Soumise À Mon Maitre 4
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le lendemain matin je me réveille avec le même sentiment de honte et de dégoût avec lequel je me suis endormie, ce porc ma baisée, je lai sucé et je sais que je vais devoir subir ça régulièrement. Ressassant les horreurs de la veille dans ma tête, jentame ma journée habillée en soubrette lubrique ridicule; je fais le ménage de la chambre, puis je prépare le petit déjeuner, que je sers au Maître. Ensuite, comme mon planning lindique, il inspecte ma chambre et ma tenue. Il inspecte les moindres recoins de la pièce et aussi le moindre détail de ma tenue afin de me mettre en défaut. Il se permet et ajuste ma coiffe, regarde si mes bas sont bien mis. Il remonte ma jupe pour voir si je ne porte pas de sous vêtements et en profite pour me caresser les fesses de ses mains baladeuses. Que dire?
Puis, il enlève ses mains de mes fesses pour les mettre sur mes seins pour soi-disant vérifier si je ne porte pas de soutien gorge tout en me regardant dans les yeux , je me sens humiliée et gênée mais je soutiens son regard, je mefforce de ne rien montrer de mes sentiments de peur d'être punie alors quil samuse de la situation.
- Je vais temmener pour que tu sois manucurée.
- Oui Maître.
Mr marchand me tire par les mains comme si jétais une chienne. Je résiste un peu effrayée
- Je peux me changer Maitre ?
Il me regarde méchamment, loccasion quil cherchait se présente, jai failli en nobéissant pas immédiatement.
- Non, tu vas y aller dans cette tenue. Tu vas être punie,
- Oui Maître.
Jai peur de ce que Mr Marchand va me faire subir. Quel connard de prendre son pied à me piéger et à mhumilier constamment, Je crains le pire, mais si je la ramène ou me rebelle, je ne ferais quaggraver mon cas.
- Penche toi sur la table et relève ta jupe.
Je me penche et je relève ma jupe docile mais inquiète.
Soudain Mr Marchand me met une grosse claque sur les fesses,
- Et de 1, ne bouge pas,
Je suis surprise, je ne mattendais pas à ça, sa claque sonore m'a fait très mal, je ne vois pas mes fesses mais je suppose la trace rouge de sa main,,
- Et de 2,
Mr Marchand me donne une 2éme claque, elle claque aussi fort et me fait tout aussi mal que la 1ére ; je serre les dents et espère que ça ne va pas trop durer.
- Et de 3,
Jai de plus en plus mal et je serre de plus en plus les dents, jai le sentiment quil y va de plus en plus fort, mais non il ne me fera pas pleurer,
- Et de 4, tu peux te relever,
- Merci maître.
Je ne sens plus mes fesses tellement jai mal, je ne mattendais pas à cette punition, mais lhonneur est sauf, jai résistée. Il mordonne daller voir mes fesses dans le miroir du salon.
Je m'exécute ; relevant ma robe, je constate les marques rouges, il ne ma pas épargnée.
- Voilà ce qui arrive quand tu te rebelles,
- Pardon Maître,
- Suis moi, il est temps dy aller.
Je me résigne à le suivre par peur d'être à nouveau punie. Jangoisse à lidée de sortir dehors dans cette tenue et me sens déjà honteuse,
- Passe devant.
- Oui Maître.
Je passe devant et j'emprunte les escaliers pour accéder au garage, les talons hauts me font mal et jai du mal à garder l'équilibre. Arrivée en bas, je vois une grosse bmw noire avec des vitres teintées, il démarre le bolide puis mouvre la porte côté passager. Je prends place à ses côtés, ma robe est trop courte, mes fesses nues entrent en contact avec le siège, la sensation du cuir froid apaise mes fesses,
Le trajet ne dure que quelques minutes mais lambiance dans la voiture est glaciale, je suis pétrifiée. Mr Marchand s'arrête devant linstitut de beauté, et descend en premier, il mouvre la porte galamment, péniblement, je descends en faisant attention à ne pas trop écarter les cuisses et en essayant de plaquer la robe sur mes fesses afin de garder un peu de pudeur malgré ma tenue indécente.
