Terma 64- Zoulika Et Layla Concubines Infidèles (2) :

Après un moment, j’ai repris mon souffle et mes esprits et il s’est détaché de moi, après deux ou trois légers baisers sur la bouche, le cou et les seins. Il m’a chuchoté si ça m’a plu et pour réponse, je l’ai moi-même embrassé sur la bouche avec passion. J’étais prête à rebeloter immédiatement, mais il fallait penser à ma complice Layla, aussi affamée que moi du sexe de cet homme. Voyant que sa queue n’avait pas beaucoup faibli, je lui ai chuchoté de l’astiquer et la préparer pour mon amie qui attendait. Il a souri et, empoignant sa queue, il l’a essuyée puis a recommencé à la branler fortement pour la regonfler, ce qui ne va pas tarder, je lui fais confiance. Moi, je me suis très succinctement essuyé car je voulais garder le maximum de sperme collé et séché sur ma poitrine, mon ventre, mes poils et mes cuisses. J’en ai même poussé un peu à l’intérieur de ma chatte et serré les cuisses. C’est un trésor de guerre, preuve d’avoir fait des cornes à la tête de mon mari absent. Puis je me suis rhabillé et sortit de la cabine laissant l’homme nu à l’intérieur, en train d’astiquer sa queue déjà bandée. Avant de le quitter, il m’a soufflé qu’il s’appelait Toufik et moi j’ai dis me nommer Zizi et mon amie Lili.
Layla n’était pas loin comme je l’ai deviné. Le vieux dormait toujours la bas près de la caisse et le jeune était encore dehors. Avec un collègue comme mon amant que les femmes devaient souvent draguer et qu’il baisait au magasin même, il devait avoir l’habitude. Avant de rejoindre Toufik, Layla m’a demandé si c’était bien et je lui ai dis qu’elle nous avait très bien écoutés et suffisamment comprit que c’était formidable et que j’en désirais encore et encore. Toufik, l’a prise par le bras et entrainée à l’intérieur de ce lit d’amour. Pendant un moment, j’ai collé mon oreille sur la porte et j’ai bien entendu les froissements des vêtements de Layla qui se dénudait. Aussitôt après, son cri de jouissance quant la grosse queue de Toufik s’est enfoncée dans sa chatte.

Puis ses gémissements ont commencé allant crescendo avec des cris de temps à autre. Layla est à jeun de sexe masculin depuis plus longtemps que moi. Elle avait cru que son sexe s’était séché mais quant moi aussi j’avais été délaissé, on étaient devenus complices. Après on a commencé à nous masturber ensemble et nous lécher et sucer les chattes mutuellement. Elle a même apporté une fois un godet, ayant la forme d’une queue grosse et noire qu’un homme de couleur lui avait mise de force dans son sac, voulait la draguer. Mais elle avait le gars et s’est enfouie, mais elle a gardé cet objet sexuel.
Quant on était devenues amies sexuelles, elle me l’a montré et on l’a essayé toutes deux plusieurs fois. Mais le plaisir n’était même pas comme celui de notre mari auparavant et on l’a abandonné le pauvre godet noir. On voulait une vraie queue sensible d’homme viril dans nos chattes, pas des objets inanimés et stériles. J’entendais toujours leurs gémissements et surtout les cris de Layla qui devait, enfin, reconnaitre les joies d’une queue virile et souple, dure et douce en même temps. Elle hurlait parfois et j’ai gratté la porte pour les avertir. Bah, cela n’a pas empêché les coups de bélier de Toufik dans ses puissants vas et viens dans la chatte de Layla, et qui cognaient le mur de la cabine. Alors j’ai fait le gué en surveillant surtout le vieux, et heureusement, à cet heure de la mi journée chaude, il n’y pas eu de cliente. Je me suis un peu éloigné jusqu’au jeune, toujours assis à l’extérieur. Bien sur, il savait tout ce s’était passé et ce qui se passe actuellement dans la cabine d’essayage. Alors je l’ai un peu provoqué en demandant pourquoi il n’essayait pas de faire comme son collègue. Il m’a jeté un coup d’œil amusé et m’a affirmé qu’il le faisait mais la priorité était toujours à son collègue et ami plus âgé et plus expérimenté. Lorsque son ami le voulait il lui laissait l’occasion après avoir bien gouté de ses amantes. Je lui ai demandé de me montrer sa queue, il m’a regardée et s’est levé et nous sommes entrés dans le magasin.
