La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1320)
Les Nuits de Sophie au Château
Jémergeais peu à peu, reprenant conscience de ce quil se passait. Je me sentais épuisée et lourde mais heureusement on ne mexigeait pas de me mouvoir quand on me transportait cette fois-ci en dehors de lavion. On me posa simplement à genoux à même le sol
- Bonjour madame, votre vol sest-il bien passé ?
- Bonjour Walter, oui à merveille, merci.
- Fort bien. Monsieur le Marquis menvoie vous souhaiter la bienvenue et bien évidement vous conduire en Son Domaine.
Je les écoutais tête baissée prêtant une oreille tout attentive quand lattention se dirigea vers moi.
- Et cette chienne, quen faisons-nous ? (La question était très sérieuse entre les lèvres de ce "Monsieur Walter")
- Monsieur le Marquis ma informé quil avait quelques hommes méritants qui auraient à cur de soccuper dune chienne désobéissante, ne les faisons pas plus attendre, je leur la laisse !, lui répondit Maîtresse.
Je savais que je lavais déçu mais je ne savais pas sur le moment si son dédain était réel ou feint pour me punir. Dans les deux cas, je me sentais honteuse, le clou senfonçait en moi un peu plus à ce sujet. Ce furent les dernières paroles que jentendis de la bouche de Maitresse ces jours-ci. On me mit au fond dun coffre dune voiture et le véhicule partit. Cétait exigu, mais comme je ne pouvais de toute manière aucunement me déplacer mieux valait que je sois calée pour ne pas me cogner. Nous roulions, je ne sais combien de temps, avec moi enfermée dans ce coffre. Au bout dun moment la route lisse laissa place à un terrain plus accidenté, allant malgré les suspensions du véhicule, bien plus me remuer, je compris que nous empruntions un chemin
Puis le véhicule sarrêta, mais avant que lon ne men sorte, il fallut encore attendre un peu. Cest toujours attachée que lon mextirpa du coffre par des hommes corpulents et qui me portaient en ricanant doucement et de manière carnassière.
- Alors, on sest perdu dans les bois ?, on dirait !
- Mais que voila une belle petite chienne salope !
Puis, une voix plus lointaine se fit entendre. Au ton, cétait visiblement lautorité locale.
- Retournez au travail, la journée nest pas finie.
Le silence se fit instantanément faisant taire ces petites moqueries. On se rapprochait de la voix et cest sûrement non loin delle que lon déposa sur une surface en bois. On my avait positionnée sur le côté mais javais assez damplitude de mouvement pour me redresser sur mes genoux. Jentendais des gens vaquer autour de moi sans vraiment trop savoir où je me trouvais, nous étions en extérieur, cétait sûr, mais je ne sentais pas la chaleur du soleil.
- Tu es en Ma possession jusquà nouvel ordre, esclave, et sache quen ces lieux, Je suis le Maître tout puissant...
La voix était assurée, calme et à la fois puissante. Elle devait appartenir à un homme de grande stature, très certainement au fort charisme et raffiné. Il se rapprocha en deux lentes enjambées pour me saisir à la racine de ma queue de cheval. Il me tira sur la plateforme tout en mextirpant un cri étouffé, javais limpression quil allait marracher le haut du crâne. Il sarrêta seulement pour relier lanneau de mon collier à une tige qui partait du sol, et une fois le tout sécurisé par une multitude de solides cadenas, il me lâcha. Le relâchement de la tension quil exerçait sur mes cheveux eut comme effet de me transmettre une douleur égale à celle que javais lorsquil me trainait.
- Tu vas rester là, à notre disposition, le temps que jaurai décidé...
Effectivement, accommodée ainsi en levrette, je ne pourrais pas résister. Le temps que je trouve un semblant déquilibre pour ne pas glisser de la tige qui me retenait, écartant mes jambes au maximum que le permettait la chaine reliant mes chevilles, il revenait et commençait à masperger dun liquide sentant leucalyptus.
- Cest pour éviter que tu ne sois attaquée par les moustiques. Tu as la peau si douce, ce serait dommage de labimer.