Jai honte de sortir habillée comme ca, jai le sentiment que tout le monde mobserve, je croise les doigts pour qu il ny ait pas un coup de vent qui soulève ma jupe. Nous entrons dans le salon et je vois le regard ébahi et surpris de lesthéticienne, elle me dévisage de haut en bas. Penaude, je ne sais pas quoi faire ni quoi dire, je ne sais plus où me mettre. Dun regard outrée elle rompt le silence:
- Bonjour Madame, que puis je faire pour vous ?
- Bonjour Madame, je viens pour que mon employée soit manucurée.
- Heu, oui. Nous avons de la place, suivez-moi mademoiselle.
Je m'assois en face delle, elle à lair aussi gênée que moi, personne nose parler, je ne sais pas si elle me méprise ou si elle à de la pitié pour moi, peut-être les deux.
- Posez vos mains sur la table mademoiselle,
- Bien , Madame.
Ma réponse me laisse constater que lobéissance commence à rentrer comme un réflexe.
Dabord, elle me nettoie les mains, puis me lime les ongles. Avec minutie, elle travaille mes mains, ça dure une éternité, joublie mes soucis et la regarde faire avec attention. Elle me colle les les capsules sur les ongles, puis à sa demande, je passe les doigts sous la lampe, quel plaisir de se faire bichonner. Enfin, elle enlève le surplus de gel, puis applique de l'huile elle me masse les doigts avec douceur et délicatesse. Quand cest terminé, je la remercie infiniment.
De retour de ma manucure, je vois Mr Marchand qui mattend en train de feuilleter un magazine, à ma vue, il se lève et va payer. très vite nous sortons et remontons en voiture. Je fais très attention en masseyant, je ne porte pas de dessous, et je nai pas envie que ça se voit.
Dans la voiture, il me demande fermement :
- Fais moi voir tes mains.
- Bien maître,
- Elles sont plus jolie, nest-ce pas? Il faudra quelles soient toujours comme ça à lavenir.
- Daccord Maître.
Mr Marchand démarre la voiture et prend la direction de la maison, lambiance dans la voiture est toujours aussi froide et il ny a que le son de la radio qui tue le silence, il sarrête devant une boulangerie,
- Vas me prendre du pain pour ce midi,
- Bien maître,
- Voilà 5 euros ça fera laffaire, tu me prendras 2 baguettes bien cuites,
Mon visage se bloque dun seul coup jai peur de devoir à nouveau sortir dans cette tenue devant du monde, je navais pas prévue ça, jai une boule au ventre, ma respiration est comme coupée mais je nai pas le choix sinon je vais être punie
- Merci Maître.
Je descends de la voiture tout en faisant attention à ne pas tomber avec mes talons de 15 cm et ce qu on ne voit pas que je ne porte rien sous ma robe ultra courte. Prenant une grande respiration, je rentre dans la boulangerie, il y a beaucoup de monde, je ne sais plus où me mettre, tout le monde me regarde, jentends des gens murmurer sur ma robe trop courte, dautres sur les attaches de mes bas visibles de tous, dautres encore commentent mon décolleté ou mes talons, un autre se moque de ma coiffe et de mon tablier, jentends quon me traite de salope, de pute, jai limpression que ce moment dure une éternité, je baisse la tête, et me retient de pleurer, mais enfin mon tour vient,
- Bonjour madame que désirez vous ?
- Bonjour madame, je voudrais 2 baguettes bien cuites sil vous plaît.
- Et avec ceci?
- Ca sera tout.
Je sors presquen courant, dans le reflet de la porte vitrée, je vois le boulanger me matter, je crois que je nai jamais eue aussi honte de ma vie, jaurais pourtant voulu être invisible.
Je remonte dans la voiture en faisant toujours attention à ma robe, mon Maître démarre la voiture et part en direction de la maison avec un rictus de satisfaction.
Je suis énervée de ce qu'il m'a fait subir, quel salaud. Nous rentrons, il mordonne de lui préparer le repas.
Attelée à ma tâche, je le sens se coller derrière moi, il commence par me caresser les jambes par dessus les bas en soie puis remonte doucement sur mes fesses tout en soulevant ma robe, je sens son souffle dans mon cou et je sens son sexe se durcir, jai du mal à me concentrer, je suis outrée et je nai quune envie cest de lui mettre une gifle mais je sais que si je fais ca je serais punie donc je nai pas dautres choix que de le laisser faire. je sens que pour lui je ne suis pas une personne mais juste un objet, un jouet.