Il m’a entrainée juste près de la porte de la cabine, où on entendait les coups de queues et les gémissements. Puis, il a ouvert sa braguette et a sorti sa queue. Elle était déjà gonflée, quoique moins longue et moins grosse que celle de Toufik. Il m’a avoué que c’est vrai quant une femme goutait la queue de Toufik, la sienne ne leur disait rien de bon. Mais moi, j’étais magnanime. Je ne voulais baiser avec lui car je désirais garder et amener chez moi, les sensation, le sperme et les fantasmes que j’ai eu de Toufik. Mais je pouvais lui sucer la queue à ce jeune qui s’appelait Ali.
On s’est mit derrière la cabine, juste pour bien surveiller le vieux. Il a descendu son pantalon pour avoir accès complet à sa queue que j’ai empoignée. Elle était en effet plus facile à saisir et tout en la branlant doucement, je l’ai engloutie dans ma bouche. Je me suis assise sur la chaise et lui était debout devant moi. Je l’ai sucé, léché et branlé un long moment, sans oublié ses couilles gonflées. Il gémissait et se tendait de plaisir et me tenait la tête, me décoiffant les cheveux. Il n’a pas tardé à obtenir son plaisir. Quant il l’a senti monter, il a voulu s’écarter mais je l’ai gardé de force dans ma bouche car je voulais gouter le sperme. Je n’ai pas la chance avec Toufik mais je le voulais de ce jeune. Soudain, il éclata par trois longs jets de sperme chaud et visqueux que j’ai gardé et avalé, difficilement, mais complètement. J’ai gardé longuement sa queue dans ma main et dans ma bouche, pour bien le vider puis je l’ai libérée. Il était tout souriant, le visage rouge et s’est excusait d’avoir éjaculé trop rapidement. Nous avons entendu la porte de la cabine s’ouvrir de l’autre coté et le jeune s’est rajusté rapidement puis il a rejoint en vitesse son poste devant le magasin. Je me suis rajusté et j’ai contourné la cabine. J’ai trouvé Layla déjà rhabillée et qui me cherchait. Elle avait vu le jeune s’enfouir vers son poste et moi, sortir de derrière la cabine. Je ne pouvais pas lui mentir et je lui ai avoué ce qui s’était passé.
Elle rigolait juste au moment où Toufik sortait, tout habillé de la cabine. A ce moment, j’avais remarqué que leur baise avait duré beaucoup plus longtemps que la mienne mais je n’ai rien dit.
Ensuite, Toufik nous a dit qu’il était à cran et que nous lui plaisons énormément et qu’il souhaitait nous baiser tous les jours, à la même heure. Mais j’ai répondu que c’est qu’il nous plaisait, mais que c’étaient nous qui décideront des rendez vous, puis on est sorti du magasin. Nous étions en bonne partie satisfaites pour nos chattes et aux cornes qui viennent de pousser sur le front de notre mari commun Si Hassane. En route, on a beaucoup discuté des jouissances qu’on a eues et Layla m’a avoué qu’elle était tellement saisie par le plaisir, étourdie, qu’elle avait presque demandé à Toufik de continuer et d’éjaculer dans sa chatte et non dehors. Heureusement que Toufik avait l’habitude de maitriser sa queue et savait se retenir au moment opportun. La plupart des femmes qu’il baisait étaient jeunes et mariées, donc pouvaient avoir des s, donc il fallait éviter d’éjaculer dans leur chatte. Elle m’a dit que Toufik lui a demandé de se raser la chatte la prochaine fois car il aime caresser et embrasser les chairs dodues des lèvres de chatte et de leur mont de vénus. Moi aussi j’étais très poilu du pubis et on a décidé que la prochaine fois, nous nous raserons la chatte au hammam avant d’aller gouter les lèvres et la grosse queue de Toufik. En principe notre prochaine rencontre sera pour le samedi, notre jour du hammam, mais Layla, conquise par la queue de Toufik et à la chatte, certainement encore affamée, m’a avoué qu’elle aimerait mieux avancer le jour et aller baiser avant samedi. En réalité, moi aussi, je suis dans le même cas, mais nous devons être prudentes, car nos sorties ne sont pas entièrement libres. On va y réfléchir , avant de décider. Nous devons surtout nous méfier de Kaddour, placé par Si Hassane pour gêner à son compte ses cinq maison, l’hôtel et le hammam.
