Claire Se Transforme En Maitresse Phallique

Enfin de matinée, j’ai reçu un texto de Claire qui me dit qu’elle est seule pour quelques jours et a très envie de moi. Cela fais plusieurs mois que je n’ai pas couché avec cette coquine, j’accepte donc son invitation avec une certaine excitation.

Dès ma journée de travail terminé, je rentre chez moi me doucher et me changer et me dépêche de prendre la route. Je trouve une place juste devant son immeuble et monte les marches 3 à 3. Je tambourine sur sa porte mais elle met un bon moment à venir m’ouvrir. Comme a son habitude, elle porte simplement un petit déshabillé qui laisse ses seins à l’air et un mini string, ce qui réveille mes ardeurs.

A peine la porte refermée, elle me plaque contre le mur et nous nous embrassons langoureusement ce qui m’excite encore plus. Quand nos lèvres se décollent, elle att ma main et m’entraine vers la chambre à coucher. Ce que j’aime bien avec Claire, c’est qu’elle perd pas de temps. Elle s’assoit sur son lit dans une position très provocante et me lance:
« Aujourd’hui, j’ai envie que ça soit toi qui fasse la fille! »

Je la regarde avec un air interrogateur, je n’ai pas le temps de lui demander plus d’explication qu’elle m’ordonne:
« Déshabille toi! »
Elle se lève et va fouiller dans sa garde robe, elle en sort de la lingerie et des robes. Elle me tend un porte jarretelles noirs et me murmure à l’oreille:
« Essaye ça ma chérie, je suis sûre que ça va très bien t’aller. »

Claire m’aide à attacher le porte jarretelle autour de ma taille puis ferme le soutien gorge autour de ma poitrine. Elle rempli les bonnets avec des faux seins en silicone ce qui me fait une sacrée paire de seins. Elle déroule sur mes jambes des collants qu’elle finit par attacher aux 4 jarretelles. Plus elle me féminise plus je sens mon excitation monter et ma bitte gonfler. Claire m’admire avec un grand sourire et retourne fouiller dans son armoire.

Elle me sort un déshabillé rouge orné de dentelles noires que je me dépêche d’enfiler.

Puis elle s’agenouille devant moi et fait rentrer mes jambes dans un slip noir fendu au milieu. Claire att mon costume troisième à deux mains qu’elle sert de plus en plus ce qui me fait encore plus bander. Elle me caresse un moment puis se redresse pour aller fouiller dans sa table de nuit.

Elle revient les mains pleines et me demande de me pencher vers le lit. Sans trop réfléchir je m’exécute. Je sens du froid entre mes fesses, elle me tartine de lubrifiant. Puis elle fait la même chose avec un plug violet aussi large que ma queue. Avec le bout, elle me titille la rondelle qui commence à s’ouvrir tranquillement. Elle ne me laisse pas le temps de m’assouplir complètement que Claire m’enfonce d’un coup sec le plug dans mes entrailles.

Je pousse un petit cri de douleur, ce qui fait rire Claire et avec un ton sadique, elle me dit:
« Ce n’est qu’un début! »
Elle m’assoit devant sa coiffeuse et la position fait sortir ma queue raide du trou de la culotte en dentelle qui se tend encore plus grâce au plug qui s’enfonce encore plus loin dans mes entrailles.

Alors que Claire me maquille, je sens son regard brulant sur mon sexe bien tendu. Une fois mes yeux entouré de bleu, mes lèvres d’un rouge vif et une perruque blonde posé sur mes cheveux, elle sort d’une boite en carton une paire d’escarpin à ma taille. Elle avait donc tout prévu depuis un moment.

Je fais quelques pas devant le grand miroir et je trouve le résultat plutôt impressionnant. Grace à son maquillage on ne voit même plus les petits points noirs de ma barbe. Ce n’est pas pour me jeter des fleurs mais si je me rencontrais ainsi, j’aurai sûrement envie de me draguer. Je ne suis pas le seul à me regarder car Claire ne me lâche pas des yeux et me siffle.