Je sers le repas , Mr Marchand regarde attentivement mon décolleté quand je me penche pour le servir, je naime pas quand il est comme ça : lambiance est pesante pour moi, je suis pétrifiée à lidée de faire quelque chose de mal, je ne dis pas un mot, et je laisse Mr Marchand manger son repas.
Une fois son repas expédié, il file dans son bureau en me méprisant.
- Nettoie ça et après tu auras quartier libre.
- Oui maître.
Jobéis aux ordres de Mr Marchand et nettoie la cuisine.
Alors que je suis tranquille, il fait irruption me faisant sursautant. Enervé, il inspecte la cuisine à la recherche dun reproche.
- Mets toi à 4 pattes et lèche le sol !
- Oui Maître.
Il me fait peur, tremblante, jobéis voulant juste éviter une correction. Je me mets à 4 pattes et je lèche le sol du bout de langue, le goût du sol froid me dégoute, je pensais que lépisode de la boulangerie était suffisamment humiliant mais il en veut plus. Sadique, il en profite pour remonter ma jupe, jai les fesses à lair, jamais je naurais pensé tomber si bas.
- Ton cul est très beau soumise,
- Merci maître.
- tu aimes lécher ?
- Oui maître.
- Tu comprends que cest ta place?
- Oui maître, je suis là pour vous obéir.
- Lèche mes chaussures et remercie moi de t'accueillir chez moi.
- Oui maître, merci de m'accueillir chez vous maître.
Docile et plus bas que terre, je lèche les chaussures de mon Maître. Le contact du cuir me dégoûte tout autant que le carrelage. Il samuse avec moi et me donne des petits coups de pied sur le visage, il me fait mal, je suis à 2 doigts de me mordre la langue, je nai quune envie cest que ça s'arrête.
- Je vais te dresser à la dure soumise.
- Oui maître, Merci maître.
- Maintenant dégage petite pute ! Tu as quartier libre jusquà 15h.
- Merci maître.
Interdiction de dormir, et laisse la porte de ta chambre ouvert.
- Daccord maître.
Je me relève et je vais dans ma chambre sans traîner.
Je suis énervée de ce quil m'a fait subir et de la façon dont il m'a traitée, je suis à 2 doigts de craquer mais je me retiens car sinon je sais pas ce qui peut mattendre,
Je m'assois sur le lit et je croise mes jambes,,
Jessaye d'apprécier ce bref moment de temps libre mais je nai pas la tête à ça je suis épuisée, je nai quune envie cest de dormir,
Et comme je nai pas de télévision ni de radio je mennuie fortement,
Je décide de prendre un livre et commence à le lire, la fatigue commence à lemporter,
Je lutte pour ne pas mendormir car jai peur de la punition,
Je vois Mr Marchand qui passe souvent devant ma chambre et qui jette un coup doeil dans ma chambre chaque fois quil passe devant, cela me stresse à chaque fois quil fait ca,
Je finis par mendormir,Mr Marchand m'a vu dormir et entre dans ma chambre et crie,
- Réveille toi soumise,
Je me réveille en sursaut, je vois Mr Marchand très énervé, il a le regard noir,
- Pardon maître, je suis désolé je ne lai pas fait exprès,
- je vais te dresser, je vais tapprendre à me désobéir,
À ce moment là, jai peur de la punition qui va m'être infligée,
- Mets toi à 4 pattes sur le lit et la tête face à la tête de lit,
- Daccord maître,
Jobéis à Mr Marchand et je me mets à 4 pattes, il me prend les bras et me les met dans le dos et dun seul coup il me met des menottes,jai la tête sur le coussin, les mains dans le dos et mes fesses en lair bien offertes,
- Tu aimes etre attachée soumise
- Non maître pitié,
- je ne te crois pas, les petites putes comme toi, aiment être matée! avoue que tu aimes salope,
- Oui maître, merci de méduquer,
je ne sais pas ce qui mattend et ça me fait peur, jai le coeur qui bat à 100 à lheure, Mr Marchand me relève la robe et me donne un coup de ceinture très violent sur les fesses, ce coup de ceinture me fait horriblement mal, jessaye de protéger mes fesses avec mes mains joliment manucurées mais Mr Marchand me hurle dessus pour que je ne le fasse pas,
- Pitié, jai mal,
- Il faut que tu comprennes soumise,
- Oui maître désolé davoir désobéi,
- Tu es ma soumise,
- Oui maître,
- Et quand je donne un ordre tu obéis,
- oui maître,
- jai envie de te corriger donc tu arrêtes de plaindre et tu acceptes ta correction,
- Oui maître,
- tu va donc fermer ta gueule pendant tout le temps où je te fouetterai ok?