Kaddour a mis du personnel dans l’hôtel et le hammam et gérait les sous, mais ce sont surtout les maisons de l’autre rue qu’il surveillait mieux. Il habitait avec sa famille dans une de ces maisons, et nous Moi et Layla avions deux autres et les deux dernières étaient louées et Kaddour s’intéressait surtout à celles là, tout en nous apportant toute l’aide dont nous avions besoin, nous les femmes et familles de Si Hassane, presque éternellement absent.
Donc il fallait surtout surveiller Kaddour. Le samedi suivant, nous sommes allées au hammam, puis chez Toufik et nous avons baisé chacune à notre tour comme la dernière fois et sommes retournées à nos familles, heureuses mais toujours insatisfaites de cette baise hebdomadaire. Et la chance est venue à notre aide. Le mardi suivant, dès le matin, on a été informées que Kaddour devait s’absenter toute la journée pour aller au bled, dans sa tribu pour un problème familial et qu’il ne reviendra qu’en début de soirée. Nous l’avons épiées et quant il est parti en voiture avec femme et s, on s’est préparées pour les occupations de nos s toute la matinée. Puis on a prit une bonne douche et on s’est rasé le pubis et la chatte, et vers 12/13h on est sorties. Nos prétextes vestimentaires étaient faciles, et on a rejoint Toufik au magasin. Certes, à ce moment, il y avait plusieurs clientes et les deux vendeurs étaient très occupés, et même le vieux tenait la caisse. On est ressorti vadrouiller un peu dehors et après une demi heure, on est repassées. Les deux hommes étaient assis devant le magasin, donc il était vide. Le vieux restait assis mais ne s’est pas endormi, alors on a décidé de baiser en vitesse. J’ai du acheté un vêtement léger et j’ai désiré l’essayer. Kaddour m’a accompagné à la cabine et il m’a baisé en vitesse, par derrière, dans la chatte et il m’a couvert les fesses de son sperme. C’était assez bref mais suffisant pour me donner du plaisir et des jouissances. Nous sommes sortis de la cabine dont Layla gardait la porte comme d’habitude pour éviter au vieux de s’approcher.
Puis ce fut mon tour de Layla pour entrer dans la cabine car j’ai laissé Toufik sans pantalon, la queue fièrement dressée pour une seconde baise des femmes de Si Hassane. Dix minutes plus tard ils sortirent, eux aussi,assez satisfaits. Layla m’a dit qu’elle en voulait encore mais c’est déjà mieux que rien. Nous avons gouté une grosse bite, longue, agile et épaisse, dure et bien gonflée, qui nous a baisées et éjaculée sur nos fesses. Toufik a été très content de nos chattes bien rasées et qu’il a léchées à merci, avant de retourner et baiser par derrière. On fera mieux le samedi prochain qui n’est pas loin. Puis on est revenu rapidement à la maison, il était environ 15h. Kaddour ne devait venir qu’après 18 ou 19h. Mais, ce ne fut pas le cas. Nous avons appris que son problème avait été reporté et qu’il en avait été informé avant 13h. Sortis pour sortis, il a décidé d’amener femme et s chez ses beaux parents pour l’après midi. Et lui est retourné à la maison et catastrophe, c’était juste dix minutes après que nous étions parties, moi et Layla vers Toufik. Il a remarqué que nous étions sorties toutes les deux et un des s de nos voisins, qui nous avait vues, lui a signalé vers où nous étions parties. Je ne sais comment il a deviné mais, les jours suivants, il nous a surveillées plus étroitement et le samedi, il était en surveillance à notre sortie du hammam. Nous sommes parties chez Toufik et nous avons eues notre ration de baise et queue virile et de sperme hebdomadaire. A notre sortie de chez Toufik, il était là, pas loin du magasin, bien en vue, et il nous a proposé de nous reconduire à la maison. J’ai voulu résister et protester mais il nous a menacé de tout dire à Si Hassane, le soir même. Alors on a accepté et on est retourné avec lui chez nous. Un quart d’heure plus tard, il est venu me voir, chez moi. Il m’a dit qu’il ne pouvait pas cacher ce qu’il a vu à son patron, Si Hassane, surtout vers ce magasin, dont il connaissait la réputation de beau gosse et de tombeur des femmes de Toufik. Il me l’a dit crument que nous allions nous faire baiser chez cet homme après notre hammam, toutes lavées, parfumées et affamées de sexe masculin. J’étais très choquée de son langage totalement libre et bien sur j’avais une peur bleue car je savais qu’il était facile pour Si Hassane de me répudier, mes parents ne sont pas importants comme Layla. Alors j’ai été obligé d’avouer expliquant que la faute incombait à Si Hassane qui nous délaissait. Il a, soi disant, compris mes excuses mais a exigé que je paye son silence. Je voyais sa braguette qui avait grossi et je savais que c’était sa queue qui avait gonflait et formait une grosse bosse à sa braguette. Cet homme désirait tout simplement me baiser.
