Sous Les Jupons De L'Église. 2: Mission Humanitaire En Afrique
Maman en brousse.
Ainsi fut fait, le jeune prêtre fut muté au Rwanda. Ma mère virée de léglise, morte de honte, et pour se racheter, décida elle aussi daller en Afrique pour aider dans un dispensaire de brousse.
Suite.
Ma mère sest retrouvée au Togo dans un petit dispensaire de brousse. Son expérience en maison de retraite a fait que le toubib du coin sest appuyé sur elle pour instruire les villageois des risques inhérents aux pratiques sexuelles sans se protéger: Sida et toutes autres maladies vénériennes.
Elle passait de village en village, réunissant les matrones et les jeunes filles pour leur faire des démonstrations de la façon de mettre des préservatifs sur la verge de leur partenaire.
Il lui a fallu rouler plusieurs heures dans la savane avant darriver le soir tombant à un village écarté de tout axe routier. Le vieux guide noir a rarement mené des blancs dans cette région reculée. Il ny a pas délectricité ni eau courante. Cest un village dune trentaine dâmes dans des cases simples. Les hommes vont et viennent aux grés de leurs envies pendant que les femmes font les corvées.
La nuit et tombée quand ils arrivent dans le village. Le guide parlemente avec le chef du village qui indique une case fermée par une simple tenture. Dans la case, juste deux paillasses et de leau dans des récipients. En signe de bienvenue, une négresse assez forte, les seins nus pendant sur sa poitrine, leurs offre quelques fruits et un bol de lait de chèvre. Le chef du village les a invités à partager son repas du soir.
Il demande à ma mère ce quelle vient faire dans son village. Elle explique donc les moyens contraceptifs modernes permettant de limiter autant que faire se peu la propagation des maladies vénériennes.
Il nest pas convaincu et veut quelle lui fasse une démonstration. Il fait venir un jeune du village pour que ma mère lui montre ce quelle va enseigner aux femmes du village.
Elle aperçoit la silhouette dun jeune noir qui sapproche, il fait trop sombre. La voix du chef se fait entendre :
-Déshabille-toi, Aziz ! Tu vas servir de modèle à la « doctor».
Aziz défait rapidement son espèce de sari qui tombe à terre découvrant un corps dhomme maigre. Il a une grande bite noire qui pend entre ses cuisses. Le jeune se retourne et recule, ma mère sapproche doucement, regardant ce beau paquet. Le corps du jeune luit dune fine couche de transpiration sur son torse puissant et ses petites fesses étroites et cambrées.
Ma mère se dévoue et prend en main le sexe de lhomme qui grogne sous lassaut, nétant pas habitué à ce que la femme soit si entreprenante. Par contre, il néprouve aucune difficulté à bander. Sa bite légèrement courbée, semble vigoureuse et pointe très vite avec arrogance vers son nombril, il bande fort, le salop. Le but de ma mère est déduquer les femmes mais là, elle ne peut pas se défiler sinon elle devra partir sans lassentiment du chef de village. Elle prend un préservatif, le pose sur le gland dune main et le déroule de lautre. Les 2/3 de la hampe sont recouverts de la fine membrane.
-A quoi ça sert ? demande le chef du village ?
Ma mère lui explique :
-Si lhomme ou la femme nest pas en « bonne santé », il ou elle ne transmettra pas sa maladie à son partenaire.
-Et pourquoi ça fait une petite poche devant ?
-Cest pour recevoir la semence de lhomme.
-Fais-moi voir !
Ma mère ne peut pas se permettre de refuser et commence par branler le jeune villageois. Elle a de la chance quil ne soit pas très endurant et en moins dune minute, il se vide dans le condom.
-Cest a usage unique, reprend ma mère, il faut changer le petit chapeau à chaque fois !
Le chef est satisfait et lui permet donc de faire dès le lendemain la leçon aux femmes du village.
Pendant deux jours, elle explique aux femmes comment mettre une capote, se servant de godes qui les font rires.