- Oui maître.
- Accepte ta punition comme la bonne soumise que tu veux devenir.
- Oui maître, merci maître, je vous promets daccepter ma punition comme une bonne soumise que je suis,
Chaque coup de ceinture me donne limpression davoir encore plus mal et me fait pousser des cris de douleur, je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir supporter ça. Je sers les poings entravées par les menottes, jai envie déviter les coups, mais me retient, je me surprend à lui obéir du mieux possible. Jaimerais étriper Mr Marchand mais je ne peux pas me défaire des menottes trop serrées qui me blessent les poignets; jai la circulation qui est fortement diminuée,
Mr Marchand me donne une dizaine de coups de ceinture sur les fesses la douleur est insoutenable mais je résiste autant que je peux, Mr Marchand me met une autre dizaine de coups de ceinture, la douleur est trop intense, je sens que mes fesses ont des marques de partout, je pleure de douleur les larmes coulent sur mon visage et mon maquillage coule, le coussin est trempé et chaque coup de ceinture me donne un frémissement et je décide de lâcher prise, cest à ce moment la que Mr Marchand cesse les coups,
- Pitié, jai trop mal, maître pitié
- Pourquoi j'arrêterai, je fais ce que je veux de toi.
- Je vous en supplie, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous obéirai, sil vous plait, je vous en supplie.
- Jarrête si tu moffres ton cul.
- Pitié maître, jai les fesses qui me font horriblement mal,
- je continuerai temps que tu ne me supplieras pas de tenculer
Je ne dis rien je ne veux pas me faire sodomiser, je ne veux pas avoir encore plus mal que maintenant et j'espère que Mr Marchand va avoir pitié de moi et va arrêter la punition, Mr Marchand me donne à nouveau des coups de ceinture, je suis à bout de force je ne tiens plus, je suis épuisée, je nai plus la force pour supporter cette punition, je me résigne à accepter la sodomie,
Dans un sanglot jabdique :
- Maître arrêtez, je veux bien.
- Tu veux quoi?
- Je veux bien que vous menculiez maître,
- Supplie moi soumise,
- Je vous supplie de menculer maitre,
- Jai mal entendu,
- Enculez moi maître, sil vous plaît
- Jai encore mal entendu,
- Enculez moi comme une chienne soumise maitre,
- Cest mieux, dis moi que tu veux ma queue dans ton cul,
- Je veux votre queue dans mon cul maître,
- Si tu insiste, je vais te léclater ton petit cul de pute,
- Merci maître,
Mr Marchand déboutonne sa chemise et lenlève, il la pose sur une chaise sans la froisser, ensuite il enlève son pantalon et le met aussi sur une chaise, il est nu et est déjà en érection,
Jai peur, jai le rythme cardiaque qui augmente à toute vitesse, jai peur davoir encore plus mal et ne ne plus pouvoir marcher ou de devoir marcher en canard, je nai jamais été sodomisée,
Jappréhende la sodomie mais je nai pas dautres solutions que de me résigner à laisser faire Mr Marchand, jai déja très mal aux fesses,
Mon bourreau monte sur le lit,je suis pétrifiée de peur, je le sens derrière moi, il me caresse les fesses avec ses mains moites, il met un doigt dans mes fesses, rien que ca me fait penser que je ne suis plus vierge, puis il écarte mes fesses et essaie d'insérer son gland mais je me crispe et mes fesses sont très serrées pour que ca rentre, il fait des va et vients avec 2 doigts pour essayer de me dilater, ensuite il approche son gland à lentrée de mes fesses et essaie de rentrer mais malgré son érection ca ne rentre pas et il essaie de forcer lentrée ce qui à pour effet de me faire horriblement mal, je serre les poings, la douleur est aussi insoutenable que les coups de ceinture, je sens quil force et jai limpression quil me déchire les fesses et à force de pousser il arrive à faire entrer son gland, je pousse un hurlement de douleur et me projette en avant pour fuir sa queue qui me déchire. Malheureusement, il me maintient par les hanches, et je ne peux que subir le viol de mes petites fesses vierges. je serre les poings et je serre les dents, il accélère le rythme des va et vients et rentre un plus son sexe encore plus profondément, jai beau pleurer et geindre, il nen a que faire. Mes sphincters ont définitivement cédé tout comme ma fierté, il mappuie la tête sur le coussin, me tire les cheveux, me tire les menottes ce qui me fait horriblement mal aux poignets, il veut me faire très mal et que quoi que je fasse il continuera
- Tu aimes ca sale pute,
- Pitié, jai très mal,
Mon bourreau continue ses va et vients et insère son sexe en entier dans mes fesses tout en augmentant le rythme des va et et vients, la douleur est horrible,jai le sentiment que cest un couteau qui vient me perforer les intestins je ne fais que de crier de douleur,le supplice me semble durer des heures, je suis épuisée physiquement et mentalement,
Cest à ce moment la que je sens une coulée de sperme dans mon cul, mon bourreau pousse un râle de plaisir, jai la sensation d'être remplie cest désagréable, et humiliant, je me dis que mon calvaire est terminé,
Mon bourreau matt par les cheveux et moblige à me tourner face à lui. Comme je ne peux pas, je rampe sur le matelas dans un équilibre précaires, les mains attachées dans le dos. Il me fait asseoir face à lui sur le bord du lit.
