Sous Les Jupons De L'Église.
Sous les jupons de lEglise.(Suite des vieux ont aussi droit au plaisir en maison de retraite)
Mémoires de ma mère.
Après avoir appris le décès de Mr Abdelkader suite à leurs ébats, ma mère repensait à tout ce quelle avait accepté de faire, elle, la veuve exemplaire, manifestant toujours une dévotion chrétienne un peu trop excessive pour mon goût. (Lire : Labnégation de ma mère à la maison de retraite).
Ma mère prise de remords, décida daller se confesser. Que va dire le père Jean, vieux curé de la paroisse lorsquelle va lui confesser les dépravations auxquelles elle sest livrée, oh bien sûr, à son corps défendant.
Comme elle faisait aussi le ménage chez Monsieur le curé de la paroisse à léglise et à la sacristie, elle lui demanda daller à confesse, espérant trouver un réconfort moral, mais cela risquait davoir une influence pour le moins désastreuse sur leurs rapports.
La pénitente se dirigea vers le confessionnal et entra dans le compartiment prévu à cet effet.
Quelques instants plus tard, le curé entra dans le confessionnal et ouvrit le volet, un grillage et la porte habillée dun rideau épais ne laissant passer que peu de lumière, il sadressa à ma mère :
- Je vous écoute, ma fille, énumérez-moi vos péchés.
Alors, tout en pleurant à chaudes larmes sous ses airs innocents et prudes, elle raconta cette journée de débauche à la maison de retraite, ne cachant aucuns détails si elle voulait quil labsolve de ses péchés. Elle énuméra tout ce qui lui étai arrivé. Lacceptation de la fellation administrée à ce vieil homme aux mains baladeuses, dont elle a été obligée davaler la semence jusquà la dernière goutte et ce quil a suivi et pour finir, lacception de se faire prendre par ce vieux bouc qui a labouré son intimité avec son soc monstrueux avant de sattaquer à son cul.
- Vous en avez retiré du plaisir ma fille ? Interroge le prêtre après un long silence.
- Ou
..Oui
. mon Père, je
. Je confesse que jy ai pris du plaisir, plus que je ne devrais, répondit-elle. Mon émoi devant le sexe disproportionné de ce vieux maghrébin, mon refus au début mais le plaisir ressenti de me faire saillir par un tel étalon, moi, une femme grosse et plus très jeune, je ne croyais plus connaître ça un jour !
Le curé, éminemment troublé par l'énoncé de tant de dépravations, eut une érection fortuite issue de la confession intime de sa pénitente mais voulut s'en retourner vers Dieu pour tenter de réfréner ces pensées peu dignes de son sacerdoce. Il voudrait expier ses péchés davoir de si mauvaises pensées. Mais contre toute attente, comme Don Camilllo, voilà que Jésus lui même lui répondit, le fustigeant de ces ridicules flagellations et l'encourageant à donner à cette paroissienne comme acte de contrition de jouer avec le gros cierge qui vrille son bas-ventre. Mais il résista au vice en senfuyant à la sacristie après avoir donné labsolution à la pénitente. En plus des « Ave » et des « Notre père », elle devra récurer à genoux la sacristie.
Ma mère quitta le confessionnal. Une fois les prières dites, la dévote se dévoua, frottant comme une folle le parquet de la sacristie, enlevant quelques nippes pour être plus à laise pour frotter et frotter encore. Le père, après avoir retiré la tenue de confesse, revient à la grande salle de la sacristie.
-Bonjour Madame xxxxx. Je suis le père Rudy, le père Jean prend de lâge et lEglise ma envoyé pour le seconder, je le remplace depuis ce matin au confessionnal. Vous savez que vous mavez chauffé les sangs ?!
Ma mère tourna la tête, étonnée et confuse, mais surtout complètement affolée de voir un jeune prêtre martiniquais. Toute tremblante, ma mère eut une brusque bouffée de chaleur et le rouge lui monta au front. Comment a-t-elle pu confesser à ce jeune curé ses péchés véniels. Elle lui a avoué des fellations, des coïts endiablés et lacte sodomique quelle avait subit.
Ma mère essaya en pleurs de se justifier du plaisir inouï quelle avait ressenti à se faire prendre par ce vieux maghrébin. Puis, sur sa lancée, elle raconta comment elle avait dû subir les derniers outrages, de ses fesses es par ce pénis qui a pénétré dans son illet, perforant son rectum jusquaux entrailles.
Le père Rudy, à la nouvelle évocation de la lubricité de cette matrone, toujours à quatre pattes devant lui à frotter vigoureusement le sol, voyant cette énorme paire de seins ballotter et ce gros cul tourné vers lui, rebanda à nouveau comme un bouc.
- Pauvre pécheresse, votre pénitence doit être plus en corrélation avec vos aveux de fornication que malgré vos dires, vous ne semblez peu regretter vu les détails que vous me donnés. Dieu par son serviteur, va vous infliger votre châtiment !
Labbé de couleur retira les habits sacerdotaux, ouvrit sa braguette pour en sortir difficilement un mandrin vigoureux dressé entre ses jambes. Ma mère fut épouvantée par ce quelle voyait mais le jeune religieux ne lui laissa pas le temps de se reprendre. En un tour de main, se retrouvant devant elle et lui présentant sa verge à sucer. Ma pauvre mère neut pas le choix.