Comme je n’avais pas d’argent, c’était même lui qui gérait nos achats et nos besoins, j’avais donc compris que Kaddour demandait ma chatte. Je savais que sa femme qui était un peu plus jeune que moi, n’était pas belle et un corps trop mince, comparativement à moi dont le derrière et les gros seins tentaient cet homme. D’ailleurs, j’avoue que j’étais tentée, pourvu que la discrétion soit assurée. Kaddour est un homme venu du bled, puissant de corps et certainement aussi de la queue. L’expérience est a tenter surtout que ma chatte commençait à mouiller, l’insatiable. Il lissait avec le doigt sa grosse moustache, en effet, Kaddour est très poilu de tout le corps, c’est ce j’ai constaté par la suite, donc très excitant. Alors, je l’ai amené vers ma chambre, et poussant les s dehors pour jouer dans la rue avec les autres. Puis, fermant la porte de la maison, j’ai rejoins Kaddour dans la chambre. Il était déjà sans pantalon et la queue en l’air bien tendue et gonflée. Franchement, je dois avouer qu’il était bien membré notre Kaddour. Il avait une queue qui semblait même plus grosse et plus large que celle de Toufik qui était notre seul modèle comparé à notre mari Si Hassane. Mais cet homme là, il était beaucoup plus pourvu de sexe et de couilles, très grosses et gonflées. Je ne regrettais plus ses menaces et mon acceptation. Excitée, j’ai enlevé tous mes vêtements, robe, slip et soutien et nue, je me suis offerte à Kaddour. Il me regardait, émerveillé et la bouche ouverte et la langue presque pendue. Il mouillait comme ma chatte en bas.
Puis, allongée, le dos sur le lit je lui ai offert mon corps et surtout ma chatte avec un certain plaisir. J’étais contente non seulement au vu de sa queue qui allait me satisfaire mais aussi parce que les cornes sur le front de Si Hassane vont lui être offertes par son propre homme de main et qui devait surveiller ses maisons et ses femmes. Une vengeance délicieuse qui me brulait la chatte totalement offerte à Kaddour, que dis-je, à Si Kaddour et sa grosse bite. Sans pantalon, sa queue me semblait encore plus grosse qu’à travers sa braguette gonflée, auparavant. Il s’est allongé sur moi et a glissé sa grosse bite, doucement dans ma chatte. Je m’attendais, de la part d’un homme du bled, qu’il fonce sans ménagement, mais, non, au contraire, il a d’abord fait pénétrer, juste la tête de son sexe, la partie la plus grosse, puis il s’est arrêté, me regardant. Puis, il m’a donné plusieurs baisers sur le cou et même sur les lèvres, me chatouillant avec sa grosse moustache. Il savait embrasser, d’abord doucement puis avec une telle passion, qu’il m’a entrainé dans ce plaisir buccal. Je me suis oubliée pour gouter ses lèvres et sa langue et j’ai abandonné mon corps à l’autre plaisir. C’est alors que j’ai ressenti le glissement continu de sa bite, à l’intérieur de ma chatte, petit à petit jusqu’à atteindre mon fond. Cet enfoncement maitrisé, guidé et amplifié par ses baisers m’ont entrainée dans une jouissance jamais ressentie, ni avec mon mari ni même avec Toufik. Ce Kaddour et un artiste du sexe . Il sait affoler petit à petit la chatte et la femme qu’il baise et moi, j’étais conquise entièrement. Puis il m’a baisée avec vigueur comme j’ai demandé jusqu’à son plaisir. Ses vas et viens, parfois lents et langoureux, permettant une jouissance continue, et parfois violents et accélérés, secouant tout mon corps et me donnant la sensation d’être entiérement à sa merci. Oui, je me sentais prise en mains et en chatte et appartenant entièrement à cet homme. Sa queue enfoncée jusqu’aux couilles poilues dans mes fondements me donnait à lui sans aucune restriction. J’étais à lui corps et âme et il jouait de mon corps , de ma chatte, de mes seins, de mes lèvres et même de mes fesses et de mon anus que son doigt allait chatouiller parfois.