Je cuisais encore de ma lenteur matinale qui se rappelait sur mon dos, mes cuisses et mon fessier. Jétais beaucoup trop dans linconnu pour être sereine. Lhomme, le Maître tout puissant, comme il sétait présenté, passait et repassait Sa grande main baladeuse sur ma croupe, la fessant quelques fois. Je tremblais déjà comme une feuille, et je mouillais, cétait un mélange courant mais beaucoup plus appuyé quà laccoutumé. Il y eu un petit moment de flottement qui prit fin quand un coup non retenu de paddle dur comme un chêne centenaire marriva sur un fessier déjà travaillé à la main. Limpulsion remonta de la fesse droite, au plug, au ventre et ainsi de suite jusquau collier me retenant au sol. Cette impulsion me faisait un cri ne sortant pas de ma bouche uniquement car la contracture de ma mâchoire vint se refermer sur ma langue. Je pleurais abondamment et je sentais le gout cuivré dans ma bouche. Javais la langue entaillée. Il se rendit compte de ce fait quand il remarqua que je navais pas hurlé. Lhomme me contourna pour me prendre doucement la mâchoire, lenserrant faiblement mais fermement pour me la faire ouvrir et constater. Apparemment rassuré et sans un mot, il me caressa délicatement une joue pour me positionner une espèce de mors. Puis il reprit de plus belle et ne marqua plus aucune interruption jusquà ce quil cesse après encore une trentaine de coups savamment dosés et placés sur mon cul rougi et très échauffé.
Ma tolérance à la douleur avait été mise à mal, mes gémissements et couinements ne pouvaient pas lui échapper. Jimaginais la satisfaction sur son visage de savourer ma croupe rougie via mes fesses colorées en dégradées de rouge parcourant mes nombreuses marques.
Puis le Dominant se saisissant subitement de mes hanches avec force pour mattirer à Lui, et enfonça Son volumineux pieu bandé jusquà la garde dans mon cul endolori mais fort heureusement déjà très dilaté par le plug. Cette réalité permit une pénétration rapide, puissante, profonde via cette saillie animale sans concession. Mon feu intérieur était perdu entre bonheur dêtre assouvie et douleur encore une fois prononcé. Sous Ses coups virils et puissants de bassin, javançais et reculais à un rythme effréné
Je me sentais bien remplie par le cul, profondément sodomisée et la douleur se transforma rapidement en plaisir très excitant, me faisant couler ma cyprine. Quand lhomme eut fini sa besogne il se retira et dans des râles dun mâle en rut, il cracha en des jets saccadés Sa semence partout sur mes cuisses, mon cul et mes reins, en rajoutant un peu à celle séchée déjà présente.
- Tu es une chienne accueillante. (Après un petit silence à me jauger, lhomme reprit) On va profiter de toi jusquà ce que tu nous supplies darrêter chaque jour et ce jusquà ce que tu aies gagné les clés de ta liberté, et comme je te lai déjà dit, ici je suis seul juge de décider quoi que ce soit
Suite de la narration par La Maîtresse de Sophie :
Je réfléchis vite car je sentais que pour la suite, cela allait être compliqué : Il restait si on rapportait toutes les clés, dont il parlait, aux cadenas immobilisant Sophie, huit clés à obtenir, si on rajoutait les bracelets aux chevilles et aux poignets cela en faisait deux de plus. La chose ne sera donc pas être aisée. Je gardais toujours un il sur Sophie, contrôlant notamment son rythme cardiaque, son corset ayant un petit capteur me permettant de surveiller cela. Malgré larrêt dans cette fulgurante saillie et la certaine force quelle en retirait, je préférais toujours la surveiller, elle demeurait fragile. Chaque jour, elle salimentait à quatre pattes par une gamelle nourrissante matin, midi et soir. Sophie avait droit à se dégourdir les jambes durant 1h chaque matin et chaque soir dans le grand parc et faire ses besoins comme un animal étant toujours menée en laisse et surveillée par un garde... Le reste du temps, elle demeurait attachée, immobilisée, cadenassée et à la merci de tous ceux qui utilisaient son corps comme bon leurs semblaient. Outre son rythme cardiaque que je gardais constamment à lil depuis ma montre connectée à son capteur, je ne savais ce qui lui arrivait uniquement grâce aux rapports que Monsieur le Marquis recevait de Ses hommes de mains. Chaque jour, je luttais contre lenvie daller la voir moi-même et la tirer de cette immobilisation dun état dune extrême servitude dans laquelle je lavais placé par le biais du Noble. Je ne doutais nullement que le Châtelain avait trié sur le volet les meilleurs cavaleurs, les plus endurants et vigoureux comme il le faisait pour tout Son Cheptel, mais je nétais pas rassurée pour autant et je dois bien lavouer, je culpabilisais de ce que je lui faisais subir...
