Sandrine, Bourgeoise Bien Éduquée Ne Voulant Pas Mourir Idiote 5
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Après notre chevauchée fantastique sur le capot de la voiture, nous rentrâme au château. Épuisées, nous partîmes dormir chacun dans une chambre, c'était le contrat.
Le lendemain matin, réveillé tôt, je partis faire un footing, ensuite, je décidais de profiter de la piscine couverte bien qu'un peu froide, mais agréable. J'enchainais en me laissant sécher sur la margelle.
Vers 10H, Sandrine traversa l'immense jardin donnant sur la piscine.
Elle portait une robe longue bleue marine très légèrement transparente, une robe de bain sans doute.
Je me levais pour l'accueillir et tout en s'embrassant sagement, les bisous étant toujours interdit.
Moi - Tu n'as pas froids?
Elle - Je suis pas frileuse (Mouai, elle fait sa maligne, mais ses tétons sont moins discrets)
Moi - Tu as bien dormi?
Elle - Oui, mais il manquait quelqu'un.
Moi - Dans ton lit?
Elle - Non, pour me faire mon petit dej!
Rappelle toi, tu es mon jouet, et je dors pas avec !
Moi - Moi, un peu vexé "Euh, le café, ce nest pas dans mes attributions je te rappelle.
Elle - Et bien j'espère que tu n'es pas fatigué, tu m'as fait des promesses!
Moi - Non, pas d'inquiétude, j'ai bien l'intention de m'occuper de tes fesses!
Je joins le geste à la parole en attrapant celles-ci.
Elle - "Alors là tu peux rêver! Bas les pattes"
Elle repousse en même temps mes mains.
Moi - "Quoi? Mais euh"
Oui c'était un peu puéril de ma part, rageant, c'était mon tour d'être soumis à ses désirs.
Elle - "J'ai changé d'avis, voilà tout, de toute façon, c'est moi qui décide! N'est-ce pas?"
Et elle enchaine en faisant descendre mon maillot de bain.
Me voilà à poil, en érection devant elle.
Joueur, je la repousse et celle-ci tombe habillée dans la piscine.
Je vais m'allonger un peu plus loin et l'entends dire qu'elle va se venger.
Elle - "c'est de tes fesses qu'on va s'occuper si tu n'obéis pas, tu vas voir!"
Moi - "Hein? On verra, on commence par toi. Bizarre cette obsession!"
Elle finit par sortir de la piscine et se pointe devant moi.
La robe mouillée moule son corps comme jamais, ses seins wow, impressionnant, ses courbes redessinées par cette robe, visiblement, elle ne porte rien en dessous, le tissu plaqué contre ses lèvres ne laisse aucune option à l'imagination.
Elle - "Maintenant, tu vas devoir te faire pardonner".
Mêlant le geste à la parole, elle relève sa robe et s'assoit sur ma bouche. Le message est clair.
Je commence alors à lécher cette chatte offerte, j'alterne succion, aspiration du clito et franche pénétration avec ma langue.
Son corps se dandine, ou va vers ma langue afin de se faire pénétrer plus profondément.
Je lève mes bras vers elle et fais descendre le haut de sa robe.
Ses superbes seins sont maintenant au vu de la nature, du ciel et du soleil froid de février.
Je triture ses tétons, sa respiration plus forte m'indique que je suis sur la bonne voix.
Elle sert ma tête un peu plus fort entre ses jambes.
Je décide de m'enhardir, n'ayant pas perdu de vu ses fesses.
Je descends mes bras vers celles-ci, caresse gentiment les fesses puis approche mon doigt de son anus.
Elle se cabre, "Non, je t'ai dit!" ET elle plaque mes bras sous ses jambes.
Je pourrais me sortir de cette posture, mais finalement, c'est plutôt amusant cette fausse soumission.
Je continue mon ouvrage, son sexe ruisselle, sent bon, me donne envie de la lécher encore plus fort.
Son corps divague, halète, je sens qu'elle va bientôt jouir.
Tout en bloquant mes bras, elle fait glisser son corps vers ma verge.
S'empale dessus.