Je m’ouvrait entièrement à tous ses attouchements, à tous ses audaces et j’attendais le bouquet final. Entre temps, il m’a donné au moins quatre orgasmes comptés, mais il me semblait que la jouissance orgasmique était continu car ma chatte mouillait en permanence. Soudain, il s’est retiré et, comme Toufik, il a éjaculé sur ma chatte par dehors, sur mon ventre, ma poitrine et mes cuisses. Puis il s’est relevé, gardant sa bite bien gonflée dans sa main. Je suis restée prostrée sur le lit jambes et cuisses écartées. Il s’est redressé, a sorti un grand mouchoir de sa poche, s’est essuyé la bite, puis il s’est levé et a remis son pantalon, le tout sans un mot, malgré les gémissements et son souffle rauque pendant la baise. Il s’est excusé d’avoir profité de l’occasion, mais il m’avoua que ça faisait quelques temps qu’il avait envie de moi et même de Layla, vu que nous étions délaissées par Si Hassane malgré nos corps bien remplis et désirables. J’ai compris qu’il comparait avec sa femme, presque squeulettique. Il m’a convaincu, par ses aveux, mais surtout par sa queue et sa manière de baiser. Alors j’ai eu une idée et je lui ai demandé de m’attendre dehors. Puis je me rhabillée, laissant son sperme sur ma poitrine et mon ventre, à coté de celui de Toufik. Puis je suis allé chez Layla et je lui raconté ce qui s’est passé et que la queue de Kaddour était presque deux fois plus grosse que celle de Toufik et qu’il baisait comme un roi et que, surtout, il désirait la baiser elle aussi. Elle a été très étonnée car elle croyait qu’il allait nous dénoncer à Si Hassane et elle a accepté avec empressement de recevoir la queue de Kaddour dans sa chatte, et tout de suite, si possible. Immédiatement, je suis sorti pour en informer Kaddour. Elle avait écarté ses dans la rue, facilement, et Kaddour est allé la rejoindre en urgence. Je savais ce qui allait se passer et j’étais aussi heureuse pour mon amie. Encore des cornes sur le front de Si Hassane. Depuis ce jour, Layla et moi, nous n’avions plus eu de problème d’insatisfaction sexuelle. Nos chattes étaient à la disposition de la queue de Toufik et même de son jeune collègue Ali certains jours et de notre gardien et gestionnaire, Si Kaddour à tout moment. Plus tard, c’est moi qui a innovée nos relations sexuelles. J’ai décidé de profiter, toutes les deux, Layla et moi, ensemble dans un même lit, de la grosse queue de Kaddour, sur le même lit.
Nous avions juste la gestion de nos s, à tous les trois, à régler pour les éloigner. Et on baisait tous les trois, souvent dans lit et parfois dans celui de Layla. Et Kaddour s’est avéré posséder des moyens sexuels et de résistance, dignes d’un gars du bled. Il est arrivé où Kaddour trouvait le moyen d’écarter sa femme et ses s pour quelques jours chez ses beaux parents, alors on baisait chez lui, dans le lit de sa femme. Si Hassane, n’a pas daigné s’occuper de ses femmes, alors elles ont trouver des queues meilleures et toujours disponibles pour contenter et satisfaire leurs chattes affamées. Sur mon idée, toujours osée, j’ai programmé parfois, le même jour, une baise chez Toufik puis une autre avec Kaddour chez nous. Puis , entre nous, Layla et moi, on rigolait en comparant nos deux séances. C’est toujours Kaddour qui était le vainqueur grâce à sa grosse queue et sa technique, mi douce et mi violente, en tout bien dosée. Layla m’a dit un jour qu’elle aurait souhaitée que Kaddour soit notre mari commun à la place de Si Hassane. Mais moi, avec mon caractère toujours osé et cherchant l’inédit, je lui ai avoué que notre situation était meilleure, plus excitante et jouissante. D’ailleurs on a trois amants au lieu d’un et baisé en l’absence du mari est déjà un plaisir interdit mais dépassé. Et depuis, maintenant deux années, nous vivons ainsi.
Il parait que Si Hassane allait se marier avec une quatrième femme de la ville, plus jeune que lui. On va attendre qu’il s’en lasse et qu’il la néglige pour la sonder et, peut-être l’adjoindre à notre association.

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