Ses premiers jours furent donc difficiles, Sophie dû se faire à ce que lon attendait delle, sûrement. Puis Sophie se mit à gagner clé sur clé, souvent jours après jours. Mais plus elle gagnait de clé qui lui libéraient la respiration, plus ce quon lui imposait devenait dur. Elle navait toujours pas lautorisation de jouir mais tout ce quils lui faisaient subir, visait à la pousser à cette faute précise. La journée ils travaillaient au Château, gérant le Cheptel desclaves, ou le vaste Domaine forestier, ou lintendance, laissant Sophie équipée de plug ou gode vibrants, machines à baisers, électrodes, la torturant de mille plaisirs sans cesse et gardant ainsi ses sens éveillés pour quand le soir ils reviendraient pour encore plus la besogner. Les nouvelles la concernant marrivaient au réveil, un esclave MDE me les apportant dans ma chambre en même temps que le petit déjeuner
Monsieur le Marquis mavait logé dans une de Ses plus belles suites en son ancestrale Demeure et il me recevait avec tous les honneurs, avec toutes les qualités dhôte que lon pouvait attendre dun homme possédant le véritable sens de lhospitalité. Monsieur le Marquis mavait également laissé tout pouvoir sur Ses esclaves et il ne menvoyait que Ses favoris. Tous charmants et parfaitement dressés pour me satisfaire comme lon pouvait sy attendre, après tout nétait-il pas lun des plus éminents Maitres au monde !
Chaque soir, nous dinions ensemble Monsieur le Marquis et moi-même, servis par Ses esclaves dans lequel sétait glissée ma Caroline. Monsieur le Marquis et moi-même avions trouvé intéressant de la laisser aux mains de sa cuisinière perverse, limpitoyable Marie. Jespérais que cela aurait sur elle leffet dun stage de remise à niveau. Nous continuions ensuite la soirée dans son salon privé où par la force de lhabitude, et cela après avoir parlé travail et banalité, nous finissions toujours de converser de Caroline et Sophie. Lune était dressée pour servir et lautre, que je ne considérais presque plus comme mon esclave mais définitivement comme mon sang, ma fille, pour être utilisée à outrance. Cela faisait sourire Monsieur le Marquis qui me faisait dailleurs remarquer quun étranger ne douterait aucunement quelle soit belle et bien ma fille. Nous nous ressemblions fortement et sur de nombreux points, il était vrai, mon petit trésor de chienne et moi-même. Sa faute, si minime fut-elle, pouvait déclencher une catastrophe incroyable mais je ne pouvais pas la blâmer et cest pourtant ce que javais limpression davoir fait.
- Vous lui faite réaliser ce que peut engendrer la désobéissance dans sa forme la plus extrême, me déclara le Châtelain en reposant sa tasse.
Sophie me rendait vulnérable et même si Monsieur le Marquis faisait partie de mes amis proches, je naimais pas métendre en sentiment devant lui, même si aucun de nos esclaves respectifs nétaient présents pour nous entendre.
- Cest ma fille et mon esclave, il va falloir que je trouve comment parfaitement conjuguer les deux, finis-je par dire.
Sur ces paroles nous nous laissâmes pour la nuit et rejoignîmes nos appartements respectifs. Seule dans ma chambre je dormis à moitié. Et me réveillant en plein milieu de la nuit, je réalisais quelque chose en un instant : Ma montre relié au moniteur cardiaque de Sophie ne recevait plus rien. Le corset lui avait été retiré. Encore une clé et je laurais à nouveau avec moi, entre mes mains, et dans les temps que j'avais prévu. Cette information me fit encore une fois plus deffet que ce que je ne pouvais penser et me permis de mrendormir satisfaite. Je navais pas un instant pensé à lautre possibilité, trop affreuse pour me venir à lesprit et qui aurait été un arrêt cardiaque pur et simple. Heureusement, il en nétait rien
Au réveil, les nouvelles matinales me confirmèrent mes certitudes nocturnes. Moi qui était impassible à laccoutumé, jaffichais maintenant un sourire stupide quune femelle agenouillé remarqua, au côté de mon lit. Ce qui lui déclencha un sourire discret, mais que japercevais tout de même
(A suivre
)
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