Soudains, nous sort de notre doux rêve, une voiture au loin.
Elle - "Merde, c'est la cuisinière!!"
"Vite, dans le pool house."
On se précipite dans la petite maisonnette contiguë à la piscine, un ancien box à chevaux avec une porte à double battant, haut, bas.
C'est bien la cuisinière chargée par les parents de Sandrine de s'occuper de notre intendance.
Elle qui avait dit, "Pas besoin, on se débrouille". Qu'il fallait comprendre par "on veut être tranquilles"
Nous reprenons nos ébats, pensant être tranquille, elle s'assoit sur une table de jardin poussiéreuse et me fait signe de la pénétrer.
D'un oeil, je peux voir par une fenêtre, le reste du jardin, au cas où.
Elle me demande d'aller plus fort, "L'autre, a être là, ça m'excite".
La table bouge, se tord, tout comme elle. Je ralentis pour ne pas tout casser " Encore, vas-y, je veux plus".
Moi - "Mais, la table"
Elle - "On s'en fout"
Je reprends la cadence en espérant que la table résiste.
Nouvelle alerte, la cuisinière a dû nous imaginer à la piscine et se dirige maintenant vers nous. Elle doit nous chercher.
Elle - "Vite, elle arrive"
Moi - "pff, on ne peut même pas baiser tranquillement."
Elle att une vieille serviette et se couvre de celle-ci.
Elle - "Ce nest pas bon, ça fait grillé, toi, parle lui!"
Moi - "Euh, mais elle va voir que je nai rien sur moi"
Elle- "T'inquiète pas, on laisse le bas de la porte"
Moi - Vla le plan foireux"
Elle - "Tais toi, c'est trop tard de toute façon"
Sandrine ouvre la partie haute de la porte, de fait le froid de février entre dans le pool house
Moi - "Bonjour, Josette, comment allez-vous?"
Celle-ci s'arrête à 4 ou 5 mètres de nous, au soleil.
Josette - "Bien et vous, je ne vous trouvais pas, je voulais savoir ce qu'il vous ferait plaisir ce midi"
Dans nos deux têtes, même idée "que tu te barres"...
Moi - "Je ne sais pas, Sandrine a des préférences sans doute?"
Commence alors une discussion sur notre séjour. Moi, nu en partie caché par la porte, je commence à avoir froid.
Josette s'en rend compte "Vous n'avez pas froid?"
Moi - "Ah si, je me gèle les couilles"...
Sandrine, cachée par terre, un peu inutilement, car l'autre va de toute façon pas inspecter la piscine, me regarde en se marrant.
La discussion continue, et je suis trop poli pour l'envoyer bouler.
Sandrine attire alors mon regard.
Elle est au sol, les jambes un peu écartées et se caresse délicatement.
Je bande à nouveau/
elle me fait un clin d'oeil et ouvre plus grand, mon cerveau bouillonne.
Josette continue ses histoires, je narrive pas à réfléchir, à savoir comment la virer et je bande comme un cerf.
Sandrine se caresse de plus en plus furieusement
je me mets alors un peu de profil et pointe d'un de mes doigts, mon sexe en érection.
C'est très risqué, mais Sophie accepte le challenge et s'approche furtivement, je me remets face à Josette.
La main de Sophie remonte délicatement ma jambe, elle caresse celle-ci, puis remonte vers mes testicules.
Elle finit par me branler délicatement.
J'arrive encore à me concentrer sur ma conversation, que je vous épargnerai...
je jetais un oeil de temps à autre, visiblement Sophie voulait que j'abrège.
Trouvant la situation intéressante, je faisais en sorte de continuer la conversation, en plus pas très dur moi qui suis assez bavard
Elle me branlait toujours avec méthode, juste assez pour prendre du plaisir, mais pas trop pour pouvoir tenir ma conversation.
Subitement, elle me pinça la fesse, je poussais un petit cri.
Josette - Ca va?
Moi - Ah oui, j'ai dû mettre mon pied sur un bout de bois.
Josette - Vous voulez qu'"on regarde?
Moi - Non non, ça ira pas d'inquiétude, continuons.
