ombre de son sexe avec plein de faux judokas autour. Corinne passa en dernier, couchée sur le flanc avec des lunettes noires, jambes croisées, une cigarette aux lèvres (alors qu'elle ne fumait pas), très provocante, curieusement chaussée de rollers. Le tout révélait un goût douteux mais explicite. "On a toutes l'air de femmes qui baisent", souffla Corinne à Mylène.
Tout cela prit beaucoup de temps et il faisait nuit quand la séance s'acheva. Un hôtel était réservé pour la troupe car les séances devaient recommencer le lendemain. C'est alors que les poseuses s'aperçurent que dans le salon voisin, une troupe d'hommes quinquagénaires avaient subi les mêmes contraintes photographiques, dans la même "tenue".
- Je ne serais pas surprise que ça baise dès demain.
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C'est donc une petite troupe féminine passablement émoustillée qui se présenta le lendemain pour une nouvelle séance de photos. Entre les poses, toutes allaient jeter un coup d'oeil dans le salon voisin et comme les hommes procédaient de même, les rencontres se multiplièrent, d'autant plus excitantes que tout le monde était aussi nu qu'on peut l'être. Au départ circonspecte, Corinne se laissa peu à peu gagner par l'atmosphère spéciale du salon des femmes. Les corps nus en position évoquant généralement l'appel au sexe finirent par lui porter sur le cervelet et elle ne tarda pas à être aussi excitée que ses voisines de pose. Certains hommes au ventre plat, aux petites fesses rondes et au costume trois pièces bien fourni, quoiqu'au cuir chevelu souvent dégarni ou grisonnant, passaient une tête de temps à autre et commentaient les postures à haute voix. La réciprocité ne tarda pas et un ballet de corps nus se fit jour au grand dam des photographes qui ne maitrisaient plus grand chose.
On se draguait ouvertement. Une ambiance de stupre envahit les deux salons malgré plusieurs rappels à l'ordre des opérateurs. Du coup, les femmes n'avaient aucun mal à adopter les poses les plus suggestives. C'était à celle qui serait la plus provocante. Si Corinne se tint debout, jambes écartées mais mains jointes sur son sexe, dans un air de défi, d'autres commençaient à dévoiler leur intimité sans que le photographe ne le leur demande. C'était notamment le cas de Mylène qui posa assise, jambes grandes ouvertes, le regard vers le plafond, comme si elle prenait le soleil directement sur la chatte.
Mais en coulisses, les événements se précipitaient.Quelques mannequins mâles draguaient ouvertement leurs voisines. Se distinguaient auprès de notre petit lot féminin : un mulâtre mince et parfaitement conservé, aux cheveux crépus légèrement blanchis, prénommé Alphonse; un costaud très velu aux moustaches en croc, d'une virilité exacerbée, se faisant appeler Max; un adepte du body building outrageusement musclé, prénommé Léopold; un élégant quinqua parfaitement chauve et finement musclé prénommé Damien et qui s'intéressa particulièrement à Corinne; Claudio, un géant à queue de cheval et barbe de sapeur; enfin, Mikaël, un petit mec râblé comme un pilier de rugby doté d'une queue lui battant les cuisses (justifiant ainsi le terme argotique), ce qui provoquait en coulisses des commentaires salaces des femmes. Comme dans l'autre groupe, il y avait bien deux catégories : les minces, longilignes et plutôt élégants d'un côté, les costauds à la virilité ostentatoire de l'autre.
Dès lors, les événements se précipitèrent. Alors que Corinne se rendait aux toilettes, elle tomba sur Sandrine accroupie devant Léopold qui se faisait tailler une pipe dans les règles de l'art. Sandrine adressa à Corinne un clin d'oeil sans s'interrompre.
Certaines femmes manquaient à l'appel pour des photos. Elles revenaient l'air réjoui, ayant visiblement comblé un manque affectif dans un recoin. Mylène fut du nombre et l'avoua à Corinne :
- Voilà, c'est fait, j'ai déjà eu ce que je voulais avec Alphonse. C'était inconfortable mais terriblement jouissif. Tu devrais en faire autant.
Corinne opina. Depuis quelques heures, elle ressentait les symptômes classiques chez elle du manque de bite. Ses seins lui faisaient mal et ses ovaires palpitaient. Elle ne voyait pas pourquoi elle serait la seule à ne pas se faire sauter et renvoya l'image de son mari Christophe dans les limbes. Damien ne cessait de lui faire de l'oeil avec un sourire craquant. C'est elle qui l'aborda en le complimentant sur son bronzage et en lui demandant s'il était bien naturiste. Une conversation pleine de tension érotique s'engagea. Tous deux étaient convaincus qu'ils allaient baiser ensemble mais Corinne ne voulait pas le faire à la hussarde dans un recoin. Elle voulait du confort, un bon lit. Mais elle ne voulait pas faire mijoter sa conquête trop longtemps car il était l'objet d'attentions soutenues de Manuella, qui ne cessait de lui jeter ses gros nichons à la figure. A la machine à café, lieu de rencontre des deux groupes, Corinne tomba sur Damien, pour une fois esseulé. Rappelons que tous deux étaient entièrement nus ce qui, ment, lève pas mal d'inhibitions. Elle le regarda droit dans les yeux et pris sa queue épaisse à pleine main :
- J'ai envie de te faire une petite gâterie, lui souffla-t-elle.
