La Pièce Secrète
Il est des conséquences aux choses auxquelles on ne s'attend pas.
Ce fut le cas pour Ermeline lorsqu'elle hérita du manoir familial.
Lors de son arrivé dans la petite bâtisse perdue au milieu d'un vaste domaine forestier, une domestique lui fit faire le tour, lui présentant chaque pièce avec soin.
Le tour de la demeure se termina pas la chambre à coucher de la maîtresse de maison, qui désormais était donc la belle et jeune Ermeline.
La domestique lui donna alors avec une discrétion mêlée de malice une petite clé dorée.
« -C'est la clé de votre petit salon personnel, lui souffla-t-elle en souriant. »
Puis sans plus d'explication, elle salua sa nouvelle patronne et se retira.
La belle blonde resta quelque peu interloquée par ce présent mais, prise par les affaires courantes, n'eut pas le loisir de s'y pencher tout de suite.
Ce n'est qu'après le repas du soir, une fois la maisonnée plongée dans le calme de la nuit, qu'elle put se consacrer à cette fameuse clé.
« -Salon privé, salon privé.... Se répéta-t-elle dans sa tête. Mais cette demeure est grande et le domaine encore plus, comment savoir où cherche ?! Ceci-dit, il n'y a qu'une pièce qui m'est privée ici, c'est cette chambre. Ce ne doit donc pas être bien loin. »
Elle entrepris d'explorer plus en profondeur la pièce.
Elle passa plusieurs dizaines de minutes à fouiller chaque recoins. Elle palpa les murs, tira les rideaux, souleva les bibelots et tenta même de faire pivoter le lit, mais sans résultat.
Un peu vexée, elle décida de lire un peu.
Elle alla donc dans la bibliothèque pour prendre un bouquin. Son attention fut alors retenue par un ouvrage au titre curieux :
« Les Cachettes Usurpées et Lucides »
Ce titre n'avait aucun sens mais de loin, Ermeline avait remarqué en premier les majuscules ouvragées qui inscrivaient « CUL », ce qui l'amusa.
Elle voulu prendre le livre mais lorsqu'elle tira dessus, seul la couverture bascula, révélant une petite serrure.
Poussée par la curiosité et un relan d'espoir de mettre à jour le mystère de sa clé, la belle inséra la petite tige étincelante dans le vérou et tourna.
Un cliquetis se fit entendre et la bibliothèque pivota de quelques centimètres, presque imperceptiblement.
Ermeline fit basculer le meuble et découvrit un petit couloir d'un mètre à peine fermé au bout par un simple rideau.
Elle s'avança alors, curieuse, en s'éclairant d'un chandelier.
Une fois le rideau passé, elle découvrit une petite pièce déconcertante.
Éclairé par quatre chandeliers qu'elle venait d'allumer, le petit salon est une chambre de cinq mètres à peine, au murs richement décorés de dorures encadrant des fresque érotiques complexes.
De chaque côtés de l'entée sont installés de petites commodes de belle facture au dessus marqueté de motifs assortis aux fresques murales.
Au fond de la pièce, élégamment encadrée par de riches rideaux, une grande croix de bois ouvragée est fixée au mur. Elle comporte plusieurs anneaux et semble pouvoir tourner.
Au centre de la pièce, un fauteuil curieux est installé sur une estrade. En plus d'un confortable dossier inclinable, d'un large appuie-tête et d'accoudoirs, tous ornés de coussins en velours bleu, le bas du meuble est équipé de curieux repose-pieds, eux aussi réglable.
Détaillant la pièce avec soin, Ermeline remarque sur le mobilier une myriade de motifs phalliques cachés un peu partout.
Poussée par une curiosité qui peu-à-peu se meut en excitation, elle tire sur une petite cordelette accrochée au mur.
Le tintement d'une clochette lointaine se fait entendre suivit du grincement léger d'un escalier en bois, après quoi la servante qui lui avait fait faire le tour de la bâtisse surgit d'une petite porte dérobée.