Un oeil furtif vers Sophie, elle était furieuse, mais continuait sa branlette.
Elle fit une petite pause, sans doute réfléchissante à une solution.
Je sentit à nouveau ses, mais sur mon sexe, puis l'une d'elles se dirigea vers mes fesses.
Puis mon oeillet, comprenant où elle voulait en venir, je serrais brusquement les fesses.
Elle me pince alors la fesse, à nouveau, une douleur surprise.
Josette - Ca va?
Moi - Oui oui, ce bout de bois...
Josette - soyez prudents, vous pourriez choper le tétanos.
J'essaie de me reconcentrer sur la conversation, hors de question de laisser Sandrine gagner.
De ce fait, mon attention se relâche.
Et Sandrine retente sa chance avec cette fois un doigt humidifié.
J'imagine qu'elle a trouvé une occasion de jouer, vu qu'elle n'a pas gagné.
Son doigt me pénètre petit à petit de plus en plus profondément, de l'autre main, elle me branle, mais est-ce utile?
J'ai mal, mais aussi du plaisir qui monte par petite vagues.
Je dois me contenir, Josette reste proche.
Sophie voyant que son piège ne marche pas, décide d'ajouter un second doigt.
J'imagine que savoir que nous sommes à 4 mètres de Josette, qu'elle me doigte le cul sans qu'elle sache doit la rendre folle...
N'y tenant plus, je finis par abréger la conversation qui dure maintenant depuis facilement 20mn.
Je ferme le battant de porte, relève Sandrine et lui dits
Moi - "Ca tu vas me le payer!"
Elle - "Tu avais l'air d'aimer dis donc! et regarde ce que tu m'as fait"
Joignant le geste à la parole, je caresse son sexe, elle est trempée;
Moi - "Euh, euh, oui, mais pas de raison, si tu me le fais, je te le fais!"
Elle - "Non pas comme ça, pas ici, pas maintenant!"
Elle - "Et puis c'est mon tour de décider, rappelle-toi notre accord"
Elle me traine alors vers la table
Elle - "baise-moi bien fort"
"Plus fort" elle est déchainée, je la pilonne sans me poser de question, la table craque, mais tant pis!
Elle décide de se retourner, elle veut que je la prenne en levrette.
Je n'ose imaginer pourquoi, je m'exécute
Je recommence, elle me demande d'être vigoureux.
Me vient une idée.
Je mouille mon pouce dans sa chatte entre deux mouvements, et viens faire tourner celui-ci autour de son oeillet.
Elle - "Que fais-tu?"
Moi - "Rien, t'inquiète pas, si ça ne te plait pas je narrête, juste une caresse, rien de plus"
Elle - " je te fais confiance, hein"
Elle me fait un petit clin d'oil, j'ai compris le message
Après quelque temps, son plaisir s'intensifiant, j'approche mon pouce plus près de la zone interdite.
Elle proteste très mollement.
J'appuie et son oeillet me laisse rentrer sans réelle difficulté
Elle - "Salaud, tu m'avais promis"
Moi - "J'avais promis de te donner du plaisir"
Je commence alors à faire des va-et-vient de plus en plus fort dans son cul offert.
Mon sexe ne bouge pratiquement plus, seul mon pouce insidieux fait son oeuvre.
Son souffle devient court, ses mains se crispent.
Moi - "Ca va pas?"
Moi - "Tu veux que j'arrête?"
Elle - "tais-toi"
Elle devient alors comme animale
Elle - "baise-moi, baise-moi je t'en supplie"
Cette vulgarité dans sa bouche me faire reprendre la cadence comme s'il n'y avait pas de demain.
Elle hurle, se débat, puis fini par s'écrouler
Je finis par jouir quelques instants après.
Nous finissons dans les bras l'un de l'autre à nous embrasser.
Je lui fais admettre qu'elle aime que je joue avec ses fesses. Elle me dit qu'elle a tout simplement peur d'avoir mal.
Je lui propose de poursuivre l'expérience avec les jouets de l'oncle. Elle accepte, ce sera pour ce soir.
Je vais essayer de vous la raconter demain
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