Les Débuts De Paola
Je ne connaissais pas Etampes. Jy arrivais pour la première fois en voiture depuis la nationale 20.
Javais loué un appartement dans le centre pour une année afin dy suivre des cours de théâtre. Il était 14h20 quand je garais ma voiture où mon GPS mavait conduit, au parking de la prison.
Le rendez vous étant à 15h je décidais de faire un tour de ville. Il faisait beau et cette petite ville royale du 13eme siècle au charme pittoresque respirait le calme et lennui. Le cadre idéal pour me concentrer sur ma formation de comédienne.
Jarpentais la place de lhôtel de ville où je marrêtais dans un bar tabac pour y acheter des cigarettes. Le lieu semblait nabriter que des hommes arabes plus ou moins jeunes qui mont scruté dès mon entrée jusquà ma sortie. Ici comme ailleurs les gens semblaient préférer rester entre eux.
Je quittais le bar et me dirigeais vers lappartement . Quelquun semblait attendre devant le portail, je supposais que cétait M. Robert le propriétaire, un homme corpulent et disgracieux qui me fit limpression dun porc sur le déclin. Son visage tuméfié par le gras surplombait un corps dont les membres disproportionnés donnait une impression de rafistolage à sa silhouette et trahissait sans doute dune consanguinité lointaine.
Il me fit entrer dans la cours de limmeuble, un ancien corps de ferme réhabilité en logement qui paraissait de lextérieur être une maison bourgeoise. De lintérieur de lespace, des garages et une dizaine dappartements sur deux étages agencés comme un motel américain. En enfilade les portes grises numérotées sur les murs gris décrépis donnait une impression dabandon au tout. Le lieu était silencieux, personne ne semblait y vivre, cet homme paraissait mort.
Un malaise menvahissait quand une jeune femme joviale et agréable nous ouvrit la porte.
Jentrais la première dans le deux pièces que je louais, cétait pas mal, un peu sombre mais bien meublé et spacieux.
Paola, loccupante précédente de lappartement sest présenté et excusé dêtre encore là. Elle me dit avoir traîner un peu trop quelle finirait bientôt.
Je réglais les derniers détails avec M. Robert qui me remis un exemplaire du bail et moi les trois loyers davance comme convenu. Il parti et je restais seule avec Paola dont les formes pulpeuses et ondulantes, vêtue dune combinaison moulante kaki simposaient quand je la vis déambuler dans la pièce. Je la regardais fermer ces derniers cartons quand elle me dit avoir terminé. Elle sapprocha de moi et je vis ces traits sous la lumière.
Ses cheveux châtains relevés en chignon présentaient un jolie visage au yeux marrons posé sur un corps tout en rondeur et en volupté, il semblait ne rien lui manquer. Elle parlait dune manière ine toujours enjoué qui la représentait un peu idiote et charmante à la fois. Elle me demanda ce que je faisait à Etampes et doù je venais. Elle massura quici cétait tranquille. Je nen doutais pas.
On a quitté lappartement ensemble, elle avec ces cartons pour je ne sais où et moi dans le but de récupérer mes bagages à la voiture. Ma deuxième impression en revenant fut identique à la premier, un peu morose.
Je mattelais a défaire mes valise, ranger les vêtements et les livres pour faire mien cet espace et le rendre agréable à mes yeux. Je terminais mon installation quand japerçus un petit sac noir entre le mur et larmoire de la chambre qui nétait pas à moi, je men saisi et y découvrit deux cahiers rouges décolier que je feuilletais rapidement. On aurait dit un journal intime, celui de Paola. Surprise et curieuse je décidais de le lire un peu.
10 août 2017
Cest mon anniversaire! Jai 24 ans.
Depuis deux mois mon propriétaire me baise et jaime ça. Cest un arrangement.
Jétais désespérée et javais du mal à boucler mes fins de mois, je devais deux mois de loyer et javais peur de perdre mon appartement, retourner chez ma mère pour me faire critiquer ça ne memballait pas.
Jai préféré faire la pute pour M. Robert.
La première fois que jai fait la pute cétait chez moi. Je lattendais habillée dune nuisette en résille et de bas noirs sans rien dautre quune paire de talon. Au téléphone je lui avais dit quil fallait quon sarrange et que je navais dargent.
Je me rappelle son expression quand il ma vu, sa langue sortie, sa bouche qui bave. Il a 62 ans et je ne le trouve pas beau mais tout limmeuble lui appartient.
Je suis célibataire jeune et sexy, on mavait baiser à lil jusque là et si peu récompenser finalement.
Quand il a refermer la porte jai serré mes cuisse pour retenir une sensation qui ma pris. Cétait la première fois que je moffrais comme ça à un homme, jétais troublée. Javais ouvert la porte à M. Robert pour quil me baise en échange des loyers.
Debout face à lui qui me regardais les seins et les hanches dans cette tenue qui ne cachait rien, il sest collé à moi a saisi mes seins en les pressant fort et sest accroupi pour les laper bruyamment. Je sentais sa langue râpeuse et caressante, ses dent sur la peau. Il ma dévoreré .