Elle a quitté son habit de servante pour une tenue plus légère et provocante composée d'un bustier souple mettant sa vine taille en valeur et exposant sa belle poitrine laissée nue.
« -Vous avez donc trouvé Madame ?
-Il...Il semble bien, balbutie Ermeline, troublée par le charme de sa servante.
-Vous faut-il de l'aide Madame ?
-Peut-être, mais pourriez-vous me dire à quoi sert ce fauteuil ?
-Je vais vous montrer, mais avant tout, laissez moi vous débarrasser de ça. »
La servant défait la robe de chambre de la belle blonde et la pose sur une commode. Elle l'invite ensuite à s'installer.
Une fois les pieds d'Ermeline sur les supports, la servante pousse un petit levier qui fait basculer le fauteuil en arrière et écarte les jambes de la belle.
Elle a alors tout loisir de se glisser entre les jambes de sa maîtresse pour embrasser,lécher et caresser son intimité.
La jeune femme se perd en extase sous les doigts experts de sa servante rouquine. Sa vulve ruisselle, tant par les coups de langue qui la couvrent que par la cyprine qui s'en écoule.
Entre deux gémissements, elle trouve la force de demander à sa partenaire :
« -Que...Que contiennent les commodes ? »
La servante lève la tête d'entre ses jambes, le tour de la bouche trempé par la mouille de sa dame.
Elle sourit et demande simplement :
« -Vous voulez tout découvrir ? Vous me faite confiance ? »
Après acquiescement de sa patronne, elle va vers le meuble et revient avec quelques accessoires.
Elle en introduit un premier dans la vulve d'Ermeline.
Celle-ci pousse des gémissements de plaisir sous les va-et-vient de l'objet oblong de verre qui la pénètre. Rapidement, elle s'en saisit et se pénètre avec plus de vigueurs.
La servante, amusée, saisit un autre objet.
« Celui-ci est pour moi, mais il va me falloir votre aide Madame. »
Le jouet en question est un long crochet de métal doré terminé par une sphère
de la taille d'une noix.
Elle le tend à sa maîtresse et se tourne pour présenter sa croupe.
Ermeline découvre alors que le bustier de sa servante est également fendu derrière jusqu'au dessus des fesses, laissant libre accès à l'intimité postérieure de la demoiselle. En outre, un petit anneau est cousu en haut du vêtement, juste sous la nuque.
Ermeline plonge alors la sphère dans la bouche et la lèche langoureusement pendant quelques longues minutes, sous le regard excité de la jeune rousse. Elle présent ensuite l'objet contre son orifice et pousse d'un coup sec. La boule disparaît en elle,tirant un gémissement sec à la servante.
La maîtresse de maison attache ensuite le cordon du crochet au bustier de la demoiselle, suffisamment tendu pour que le moindre coup de rein de la belle remue l'objet entre ses fesse.
La servant s'approche ensuite du visage de sa maîtresse et glisse dans sa bouche une petite bille de bois qu'elle attache derrière sa nuque.
« -Il ne faudrait pas que vos gens vous entendent dès le premier soir, lui murmure-t-elle amusée. »
Elle revêt ensuite une ceinture dotée d'un double membre, l'un dans son intimité et l'autre pour Ermeline.
Voyant que la jeune blonde ne compte pas arrêter de se satisfaire avec le premier jouet, elle présente son membre factices contre la rondelle de la belle et pousse avec douceur et force. Celui-ci rentre doucement, tirant un râle étouffé à Ermeline.
Elle entreprend ale de la pénétrer avec vigueur, toutes deux profitant des membres qui assaillent tous leurs orifices.
Toutes deux ruissellent abondamment et si les cris de la maîtresse de maison sont étouffés par le bâillon, la servant se laisse aller à des gris de plaisir bruillants, tandis que toutes deux explosent dans de puissants jets de cyprine.
Arrivées au terme de leur jouissance, la servant aide sa maîtresse à se rhabiller et la conduit dans son lit avec un sourire complice.
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