Je me tourne vers elle et lui demande si cela signifie que je lui plais, elle me répond:
« Tu me fais craquer ma belle! »
A peine sa phrase finit, elle s’agenouille devant moi. Avec une main elle caresse ma queue et mes couilles et de l’autre main elle agite le plug toujours planté entre mes fesses.
Je ne tiens plus devant tant de plaisir et retrouve très rapidement ma splendeur.

Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, elle retire d’un coup sec le jouet de mon cul, lâche mon sexe et me balance vers le lit. Elle me met en levrette et me demande de l’attendre dans cette position. L’attente est un peut longue mais très excitante, surtout que je sens l’air caresser ma rondelle toujours bien ouverte. Elle revient quelques minutes plus tard avec un gode ceinture dans la main.

J’en ai déjà vu des doubles mais jamais des triples comme celui. Claire lubrifie les deux godes qui sont dans le harnais, avant d’enfoncer le grand dans sa chatte et le petit dans son cul avec un gémissement très excitant. Elle se penche sur moi, att ma bitte et tout en l’astiquant elle me glisse à l’oreille:
« Ne t’inquiète pas ma chérie, j’ai gardé le plus gros pour toi! »

Quand elle me lâche, je tourne doucement la tête pour admirer la queue en plastique qui va venir me ramoner. Dieu sait que j’en ai vu des bites dans ma vie mais jamais une comme celle-la. Je sais pas si c’est pour me faire saliver ou me faire peur mais après un rire narquois, elle me dit tout en masturbant le sexe qui pend entre ses cuisses:
« Regarde comme il est long, il dépasse mon genou. Il fait au moins 30 centimètres! »

Alors qu’elle lubrifie le god en le caressant sur toute sa longueur, en se faisant du bien en même temps avec ceux en elle, elle ajoute:
« Même si je sais bien que ton cul en a vu passer, je pense que tu n’as jamais était prise par une telle bitte, ma salope! »
La voir ainsi, branler le gode, cambrée sur ses talons aiguilles qui mettent sa chute de reins en valeur, je frissonne d’avance. Alors qu’elle mime un coït dans le vide en tenant le chibre en plastique à deux mains, mon coeur se met à battre la chamade.

En s’approchant de moi, Claire me demande de me mettre sur le côté. Elle remonte mon déshabillé jusqu’à la taille, avec son genou elle écarte mes jambes et vient lubrifier mon sillon fessier du bout du gland bien graissé.
Son énorme champignon écarte bien mes fesses et tout un coup je commence à avoir peur en me rendant compte de ce que je vais prendre. Ensuite le gode se coince contre mon périnée alors que son doigt vient dilater mon petit trou plissé.

Je suis tellement excité d’être habillé en femme et à l’idée de bientôt me faire sodomiser par une vraie femme que je m’ouvre très facilement. Claire enfonce un premier doigt en moi, très rapidement suivi par un deuxième et un troisième. Je gémis de plus en plus fort et un quand un quatrième doigt vient me sodomiser, je ne me retiens plus et hurle de plaisir. J’ai l’impression de dégouliner du cul, ce qui fait dire à ma maitresse:
« Eh bien, ma cochonne, c’est que tu aimes ça! »

Au bout de quelques minutes à crier mon plaisir, elle retire ses doigts un à un et m’ordonne de me mettre à genou sur le lit. Une fois que je suis en position, elle écarte la culotte et mes fesses avec une main et de l’autre positionne l’énorme gland en plastique contre mon oeillet. Elle met des petits coups de pression afin de faire pénétrer doucement la tête de ce sexe en plastique. Une fois que ma rosette a bloqué le début du gland, elle utilise sa deuxième main pour bien ouvrir mon cul. La pression augmente mais elle a du mal à me perforer.

