Vacances En Normandie 2
Vacances en Normandie 2
Le réveil a été difficile pour beaucoup, par contre Jean est en pleine forme et nous partons pour visiter un peu la région ; alors que nous montons en voiture, Catherine nous rejoint et nous demande si elle peut nous accompagner, son mari devant préparer linstallation du gabion, pour louverture de la chasse au gibier deau. Cest avec plaisir que jean accepte, pour mon plus grand plaisir ; si elle monte à larrière, pendant le voyage , elle me caresse les cheveux. Jean, avec un grand sourire nous avoue, quaprès avoir un peu récupéré de ses excès, il ma cherché, quil nous a finalement retrouvé, en pleine action toutes les deux, mais quil na pas voulu couper nos élans si bien engagés ; cest pourquoi il a attendu le matin pour nous réveiller, avant que lon nous trouve enlacées. Toutes les deux un peu surprise, nous nous regardons avec un sourire et finalement Catherine membrasse en disant , tant mieux car en face de toi, je nai plus à me cacher ; jai très envie delle et si tu le permets, jaimerai beaucoup pouvoir à nouveau lui faire lamour » et jean de lui répondre « soit tranquille, je ne suis pas contre, seul pour moi compte son plaisir, donc profitais-en , mais attention aux autres ». Pour le reste de la journée, cest entourée de mes deux amours que je profite , couverte de baisers, et parfois quand la situation le permet, généreusement doigté, car dès la fin de notre conversation, je suis passée derrière et mon string a vite fini à mes pieds.
De retour, nous retrouvons la famille, engagée dans une conversation concernant les garçons qui iront au gabion le soir, pour la nuit. Magenouillant sur le banc, je réclame des explications , car pour moi, un gabion, je ne connais pas, sans réaliser quainsi, derrière moi, on peut découvrir largement mes cuisses, ma jupe étant courte, et peut être plus puisque je nai plus de slip ; ma chatte est à lair ; cest un clin dil de Catherine qui me donne lalerte, alors que derrière moi, un de mes beaux frères men perd pas une goutte, rouge dexcitation.
Un gabion est un endroit enterré, en bordure dun étang, pour surveiller larrivée des oiseaux migrateurs ; deux petites lucarnes permettent de visionner le plan deau et le passage des fusils quand les canards arrivent ; aménagé, un gabion permet à plusieurs chasseurs de passer la nuit, en attendant le gibier ; les chasseurs veillent à tour de rôle et ne ressortent que le lendemain matin. Satisfaite des explications mais curieuse den visiter un , je leur demande si je pouvais y aller avec eux ; les regards se fixent sur moi ; Jean, un peu gêné , me dit que les hommes y passent la nuit, que cela nest pas confortable et que de plus je ne suis pas chasseresse, du moins pour le gibier, ce qui fait rire tout le monde. Il est alors décidé que les hommes et mon mari seront de la partie ; jessaie de renouveler ma demande dy aller, leur promettant de ne pas les déranger ; finalement, le plus âgé, mais sans doute le responsable de cette chasse donne son accord, mais en précisant : « ok, mais ne vient pas te plaindre après » et avec un sourire narquois, il se retire.
Manifestement, jean est un peu inquiet, il essaie de me dissuader, mais têtue , je maintiens mon envie ; pour la nuit, il me conseille de me couvrir chaudement, et sagement, car dis-t-il, la soirée est souvent arrosée et je ne veux pas dennuis ; pour lui faire plaisir, je revêts un gros pull col roulé et une longue jupe portefeuille, épaisse, très loin de mes standards habituels. Le départ a lieu, bruyamment, tellement les hommes sont excités par cette ouverture, tous espèrent beaucoup de passage cette nuit.
Après une longue marche sur le sentier bordant létang, nous arrivons à un monticule de terre ; à ma grande surprise, une fois la porte discrètement enterrée ouverte, je découvre un très large espace, finalement très bien aménagé, avec cuisine, tables, chaises et 4 couchettes. ; émerveillée, jaide comme je le peux au rangement. Gabriel (le chef) me désigne alors une couchette et me dis quelle sera pour moi, les garçons se partageront les autres ; même si ses propos sont courtois, je comprends vite que cela ne lui fait pas plaisir ; de plus il narrête pas de me mater dès quil le peut.
Alors que le temps sécoule deux frères sont partis se reposer, ainsi que Jean ; je pourrai aller sur la dernière couchette, mais je nai vraiment pas sommeil et je feuillette une vielle revue ; Gabriel lui veille , scrutant létang ; jentends des cris de canards et je mapproche pour essayer de voir les canards ; à mon arrivée, il ne bouge pas, occupant presque toute la totalité de la visière ; jessaie de comprendre en lui demandant de mexpliquer pourquoi il ne tire pas puisque je vois des canards ; « ce que tu vois ce sont des canes leurres que nous élevons pour attirer les sauvages par leurs cris » ; ce faisant, il sest collé derrière moi, pour me les montrer ; je réalise alors quil se frotte à moi, sans vergogne et malgré mon épaisse jupe , je sens une barre contre mon fessier ; jessaye de me libérer de son emprise mais il es beaucoup plus puissant que moi ; « jai vu cet après midi tes fesses, jai bien vu que ton cul était nu ; de plus je sais que tu as couché avec Catherine ; jai envie de toi et tu vas te laisser faire ; tu es de la famille et jai baisé toutes mes belles surs, sauf toi, donc à ton tour ; tu as voulu venir donc comme toutes les filles qui sont venues ici, tu vas y passer, et moi en premier »
Sa main essaie décarter les pans de ma jupe portefeuille ; « laisse-moi, jean est là est, je nai pas envie de toi » ce nest plus totalement vrai, car son attaque a éveillé des envies, car cela fait deux jours que jean ne ma pas honoré et ma nuit avec Cath ne me suffit plus.
Il a remonté ma jupe , sa main me fouille vigoureusement ; je ne résiste plus, alors que son autre main est passée sous mon pull et me triture les tétons ; je suis très sensible à cette douleur, ce qui déclenche rapidement un début de jouissance ; dans sa main, ma mouille sécoule ; me délaissant un moment les seins, je lentends ouvrir sa braguette, puis soulevant ma jupe, après avoir arraché mon string, il frotte son gland contre mes fesses,. Se baissant il ajuste sa tige contre lentrée de la grotte qui lattire et dune poussée, il sempale dans mon vagin ; sous la brutale attaque, un cri sort de ma bouche vite étouffé par une bouche vorace et une langue qui investit ma bouche ; je ne résiste plus, je lui rends son baiser et je me penche en mappuyant sur le rebord de la visière pour mieux le sentir en moi. Ses pénétrations sont puissantes, rapides, profondes ; son gland venant souvent au contact du fond de ma matrice, je dois me mordre pour ne pas crier de plaisir ; cest un bon baiseur , il ne lui faut pas longtemps pour me faire exploser, tant par sa puissance que par le fait que je suis entrain de me faire prendre , alors que son frère nest pas loin. Soudain il se tend et plusieurs jets chauds, jaillissent et me fécondent ; avec ironie, il me dit : « tu vois, comme les autres, je tai engrossé et je suis sur que ton homme le sait » . Quand il se retire, ma jupe reste remontée sur mes hanches ; et en me retournant, je constate avec horreur que non seulement jean a assisté à la saillie, mais aussi que les autres ne dorment plus.
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