Certains guerriers ne voient pas dun bon il que lon vienne brider leur virilité. Le troisième soir, ils attirent ma mère dans une case. Elle se retrouve cernée par trois hommes dont lun est un véritable Hercule.
Elle porte un tee-shirt blanc et un jean de toile gris. Le plus jeune lui ordonne
-Montre- nous tes seins !
Elle se rebiffe mais ne peut rien faire, il tire le tissu sur ses épaules découvrant son torse et son voisin dégrafe le soutif, libérant les deux grosses mamelles de ma mère. Elle nose plus bouger.
- Tu as de beaux seins pour une blanche !
Le son de sa voix et la façon dont ils la regardent ne la laisse pas indifférente. Il y a quelques temps, elle se serait enfuie mais après lhistoire de la maison de retraite et laventure dans la sacristie, elle a beaucoup changé.
Ma mère a envie quils la touche mais ils ne semblent pas décidés. Ils la dévorent littéralement des yeux. Elle redresse le buste pour faire saillir ses seins. Un doigt vient épouser la courbe dun globe en remontant vers son aisselle. Un deuxième noir se dégèle et empaume lautre mamelle. Les bouts commencent aussitôt à durcir. Ils comprennent le message du corps et lun deux se met à lécher avec ferveur une doudoune. Le troisième pour ne pas rester sur le bord de la route, lui retire pantalon et petite culotte, écarte de la main les grosses lèvres quil dévore comme sil navait pas goûté à une chatte depuis de longues années. Tout y passe, les dents, les lèvres, le nez, puis progressivement tout le visage dans la fourche généreuse de ma mère. Elle a limpression dêtre une truie tétée par ses porcelets assoiffés de lait maternel ou de tout autre fluide.
Mais le plus jeune ny tient plus, il retire ses nippes.
- Je vais te posséder toute entière, menfoncer tout au fond de toi !
-Oui ! Mais laisse-moi te mettre un préservatif.
Elle est devant une bite impressionnante ! Elle lui met un chapeau et commence à la caresser, ayant du mal à en faire le tour avec sa main, elle nen avait rarement vu des si grosses avant ces derniers temps. Il se met sur elle et astique son gros membre sur la chatte béante déjà bien trempée, avant de saffaler sur elle, lempalant de sa bite, la queue bien au fond de sa chatte.
Ma mère crie tant la queue la défonce sans ménagement, il lui pétrit les seins pendant quil pilonne la chatte si bien quelle jouit sans pouvoir se contrôler très rapidement, essayant de ne pas trop crier pour éviter de réveiller tout le village.
Allant à son rythme, la queue coulisse sans aucune difficulté, Il la baise de mieux en mieux et elle apprécie quil la lui mette bien profond. Il gémit de sa voix rauque, fermant les yeux en prenant son pied mais il se retire alors et présente sa grosse queue pour quelle lenfourne dans sa bouche. Ma mère pose ses seins autour de son dard et le branle rapidement, faisant jaillir son gland quelle gobe à chaque sortie. Il ne met même pas une minute à gicler et elle reçoit une dose de foutre peu commune. Elle en a partout, sur les seins dans le cou et surtout dans la bouche. Elle déglutit pour avaler sa semence, le suçant encore un peu.
Le deuxième noir prend aussitôt la place. Il sort sa queue et les yeux de ma mère nen reviennent pas de la longueur. Cest la plus longue bite quelle nait jamais vue. Elle est aussi grosse et épaisse que celle de son comparse. Il lui donne à avaler son gros gland et la force de descendre le long de sa queue encore plus longue que celle du jeune, ma mère a du mal à lavaler en entier.
Elle la saisit des deux mains, met un peu de salive dessus et commence à la branler et la lécher de haut en bas. Elle est surprise car la queue a bon goût, un vrai délice. Le nègre prend la tête entre ses mains et plonge dans la gorge offerte, lui faisant venir les larmes aux yeux alors quelle sétouffe avec sa queue.
- Tes vraiment bonne pour une blanche !
A suivre
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