Le Triangle Amoureux



Simultanément à sa relation avec l’homme de cinquante ans, Virginie développa une entente de plus en plus intime avec l’un des quelques garçons de sa classe. La belle était en deuxième année de BTS. Ce garçon, c’était Olivier et la belle ne le connaissait que depuis cette année. Olivier était un personnage fougueux, avec un tempérament de feu. Virginie y retrouvait en lui le Bob des premiers temps, celui qu’elle avait connu avant que celui-ci ne tarisse sa flamme et son effervescence de vie dans le travail et la sobriété.

Virginie voulait rire, vivre et se sentir vivante plus que jamais. Olivier fut le premier à faire le premier pas. Virginie savait qu’elle n’aurait jamais fait la démarche d’elle-même. Pour la rencontrer, il fallait aller vers elle, la séduire et la comprendre. Olivier perçut tout cela aussi vite qu’il prit contact avec elle. Et, subrepticement, de jour en jour, les deux amis, étudiant et étudiante, devinrent amants au grand désintéressement de Bob.

Virginie, d’ailleurs, ne parlât à Bob de l’existence d’Olivier qu’en juillet de la même année, soit précisément trois mois environ après le début de sa relation avec Olivier et très peu de temps après son gang bang (ou première relation avec trois hommes). La belle n’avait pas convié Bob. Et pour cause, elle doutait de son acceptation et redoutait sa réaction. Elle prétexta à Bob une indisponibilité vis-à-vis de lui pour que la chose se fasse : la belle voulait s’amuser et profiter de la vie. Faire l’amour avec deux hommes était l’un de ces fantasmes. Olivier lui en proposait trois rien que pour elle dont lui bien évidemment. La belle aurait pu refuser, mais quelques peu insatiable et surtout avide de nouvelles expériences, elle accepta sans trop d’hésitations.


Cette expérience fut pour Virginie un véritable tournant dans sa vie, d’autant que Bob apprit très vite par la suite ce qui c’était passé ce mercredi après-midi chez sa belle.

Bob, furieux la nouvelle sitôt apprise, s’en alla pour casser la gueule à cet Olivier qui l’avait déshonoré et qui de surcroît avait offert la Belle à deux autres hommes que lui. Virginie essaya de retenir Bob et peu après, malgré tout, en parlementant, le calme revint : Virginie resta en couple avec Bob. Bob pardonna à Virginie et accepta même la présence d’Olivier dans sa vie. Le couple devenait un véritable triangle amoureux.


Virginie maintint sa relation avec Olivier pendant plus d’un an, jusqu’à ce que celui-ci, en malotru, ne trouva rien de mieux que de coucher avec la mère de Virginie. La Belle en voulut à sa mère. Elle en voulut davantage à Olivier qu’elle tenait pour quasi seul responsable de cette situation.

Bob, dans tout cela, aimait patiemment Virginie, l’invitant à venir vivre avec lui rue du Midi à Vincennes. La belle accepta, non sans avoir vécu entre temps une seconde relation avec deux hommes, plus éphémère celle-ci mais tout aussi intense.

C’était l’époque où Virginie n’était plus en relation avec Olivier, en juillet-aout de la deuxième année de BTS. Olivier, diplôme en poche, était partit en effet en Angleterre, pour du boulot qui devait par la suite le faire revenir en France dans la même boite où la Belle avait trouvé un travail. C’était une coïncidence que ni Virginie ni Olivier ni Bob n’avaient imaginé.

Durant ces deux mois d’été, qui suivirent immédiatement la fin du BTS, la belle devint en effet stagiaire dans une grande boutique des Champs-Elysées. Son manager, Alex, vit en elle un formidable potentiel. Il avait surtout aperçu son joli minois et la poitrine généreuse que la belle cachait difficilement sous son chemisier. A en croire Alex, Virginie lui parut rapidement « accessible ». C’était le mot que l’homme utilisait pour désigner une fille sur qui il avait des vues et sur qui, selon lui, tout était possible.

Virginie, en effet, n’était pas farouche à l’humour d’Alex. L’homme la faisait rire indubitablement.
Virginie ne cherchât pas particulièrement à bien se faire voir de son chef d’équipe mais Alex était effectivement drôle et bien attentionné à son égard. Un soir même, il l’accompagna chez elle en voiture alors que la belle n’avait plus de train ni bus pour rentrer. C’était après une invitation au cinéma et au resto que la belle ne put lui refuser. Virginie savait qu’en continuant ainsi son comportement, elle eut fini dans les bras d’Alex, ce qui ne manqua pas d’arriver.

Cependant, l’homme avait sous sa direction un vendeur dont Bob oublia le prénom. Alex partageait avec cet homme estime et camaraderie. Un jour, les deux amis avaient, dans un esprit ludique, enfermé la belle dans la réserve qui servait à entreposer les articles de vente en surplus. La belle, qui était d’humeur coquine, s’en amusa. Alex et son ami promirent alors à Virginie de la laisser sortir à condition pour elle d’offrir à ces messieurs quelques faveurs. Virginie feignit de ne pas comprendre mais réalisa au fond d’elle ce que cela voulait dire. Alex savait que la Belle était presque conquise et qu’il suffisait d’entrer dans la réserve sans attendre pour la rejoindre et clôturer le tout.

Alex fut le premier des deux hommes à entrer dans la réserve et à y rejoindre Virginie. Sitôt rentré, la Belle le dévora des yeux et s’approcha de lui en posant délicatement une main sur son entrejambe. L’homme commençait à bander grave. La belle, soudain, se baissa devant lui en position accroupie. Délicatement, elle délia la ceinture de son géôlier en le regardant droit dans les yeux pour mieux attiser son désir ; et délicatement, elle prit le sexe dans sa bouche pour le sucer divinement.

Alex était appuyé dos à la porte. Son acolyte tambourina discrètement de l’autre côté, à l’extérieur de la remise :

- Hé, attendez-moi ! Faites-mi rentrer ! chuchota l’homme.

Virginie le fit rentrer. Il n’y avait pas besoin de demander à Alex de le faire. Aussitôt rentré, avec empressement, l’homme se déshabilla et fit tomber son pantalon sur ses chevilles.
A la vue de son sexe, qui était d’une bonne proportion, Virginie le prit immédiatement en bouche. Elle avait alors dans la main droite le sexe d’Alex qu’elle continuait de branler et à sa gauche le sexe de l’homme noir qu’elle suçait admirablement.

Le spectacle dura ainsi quelques bonnes dizaines de minutes. Les deux hommes, sollicités par le travail qui se faisait sentir dans la boutique, se résolurent à terminer leur besogne : d’une main frénétique, chacun, ils se branlèrent devant le visage de la belle qui se refusa néanmoins de boire leur jus. L’homme à la peau noir fut le premier à jouir sur le visage de la belle. Alex fut le second. Les deux hommes, ayant d’emblée terminé, s’en retournèrent au travail. Il y avait foule aux caisses du magasin. Virginie, dans la remise, s’essuya le visage. Quelques gouttes de sperme avaient coulé dans son décolleté…

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