- Allez, nettoie.
Il me regarde sévèrement, les yeux levés vers lui, je limplore quelques secondes, mais je comprends que je nai pas le choix.
Japproche mon visage tirant légèrement la langue vers son sexe douteux, il att ma tête et la pousse vers son sexe mobligeant à le sucer en entier, il relâche sa main et je m'extrais,
- Lèche moi bien partout avec ta langue,
ca me dégoute, jai envie de vomir, lodeur est insupportable, jai un sale goût sur la langue, il me regarde et jubile de me voir ainsi, il mà totalement dominée et humiliée, jai les fesses éclatées,et le visage plein de maquillage coulé,le contact de mes fesses sur le lit est très douloureux la douleur est insoutenable, je me demande combien de temps je vais souffrir de cette punition, est ce que je vais pouvoir marcher normalement, est ce que je vais rapidement pouvoir massoir sans que ca me fasse mal, je me demande comment sont mes fesses, marquée légèrement ou fortement, y à t il des traces de sang, si jai des bleus si elles sont cramoisies, et surtout si lentrée de mes fesses vont se refermer,
je lèche maintenant consciemment et avec attention son gland et son sexe avec ma langue, je le fais machinalement comme il me l'a demandé, jai le regard accaparé par mes pensées, mon corps est la mais ma pensée est ailleurs, Docile, je suis toute à ma tâche aussi désagréable soit-elle. Mon maître sen aperçoit et men félicite,
- Cest bien. tu vois que tu aimes sucer .
Il me prend par le menton pour me forcer à le regarder et à lui répondre,
- Oui maître, dis-je machinalement pour lui obéir même sil nen est rien.
- Tu as aimé te faire éclater ton petit trou?
- Oui maître, même si jai eue très mal,
- Ok, tu vois , jentends ta remarque et pour que tu aies moins mal, je tenculerai le plus souvent possible afin que tu ty fasses.
- Oui maître, merci maître,
- Continue de me nettoyer en bonne soumise que tu es.
Je nettoie le sexe en mettant des coups de langue sur le gland et sur le sexe entier, je le mets aussi dans ma bouche pour bien le nettoyer, je le sent me caresser la tête comme on le ferait avec une bonne chienne.
Mr Marchand se retire et sort de ma chambre nu en emportant son pantalon et sa chemise, je suis assise sur le bord du lit, je me relève avec pénibilité tant la douleur est atroce, et je vais en direction de mon miroir pour voir létat de mes fesses, le sperme coule le long de mes jambes et le contact de ma robe avec mes fesses me fait très mal, je me mets dos au miroir et je tourne la tête pour voir mes fesses, jai peur de ce que je vais voir, j essaye de relever ma robe avec mes doigts, mes fesses ont de grosses marques rouges, il y a aussi des marques violettes, mais ce qui me choque le plus c'est l'entre fesse, il y a encore la trace du passage de la sodomie, le trou est encore ouvert, loeillet est rougi et boursouflé,
À ce moment la je nai quune envie cest de me sauver mais je sais que je nirais pas loin, jai peur pour la suite, et aussi bizarre que ca puisse etre je commence à accepter la situation,
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