Il a relâché sa prise et sest assis sur le canapé, il me regardait la poitrine toute sortie et rougie par ses suçons et ma demander de le rejoindre à quatre patte comme une chatte. Je me suis mise à genoux et javançais vers lui qui défaisait son pantalon me fixant du regard comme pour ne pas lâcher sa proie, ma nuisette métait remontée et je me sentais un peu plus découverte. M. Robert ma caressé le visage comme à une gentille petite chatte.
« Belle petite. Bonne petite. On va sarranger . Tu as bien fait de me faire venir. Tu es très excitante, tu me fais bien bander.
Regarde ça! Att ça! Oui comme ça... »
Il me brandit son sexe au visage et me le mît entre les mains, je men saisit et le scruta, il sentait. Je le regardais un instant dans les yeux. Cétait bien M. Robert et sa bite que javais entre les mains.
Je le branlais doucement et sentais sa bite grossir, je la léchais de tout son long pour lhumidifier de ma salive qui abondait, jétais excitée. Jouvrais grand la bouche en le regardant, la langue sortie, en demande.
Il ma pris par les cheveux et ma engloutie sa queue dans la bouche tout au fond, jusquà la gorge, presque à men .
Jétais tremblotante et toute coulante.
« Ça te plaît salope!»
« oui M. Robert.»
Je mappliquais à le sucer et à le laisser baiser ma bouche. Je remuais mes fesse pour mieux sentir ses doigts glissant aller et venir en moi. Jécartais bien les genoux, me cambrais de mon mieux pour exhiber ma croupe brûlante, javais envie de me faire remplir et je me sentais bien ouverte par sa main qui me bourrinait.
Cest alors que jai senti ma bouche inondée de sperme dans un long grognement, jen avais plein la bouche, je devais avaler et javalais tout ce jus. Écurant et excitant. Ma bouche en débordait mais je nen perdais pas une miette. Tout était pour moi.
« Attends ma belle cest pas fini. »
« Vous allez me baiser M. Robert? »
« Cest ce que tu voulais cochonne. »
« Oui M. Robert, cest ce que je veux. »
Avant que son sexe ne retombe, dun geste il ma relevée et assise sur le fauteuil appuyé le dos au canapés en me maintenant les deux jambe repliées et ouvertes, mon sexe poilu était offert à sa vue et à son membre quil menfonça dun coup sec. Je suçait ses gros doigts velus et caressait mon clitoris tout gonflé pendant quil me bourrait, jétais proche de lorgasme poussant des cris de petit animal malmené par ses coups de reins répétés. Je venais, je sentais des frétillementsdans mes parties qui augmentaient à chaque mesure.
« Plus fort M. Robert. Plus fort. Narrêtez pas de me baiser. Je suis une salope »
« Aaarrr... Grosse salope tu vas me faire jouir une deuxième fois »
« Oh! Je jouis! Cest trop bon cest délicieux. Ouiii encore oui cest trop bon.
Lorgasme mavait transcendé je navais jamais joui aussi vite. Je me touchait sans marrêter jusquau dernier spasme de plaisir, la langue dehors haletante. Il me regardais me tordre content de lui.
« A quatre pattes maintenant. »
Jobéissais et me retournais. Jai bougé mon cul sous ses yeux pour lexciter puis jai sentie mes fesse sécarter et son penis sengouffrer. Il me la mettait entière et remuait dedans.
« Putain je viens. Grosse salope. Arr ah arr oh putain salooooope! ... »
Je lai vu décharger frénétiquement sa semence et se convulser, il sest retiré, est resté un instant au dessus de moi à me contempler de bas en haut.
« Bonne petite. Tu es pleine de surprise ma belle! On va se revoir. On va bien soccuper tous les deux. Ne te préoccupe plus de tes loyers si tu continu comme ça tu naura plus à ten faire. Sers moi un verre deau jai la gorge comme un désert. Je dois y aller. Cest lheure de dîner chez moi. »
« Voilà un verre deau M. Robert. Merci M. Robert. »
Il sest rhabillé, ma mis une tape sur les fesses en riant. Il semblait content et satisfait, moi aussi.
Jai réalisé combien il était facile et excitant dêtre une salope. Je navais pas vu les choses sous cet angle.
La découverte ce soir là de mes bas instinct ma surprise car je pensais que ce serait plus difficile.
Me faire prendre et malmené par M. Robert mavait donné du plaisir.
Jhallucinais Carrément. Sonnée, javais du mal à réaliser ce que javais lu. Je posais le cahier pour prendre du recul.
Cette histoire était elle vrai? Je navais rien vécu daussi excitant et dérangeant. Je faisait une pause et réchauffais des raviolis en boîte. En mangeant je me demandais ce que je lirais dans un instant. Javais envie de rire de cette drôle de situation dans laquelle jétais de connaître cette liaison et ses détails les plus crus. Je me demandais aussi quand et si Paola reviendrait chercher son sac oublié. Peut être demain.
A suivre
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