- Ma fille, ouvrez la bouche en grand et avalez-moi ce goupillon de curé jusquà ce quil vous bénisse de sa crème purificatrice. Cest le premier acte de contrition que Dieu vous inflige.
Résignée, ma mère pris le pénis du curé dans ses deux mains tellement la tige était grosse et longue. Pas autant que celle de Monsieur Abdelkader mais quand même de belles proportions.
Elle lécha le gland congestionné, surprise par sa couleur chocolat au lait alors que le reste de la queue était encore plus foncée. Elle sappliqua comme une dévote, écartant ses mâchoires le plus possible pour engloutir lénorme pine jusquà ce quelle butte sur sa glotte et la pompa sans rechigner. Le curé Rudy fit aller son vit dans la gorge de sa pénitente sans douceur.
Les larmes aux yeux, une bave abondante lui coulant jusquau menton lorsque le nud atteignit le fond de sa gorge puis sactiva avec force. Mais bientôt, le jeune curé, novice de ces choses, ne put plus retenir le sperme qui engorgeait son urètre et un flot de foutre jaillit, débordant des commissures des lèvres de ma mère qui avala le jus poisseux sans protester comme elle réciterait un « Ave Maria ». Pensant en avoir fini avec la pénitence imposée, elle gardait en bouche le sexe de lhomme déglise, mais sans faire de mouvement, les yeux un peu dans le vague. Mais le jeune martiniquais revint à la charge après cet orgasme, le curé toujours bien vigoureux, se sentait dattaque pour dautres actes de pénitence.
-Vous navez pas encore assez expié, ma fille, et vous devrez être puni par où vous avez péché.
-Oui mon Père ! Pardonnez-moi par où jai péché.
Ma mère était perdue, se doutant de ce que le jeune prêtre avec son sexe énorme sapprêtait à faire, elle était paniquée à lidée que cette verge impressionnante toujours en érection puisse pénétrer son hôtel barbu dans ce lieu saint. Il releva sa robe, détourna la culotte de coton blanc et la pris en levrette sans la ménager, poussant son gros nud jusquau plus profond de la matrice, cognant à chaque ruade lutérus de toutes ses forces.
-Repentez-vous ma fille, jextirpe de votre corps le vice et la luxure avec le bâton du pèlerin christianisant les infidèles.
Mais elle ne lécoutait plus, se donnant encore plus de plaisir en projetant son cul vers la bite qui la perforait, ayant perdu toute inhibition de se savoir chevauchée dans la maison de Dieu par lun de ses serviteurs qui se servait de sa chair avec concupiscence et la plus grande lubricité. Ma mère ne put sempêcher de hurler lorsque le gourdin de lhomme de Dieu la défonça sans ralentir avant comme tout homme de foi, de la prendre dans la position du missionnaire, si bien nommée en cette circonstance, tout en psalmodiant des incantations on ne sait à quel saint.
Mais elle nen avait pas fini avec lhomme déglise qui cette fois lorgnait sur son postérieur. Il alla au tabernacle et pris la burette dhuile pour lubrifier la rosace de ma paroissienne de mère, faisant couler lhuile sur lillet encore fermé et étala le liquide avec ses doigts avant de sen servir pour la faire pénétrer dans lorifice.
-Il faut soigner le feu par le feu, ma fille, tu seras punie par là ou tu as péché !
Puis il présenta son gland et poussa inexorablement jusquà ce que sa queue déflore le sphincter, faisant encore hurler ma mère, si brièvement initiée par le vieux magrébin à la sodomie. Mais le Père, deux fois plus jeune que ma mère quil appelait « ma fille », ne tenait aucun compte de ses supplications et lenculait vaillamment, poussant son défonce-cul jusquau plus profond du rectum, la ramonant ainsi pendant de longues minutes, la prenant avec de plus en plus de facilité.
Maman transpirait de tout son corps prenant encore son plaisir dans un orgasme intense à se faire prendre de la sorte dans la sacristie, ne pouvant se retenir de hurler sa jouissance en lançant son gros cul au-devant du gourdin qui perforait ses entrailles et qui enfin éjecta copieusement son sperme dans lantre rectal.
Épuisée, ma pauvre mère nétait plus quun pantin désarticulé étendu sur le sol qui venait de subir la fornication sodomite du jeune curé quand soudain la porte de la sacristie souvrit et laissa entrer le vieux Père Jean attiré par les cris de ma mère.
-Mais, que ce passe-t-il ici ? Oh quelle horreur, quelle abomination ! Madame xxx
Père Rudy ! Quelle honte pour léglise
Vous allez avoir dici-peu des nouvelles de Monseigneur lEvêque, apprêtez-vous à aller évangéliser au fin fond de lAfrique
Ainsi fut fait, le jeune prêtre fut muté au Rwanda. Ma mère virée de léglise, morte de honte, et pour se racheter, décida elle aussi daller en Afrique pour aider dans un dispensaire de brousse.
A suivre
(En Afrique)
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