Après plusieurs tentatives infructueuses, déçue, elle abandonne mais pas complètement. Toujours avec cette énorme queue entre ses cuisses, elle va chercher une poire à lavement qu’elle rempli de lubrifiant. Sans aucun ménagement elle l’enfonce entre mes fesses et la vide complètement avant de me demander de pousser pour en faire ressortir une partie. Alors que je force et que je sens du gel couler de ma rosette, je me sens encore plus salope que quelques minutes plus tôt.

Une fois qu’elle est satisfaite du résultat, Claire écarte ma culotte trouée ainsi que mes fesses tout en me demandant de me cambrer encore plus. Je pousse sur mes sphincters pour ne pas avoir mal, car je sais qu’elle va tout faire pour réussir à me prendre cette fois.
Elle appuie tellement fort sur mon oeillet que je sens mes genoux glisser vers l’avant mais cette fois l’énorme gland me transperce.

Je crie de douleur en sentant mes chairs se dilater à l’extreme au passage de ce mat qui rendrait jaloux tous les hommes que je connais. J’ai l’impression d’être ouvert en deux comme la mer rouge. Claire m’att par la taille pour continuer à s’enfoncer et je me concentre pour profiter au maximum du plaisir que j’ai envie de ressentir. Plus elle s’enfonce en moi plus je me détends et c’est moi qui recule pour prendre les derniers centimètre dans mon cul.

Une fois qu’elle est complètement en moi, elle me donne une série de fessées qui me fait encore plus vibrer. Elle commence un petit va et vient de plus en plus agréable, surtout que je sens bien les veines en plastique contre ma paroi interne. J’accompagne ses mouvements en bougeant mes fesses pour l’aider a encore mieux s’enfoncer en moi. Ca motive encore plus Claire qui se déchaîne encore plus avec la bitte en plastique mais aussi avec sa main qui s’abat de plus en plus fort sur moi.

Claire me relève une jambe, pour mieux me posséder mais aussi me masturber avec virtuosité. Je ne retiens pas mais gémissement tellement que le plaisir est grand à chaque mouvement. Après un bon moment de ce traitement, elle abandonne ma queue et se retire d’un coup sec de mes entrailles. Elle reste derrière moi à admirer le temps infini que met ma rondelle à se refermer. Une fois le spectacle finit, elle se replante complément en moi mais beaucoup plus rapidement que la première fois.

Quand Claire a finit de m’embrocher jusqu’à la garde, elle fait des petits mouvements pour bien stimuler ma prostate et en même temps profiter des godes qui sont dans sa chatte et son cul. Même si je ne suis pas raide comme un poteau et que personne ne s’occupe de mon sexe je sens le plaisir prendre de plus en plus de place et la sauce monter. Pas très longtemps avant que je jouisse, elle se retire encore une fois, pour me demander de me retourner.

Une fois que je suis sur le dos, au bord du lit, les jambes relevées, Claire me possède sauvagement. Elle se met à onduler du bassin pour encore mieux me fouiller le ventre. Je suis de nouveau prêt du septième ciel surtout qu’elle empoigne ma tige et se met à me gratter le frein du bout de l’ongle, elle sait que j’adore ça. Je ne peux pas me retenir très longtemps et m’immonde du ventre au menton avec mon sperme. Elle continue encore un peu à me ramoner puis s’immobilise pour se pencher sur moi et lécher tout mon sperme avant de venir le partager avec moi dans une pelle très baveuse.

Quand nos bouches se dessoudent, elle ressort tout doucement de mes entrailles en laissant un grand vide dans mes fesses. Alors que ma rondelle se referme tout doucement, elle détache les sangles qui entourent sa taille. Quand elle retire les godes de ses orifices, ils sont, l’un comme l’autre, luisants de mouille.

Claire vient s’allonger à côté de moi. Nous nous caressons et nous nous embrassons puis elle me dit qu’elle veut que je la baise maintenant mais comme une femme avec une autre femme, mais ça c’est une autre histoire…

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