Damien posa sa tasse et se laissa entrainer dans un recoin ou un autre couple les avait précédé. Il s'agissait de la petite Cathy, prise debout par Mikaël, aux cuisses comme des troncs d'arbre, qui la soutenait sans effort par les fesses et lui imposait une pénétration très profonde, si bien qu'elle étouffait ses cris dans le creux de son épaule. Corinne se contenta de s'accroupir et d'engloutir le membre copieux de son favori avec une telle conviction qu'il ne tarda pas à juter dans sa bouche. Elle lui glissa ensuite à l'oreille :
- La suite, c'est ce soir dans ma chambre.
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Elle lui avait donné rendez-vous dans le hall de l'hôtel. Après avoir pris l'apéritif et s'être bien chauffés du regard, le couple gagna la chambre que Corinne partageait avec Mylène. A peine la porte ouverte, elle tomba sur une scène imprévue au programme. Deux paires de fesses masculines s'agitaient en cadence et en parallèle. Deux dos différents, l'un fin, l'autre musclé, masquaient deux corps féminins à quatre pattes en travers du lit, possédés en levrette côte à côte.
- Eh bien, ne vous gênez pas ! s'exclama Corinne.
Deux visages de femmes apparurent sur le côté, ceux de Mylène et son chignon et de Nathalie surmonté de son casque blanc. Les deux mâles interrompirent leurs frénétiques percussions. David le photographe et Mikaël qui avait déjà baisé Cathy honoraient respectivement Mylène et Nathalie, lesquelles protestèrent :
- Eh, oh, les gars, ne vous arrêtez pas, hein ? Et toi Corinne, fais pas ta chochotte, il y a un lit de libre, vous n'avez qu'à faire pareil, on ne va pas se gêner, non.
- Je vois que la photographie a de multiples avantages, riposta Corinne à l'endroit de David.
Lui et son alter ego ne relevèrent pas et reprirent illico leur staccato.
Corinne et Damien avaient trop envie de copuler pour s'arrêter à cette promiscuité. Du reste, Corinne ayant déjà pratiqué la sexualité plurielle, comme on l'a vu précédemment, cette situation n'avait rien pour l'inhiber et apparemment, son amant non plus, à en juger par son érection surgie dès qu'il baissa son pantalon. Corinne et lui était en plein 69 alors que dans le lit d'à côté, Mylène et Nathalie avaient repris leurs halètements de plaisir, quand on frappa à la porte de la chambre. Corinne délaissa à regret le gland qu'elle suçait avec avidité pour ouvrir.
- Salut tout le monde, petits cachottiers. On s'envoie en l'air sans le dire aux copains ? Voilà du renfort, faites-nous un peu de place. Plus on est de fous, plus on rigole, hein ?
Estomaquée, Corinne s'effaça pour laisser entrer Véronique, joviale et déterminée. Elle était suivie de Sandrine, Manuella, Cathy et Magali. Toutes étaient virilement accompagnées de leurs séducteurs respectifs. La chambre, déjà jonchée de vêtements divers, se couvrit à nouveau de slips, de soutiens-gorge, de pantalons, de shorts, de tee shirts, de chaussures diverses et variées. Corinne et Damien durent se pousser pour laisser Sandrine et son amant culturiste, Léopold, s'allonger et reprirent leur 69, aussitôt imités par leurs voisins de lit. Cathy se coucha par terre pour se faire lécher par Mikaël, Véronique fit de même avec le mulâtre Alphonse et Manuella gagna la salle de bains en tenant la main de son chevalier servant, le barbu et chevelu Claudio. Mylène et Nathalie, cette dernière soutenant ses gros nichons, chevauchaient maintenant leur baiseur Alphonse. De temps à autre, elles laissaient la place à Magali qui, posée sur ses pieds, s'empalait avec volupté en faisant coulisser le dard sans se presser mais avec un art consommé de la rotation des hanches. Ses cris rauques se mêlaient aux halètements, soupirs, jappements et pâmoisons qui constituaient l'ambiance auditive de la pièce. Mylène et Nathalie regardaient épatées cette sexagénaire en chignon, au corps tonique, prendre un énorme panard avec le mulâtre Alphonse qui ruait sous elle comme un marteau piqueur inversé.
**********
Corinne, un temps déstabilisée, réussit à se concentrer sur son plaisir. Elle était maintenant pilonnée par Damien, verrouillé par ses talons, quasiment joue contre joue avec Sandrine. Toutes les deux, comme des siamoises, étaient creusées, fouillées, fouaillées, ripostaient de leur mieux à grands coups de cul, les ongles griffant les flancs de leur amant, clamaient de concert leur joie d'être aussi copieusement baisées, mêlaient leurs cris et leurs halètements. C'était comme si les extases de l'une entrainaient celles de l'autre. Dominateurs et hypertendus, leurs mâles se régalaient. Sandrine et Corinne se montraient aussi rayonnantes, aussi ardentes, aussi soucieuses de leur donner du plaisir sur le petit lit chahuté par leurs coups de boutoir. Elles flattaient leur virilité par quelques mots crus échappés de leurs lèvres en fusion. Les quatre corps étaient si proches que les uns et les autres se mélangeaient dans le même accouplement, parfois la jambe droite Corinne entourait la jambe gauche de Sandrine. Par une sorte de quasi automaticité, Corinne se retrouva en train de copuler avec le partenaire de Sandrine (et réciproquement) alors qu'elle le connaissait à peine. Cambrée, en arc de cercle, juteuse, elle était en la circonstance l'incarnation du plaisir féminin dans le sexe.
Prise d'une subite envie d'uriner, elle se détacha de son partenaire pour gagner la salle de bains, enjambant les deux couples forniquant sur le parquet. Elle remarqua que Véronique, cul en l'air, s'apprêtait à se faire sodomiser par Léopold, lui donnant quelques consignes précises, le mulâtre visiblement très inspiré par la croupe majestueuse et bien ouverte qui s'offrait à lui. Corinne vit sur le visage de la toubib le plaisir intense de se faire enculer, impression confirmée par l'agitation frénétique de son copieux postérieur.
A côté du couple, Cathy cavalait sur la bite de Max et Corinne put mesurer à cette occasion la fermeté des seins de la documentaliste ce qui déclencha en elle une pointe de jalousie. Son amant les caressait avec volupté, conscient d'avoir à sa disposition une femelle de grand standing, de surcroit partenaire passionnée dont les mouvements de hanche donnaient presque le vertige.
Dans la salle de bains, Corinne tomba nez à nez avec Manuella assise au bord du lavabo, pointes de seins dressées. Le gars râblé entre ses cuisses dodues la limait consciencieusement et lui arrachait quelques petits jappements de joie. Corinne regarda un moment les couilles ballotter et ne résista pas à l'envie de les palper, ce qui eut pour effet d'allonger l'érection du récipiendaire et de faire crier Manuella encore plus fort.
Puis l'assistante de direction se précipita à nouveau vers le lit pour constater que son chevalier servant possédait maintenant en levrette la pulpeuse Nathalie, seins pendants entre ses bras, yeux clos et bouche ouverte, en pâmoison. Magali observait en se caressant, prête à prendre le relais. Corinne chercha l'homme disponible, le trouva mais il s'excusa, car il venait d'éjaculer au bénéfice de l'infatigable Nathalie. Elle se contenta donc d'observer les couples en se caressant à son tour. Véronique était maintenant totalement sodomisée et se caressait le clitoris en même temps. Cathy offrait une cravate de notaire entre ses seins généreux. Mylène démontrait une jolie souplesse en se faisant plier en deux, un oreiller sous les fesses, ses pieds à hauteur des oreilles de son baiseur. Corinne lui flatta les couilles histoire d'accompagner l'accouplement de son amie. Une série de couinements s'échappait de la salle de bains, témoignant que Manuella prenait aussi son pied. Deux autres hommes éjaculèrent, l'un entre les seins de Cathy, l'autre dans le cul de Véronique, si bien qu'il n'est restait plus que trois pour continuer à honorer sept femmes.
Corinne profita d'un orgasme bruyant de Mylène pour lui chiper son amant, encore bien raide, et l'entrainer entre ses cuisses fuselées. C'était David le photographe qui s'exclama :
- Une deuxième bourgeoise pour moi !
- Baise la aussi bien que l'autre, lui fut-il répondu.
Mais l'ardeur et le corps de Corinne eurent bientôt raison de la résistance du photographe qui expulsa un baquet de sperme sur les seins de la fausse blonde laquelle, objet d'une véritable mitraillade de coups de bite, avait eu quand même le temps de jouir. Peu à peu, la tension retomba dans la chambre et une rotation s'engagea vers l'unique douche, seulement interrompue par un coït aquatique, Sandrine ayant à nouveau montré son art de la pipe sous l'eau chaude. Et tout ce petit monde se sépara pour se retrouver à la table du restaurant, le sourire aux lèvres et le ventre apaisé.
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Le lendemain fut le jour de la paie et de la restitution des photos. Dégrisée, Corinne fut un peu effrayée par les images qu'elles renvoyaient d'elle-même. Elle faillit demander au photographe de les détruire mais Mylène l'en dissuada :
- Tu ne peux pas faire ça. Assume jusqu'au bout et franchement, ces photos te mettent en valeur.
Sceptique, Corinne céda mais pria pour que la publication fût confidentielle et n'arrive pas sous les yeux de son mari Christophe. Et encore moins de son patron et amant. Encore que... Et si c'était le bon moyen pour lui faire prendre conscience de sa chance ? Cette affaire révélait donc une fois de plus toute l'ambiguïté féminine : la peur de déplaire et le désir de plaire.
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